chanson / folk / indie

POP Montréal : Larynx – Lancement d’album + Douance

par Rédaction PAN M 360

Larynx

Larynx, sobriquet d’Alexandre Larin, dévoile sans retenue son imaginaire absurde et fantaisiste. Ses chansons extraterrestres existent dans un espace temps décalé où se côtoient irrévérence, créativité et absurde. Larynx, qu’on a vu jouer avec Helena Deland, propose un rock inqualifiable décidément champ-gauche et délicieusement déjanté. Son dernier album, “Applaudissez, bande de chameaux”, sorti en 2022, contient de nombreuses collaborations, dont celles avec Deuxluxes, Helena Deland, Léona et Christophe Lamarche-Ledoux. Par la suite, il a publié le EP ”J’aimais mieux les maquettes” proposant des versions inédites et alternatives des chansons de cet album. Un nouveau disque est attendu en septembre 2024.

Larynx, Alexandre Larin’s nickname, unabashedly reveals his absurd, fanciful imagination. His extraterrestrial songs exist in an offbeat space-time where irreverence, creativity and absurdity coexist. Larynx, who we’ve seen play with Helena Deland, offers an unspeakable rock that’s decidedly left-field and deliciously wacky. His latest album, “Applaudissez, bande de chameaux”, released in 2022, features numerous collaborations, including those with Deuxluxes, Helena Deland, Léona and Christophe Lamarche-Ledoux. He subsequently released the EP “J’aimais mieux les maquettes”, featuring previously unreleased and alternative versions of songs from this album. A new album is expected in September 2024.

Douance

Douance est une entité musicale s’entourant d’un univers grunge grandement inspiré des années 90 et de sa scène musicale underground. Son style est cru, lo-fi, sans prétention et viscéral.
Originaire du Saguenay, Alexandrine Rodrigue oeuvre sur la scène musicale québécoise depuis près de dix ans. Ses pièces évoquent l’amour et l’hésitation tout en étant teintées d’une mélancolie parfois lourde de sens. Sa singularité se trouve à l’intersection de cette lourdeur et d’une envie de ne pas trop la prendre au sérieux. Elle y interprète sur scène les pièces d’un album parût à l’hiver 2024 intitulé
Monstre. Monstre est une ode à l’étrange, à la transformation et à l’acceptation de soi. C’est une tentative de cohabitation entre le mal-être, la résilience et la légèreté.

Douance is a musical entity roaming in a universe reminiscent of the 90s underground music scene. Her raw lo-fi style is unpretentious and visceral. Saguenay-born Alexandrine Rodrigue has been active on the Quebec music scene for nearly a decade. Her songs evoke love and hesitation, heavily tinged with a flavor of melancholy that’s heavy with meaning. Her uniqueness resides in a desire to go deep while not taking herself too seriously. She performs songs from her winter 2024 album entitled Monstre. Monstre is an ode to the strange, to transformation and self-acceptance. It’s an attempt to reconcile malaise, resilience and lightness.

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folk / folk expérimental / Indie / pop

POP Montréal : The Barr Brothers + Juana Molina + Kee Avil

par Rédaction PAN M 360

The Barr Brothers

The Barr Brothers sont une groupe musical avec leur base d’opérations à Montréal, au Québec. Leur son est principalement alimenté par la batterie polyrythmique et enjouée d’Andrew Barr, la guitare de son frère Brad Barr, et les prouesses innovatrices à la harpe de Sarah Pagé, qui a à elle seule redéfini cet instrument et son usage. De la basse, de la guitare pedal steel, des claviers et des cuivres vont et viennent librement dans le mix. Autant à l’aise avec les ballades arcadiennes solennelles qu’avec les improvisations nord-africaines marécageuses ou avec le rock’n’roll plus classique, The Barr Brothers continuent d’embrasser et d’enchanter les spectateurs avec leur approche musicale à la fois méthodique et fantaisiste.

