guitare

Festival International de Jazz de Montréal : Marcin au Théâtre Maisonneuve

par Rédaction PAN M 360

Jeune guitariste de premier plan au niveau mondial, compositeur, producteur et arrangeur polonais.
Ses vidéos musicales et ses performances ont été visionnées plusieurs centaines de millions de fois et ont fait l’objet d’articles dans des publications telles que : Rolling Stone, Classic FM, Guitar World, Metal Hammer, Billboard, etc. Son audience en ligne est la plus importante parmi les jeunes guitaristes du monde, et l’une des plus importantes dans le monde instrumental en général. 
Il a remporté deux grands concours de talents en Europe et a atteint la demi-finale de l’émission America’s Got Talent, mais il a continué à faire croître son public de manière exponentielle au cours des années qui ont suivi. Marcin a effectué des tournées à guichets fermés sur plusieurs continents et s’est produit dans des salles telles que le Royal Albert Hall. Il est surtout connu pour son jeu de guitare percussif associé à une production moderne. 
Marcin est l’un des artistes phares d’Ibanez Guitars et a collaboré avec les plus grandes stars du monde de la guitare, ainsi qu’avec des personnes comme Jordan Rudess de Dream Theater et le Royal Philharmonic Orchestra. Il a fourni des arrangements de guitare et écrit pour le phénomène mondial One Piece Live Action Netflix show, et a travaillé sur une campagne publicitaire avec Google.

Global leading young guitarist, composer, producer, and arranger from Poland.
His music videos and performances amassed many hundreds of millions of views, and were discussed by publications such as: Rolling Stone, Classic FM, Guitar World, Metal Hammer, Billboard etc. His online audience is the biggest among young guitarists in the world, and among the top in the instrumental world at large. 
He won two major talent shows in Europe, and reached the semifinal in America’s Got Talent, but continued to grow his audience exponentially in the years since. Marcin has sold out headline tours on multiple continents, and played venues such as the Royal AlbertHall. He is known primarily for combining percussive guitar playing with modern production. 
Marcin is a global flagship artist of Ibanez Guitars and has collaborated with leading stars of the guitar world, as well as people like Jordan Rudess of Dream Theater, and the Royal Philharmonic Orchestra. He provided guitar arrangements and writing for global phenomenon One Piece Live Action Netflix show, and worked on an ad campaign with Google.

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jazz / swing

Festival International de Jazz de Montréal : Jeff Goldblum & The Mildred Snitzer Orchestra à la salle Wilfrid-Pelletier

par Rédaction PAN M 360

Créé il y a 30 ans par Jeff Goldblum, The Mildred Snitzer Orchestra s’est produit devant des publics ravis dans tous les États-Unis et dans le monde entier, jouant des arrangements contemporains de classiques du jazz et de l’American Songbook.
Actuellement covedette du Magicien d’Oz avec Ariana Grande et Cynthia Erivo dans le film Wicked, acclamé par la critique et qui a fait un tabac au box-office mondial, Jeff Goldblum a une carrière riche en histoire qui s’étend sur six décennies de travail primé en tant qu’acteur principal au cinéma, à la télévision et au théâtre. Il a également produit des projets pour le cinéma et la télévision et a été nommé aux Oscars pour son court métrage Little Surprises.

Founded by Jeff Goldblum 30 years ago, The Mildred Snitzer Orchestra has performed for delighted audiences throughout the United States and all over the world playing contemporary arrangements of classic jazz and American Songbook standards.
Currently co-starring as The Wizard of Oz with Ariana Grande and Cynthia Erivo in the critically acclaimed global box office smash, Wicked, Jeff Goldblum’s storied career now spans 6 decades of award-winning work as a starring actor in film, television and theatre. He has also produced both film and television projects and is an Oscar-nominated director for his short feature film “Little Surprises. »

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DJ set / électronique / house

Piknic Électronik : AYYBO, Only Fire et plus

par Rédaction PAN M 360

Scène Fizz

BisouBizou (16h)

BisouBizou est une DJ montréalaise connue pour ses sets enchanteurs caractérisés par un mélange éthéré de genres. Elle apporte une atmosphère éblouissante et dynamique à ses performances. Elle ne cherche qu’à répandre de bonnes vibrations.

