classique

Intermezzo | Concert du prix de composition Luba Zuk pour duo de pianos à la Salle Tanna Schulich

par Rédaction PAN M 360

Concert du prix de composition Luba Zuk pour duo de pianos

Nora Popescu, Otto Popescu, pianos

LILY KOSLOW (lauréate 2021-2022) The Chiaroscurist: Five Contrasts for Pitch Black Night
ZUOSHENG JIN (lauréat 2020-2021) Empty Harbor, Reddish Sea
SERGEI RACHMANINOFF Danses symphoniques, opus 45

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classique

Récital de maîtrise de piano à la Salle Pollack

par Rédaction PAN M 360

Interprétation : Melissa Ooi Yong Xin, piano

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classique

Récital de Diplôme d’études supérieures en interprétation du violon à la Salle Tanna Schulich

par Rédaction PAN M 360

Interprétation : Satoka Abo, violon

Classe de Jinjoo Cho

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Harmonie d’honneur de McGill à la Salle Pollack

par Rédaction PAN M 360

L’École de musique Schulich est fière de présenter sa première Harmonie d’honneur de McGill, un événement d’une journée pour les élèves du deuxième cycle du secondaire, le vendredi 15 mars 2024 ! Conçu pour offrir une expérience intensive d’harmonie aux élèves de troisième, quatrième et cinquième secondaire, l’Harmonie d’honneur permettra aux élèves de travailler avec certains des professeurs exceptionnels de l’École de musique Schulich. L’Harmonie d’honneur de McGill, coordonnée et dirigée par Dre Danielle Gaudry et soutenue par ses partenaires de la Fédération des harmonies et des orchestres symphoniques du Québec ainsi que le Québec Band Association, comprendra une journée complète de répétitions et se terminera par un concert à 19h30, lors duquel sera également invité l’Orchestre à vent de McGill.

The Schulich School of Music is proud to present its first McGill Honor Band, a one-day event for senior high school students on Friday, March 15, 2024! Designed to provide an intensive harmony experience for students in Secondary 3, 4 and 5, the Honor Band will allow students to work with some of the Schulich School of Music’s outstanding teachers. Coordinated and directed by Dr. Danielle Gaudry, and supported by its partners the Fédération des harmonies et des orchestres symphoniques du Québec and the Québec Band Association, McGill’s Harmonie d’honneur will include a full day of rehearsals, culminating in a concert at 7:30 p.m. featuring the McGill Wind Orchestra.

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classique

Récital de doctorat de harpe à la Salle Tanna Schulich

par Rédaction PAN M 360

Interprétation : Anabel Gutierrez Orraca, harpe

Pour plus de renseignements pour assister à des événements à Schulich, veuillez voir notre page billetterie.

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classique

Prix d’art vocal Wirth 2023–2024 : finale à la Salle Pollack

par Rédaction PAN M 360

Emma Gélineau-Cloutier, soprano
Mala Weissberg, mezzo-soprano
Nicholas Murphy, baryton
Sara Schabas, soprano

Webdiffusion sur notre chaîne YouTube


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alt-pop / indie rock

Half Moon Run au MTELUS

par Rédaction PAN M 360

Avec un quatrième album en préparation, la transcendance, le sublime et le lâcher-prise reflètent l’esprit de Portielje. Depuis le dernier album de Half Moon Run, A Blemish in the Great Light (Glassnote, 2019), il y a eu la pandémie mondiale et plusieurs changements dans l’industrie du spectacle. Entre-temps, le groupe a sorti trois albums – deux EPs et une collection de leur répertoire en versions acoustiques. De plus, le quatrième membre, le multi-instrumentiste Isaac Symonds, a quitté le groupe et entamé une vie bucolique dans l’ouest du pays.