To begin their third album, The Barr Brothers weren’t writing any songs. For the first time, the Montreal outfit’s three members – namesake siblings Brad and Andrew Barr, harpist Sarah Pagé – went empty-handed into the studio. No plans or preconceptions, no books of lyrics or sheets of chords – they went down miles of snowy road to a cabin on a frozen lake, a place full of windows and microphones and starlight and sunshine, with amplifiers in the bedrooms, their volumes turned up loud. On the fringes of Saint Zenon, Québec (pop. 1,1150), a 30-minute snowmobile ride to the nearest grocery store, the band spent seven days making things up. Improvisations that lasted hours at a time – noons and midnights, dusks and dawns, with grooves inspired by India, West Africa and 808s; by Brad’s scorching electric guitar; and by Pagé’s new inventions, hacks to turn her harp into a versatile, sub-bass-booming noisemaker. Queens of the Breakers was born at that cabin in the country. Then the band took that racket and distilled it into songs: 11 tracks of blazing courage and failing resolve; suffused with groove, melody and the Barr Brothers’ wide-open sense of the blues. At times the sound’s all twinkling, the score for a lost John Hughes film; at other times it’s whetted, searching, like the stuff of Lhasa de Sela or Led Zeppelin’s III. These are tales of teenagers prowling through Rhode Island mansions (the title track), coming to Montreal and falling in love (“Song That I Heard”), tattered patriotism and clenching fists (“Kompromat”, “Ready for War”). There’s also “Defibrillation”, a mournful letter from a father to his son, inspired by the broken rhythm of a pair of hospital heart monitors – and a drumbeat based on that dither. It’s this tension, this dither, that lives at the centre of Queens of the Breakers. Three players – friends, comrades, music-makers, all of them trying to play in sync. Three bandmates – each of them fumbling, remembering, trying to invent something together. A band still playing, even occasionally reimagining, their rock’n’roll.

Juana Molina

Maître de la pop expérimentale mystérieuse, Juana Molina est reconnue comme l’une des artistes les plus originales et visionnaires du moment. Son parcours professionnel a été unique, depuis son succès initial en tant qu’actrice comique très populaire dans son Argentine natale, jusqu’à l’abandon de sa carrière télévisuelle en 1996 et sa décision de se consacrer à forger son propre style de musique inimitable, qui lui a valu une reconnaissance mondiale en tant qu’artiste d’enregistrement et de tournée saluée par la critique.

A master of mysterious experimental pop, Juana Molina is recognized as one of the most original and visionary artists around. Her career trajectory has been a unique one, from her initial success as a massively popular comedic actress in her native Argentina, to the abandonment of her television career in 1996 and her decision to devote herself to forging her own, inimitable style of music, which gained her worldwide recognition as a critically-lauded recording and touring artist.

Kee Avil

La productrice montréalaise Kee Avil combine guitare, voix et production électronique dans des chansons déconstruites qui s’inspirent d’un mélange distinctif de sensibilité avant-pop, glitch, post-industrielle et folk expérimental. Son dernier album, Spine, est sorti chez Constellation en mai 2024 en tant qu’Album Bandcamp du jour et a été largement salué par la critique. The Line of Best Fit a affirmé que « Spine confirme la virtuosité de l’esthétique et de la production de Kee Avil, comparable à Jlin ou SOPHIE — produisant un glitch suintant et caverneux, truffé de manipulations », tandis qu’Uncut a décrit sa musique comme étant « profondément intime et intensément troublante… comme une forme de vie extraterrestre tortillant ses mandibules ». Spine a fait l’objet d’un article dans The Wire, qui a déclaré que « les grooves squelettiques de Kee Avil nous frappent avec une intimité urgente », tandis que The Quietus a salué son intensité contenue : « Spine mijote, frôlant l’éruption. Les sons s’agitent comme du gel sous pression ». Spine élargit la palette sonore de Kee Avil avec une intensité détaillée, révélant une nouvelle présence convaincante dans le monde de la chanson expérimentale, où les pierres de touche sont PJ Harvey, Eartheater, Shygirl, SOPHIE et Lucretia Dalt ; dans un univers où Juana Molina collabore avec Coil et où Grouper se fond à Autechre.