BisouBizou is a Montreal-based DJ known for her enchanting sets characterized by an ethereal blend of genres. She brings a dazzling and dynamic atmosphere to her performances. Curating and spreading good vibes only.

Suray Sertin (18h)

Suray Sertin est un producteur de disques originaire de Montréal, au Canada. Avec son mélange unique de house, garage, r&b et pop, il crée un son à la fois frais et intemporel. Sa musique est une combinaison artistique d’éléments musicaux et de textures, résultant en une expérience immersive et énergique qui captive les sens. Le son frais de Suray a attiré l’attention de poids lourds de la scène électronique, tels que Zeds Dead, qui l’ont mis en avant sur leur label Altered States, ainsi que des conservateurs de playlists des principaux labels de danse. les curateurs de playlists des principaux labels de danse. Avec le soutien de ces leaders de l’industrie, ainsi que de l’industrie, ainsi que des placements de synchronisation avec EA Sports, Nike et CBC Television, il consolide sa présence dans l’industrie.

Suray Sertin is a record producer hailing from Montreal, Canada. With his unique blend of house, garage, r&b, and pop, he creates a sound that is both fresh and timeless. His music is an artful combination of musical elements and textures, resulting in an immersive and energetic experience that captivates the senses. Suray’s fresh sound has caught the attention of heavyweights in the electronic music scene, such as Zeds Dead, who have featured him prominently on their Altered States record label, along with playlist curators across major dance labels. With backing from these industry leaders, as well as earning sync placements with EA Sports, Nike, and CBC Television, he is solidifying his presence in the industry.

AYYBO (19h30)

Aaron Bonnema, plus connu sous le nom d’AYYBO, émerge rapidement en tant que phénomène mondial de la musique house d’Anaheim, en Californie. Sa carrière, marquée par des concerts à guichets fermés dans de grandes villes comme New York, Chicago, Miami, Denver, San Diego, Portland et Austin, met en évidence sa grande capacité d’attraction et sa présence dynamique sur scène. Dès son plus jeune âge, influencé par le jazz et le hip hop, AYYBO a développé ses compétences rythmiques au sein de la drumline du lycée – une base qui a enflammé sa passion pour le son. Sa transition vers la musique house se caractérise par un mélange unique de sous-genres, créant des sets qui résonnent bien au-delà de la scène tech house américaine traditionnelle. de la scène tech house américaine traditionnelle.

Aaron Bonnema, better known as AYYBO, is rapidly emerging as a global house music
phenomenon from Anaheim, California. His career, marked by sold-out headline shows in major cities like New York, Chicago, Miami, Denver, San Diego, Portland, and Austin, highlights his wide appeal and dynamic stage presence. From a young age, influenced by jazz & hip hop, AYYBO developed his rhythmic skills on the high school drumline — a foundation that ignited his passion for sound. His transition to house music features a unique blend of subgenres, creating sets that resonate far beyond the traditional American tech house scene.

Scène Banque Nationale

Nasty Gloss (16h)

Nastygloss est un DJ/artiste né et élevé à Montréal. Avec une passion audacieuse pour le mix de genres avant-gardistes comme l’EDM, le hard groovy et le ghetto tech, Nastygloss redéfinit la scène musicale, un beat à la fois. Laisse-toi emporter par l’énergie, ressens la basse et embarque dans un voyage électrisant où les beats ne s’arrêtent jamais et la fête ne finit jamais.

Nastygloss is a DJ/artist born and raised in Montreal. With a fearless passion for mixing cutting-edge genres like EDM, hard groovy, and ghetto tech, Nastygloss is redefining the music scene one beat at a time. Embrace the energy, feel the bass, and let Nastygloss take you on a wild ride where the beats never stop and the party never ends.

Awwful (17h45)

Co-fondateur·ice des soirées queer montréalaise Unikorn, Awwful est connu·e pour ses DJ sets à haute intensité qui mélangent eurodance, hyperpop et musique de club déconstruite avec des hits de bubblegum pop. En tant que producteur·ice, auteur·ice-compositeur·ice et chanteur·euse, son travail est bien plus introspectif, intégrant des textures et tonalités issues du club pour créer des chansons de la coeur.

