S’étant déjà fait la main avec quelques bandes sonores avant d’attaquer la création de Léviathan, Flavien Berger applique à ce premier album son sens de l’image et son penchant pour une pop électro décalée qui doit autant à Air ou Bashung qu’à Alan Vega. En dix titres, le multi-instrumentiste parisien pose sur son canevas diverses palettes de couleurs; du Bleu sous-marin à la Fête noire en passant par le violet et le vert de toutes les lumières du Vendredi, Flavien Berger propose un voyage anxiolytique entre l’immensité du firmament et les insondables abysses.