Montreal producer Kee Avil combines guitar, voice, and electronic production into deconstructed songs informed by a distinctive blend of avant-pop, glitch, post-industrial and experimental folk sensibilities. Her latest album Spine was released on Constellation in May 2024 as Bandcamp Album of the Day, garnering widespread critical accolades. The Line of Best Fit declared ‘Spine affirms Kee Avil’s status of an aesthetics and production virtuoso comparable to Jlin or SOPHIE – producing a dripping, cavernous version of glitch slammed with manipulations.’ while Uncut described it as ‘Deeply intimate and intensely unsettling… like an alien lifeform flexing its mandibles.’ Spine was featured in The Wire, stating ‘Kee Avil’s skeletal grooves hit with an urgent intimacy.’ while the Quietus applauded its restrained intensity ‘Spine simmers, sashaying close to eruption. Sounds worm around like squeezed gel.’ Spine expanded Kee Avil’s sonic palette with intensive detail, revealing a compelling new voice in experimental songcraft, where touchstones include PJ Harvey, Eartheater, Shygirl, SOPHIE and Lucretia Dalt; where Juana Molina collabs with Coil, or Grouper melds with Autechre.

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indie folk / indie pop / latino

POP Montréal : Silvana Estrada + Lapelúda + Gabriella Olivo

par Rédaction PAN M 360

Silvana Estrada

Silvana Estrada est lauréate du Latin GRAMMY pour le meilleur nouvel artiste (2022), trois fois nominée aux Latin GRAMMY et nominée aux GRAMMY pour la meilleure performance musicale mondiale (2024). La multi-instrumentiste, chanteuse et compositrice qui plie les genres est devenue connue pour fusionner les traditions nord-américaines et latino-américaines qui se croisent avec l’héritage jarocho d’influence africaine de sa Veracruz natale, au Mexique.

Silvana Estrada is a Latin GRAMMY-winner for Best New Artist (2022), three-time Latin GRAMMY-nominee, and GRAMMY-nominee for Best Global Music Performance (2024). The genre-bending multi-instrumentalist, singer, and songwriter has become known for melding North and Latin American traditions that intersect with the African-influenced jarocho heritage of her native Veracruz, Mexico.

Lapelúda

La musique de Lapelúda nous emmène à travers son voyage de réconciliation grâce à un mélange unique et chaleureux de musique indie-folk et d’inspiration latine. Basée à Tiohtià:ke (Montréal), l’artiste embrasse son identité colombienne et québécoise dans son premier album trilingue “Caídas” (2022). Cet album tisse des liens de guérison entre l’innocence, la trahison, la transformation et la réconciliation. En 2023, l’album reçoit sa première nomination aux Latin Awards Canada dans la catégorie Album de l’année.

Lapelúda’s music takes us through her journey of reconciliation via a unique warm blend of Indie-Folk and Latin inspired music. Based in Tiohtià:ke (Montreal), the artist embraces her Colombian and Quebecois identity in her first trilingual album “Caídas” (2022) This album weaves healing connections between innocence, betrayal, transformation and reconciliation. In 2023, the album received its first nomination at the Latin Awards Canada for Album of the Year.

Gabriella Olivo

Née et élevée à Québec d’une mère mexicaine et d’un père québécois, Gabriella Olivo fait honneur à ses origines mexicaines avec ses chansons en espagnol ancrées dans un univers doux à saveur indie-pop. Introspective, planante, rêveuse, ses chansons et sa voix douce nous transportent dans son monde d’amour et de haine, de passion et de déception.