Co-founder of Montréal queer club nite/rave series Unikorn, Awwful is known for their hi-octane DJ sets that blend eurodance, hyperpop and deconstructed club music with bubblegum pop hits. Their work as a producer, songwriter and vocalist is decidedly more introspective, borrowing textures and tones from the club to craft songs from the heart.

Only Fire (19h30)

Only Fire est un producteur de musique, auteur-compositeur et DJ de 25 ans originaire de Zagreb, en Croatie. Ses rythmes explosifs et ses hymnes prêts à l’emploi utilisent une voix robotique à la Siri, s’exprimant avec des phrases et des métaphores hyper-sexuelles hilarantes, qui ont été écoutées plus de 25 millions de fois rien que sur Spotify.
En 2022, Only Fire a entamé sa première tournée aux côtés de SHYGIRL, assurant la première partie de sa tournée au Royaume-Uni pendant six dates. Depuis, il a participé à de nombreux événements de premier plan, notamment Electric Forest, Boiler Room Festival, LadyLand Festival et Standon Calling. Son single avec Brooke Candy, l’explosif « Yoga », a été nommé l’une des meilleures chansons de 2022 par Dazed et il a ensuite été inclus dans la Dazed100 Class of 2023 en tant que musicien à suivre.

Only Fire is a 25 year old music producer, songwriter and DJ hailing from Zagreb, Croatia. His explosive beats and club-ready anthems use a signature Siri-esque robo-voice, speaking in hilarious hyper-sexual phrases and metaphors, amassing over 25 millions streams on Spotify alone.
In 2022, Only Fire embarked on his first tour alongside SHYGIRL, supporting her headline tour in the UK for 6 dates. Since then, he has played a number of marquee events including Electric Forest, Boiler Room Festival, LadyLand Festival and Standon Calling. His single with Brooke Candy, the explosive “Yoga”, was named one of the best songs of 2022 by Dazed and he was later included in the Dazed100 Class of 2023 as a musician to watch.

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jazz / post-bop

Festival International de Jazz de Montréal : Avishai Cohen Trio with symphony orchestra à la Maison symphonique

par Rédaction PAN M 360

Un spectacle mettant en scène le dynamique trio d’Avishai Cohen — contrebasse, batterie et piano —, enrichi par l’intégration sophistiquée et légitime d’un orchestre symphonique qui ajoutera une dimension additionnelle à sa sonorité distinctive.
Vous pourrez entendre des compositions de jazz contemporain et de musique du monde, des chansons traditionnelles hébraïques et ladino orchestrées, ainsi que des œuvres classiques, le tout, avec des arrangements qui couvrent des configurations pour solo, trio et orchestre complet.
Le résultat sera une expérience musicale exaltante, à la fois intime et percutante. Laissez-vous emporter par la beauté de la musique et perdez-vous dans le monde qu’Avishai Cohen et tous les musiciens ont créé pour vous.

A performance featuring the dynamic core trio of Avishai Cohen — double bass, drums, and piano — enhanced by the sophisticated, legitimate integration of a symphonic orchestra that lends an added dimension to their distinctive sound.
You will hear contemporary jazz and world music compositions, orchestrated traditional Hebrew-Ladino songs, as well as classical works — with all arrangements covering configurations for solo, trio, and full orchestra.
The result is an exhilarating musical experience, intimate yet with high impact! Let yourself be carried away by the beauty of the music and lose yourself in the world that Avishai Cohen and all the musicians have created for you.

