Alternative / indie rock / post-punk

Choses Sauvages au Club Soda

par Rédaction PAN M 360

La formation montréalaise Choses Sauvages reviendra au printemps 2025 avec une troisième offrande, toute aussi dansante et soigneusement construite que ses précédentes. S’avançant toujours un peu plus loin dans les expérimentations, cet album affiche davantage des couleurs post-punks, et ne laissera certainement personne indifférent. Leur dernière tournée les aura amenés à présenter leur matériel sur les plus grandes scènes du Québec, ainsi qu’à l’international, notamment en France, en Espagne, en Belgique, au Royaume-Uni, en Allemagne et au Mexique. Ils sont donc plus prêts que jamais à revenir en force à la maison, avec ce tout nouveau spectacle!

Montreal-based band Choses Sauvages will return in spring 2025 with their third release, just as danceable and meticulously crafted as their previous ones. Always pushing their sonic explorations further, this album leans more into post-punk influences and is sure to leave no one indifferent. Their last tour took them to some of the biggest stages in Quebec and around the world, including France, Spain, Belgium, the UK, Germany, and Mexico. Now, they’re more ready than ever to come back home in full force with this brand-new show!

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latino / reggaeton

Calientisimo au Club Soda : L’événement de reggaeton au Canada !

par Rédaction PAN M 360

La scène latine de Montréal est en feu ! Ce 26 avril, le Club Soda devient l’épicentre du reggaetón avec les meilleurs artistes latinos urbains LOCAUX. Montréal regorge de talent et c’est LE moment de le prouver !

Montreal’s Latin scene is on fire! On April 26, Club Soda becomes the epicenter of reggaeton with the best LOCAL urban Latin artists. Montreal is full of talent, and this is THE moment to prove it!

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électronique / house progressive

Elderbrook au MTelus

par Rédaction PAN M 360

L’alter ego du producteur électronique anglais Alexander Kotz, Elderbrook propose une musique dance entraînante portée par des synthés avant-gardistes. Il connaît un grand succès en 2017 avec sa collaboration sur le titre Cola de CamelPhat, qui le propulse sur la scène internationale. Par la suite, il collabore avec Gorgon City, Clean Bandit, Kx5 et bien d’autres. En plus de plusieurs EPs, Kotz sort son premier album officiel, Why Do We Shake in the Cold?, en 2020, suivi de Little Love en 2023.

The alter ego of English electronic producer Alexander Kotz, Elderbrook delivers upbeat, synth-forward dance music. Making his big breakthrough with the 2017 hit collaboration with CamelPhat, « Cola, » he went on to collaborate with the likes of Gorgon City, Clean Bandit, Kx5, and many more. In addition to a handful of EPs, Kotz released his official full-length debut, Why Do We Shake in the Cold?, in 2020, following it with Little Love in 2023.

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classique

OSM : La majestueuse symphonie «Jupiter» de Mozart

par Rédaction PAN M 360

Le Concerto pour piano no 27 est l’aboutissement d’une forme développée par Mozart tout au long de sa carrière de pianiste et de compositeur, à travers laquelle il a exprimé ses sentiments et ses aspirations les plus intimes. Quant à la symphonie « Jupiter », elle brille par son caractère majestueux et ses proportions harmonieuses. Dans les deux œuvres, le rôle accordé aux instruments à vent enrichit les couleurs de l’orchestre en y apportant une teinte satinée.

Mozart’s Piano Concerto no. 27 marks the apex of a form the composer cultivated throughout his entire career and through which he expressed his innermost feelings and aspirations, while the Jupiter Symphony radiates majesty and great harmonic breadth. In both works, the prominence of wind instruments enhances the orchestral colours, lending them a characteristic shine.

