Après des volets 1 et 2 de facture plus brute, notamment dans leur façon de former des amas sonores numériques d’une masse impressionnante, qui auraient presque rendu jaloux Xenakis, Noto se montre ici davantage intéressé par les motifs mélodiques. Dans la longue et superbe pièce centrale, Xerrox Isola, il se révèle même tendre et lyrique, voire, qui l’eût cru, sentimental.
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