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expérimental / contemporain / orgue

Suoni per il Popolo : Kara-lis Coverdale (orgue solo) + Beast (orgue & vielle à roue) + Noam Bierstone (percussion) & Daniel Áñez (ondes Martenot) à l’Église du Sacré-Cœur-de-Jésus

par Rédaction PAN M 360

Célébrez le 25e anniversaire de Suoni lors d’une soirée de clôture spéciale présentée en collaboration avec Les Vespérales & No Hay Banda & New Feeling à l’Église du Sacré-Cœur-de-Jésus. Plongez dans l’univers sonore unique de l’artiste de renommée internationale Kara-Lis Coverdale, qui interprétera un captivant set d’orgue solo au sein de l’acoustique exceptionnelle de l’église, explorant des textures spectrales et des harmonies éthérées. La soirée sera enrichie par la présence immersive du duo local Beast, dont la vielle à roue hypnotique et les claviers historiques créent de profondes ambiances sonores acoustiques inspirées du spectralisme et de la musique ancienne. Ensemble, ils tisseront une expérience sonore inoubliable pour conclure un quart de siècle d’audacieuses découvertes musicales à Montréal. Du royaume inventif de No Hay Banda, les ondes Martenot éthérées de Daniel Áñez se fraient un chemin à travers les paysages rythmiques dynamiques façonnés par le percussionniste Noam Bierstone, leur art partagé promettant une captivante soirée.

Celebrate Suoni’s 25th anniversary with a special closing night presented with Les Vespérales & No Hay Banda & New Feeling at the Église du Sacré-Cœur-de-Jésus. Immerse yourself in the unique sound world of internationally acclaimed artist Kara-Lis Coverdale, performing a captivating solo organ set within the church’s stunning acoustics, exploring ethereal spectral textures and harmonies. The evening will be enriched by the immersive presence of local duo Beast, whose hypnotic hurdy-gurdy and historical keyboards create deep acoustic soundscapes inspired by spectralism and early music. Together, they will weave an unforgettable sonic experience to conclude a quarter-century of bold musical discoveries in Montreal. From the inventive realm of No Hay Banda, Daniel Áñez’s ethereal ondes Martenot weaves through the dynamic rhythmic landscapes crafted by percussionist Noam Bierstone, their shared artistry promising a captivating soirée.

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hip-hop / orchestre / rap

Festival International de Jazz de Montréal : Nas ILLMATIC: LIVE w/ Symphony Orchestra à la salle Wilfrid-Pelletier

par Rédaction PAN M 360

Le poète intemporel et maître de la rime Nas a sorti son premier album Illmatic en 1994. Nas a ensuite publié 14 albums, dont 8 sont multi-platines et platines, notamment : Nastradamus, Stillmatic, God’s Son et Street’s Disciple.
Avec 16 nominations aux GRAMMY, Nas a sorti King’s Disease en 2020, ce qui lui a permis de remporter son premier GRAMMY dans la catégorie « Meilleur album de rap », puis King’s Disease II, la suite de l’album récompensé par un GRAMMY, produit par Nas et Hit-Boy.
Plus récemment, Nas a sorti le troisième volet de la série King’s Disease. Sans aucun featuring, King’s Disease III a été produit par Hit-Boy et produit par Nas et Hit-Boy. Plus récemment, Nas et Hit-Boy ont sorti Magic 3, qui comprend 15 nouveaux titres, marquant ainsi le dernier chapitre de la carrière légendaire du prolifique duo rappeur-producteur. Magic 3 est le sixième album du duo au cours des trois dernières années et le troisième volet de la série Magic.
Légendaire magnat du hip-hop, cofondateur de Mass Appeal Records, acteur et producteur exécutif, le vaste catalogue de Nas parle de lui-même.

Timeless poet and rhyme-master Nas, delivered his first full-length album Illmatic in 1994. Nas went on to release 14 subsequent albums, 8 of which are multi-platinum and platinum including: Nastradamus, Stillmatic, God’s Son, and Street’s Disciple.
With 16 GRAMMY nominations, Nas released King’s Disease in 2020, giving Nas his first ever GRAMMY win for “Best Rap Album,” and released King’s Disease II, a sequel to the GRAMMY Award winning album, produced by Nas and Hit-Boy. Most recently, Nas released the third installment of the King’s Disease series. With no features, King’s Disease III was produced by Hit-Boy and executive produced by Nas and Hit-Boy. Most recently, Nas and Hit-Boy released Magic 3, featuring 15 brand new tracks, also marking the final chapter of the legendary run for the prolific rapper-producer duo. Magic 3 serves as the duo’s sixth album together in the last 3 years and serves as the third installment to the Magic series.
Legendary hip hop mogul, co-founder of Mass Appeal Records, actor, and executive producer, Nas’ extensive catalog speaks for itself.