Born and raised in Quebec City of a Mexican mother and a Quebecois father, Gabriella Olivo honors her Mexican roots with songs in Spanish, rooted in a gentle indie-pop universe. Introspective and dreamy, her songs and her gentle voice transport us into her world of love, passion and disappointment.

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expérimental / contemporain / free jazz / noise

SUONI PER IL POPOLO : ANTHONY BRAXTON & WOLF EYES  REPORTÉ MAIS IL Y A UN CONCERT CE SOIR !

par Rédaction PAN M 360

En raison d’une urgence familiale, le concert d’Anthony Braxton & Wolf Eyes dimanche à la Sala Rossa est reporté à une date ultérieure. Nous continuerons la soirée et l’entrée sera gratuite avec: Bryan Highbloom (ténor, soprano, mélodie en ut), Raymond Torchinsky (fa-alto, alto, clarinette basse) et le batteur Trevor Ferrier (tambours africains) improvisent ensemble depuis plus de cinquante ans. Rejoints par Mark Nelson (batterie trap), ils forment Horns and Drums, un groupe qui se consacre à l’improvisation libre. Et pour nous accompagner jusqu’au bout de la nuit, Mardi Spaghetti’s Late Sessions présentent une panoplie d’artistes, d’improvisateurs-trices et de musicien-nes locaux et internationaux qui collaborent au sein de combinaisons inusitées pour présenter de courtes performances (improvisées). Qui sait qui viendra faire du bruit !?

Remboursements: [email protected]

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BILLETS ET INFOS ICI / TICKETS & INFOS HERE

Due to a family emergency, Anthony Braxton & Wolf Eyes Sunday’ show at Sala Rossa is postponed to a later date. The event is still on and free for all with: Ryan Highbloom (tenor, soprano, c-melody) Raymond Torchinsky (f-alto, alto, bass clarinet) and drummer Trevor Ferrier (African drums) have been jamming together for more than fifty years, joined by Mark Nelson (trap drums) they form Horns and Drums, a group dedicated to free improvisation. And to carry us in through the night, Mardi Spaghetti’s Late Sessions presents a wild array of local and international musicians, improvisers and artists who collaborate in unusual combinations for short (improvised) sets. Who knows who will come shred !?

For refunds: [email protected]

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hardcore / psychédélique / punk

Suoni Per Il Popolo: Hez + Mirage + Acid Casualties + Tenaz + Recall

par Rédaction PAN M 360

Le Panama n’est peut-être pas sur la carte du DIY punk pour la plupart des gens, mais Hez le déchire depuis un certain temps. Mirage, avec son chant en italien ( principalement), les place dans la riche histoire du hardcore italien, tandis que la musique s’inspire d’une atmosphère post-punk et d’une texture psychédélique. Acid Casualities, malgré toute leur négativité, ont encore un peu d’amour dans leur cœur, mais il est réservé au Hardcore et à la vitesse qui déchire la peau. Plus récents dans la scène, Tenaz, avec son anarco-punk mélodique et Recall, hardcore-punk avec des d beats, tous deux de Montréal.

Panama may not be on the DIY punk map for most people, but Hez have been tearing it up for some time. Mirage, with its ( mostly) Italian vocals, places them in the rich history of Italian hardcore, while the music draws on a post-punk atmosphere and psychedelic texture. Acid Casualities, for all their negativity, still have a little love in their hearts, but it’s reserved for hardcore and skin-ripping speed. Newer to the scene are Tenaz, with their melodic anarco-punk, and Recall, hardcore-punk with d beats, both from Montreal.
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blues / rap

Suoni Per Il Popolo: Backxwash + Quinton Barnes + Magella

par Rédaction PAN M 360

Backxwash est une rappeuse et productrice née à Lusaka, en Zambie. Sa musique est cathartique, expressive et basée sur ses expériences vécues. Quinton Barnes est un artiste, auteur-compositeur et producteur éclectique et aux multiples facettes, dont le style est souvent non conventionnel mais singulier. MAGELLA est une auteure-compositrice-interprète basée à Montréal qui s’inspire du blues diasporique. Avec son timbre puissant et chaud, elle utilise les différentes couleurs de sa voix pour créer une toile sonore