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alt country / folk-pop

Shaina Hayes au Théâtre Fairmount

par Rédaction PAN M 360

Originaire de Shigawake en Gaspésie, Shaina Hayes a grandi en écoutant des autrices-compositrices-interprètes comme Feist, Joni Mitchell et Regina Spektor, des artistes de country traditionnel tels que Hank Williams et Dolly Parton, ou plus modernes, comme Shania Twain et The Chicks. Après ses études en sciences agricoles à l’Université McGill, elle retourne dans son village natal et enregistre et co-réalise son premier opus, to coax a waltz, qui paraît en avril 2022. Peu de temps après, elle commence à enregistrer de nouvelles chansons. Au même moment, les concerts occupent une place de plus en plus grande dans son quotidien, alors qu’elle tourne à travers la province et assure la première partie de groupes tels que The War on Drugs et The Barr Brothers. Bien qu’elle continue son implication à des activités agricoles, Shaina Hayes décide de se consacrer entièrement à la musique, en amont de la sortie de son deuxième album, Kindergarten Heart, lancé sous Bonsound en février 2024.

Originally from Shigawake in Gaspésie, Shaina Hayes grew up listening to singer-songwriters like Feist, Joni Mitchell, and Regina Spektor, as well as traditional country artists such as Hank Williams and Dolly Parton, and more modern acts like Shania Twain and The Chicks. After studying agricultural sciences at McGill University, she returned to her hometown, where she recorded and co-produced her debut album, to coax a waltz, released in April 2022. Shortly after, she began recording new songs. At the same time, live performances started taking up more space in her life as she toured across the province and opened for bands like The War on Drugs and The Barr Brothers. While she remains involved in agricultural activities, Shaina Hayes decided to fully dedicate herself to music ahead of the release of her second album, Kindergarten Heart, launched under Bonsound in February 2024.

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classique

OSM : Così fan tutte de Mozart: le dangereux jeu de l’amour

par Rédaction PAN M 360

Fruit d’une étroite collaboration entre un compositeur de génie, Mozart, et un librettiste perspicace, da Ponte, Così fan tutte est une étude sur la nature humaine et les conventions sociales menée avec un humour souvent acéré. L’intrigue, riche en rebondissements, est soutenue par une musique radieuse et raffinée. Spécialiste de Mozart, le célèbre baryton Thomas Hampson prêtera sa voix somptueuse à Don Alfonso et assurera la mise en espace de ce magnifique opéra.

Così fan tutte results from the close collaboration between Mozart the compositional mastermind, and da Ponte the shrewd librettist. The opera is a study of human nature and social conventions that often embraces caustic humour. Its somewhat manic plot is heightened by the composer’s captivating and sophisticated score. Mozart specialist and renowned baritone Thomas Hampson will lend his sumptuous voice to the role of Don Alfonso, as well as direct the staging for this magnificent opera.

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jazz

Big Band de l’Université de Montréal et Marcus Printup : de la grande visite et du très bon jazz

par Michel Labrecque

De la grande visite hier à la Salle Claude Champagne de l’Université de Montréal: le trompettiste Marcus Printup, membre depuis trente ans du Jazz at Lincoln Center Jazz Orchestra, dirigé par Wynton Marsalis. Printup a accompagné Betty Carter, Madeline Peyroux et Dianne Reeves entre autres. Et il a réalisé une dizaine d’albums en solo durant sa longue carrière.

Inutile de le dire: c’était un privilège pour les étudiant-e-s du Big Band de jazz de l’université de recevoir ce trompettiste renommé pour une classe de maître et par la suite, pour un concert. C’était peut-être aussi un petit brin intimidant. 

Sauf que Marcus Printup semble éprouver un plaisir fou à transmettre ses connaissances et à partager la scène avec des apprentis. Le trompettiste est très gestuel sur scène, claque des mains, fait parfois des « high five »aux solistes du Big Band. 

Sous la direction d’un autre trompettiste, le Brésilien João Lenhari, l’ensemble universitaire a démarré sur Airagin, du saxophoniste Sonny Rollins, pour se dégeler les doigts, suivi d’une pièce de Marcus Printup, Jojo’s Mojo. J’ai déjà l’impression que le groupe a gagné en concision depuis son concert du 13 mars. 