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afro-soul / jazz-funk

Festival International de Jazz de Montréal : The Brooks au Club Soda

par Rédaction PAN M 360

De leurs premières prestations dans l’ambiance feutrée du Dièse Onze aux grandes scènes de prestigieux festivals, d’un côté comme de l’autre de l’Atlantique, The Brooks s’est taillé une réputation de redoutable machine à groove. Au cœur du projet musical de ce supergroupe formé au début des années 2010 résident le plaisir de jouer, une véritable liberté artistique et un sens poussé de la collégialité. Électrisante sur disque comme sur scène, la musique de The Brooks est portée par des rythmiques bondissantes, des cuivres flamboyants, des claviers inventifs et d’envoûtantes lignes de guitare. Naviguant entre funk, soul, r’n’b, afrobeat et jazz, The Brooks réunit le bassiste Alexandre Lapointe, le vétéran chanteur et tromboniste Alan Prater, le guitariste Philippe Look et le percussionniste Philippe Beaudin, des virtuoses aux feuilles de route convaincantes. La formation a fait paraître cinq albums dont le plus récent, Soon As I Can (2024), qui propulse leurs grooves vers de nouveaux sommets. The Brooks est beaucoup plus que la somme de ses parties : c’est une célébration de plus de 50 ans d’évolution de la musique afro-américaine à la fois respectueuse de ses racines et bien ancrée dans le présent.

From their early performances in the intimate setting of Dièse Onze to major stages at prestigious festivals on both sides of the Atlantic, The Brooks have earned a reputation as a formidable groove machine. At the core of this supergroup, formed in the early 2010s, lies the pure joy of playing, true artistic freedom, and a deep sense of camaraderie. Electrifying both on record and on stage, The Brooks’ music is driven by infectious rhythms, blazing horns, inventive keyboards, and hypnotic guitar lines. Blending funk, soul, R&B, afrobeat, and jazz, the band features bassist Alexandre Lapointe, veteran singer and trombonist Alan Prater, guitarist Philippe Look, and percussionist Philippe Beaudin—seasoned musicians with impressive résumés. The band has released five albums, including their latest, Soon As I Can (2024), which pushes their grooves to new heights. More than just the sum of its parts, The Brooks is a celebration of over 50 years of Afro-American musical evolution, staying true to its roots while remaining firmly grounded in the present.

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expérimental / contemporain / grindcore / jazz / Métal

FIJM | Clown Core : le théâtre des extrêmes, entre Grippe-Sou et Krusty

par Frédéric Cardin

Clown Core est un duo de musiciens anonymes, portant des masques de clowns et qui a atteint depuis 2010 le statut de culte. Malgré seulement trois albums, dont le plus long fait 17 minutes, les vidéos homemade totalement truculentes (dans une toilette chimique, dans une van, etc.) et surtout le mélanges des genres qui s’entrechoquent violemment ont rendu Clown Core célèbres dans une frange de l’underground. 

Les deux gars (on suppose) du Nevada ont enflammé le M Telus hier soir. Comment décrire le produit CC? Niveau musical, on passe du grindcore infernal additionné de free jazz à la muzak cheapo, du growling profond à la ritournelle post-polka enfantine, sans aucune transition et dans des envolées qui ne durent pas plus de quelques dizaines de secondes, pour les plus étendues. On dirait des héritiers spirituels de Mr. Bungle, moins intellos. Tout cela avec un saxophone, une batterie, et de l’électro.

Mais un show Clown Core, c’est bien plus. Le visuel et la mise en scène tiennent de l’art trash-absurdiste, façon happening. Un écran géant projette des images à une vitesse époustouflante, de l’épique cosmique au morphing de parties génitales et de porn 3e âge en passant par des écoeuranteries organiques ou de bouffe malsaine. Quelques pauses dynamiques nous emmènent dans une banlieue états-unienne, ou dans des récifs numériques de morceaux de steak sur une mer étrange. 