Backxwash is a rapper and producer born in Lusaka, Zambia. Her music is cathartic, expressive and based on real-life experiences. Quinton Barnes is an eclectic, multi-faceted artist, songwriter and producer whose style is often unconventional but singular. MAGELLA is a Montreal-based singer-songwriter inspired by diasporic blues. With her powerful, warm timbre, she uses the different colors of her voice to create a sonic canvas.
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électronique

Suoni Per Il Popolo: Erika Angell + Sarah Rossy + Kahero:ton

par Rédaction PAN M 360

La soirée débutera par la performance envoûtante de l’artiste kanienʼkehá꞉ka Kahero:ton. Sarah Rossy présentera ensuite « interphase », une performance qui crée un espace vivant et respirant, dans lequel l’improvisation rencontre le traitement électronique, invitant le public à une expérience immersive, multisensorielle et réflexive. Erika Angell clôturera la soirée avec son exploration vocale débridée et ses compositions expressionnistes avant-électroniques, accompagnée par la batteuse Mili Hong et l’œuvre de l’artiste Maxime Corbeil-Perron.

The evening will kick off with the mesmerizing performance of Kanienʼkehá꞉ka Kahero:ton. Sarah Rossy will then present “interphase”, a performance that creates a living, breathing space in which improvisation meets electronic processing, inviting the audience to an immersive, multisensory and reflective experience. Erika Angell will close the evening with her unbridled vocal exploration and expressionistic avant-electronic compositions, accompanied by drummer Mili Hong and the work of artist Maxime Corbeil-Perron.
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classique / expérimental

Suoni Per Il Popolo: Quatuor Bozzini & Howard Skempton « Home and abroad »

par Rédaction PAN M 360

Le Quatuor Bozzini invite Howard Skempton, membre du Scratch Orchestra, pour sa première visite à Montréal. Figure majeure de la musique expérimentale en Angleterre, il a beaucoup composé, principalement de la musique tonale à petite échelle, dans un idiome qui échappe à la rhétorique du modernisme. La musique de Skempton est exquise et simple, d’une grande clarté et d’une grande sophistication. Son écriture finement élaborée et distinctive est parfois entraînante, parfois transcendante, toujours mémorable. Skempton et le Quatuor Bozzini uniront leurs forces dans une soirée pour accordéon solo, quatuor à cordes et autres combinaisons.

Quatuor Bozzini invites Scratch Orchestra member Howard Skempton for his first visit to Montreal. A major figure in experimental music in England, he has composed extensively, mainly small-scale tonal music, in an idiom that escapes the rhetoric of modernism. Skempton’s music is exquisitely simple, of great clarity and sophistication. His finely crafted, distinctive writing is sometimes rousing, sometimes transcendent, always memorable. Skempton and the Quatuor Bozzini join forces in an evening for solo accordion, string quartet and other combinations.
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musique contemporaine / violon

Suoni Per Il Popolo: No Hay Banda X Sarah Davachi + Nadah El-Shazly & Sarah Pagé

par Rédaction PAN M 360

NO HAY BANDA est ravi de s’associer à la compositrice et interprète Sarah Davachi pour présenter la première mondiale de Three Unisons for Four Voices, une œuvre de 65 minutes commandée à Davachi pour violon, violoncelle, clarinette basse, trombone, ondes Martenot et percussions. Three Unisons for Four voices est interprétée par Geneviève Liboiron, Audréanne Filion, Lori Freedman, Kalun Leung, Daniel Áñez & Noam Bierstone, et sera présentée parallèlement à un set de la productrice, vocaliste et artiste sonore égyptienne Nadah El Shazly, rejoint par la harpiste montréalaise Sarah Pagé.