Reste Portielje, Conner Molander et Dylan Phillips, le trio fondateur du groupe. Leur historique comprend une annonce Craigslist en 2009 et un espace de pratique sombre du Mile End, peuplé d’une vague montante de musiciens montréalais, y compris la phénomène Grimes. Ils ont passé ces années formatives à générer non seulement un premier album, Dark Eyes (Indica, 2012), mais aussi l’entité agitée à six bras qui compose leur musique et assure leur spectacle en direct. (Tous les membres de Half Moon Run, passés et présents, sont des vocalistes et des multi-instrumentalistes.) « La chimie a simplement fonctionné », dit Molander de cette époque. « Nous avons décidé de laisser tomber tous nos projets de vies et d’y aller à fond avec le groupe. J’ai abandonné l’université, nous avons tous quitté nos emplois et accumulé des dettes. Lorsque je repense à cet album, c’est sûrement dû à la force du désespoir que quelque chose est apparu, car il n’y avait pas de retour possible en arrière. »

With a fourth album in the works, transcendence, the sublime, and letting go are on Portielje’s mind. Since Half Moon Run’s last album, A Blemish in the Great Light (Glassnote, 2019), there’s been a global pandemic and a sea-change in the live music industry. Meanwhile, the band’s put out three releases—two EPs and a collection of reworked “isolation versions” of older songs. Plus, their fourth member, multi-instrumentalist Isaac Symonds, has moved on to a bucolic life out west.

The remaining trio—Portielje, Conner Molander, and Dylan Phillips—are also the band’s founding trio. Their fabled origin story involves a 2009 Craigslist ad, and a dingy Mile End jam space populated by a rising wave of Montreal musicians, including phenom Grimes. They spent those formative years generating not just their debut album, Dark Eyes (Indica, 2012) but also the restless, six-armed entity that composes their music and performs their live show. (All of Half Moon Run’s members, past and present, are vocalists and multi-instrumentalists.) “The chemistry just fused,” Molander says of that time. “We decided that we were going to drop everything else that we might want to pursue in our lives and just go full steam ahead with the band. I dropped out of university, we all quit jobs, took on debt. When I think back on that album, it must’ve been by sheer force of desperation that something came across, because there was no turning back.”


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classique moderne / classique occidental

Vendredi soir à l’OM : un violon spectaculaire, une petite sirène et des sables émouvants et enchanteurs

par Frédéric Cardin

Une autre soirée symphonique qui remplit le cœur mélomane d’espoir et de fierté. La Maison symphonique était passablement comble ce vendredi soir. Une foule bigarrée, bien diversifiée et avec beaucoup de jeunes. L’Orchestre Métropolitain attire, et qui plus est avec un programme fait d’œuvres largement méconnues du grand public. Il y a quelque chose de très positif qui se passe à Montréal pour l’avenir de la musique classique. Bref, première impression de cette soirée : réussie.

Maintenant, le programme et le rendu. Disons-le d’emblée : ce fut très agréable. La cheffe JoAnn Falletta, pionnière de la direction d’orchestre au féminin aux États-Unis, s’adresse au public dans un français très correct, particulièrement respectueux. Elle plante le décor pour ce qui vient avec sobriété. 

La soirée débute avec Winter Idyll de Gustav Holst. Un court poème symphonique d’allure pastorale, mais aux déploiement ample et parfois cinématographique. On y évoque un tableau d’Angleterre hivernale, enveloppé sous la neige. ‘’Un peu comme au Québec’’ a-t-on dit en intro. J’en doute. Holst n’aurait pas écrit de musique aussi relativement sereine s’il avait connu les froids canadiens. N’empêche, c’est fort joli et mené avec précision par Falletta, quoiqu’avec un peu trop de réserve, je trouve.