La crowde, essentiellement issue du métal, était ravie, bien que parfois impatiente devant l’intro très lente qui a mené, finalement, au show en tant que tel. Clown Core est un peu provoc’, voyez-vous. Exemple : pendant une vingtaine de minutes avant leur entrée (elle-même introduite par de longues minutes de rien pantoute sur fond d’images astronomiques de planètes), un type masqué (qu’on voit dans leurs vidéos) s’asseoit devant le public, fume une clope et écoute des tounes planantes sur son téléphone….

Cela dit, l’attente a été récompensée par une prestation qui défonce autant les tympans que les conventions. Le public a crié très fort (de joie). Le band montréalais Karneesh a chauffé adéquatement la salle auparavant, mais c’est surtout une photo de quatre mignons chatons blancs-roux qui a excité tout le monde avant l’arrivée des clowns (une erreur de bonne foi, ou stratégique?). Tellement que quand on l’a enlevée, tout le monde a voulu la ravoir et s’est mis à crier ‘’Les chats, les chats, les chats’’! Qui a dit que le cœur des métalleux était dur comme l’acier? 

Clown Core est inclassable et surtout mémorable. N’y amenez jamais votre grand-mère, sauf si c’est la plus cool de l’Histoire. 

avant-garde / expérimental / contemporain / free jazz / musique contemporaine

Suoni | Farida Amadou ++ : apothéose de l’in’’ouïe’’

par Frédéric Cardin

Je ne suis pas allé à tous les concerts de ce Suoni 2025 (il me faudrait posséder le don d’ubiquité pour ça), mais ma menue expérience de shows de toutes sortes me permet d’affirmer que la soirée d’hier était probablement l’une des plus mémorables de cette édition du festival de musiques d’avant-garde et expérimentales. 

Étaient présents (et pas à peu près) sur scène : le duo albertain de Jairus Sharif et Mustafa Rafiq, le quartette montréalais Egyptian Cotton Arkestra et la bassiste bruxelloise Farida Amadou. L’intensité, ou plutôt les intensités musicales offertes ont dessiné un large sourire sur les mélomanes de la Casa del popolo (nombreux). 

Jairus Sharif et Mustafa Rafiq Suoni 2025 cr.: Pierre Langlois

Sharif et Rafiq (saxo et guitare + modulations électroniques) ont amorcé la soirée avec leurs vagues d’abstraction moléculaires, s’amplifiant vers une marée de saturation timbrale enveloppante. Ont suivi les quatre membres du Egyptian Cotton Arkestra (James Goddard, saxophone, Lucas Huang, percussion, Markus Lake, basse, et Ari Swan, violon) et leurs constructions lentes mais irrémédiables, et surtout irrésistiblement excitantes, façon gros build-up qui part de presque rien pour atteindre un déchaînement de puissance free. Ce groupe est au jazz ce que Godspeed est au rock. 

Farida Amadou, seule avec sa basse, ne s’en est pas laissé imposer. La dame extrait une remarquable force de frappe sonore de son instrument, qu’elle joue de façon totalement originale, souvent comme un instrument de percussion (posé à plat sur ses genoux, et frappé de toutes les manières et avec toutes sortes de baguettes). Ses architectures sonores, sculptées avec soin, sont faites de saturation et de drones rythmiques à travers lesquels se faufilent quelques motifs thématiques. Du bruitisme pulsatif inspirant et addictif!

ÉCOUTEZ L’ALBUM WHEN IT RAINS IT POURS DE FARIDA AMADOU, SUR BANDCAMP

Et puis, comme un gros bonus pour le public attentif et participatif, Jairus, Mustafa et les quatre acolytes de l’Egyptian Cotton Arkestra sont venu rejoindre Farida et ont jammé ensemble deux décharges d’adrénaline jouissives, véritables tsunamis sonores de liberté et d’incandescence créative. On en aurait pris une autre heure, facile. On se permettrait même de suggérer à Jairus, Mustafa et Farida de s’installer à Montréal juste pour les réentendre régulièrement nous offrir ce genre de catharsis holistique et libératrice. C’est vache pour l’Alberta et pour Bruxelles, mais quand c’est bon comme ça, on est justifié d’être égoïste. 