C’est véritablement avec Tutu, écrite par le bassiste Marcus Miller pour un album fétiche de Miles Davis de 1986, que le concert a pris son envol. Avec des arrangements complexes, qui métamorphosent la pièce originale, Marcus Printup s’est livré à de longues envolées de trompette, avec ou sans sourdine, qui ont démontré sa technique fluide, mais aussi sa capacité d’émotion. 

Printup ne le cache pas: il est un émule de Miles Davis, de qui il a parfois un peu de mal à se distinguer. En plus de Tutu, nous avons eu droit à Eighty One, du Contrebassiste Ron Carter, et Armageddon, du saxophoniste Wayne Shorter, tous des grands qui ont côtoyé Miles. Sur des arrangements pour big band de Marcus Printup.

Nous avons eu également droit à un extrait d’une suite écrite par Marcus Printup, qui, incidemment, s’inspire de son parcours d’étudiant à l’Université de North Florida. Et, puisque le Big Band a un directeur musical brésilien, il fallait une pièce originaire de ce pays. João Lenhari nous a présenté un arrangement très innovateur de Look To The Sky (Ola pro céu) du grand Tom Jobim. 

Les étudiant.e.s du Big Band ont eu à travailler fort sur ces arrangements pas toujours simples. Mais on les sent de plus en plus confortables. Celles et ceux à qui Lenhari a confié des solos ont disposé de plus de temps pour improviser et s’en sont bien tirés. La trompettiste Alice Julliard a eu l’opportunité de dialoguer en solo avec le maître Marcus Printup, ce qui a dû provoquer quelques frissons. 

Je retiens aussi le visage souriant de la saxophoniste Maude Gauthier, qui, tout au long du concert, semblait sur un nuage, ce qui ne l’empêchait jamais d’être concentrée et prête à jouer au bon moment. 

La Salle Claude Champagne était presque pleine, en partie de donateurs du programme, qui ont été même de constater que leur argent était bien investi. Un concert très agréable et prometteur. 

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chanson keb franco / pop

Stéphanie Boulay au Centre culturel et communautaire Henri Lemieux

par Rédaction PAN M 360

C’est avec le cœur léger et plus de confiance en ses propres moyens que jamais que Stéphanie Boulay remontera sur scène, en solo oui, mais entourée de ses ami.es précieux (Charles Blondeau à la batterie, Camille Gélinas aux claviers et Alexandre Martel à la guitare et à la basse) pour défendre son deuxième album solo, Est-ce que quelqu’un me voit?. Elle a une envie insatiable d’agentivité, de liberté et de tracer son chemin à elle toute seule – quitte à repartir à zéro s’il le faut – pour aller à la rencontre de ce public qui ne la connaît probablement pas encore, ou, du moins, pas comme ça. Habile à créer chaque soir des moments qui n’existaient pas encore et qui n’existeront plus jamais dans la même forme, à faire rire et à se livrer avec autodérision et impudeur, Stéphanie présentera ses chansons toutes neuves, qu’elle a travaillé deux ans durant à extirper d’elle-même, avec l’aide du réalisateur Alexandre Martel. Elles sont crues, ces chansons, elles sont intimes et franches, mais elles sont aussi libres, baveuses, éclatantes et dansantes.

It’s with a lighter heart and more confidence in her own abilities than ever that Stéphanie Boulay will be back on stage, solo yes, but surrounded by her precious friends (Charles Blondeau on drums, Camille Gélinas on keyboards and Alexandre Martel on guitar and bass) to defend her second solo album, Est-ce que quelqu’un me voit? She’s got an insatiable appetite for agentivity, for freedom, and for blazing her own trail – even if it means starting from scratch if need be – to meet audiences who probably don’t know her yet, or at least not like this. Skilled at creating moments each evening that never existed before and will never exist again in the same form, at making people laugh and at revealing herself with self-deprecation and shamelessness, Stéphanie will present her brand-new songs, which she worked for two years to extract from herself, with the help of producer Alexandre Martel. These songs are raw, intimate and frank, but they’re also free, slobbery, bright and danceable.