NO HAY BANDA is delighted to partner with composer and performer Sarah Davachi to present the world premiere of Three Unisons for Four Voices, a 65-minute work commissioned from Davachi for violin, cello, bass clarinet, trombone, ondes Martenot and percussion. Three Unisons for Four Voices is performed by Geneviève Liboiron, Audréanne Filion, Lori Freedman, Kalun Leung, Daniel Áñez & Noam Bierstone, and will be presented alongside a set by Egyptian producer, vocalist and sound artist Nadah El Shazly, joined by Montreal harpist Sarah Pagé.
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avant-garde / musique contemporaine

Plongée surréaliste chez Innovations en concert

par Frédéric Cardin

La Sala Rossa était assez bien garnie mardi soir (28 mai) pour la présentation du dernier concert de la saison d’Innovations en concert. Un concert aux allures de buffet dadaiste et d’art conceptuel. Quatre compositrices, trois Montréalaises et une Torontoise, présentaient autant de nouvelles œuvres conçues pour instruments acoustiques, traitement numérique et projection vidéo. La seule exception a été la pièce d’introduction de Keiko Devaux, qui s’est jouée dans l’obscurité (presque) complète. Celle-ci, écrite pour trompette à double pavillon (oui, une trompette avec deux sorties, l’une normale et droite, l’autre à angle ascendant) a constitué une fort belle entrée en matière. Devaux fait bon usage des contrastes timbraux très rapides pouvant être exécutés par cet instrument. Par exemple, l’un des pavillons peut être muni d’une sourdine et l’autre non, si bien que l’interprète peut passer d’une sonorité voilée à une autre brillante en l’espace d’une seule note. Pas besoin de changer d’instrument. La pièce qui s’intitule SADA (écho) évoque de grands espaces frappés par des résonances amplement réverbérées, évoquées autant par l’écriture instrumentale que par les manipulations numériques live. Une belle entrée en matière, empreinte d’une étrange noblesse mais aussi d’un sentiment de grandeur panoramique, soutenue en cela par les harmonies consonantes utilisées par la compositrice, et très bellement rendues par la soliste Amy Horvey.

La soirée s’est poursuivie avec une proposition radicalement différente, celle de Terri Hron, intitulée Out Loud, un opéra féministe pour interprète solo, électronique live et vidéo, d’une vingtaine de minutes – ish et divisé en deux parties. Chaque partie présente un personnage issu de l’imaginaire connu : la Titania du Songe d’une nuit d’été de Shakespeare, puis la Sirène du conte d’Andersen. Costumée sur scène de manière simple mais évocatrice, chaque soliste (Helen Pridmore et Jennifer Beattie, excellentes dans leurs rôles respectifs) est mise comme en abîme avec son double pré-filmé et projeté sur écran. S’ensuit un dialogue ouvert, chanté dans une langue inventée faite de clics, de roulements, de murmures et de quelques envolées lyriques de bon aloi. Sur l’écran, la ‘’traduction’’ du texte renforce l’impression d’étrangeté de ces personnages ironiquement plus ‘’réels’’, malgré leur caractère imaginaire. Le traitement de Terri Hron est résolument féministe. On comprend bien que la Titania si mal traitée par Shakespeare devient ici une femme qui réclame son droit à habiter pleinement son espace vital nocturne. Cette Reine de la Nuit version univers parallèle est appuyée par de beaux aigus perçant de l’interprète et un texte (celui de la traduction bien sûr) invitant à embrasser la poésie des ténèbres. Certains dandinements lascifs de l’interprète dans la vidéo laissent perplexes et sont pauvrement chorégraphiés, mais le propos de base est bien exprimé. 