Encore! Encore!

Alternative / pop-rock

Festival International de Jazz de Montréal : Amanda Marshall au Théâtre Maisonneuve

par Rédaction PAN M 360

Amanda Marshall, autrice-compositrice-interprète, est reconnue pour avoir assuré la première partie de Whitney Houston lors d’une tournée mondiale.  Elle a sorti trois albums multi-platines depuis 1995.
Son premier album éponyme est l’un des 18 albums canadiens à avoir atteint le statut de Diamant au Canada et, à ce jour, il s’est vendu à plus de 6 millions d’exemplaires dans le monde.
En 1999, elle a sorti Tuesday’s Child, produit par Don Was (B-52’s, Joe Cocker, Bob Dylan, Elton John, Michael McDonald, Iggy Pop, Bonnie Raitt, The Rolling Stones), et comprenant des collaborations avec des poids lourds de l’écriture de chansons, Carole King et Eric Bazilian.
En 2001, Everybody’s Got A Story marque un changement de style et de son pour Marshall, avec une orientation R&B plus marquée. Produit par le légendaire Peter Asher (James Taylor, Linda Ronstadt, Carole King), l’album a produit trois singles classés dans le Top 10 et a été certifié quadruple disque de platine dans les dix semaines qui ont suivi sa sortie.

Amanda Marshall, singer-songwriter, is known for opening for Whitney Houston on a world tour.  She has released three multi-platinum albums since 1995.
Her eponymous debut is one of only 18 Canadian albums to ever achieve Diamond status in Canada, and to date it has sold more than 6 million copies worldwide.
In 1999, Marshall released Tuesday’s Child, produced by Don Was (B-52’s, Joe Cocker, Bob Dylan, Elton John, Michael McDonald, Iggy Pop, Bonnie Raitt, The Rolling Stones), and featuring collaborations with song writing heavyweights Carole King and Eric Bazilian. 
2001’s Everybody’s Got A Story marked a change in style and sound for Marshall, with a more noticeable R&B direction. Produced by the legendary Peter Asher (James Taylor, Linda Ronstadt, Carole King), the album produced 3 Top 10 hit singles and was certified quadruple platinum within 10 weeks of its’ release.

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avant-garde / expérimental / contemporain / post-minimaliste

Suoni | Bozzini + Sarah Hennies : chocs et contrastes dans le post-minimalisme

par Frédéric Cardin

Sarah Hennies est une percussionniste et compositrice états-unienne qui enseigne actuellement au Bard College dans l’État de New York. Suoni per il popolo l’accueillait hier soir dans une proposition en deux temps fortement marqués par des post-minimalismes contrastés. 

En première partie, elle était accompagnée de son collègue Tristan Kasten-Krause à la contrebasse, dans une pièce au déroulement lent et à la construction en arche dynamique. Des drones exécutés par frottement, tant à la contrebasse qu’au vibraphone (Hennies frotte les touches de l’instrument avec l’archet) amorcent la pièce, laquelle est perturbée éventuellement par l’utilisation d’objets tels une barre de métal, des cloches à vache et autres instruments résonnants. Puis retour aux frottements dans l’extrême-aigu, plongeant la Sala Rossa dans un bain d’acouphène intense. Si minou et pitou avaient été là, ils auraient fait une crise d’épilepsie. Cela dit, j’ai bien aimé cette proposition, sorte d’étude de timbres autant fusionnels que entrechoqués. 

En deuxième partie, Hennies a laissé toute la place au Quatuor Bozzini, qui a interprété sa partition Borrowed Light, dont c’était la création canadienne. Une œuvre substantielle et exigeante d’une durée d’une heure, où une concentration soutenue est nécessaire afin de saisir les subtilités des transformations opérées dans des motifs inlassablement répétés. 

