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« En 1838, pour échapper aux ragots mondains, le couple improbable formé de George Sand et de Frédéric Chopin trouve refuge sur l’île de Majorque où les amants pensent pouvoir se consacrer à leur art : elle avec sa plume, lui au piano. Malheureusement, l’instrument commandé par Frédéric tarde à les rejoindre. » Voilà la toile de fond du nouveau conte musical du musicien, compositeur et auteur, Denis Plante, Les lettres de Chopin, présenté au Festival Classica. Habitué à offrir au public des projets où musique et théâtralité se rencontrent, ce « jack-of-all-trades » qui avait créé il y a quelques années La Bibliothèque-interdite, récidive cette fois en prenant comme sujet le séjour à Majorque de Frédéric Chopin et de Georges Sand, vue à travers les yeux et la prose de cette dernière.
Alors que la pluie s’abat sur l’île espagnole, la relation de Chopin avec Georges Sand, incarnée par Gabrielle Maria Gourd, sera mise à rude épreuve. D’où est venue l’inspiration de ce projet? Comment a-t-il été conçu? Quelle place et quel rôle y joue la musique, ici présentée sous forme d’arrangements pour cordes? C’est ce dont il a été question dans cet entretien avec Alexandre Villemaire.
Les lettres de Chopin
Dimanche, 9 juin à 15h à la Salle Jean-Louis-Millette du Théâtre de la Ville
Pour vous procurez des billets, c’est ici
Denis Plante, livret et mise en scène
Stéphane Tétreault, violoncelle et direction musicale
Gabrielle Maria Gourd, comédienne
Marie Bégin, violon 1
Dominique Bégin, violon 2
Elvira Misbakhova, alto
Antoine Plante, contrebasse
Guylaine Petitclerc, costumes et accessoires