Jennifer Beattie, mezzo-soprano dans/in Out Loud de Terri Hron (La sirène/The Siren) – cr.: Nick Jewell

La Sirène, en deuxième partie, assume elle aussi sa féminité et ne souhaite pas devenir humaine pour les yeux d’un prince insignifiant, mais plutôt parce qu’elle ‘’ne se sent pas à sa place’’ dans le monde aquatique. La musique de Hron, ni franchement atonale ni consonante, est truculente dans son utilisation d’onomatopées en partie improvisées par l’interprète. Je pense qu’une plus franche distinction sonore entre les deux contes (timbres, couleurs, rythmes, textures, peu importe) aurait été de mise, afin de mieux différencier et incarner la plongée dans deux univers narratifs bien campés dans leurs contrastes décoratifs. Reste qu’il s’agit d’une proposition très stimulante et j’irai explorer plus en profondeur la musique de cette jeune compositrice. 

La troisième proposition nous a, elle aussi, imposé un revirement à 180 degrés. La Torontoise Olivia Shortt, munie de son sax baryton et de pédales d’effets, a garroché son Makwa au public, une sorte de rage martelée sur fond de vidéo ou s’entremêlaient films de chat cabotin, de personnages maquillés, de couple queer en situations incongrues et d’animations psychédéliques. Dali et Bunuel auraient aimé. Les vociférations saxophoniques, renforcées par des loops et de la réverb’ sans ménagement, n’étaient pas aussi violentes que l’artiste l’avait laissé entendre dans son ‘’avertissement’’ au public. Une performance intense, certes, mais très dynamique et narrativement cohérente grâce aux folies surréalistes de la vidéo (ce qui est très ironique, non?). En effet, sans le côté souvent ludique de la vidéo, l’ensemble aurait pu être ennuyeux.

Nicole Lizée dans/in Saskbient/Manitobient – cr.: Nick Jewell

Le moment final de la soirée appartenait à Nicole Lizée, qui nous présentait pour la première fois Saskbient/Manitobient (un jeu de mots avec Saskatchewan, Manitoba et ambient), une peinture expressionniste pour Amy Horvey au banjo et trompette à double pavillon (un énorme boost de répertoire pour cet instrument en une seule soirée!), avec bidouillages acoustico-numériques opérés par Lizée, sur fond de vidéo évoquant les deux provinces des Prairie à travers toutes sortes d’objets et de mises en scène. Amy Horvey pinçant une clôture de barbelés dans la vidéo répondait à la même artiste live jouant de son banjo. Lizée glissant un patin jouet sur un vinyle, façon DJ, faisait écho à son double vivant manipulant son séquenceur. Coiffées avec des chapeaux ressemblant à des gerbes de blé, les deux artistes jouaient devant tout un fatras rappelant certaines icônes symboliques des provinces du centre : une clôture en bois, une vache peluche, une petite ferme, des épis de maïs dont l’épluchage servait également d’accompagnement rythmique, telle des percussions, et même des petits ballons en forme d’extra-terrestres, ceux à grosse tête et grand yeux noirs qu’on pourrait voir sur des T-shirts ‘’I Live in Area 51, But Don’t Tell Anyone’’. Là, j’ai moins compris. Y a-t-il plus d’E.T. en Saskatchewan et au Manitoba? Il faut dire que Lizée est une passionnée de science-fiction. Mais peu importe, car la proposition musicale, sans être la meilleure de la créatrice montréalaise, est assez amusante. 

Cela dit, si Saskbient/Manitobient était la tête d’affiche de la soirée, j’en suis ressorti plus impressionné par le Out Loud de Hron, mieux brassé par le Makwa de Shortt, et plus séduit par le SADA de Devaux. 

expérimental / contemporain

Pop Montréal présente ML Buch + Bénédicte à la Sala Rossa

par Rédaction PAN M 360

ML Buch est Marie Louise Buch, compositrice, productrice, guitariste et chanteur. Après l’EP « Fleshy » en 2017, elle a sorti son premier album acclamé par la critique. « Skinned » sur le label danois Anyines en 2020. « Suntub » est son deuxième album complet, un double album composé de 15 titres, qui sortira en octobre 2023 sur 15 love.