La première moitié m’a semblé manquer de souffle et de propos discursif. De séduction aussi. J’en aurais coupé une bonne partie. Dans ce genre, Morton Feldman fait mieux, et surtout de façon plus poétique. J’allais déclarer forfait quand la deuxième demie heure a pris de l’élan, et son développement s’est fait plus intéressant, avec des constructions architecturales plus dynamiques, soutenant mieux l’attention. Une amie présente sur les lieux, habituée de l’avant-garde et possédant des oreilles aguerries, a pensé le contraire : la première moitié lui a plus, la deuxième beaucoup moins. Je n’ai bien entendu aucune prétention à la vérité. 

Au final, une soirée de musique de qualité et suscitant des plaisirs mitigés, mais néanmoins d’une qualité impressionnante. 

classique occidental

Festival de musique de chambre de Montréal | C’était un joli concert…

par Frédéric Cardin

L’avant dernier concert du Festival de musique de chambre de Montréal, samedi dernier, soulignait deux journées associées au 21 juin : le 40e anniversaire de l’Ordre national du Québec et la Journée nationale des Peuples autochtones. Après une bénédiction du leader spirituel Kevin Deer, le thème ‘’officiel’’ de l’Ordre, une miniature neo-romantique composée par Steve Barakatt, a été jouée par un quatuor à cordes, ce qui a été suivi de quelques airs chantés par Elisabeth S-t-Gelais, en grande forme. Deux mélodies de Ian Cusson, compositeur d’origine Métis, baignaient dans une écriture post-mélodie française, et ont été logiquement suivies par deux exemples (mélodiquement supérieurs) de Cécile Chaminade, Villanelle et Infini, que la soprano innue a d’ailleurs enregistrées sur son album paru l’an dernier (un bijou, dont vous pouvez LIRE LA CRITIQUE ici). Une courte pièce pour violon et piano de Andrew Balfour enchaînait (Karakett Nitotem) avant de passer au répertoire ‘’classique’’ de la soirée : la Sonate pour violon et piano en sol mineur, L. 140 de Debussy et la Sérénade pour cordes de Dvorak. La violoniste mohawk Tara-Louise Montour a offert une prestation caractérisée du Debussy, et les cordes du Festival ont joué le Dvorak avec élan. 

C’était un joli concert, même si la cohérence du programme laissait dubitatif. Votre humble serviteur a eu l’impression qu’on avait ‘’collé de l’autochtone’’ artificiellement, comme pour cocher l’élément sur une ‘’to-do list’’. Mais ce concert baignait surtout dans un sentiment de tristesse infinie car le public de la salle Bourgie était famélique, et je pèse le mot. Environ 50 personnes étaient présentes (et combien d’entre elles avaient reçu des entrées gratuites?). Bourgie peut en accueillir 450. C’est 10% de la salle. 10%. Je me suis renseigné : la saison 2025 a été ‘’difficile’’, question fréquentation. Pas autant que ce 10%, qui était la pire performance, mais des moyennes autour de 50%, ce qui est décevant. Le concert final du lendemain à la Maison symphonique a fait mieux, le violoniste Kerson Leong exerçant son fort tirant bien sûr, mais dans une jauge particulière et réduite (public sur scène et dans les gradins arrière). 

Que se passe-t-il avec le Festival de musique de chambre de Montréal? Mise en marché? Marque de commerce de l’événement? Personnalité? Programmation? Si l’on compare avec le Festival Montréal Baroque, qui se déroulait (et se terminait, car beaucoup plus court) le même week-end, la différence est frappante : ce dernier donne une impression de dynamisme, de jeunesse et d’incarnation dans la communauté. Plusieurs concerts font salle comble (mais dans des salles plus petites, certes), la plupart sont remplis à des niveaux appréciables (LISEZ MES CRITIQUES DE DEUX CONCERT DE MONTRÉAL BAROQUE ICI et ICI). L’un a de l’énergie, l’autre semble en panne. 

Bref, un travail de réflexion s’impose pour assurer l’avenir du Festival de musique de chambre. Une ville comme Montréal ne peut pas ne pas avoir un événement d’envergure et rassembleur lié à cette musique, ce serait une honte. Or en ce moment, on se demande combien de temps cela pourra durer. 

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