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chanson keb franco / pop

Ingrid St-Pierre à l’Usine C

par Rédaction PAN M 360

Des chansons délicatement déshabillées, détricotées, qui se déploient dans leurs apparats originels. Vives, chargées d’histoires, et toutes pleines d’immenses. Dans ce spectacle solo, Ingrid St-Pierre est portée par l’envie d’exister sur scène librement, en laissant toute la place au cinéma des mots, aux silences, aux détails, aux histoires, aux paysages.

Songs delicately undressed, unravelled, unfurled in their original finery. Lively, full of stories, and all full of immensity. In this solo show, Ingrid St-Pierre is driven by the desire to exist freely on stage, leaving plenty of room for the cinema of words, silences, details, stories and landscapes.

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classique

OSM : Payare dirige l’émouvant Requiem de Mozart

par Rédaction PAN M 360

L’intensité dramatique et la sincérité des sentiments exprimés par Mozart dans son Requiem contribuent à la fascination que cette œuvre continue d’exercer plus de 200 ans après sa composition. La thématique de la mort est également abordée par Bach avec humanité, et le climat contemplatif du motet Jesu, meine Freude offre une vision sereine de l’au-delà. Le génie de Bach et de Mozart sera magnifié par l’Orchestre et le Chœur de l’OSM.

The dramatic intensity and emotional candour expressed in Mozart’s Requiem contribute to the fascination this work continues to arouse more than 200 years after it was written. Bach similarly approaches the theme of death through an aura of contemplative humanism in the motet Jesu, meine Freude, in which a serene vision of the afterlife is offered. The genius of both Bach and Mozart will be celebrated by the Orchestra and the OSM Chorus.

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classique occidental

Université de Montréal : une relève placée sous de bonnes étoiles

par Frédéric Cardin

Samedi soir, le 12 avril, avait lieu le concert des Étoiles montantes de l’Université de Montréal. Des finissants en direction d’orchestre, en composition et interprétation (flûtes) ont présenté le résultat d’années d’apprentissage. Celui-ci est inspirant.

La cheffe Marie-France Mathieu a commencé par présenter les trois premières pièces au programme, des créations de trois étudiants en composition, Gabriel José Melim Schwarz, Amichai Ben Shalev et Charles-Vincent Lemelin. Schwarz a offert une pièce néo-romantique tonale et plutôt solaire, ironiquement intitulée Folle. Vibrante d’énergie inspirée du Brésil natal de Schwarz, il s’agit d’une œuvre agréable à écouter, peu exigeante pour l’auditeur. 

Suivait A Groyse Metzieh de Ben Shalev, musicien que l’on connaît également pour faire partie de l’ensemble Les Arrivants. Le titre signifie ‘’une belle trouvaille’’, qui est en vérité une formule sarcastique typique de l’humour juif et qui veut dire ‘’pas grand-chose’’. J’ai beaucoup aimé cette pièce post-moderne qui mélange tonalité et avant-gardisme bruitiste, grâce à une large palette de techniques instrumentales liées à l’expérimentation. Ça commence dans une atmosphère sombre avec un thème chaleureux aux cordes, vite parcouru de saillies colorées que n’aurait pas déplues à Messiaen. Le reste avance lentement mais sûrement vers une saturation ponctuée de stridences tonitruantes avant de se terminer dans un retour à la consonance, mais avec le chœur des cuivres. Superbe.

Finalement, la Passacaille de Lemelin m’a fait le plus grand effet. Dans cette pièce qui traite l’orchestre comme une masse vivante, sombre mais néanmoins parcourue de nombreuses stries lumineuses, et qui se gonfle graduellement jusqu’à sa densité sonore et harmonique maximales, j’ai perçu des échos de Saariaho, de Rautavaaraa, mais aussi d’un certain monumentalisme Straussien et de l’expressionnisme musclé de l’ex-Hollywoodien Goldenthal. Passacaille est une démonstration de puissance tranquille, parfaitement calibrée et construite. Votre humble chroniqueur a grandement apprécié.