Dans sa pratique compositionnelle, ML Buch esquisse sa musique d’une manière presque architecturale. La matière première est générée par immersion dans le jeu et l’assemblage comme moyen de déclenchant de la magie aléatoire. Ses performances live, tant en solo qu’en groupe, sont reflète son amour pour la combinaison de guitares électriques à 7 cordes en accordages ouverts avec des guitares synthétiques. instruments et expériences électroniques. ML Buch s’est produit notamment à Pitchfork Paris Avant-Garde, Roskilde Festival, Fuchsbau Arts Festival, le son et l’image programme à CPH:DOX, ainsi que dans le cadre du Talking Choir de Laurie Anderson projet. ML Buch a réalisé des travaux commandés au poète Ingvild Lothe et a contribué à des sorties d’artistes comme CTM, Jura et Astrid Sonne, avec qui elle s’est également produite en live.

ML Buch is Marie Louise Buch, composer, producer, guitarist and singer. After the EP “Fleshy” in 2017, she released her critically acclaimed debut album. “Skinned” on Danish label Anyines in 2020. “Suntub” is her second full-length album, a double album featuring 15 tracks, to be released in October 2023 on 15 love.

In his compositional practice, ML Buch sketches out his music in an almost architectural manner. The raw material is generated by immersion in play and assembly as a means of triggering random magic. His live performances, both solo and in groups, reflect his love of combining 7-string electric guitars in open tunings with synthetic guitars. instruments and electronic experiments. ML Buch has performed at Pitchfork Paris Avant-Garde, Roskilde Festival, Fuchsbau Arts Festival, the sound and image program at CPH:DOX, as well as Laurie Anderson’s Talking Choir project. ML Buch has produced commissioned works by poet Ingvild Lothe and contributed to releases by artists such as CTM, Jura and Astrid Sonne, with whom she has also performed live.


Bénédicte est le projet musical du producteur et artiste sonore montréalais Maxime Gordon. Dans sa musique, elle crée et combine soigneusement des synthés planants, des enregistrements de terrain déformés et des échantillons vocaux scintillants pour explorer des moments d’introspection et d’émotion. Elle s’est produite dans des salles et des festivals en Amérique du Nord et en Europe tels que Mutek (Montréal), Eastern Bloc (Montréal), Glory Affairs (Prague) et OIIOIOOI (Stadt Wehlen).

En 2021, elle sort l’EP When It Binds sur Blueberry Records. When It Binds est une collection de chansons qui constitue l’exploration personnelle de Bénédicte sur ce qui se passe après l’établissement d’un lien émotionnel avec quelqu’un.

Bénédicte is the musical project of Montreal producer and sound artist Maxime Gordon. In her music, she carefully creates and combines soaring synths, distorted field recordings and shimmering vocal samples to explore moments of introspection and emotion. She has performed at venues and festivals in North America and Europe such as Mutek (Montreal), Eastern Bloc (Montreal), Glory Affairs (Prague) and OIIOIOOI (Stadt Wehlen).

In 2021, she released the When It Binds EP on Blueberry Records. When It Binds is a collection of songs that constitute Bénédicte’s personal exploration of what happens after an emotional bond has been established with someone.


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country

Ben Vallée à la Sala Rossa

par Rédaction PAN M 360

Ben Vallée est un auteur-compositeur-interprète country basé juste à l’extérieur de Montréal. Fortement motivé par ses années de travail à classer de vieux disques dans un vieux centre commercial, son écriture associe la tradition de la musique country plus ancienne à l’écriture de chansons contemporaines.

Ben Vallée is a country singer-songwriter based just outside Montreal. Strongly motivated by his years of work filing old records in an old mall, his songwriting combines the tradition of older country music with contemporary songwriting.


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