Le reste du programme faisait place à du répertoire Romantique, à commencer par un charmant Concerto pour deux flûtes de Franz Doppler, le roi de la flûte (avec son frère) au 19e siècle. C’était l’occasion de voir et entendre à l’oeuvre deux jeunes interprètes lauréats du 3e prix au Concours de Concerto de l’OUM 2024, Gabriel Lapointe Guay et Sarah Billet. Les deux artistes ont insufflé toute la pétillance voulue dans cette musique souriante et bienfaisante. 

La deuxième partie était consacrée à l’Ouverture Manfred de Schumann et à la Suite (1919) de l’Oiseau de feu de Stravinsky. C’était surtout l’occasion de juger du travail de direction de Marie-France Mathieu et de Paul Karekezi. C’est ce dernier qui nous a donné une Manfred pleine de drame, habitée par une nécessaire décharge d’émotions conflictuelles. Peut-être un peu tempérée, mais bellement incarnée. 

L’Oiseau de feu a été animé de très belles couleurs et de détails cristallins soulignés avec force par la cheffe Mathieu. 

Puisque les deux jeunes artistes en direction ont également mené l’OUM (Orchestre de l’Université de Montréal) dans les créations citées précédemment, j’ai pu remarquer deux personnalités de battue et de contrôle différentes mais complémentaires. 

Paul Karekazi, qui dirigeait la Passacaille de Lemelin (et comme je viens de le dire, Manfred), a témoigné d’une direction claire, certes, mais surtout imprégnée d’intensité émotionnelle et de force intérieure. Celles-ci favorisent des nuances appuyées et un legato empreint de lyrisme senti.

Marie-France Mathieu quant à elle, plus sobre dans ses épanchements, sait toutefois faire habilement ressortir les coloris détaillés et les contrastes texturaux de manière limpide grâce à une battue chirurgicale qui ne laisse planer aucun doute. Elle a très bien mené les pièces de Schwarz et ben Shalev, le Doppler (et bien sûr le Stravinsky). 

Soulignons que Karekazi et Mathieu sont des étudiants de Paolo Bellomia, les deux flûtistes proviennent de la classe de Denis Bluteau, et les trois compositeurs profitent du savoir de Jimmie Leblanc, Ana Sokolovic, François-Hugues Leclair et Olivier Alary. 

Ce fut une très belle soirée pour l’avenir de la musique à Montréal, au Québec et au Canada.

crédit photo: Tiago Curado

classique / classique moderne / post-romantique

Pro Musica : Lucas Debargue à la salle Pierre-Mercure

par Rédaction PAN M 360

« Depuis le passage de Glenn Gould à Moscou et la victoire de Van Cliburn au Concours Tchaïkovski en pleine guerre froide, un pianiste étranger n’avait jamais suscité pareille effervescence. » Olivier Bellamy, Le HUFFINGTON POST
Révélé par le 15e Concours International Tchaïkovski à Moscou en juin 2015, Lucas Debargue est aujourd’hui un des pianistes les plus demandés au monde.
Il s’est déjà produit dans les salles les plus prestigieuses, parmi lesquelles le Théâtre Mariinski et la Grande Salle de la Philharmonie de Saint-Petersbourg, la Philharmonie et le Théâtre des Champs Elysées à Paris, le Wigmore Hall et le Royal Festival Hall à Londres, le Concertgebouw d’Amsterdam, le Victoria Hall à Genève, les Konzerthaus de Vienne et Berlin, le Carnegie Hall de New York, le Prinzregententheater de Munich et la Philharmonie de Berlin, la Philharmonie de Varsovie, le Konserthuset à Stockholm, la Grande Salle du Conservatoire Tchaïkovski et la Salle Tchaïkovski de Moscou, et bien d’autres à Seatle, Chicago, Montréal, Toronto, Mexico, Tokyo, Osaka, Beijing, Taipei, Shanghai, Séoul …
Il joue régulièrement sous la baguette de chefs tels que Valery Gergiev, Mikhaïl Pletnev, Vladimir Jurowsky, Andrey Boreyko, Tugan Sokhiev, Vladimir Spivakov, Bertrand De Billy, et a déjà joué en musique de chambre avec Gidon Kremer, Janine Jansen, Martin Fröst.
Lucas Debargue consacre aussi une grande partie de son temps à la composition et est l’auteur d’une vingtaine de pièces pour piano seul et pour ensembles de musique de chambre.

« Since Glenn Gould’s visit to Moscow and Van Cliburn’s victory at the Tchaikovsky Competition during the Cold War, no foreign pianist has caused such a stir. »
— Olivier Bellamy, Le Huffington Post
Revealed at the 15th International Tchaikovsky Competition in Moscow in June 2015, Lucas Debargue is now one of the most sought-after pianists in the world.
He has already performed in the most prestigious venues, including the Mariinsky Theatre and the Grand Hall of the Saint Petersburg Philharmonic, the Philharmonie and Théâtre des Champs Elysées in Paris, Wigmore Hall and Royal Festival Hall in London, the Concertgebouw in Amsterdam, Victoria Hall in Geneva, the Konzerthaus in Vienna and Berlin, Carnegie Hall in New York, Prinzregententheater in Munich, the Berlin Philharmonie, the Warsaw Philharmonie, Konserthuset in Stockholm, the Grand Hall of the Tchaikovsky Conservatory and Tchaikovsky Hall in Moscow, and many others in Seattle, Chicago, Montreal, Toronto, Mexico, Tokyo, Osaka, Beijing, Taipei, Shanghai, Seoul…
He regularly performs under the baton of conductors such as Valery Gergiev, Mikhaïl Pletnev, Vladimir Jurowsky, Andrey Boreyko, Tugan Sokhiev, Vladimir Spivakov, Bertrand De Billy, and has already performed in chamber music with Gidon Kremer, Janine Jansen, and Martin Fröst.
Lucas Debargue also dedicates a significant part of his time to composition and is the author of around twenty pieces for solo piano and chamber music ensembles.

Programme

Saison Prodige – Lucas Debargue, piano
MAURICE RAVEL, Jeux D’eau, M.30
MAURICE RAVEL, Sonatine, M.40
GABRIEL FAURÉ, Mazurka en si bémol majeur, op. 32
GABRIEL FAURÉ, Barcarolle no.9, op.101
GABRIEL FAURÉ, Nocturne no.12, op.107
GABRIEL FAURÉ, Impromptu no.5, op. 102
GABRIEL FAURÉ, Valse caprice no.4, op. 62
-ENTRACTE-
LUCAS DEBARGUE, Suite en ré mineur
LUCAS DEBARGUE, Prélude
LUCAS DEBARGUE, Pantomime
LUCAS DEBARGUE, Sarabande
LUCAS DEBARGUE, Menuet Guerrier
LUCAS DEBARGUE, Gigue
ALEXANDRE SCRIABIN, Sonate no.3 en fa dièse mineur, op. 23.

Program

Prodigy Season – Lucas Debargue, piano
MAURICE RAVEL, Jeux D’eau, M.30
MAURICE RAVEL, Sonatine, M.40
GABRIEL FAURÉ, Mazurka in B-flat major, Op. 32
GABRIEL FAURÉ, Barcarolle No. 9, Op. 101
GABRIEL FAURÉ, Nocturne No. 12, Op. 107
GABRIEL FAURÉ, Impromptu No. 5, Op. 102
GABRIEL FAURÉ, Valse caprice No. 4, Op. 62
INTERMISSION
LUCAS DEBARGUE, Suite in D minor
LUCAS DEBARGUE, Prelude
LUCAS DEBARGUE, Pantomime
LUCAS DEBARGUE, Sarabande
LUCAS DEBARGUE, Menuet Guerrier
LUCAS DEBARGUE, Gigue
ALEXANDER SCRIABIN, Sonata No. 3 in F-sharp minor, Op. 23

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