La première des deux ‘’vedettes’’ de la soirée est arrivée pour le deuxième plat : le flamboyant violoniste Nemanja Radulovic. Cheveux longs jusqu’au au milieu du dos, pantalons aux larges chevilles évoquant presque une robe, il représente ce qu’à une autre époque les puristes auraient aimé détester. Nous ne sommes heureusement plus là. Ce qui compte c’est la musique. Celle-ci, le Concerto pour violon d’Aram Khachaturian, demandait manifestement ce genre d’interprète. Les mouvements 1 et 3 sont furieusement exprimés, nous ramenant souvent à l’énergie de sa célèbre Danse du sabre. Puis, un mouvement central plein de tendresse mais aussi de tristesse, avec des triple pianissimos exquis du soliste, complète le concert. Je m’attendais, cela dit, à un son plus brillant, plus propulsif du violoniste. Au contraire, il paraissait comme voilé, particulièrement au début de la partition, résultant ainsi en quelques déséquilibres entre lui et l’orchestre, qui enterrait son discours à quelques occasions. Ça s’est replacé en cours de route, et les feux d’artifices techniques du musicien (quelle maîtrise diabolique de son instrument!) ont soulevé la foule, disons-le, en délire. J’aimerais noter le jeu exceptionnel de quelques premières chaises de l’Orchestre : le corniste Louis-Philippe Marsolais qui a accompli à la perfection un solo d’une monstrueuse difficulté dans le 1er mouvement, puis, dans le même mouvement, le clarinettiste Simon Aldrich, dans un échange intimiste avec Radulovic, très à l’écoute (le violoniste s’est carrément retourné pour ce passage, faisant dos au public pour mieux dialoguer avec Aldrich). Un très beau moment. 

Après une ovation prolongée, Radulovic a finalement donné un rappel : Što Te Nema de Aleksandar Sedlar, un chant bosniaque de deuil dans lequel le violoniste serbe a démontré qu’il ne peut être réduit à un virtuose de cirque médiatique. Dans cette pièce suintant la mélancolie, il réussit à atteindre un degré presque inimaginable de douceur dynamique. Quoi, quatre ou cinq pianissimos? Une aiguille heurtant le tapis l’aurait surpassé. Impressionnant. Cette pièce peut être entendue sur l’album Roots de Radulovic. 

L’autre star soliste de la soirée n’est pas musicienne mais artiste visuelle. L’Ukrainienne Kseniya Simonova est dessinatrice sur sable et parcours le monde depuis plusieurs années. Elle a participé et parfois remporté toutes sortes de concours populaires tels les Got Talent de plusieurs pays (Ukraine, Britain, America, etc.). Ce qu’elle fait est très beau, et ressemble en plus fluide et animé à la technique des théâtres d’ombre. 

Hier soir, elle avait le défi d’animer la partition de La petite sirène (Die Seejungfrau) de Zemlinsky. Bien sûr, le sujet lui-même se portait déjà très bien vers ce genre d’animation : un conte de fée classique, un accompagnement visuel évocateur, tout était en place pour un mariage pertinent. J’avoue que je ne m’attendais pas à ce que ce soit à ce point réussi et enchanteur. Non seulement la musique ondoyante et post-romantique, teintée d’impressionnisme, de Zemlinsky a ce qu’il faut pour transporter l’esprit et le cœur, mais la technique artistique de la dessinatrice virtuose y est parfaitement adaptée. Au gré de la musique qui se métamorphose constamment, Kseniya Simonova transforme elle aussi son canevas avec une fluidité magique. La barbe de Neptune, dieu des mers, peut tour à tour devenir, avec remarquable facilité et célérité, un vaisseau emporté par les flots ou un ciel étoilé. Sous nos yeux, et d’un geste manuel fin et discret, la queue de la sirène devient une paire de jambes élégantes. Ainsi de suite, afin que le public comprennent parfaitement ce qui est raconté par la musique (bien que tout le monde présent devait déjà connaître par coeur cette histoire). 

La beauté du décor est amplifiée par la couleur légèrement dorée du rétroéclairage tabulaire, sur lequel virevoltent les grains de sable manipulés par l’artiste, offrant un aspect ancien, voire intemporel, au panorama fantastique déployé sous nos yeux. Tout cela projeté sur écran géant dans une maison symphonique subjuguée. 

Kseniya Simonova JoAnna Falletta Orchestre Métropolitain cr.: François Goupil

Je l’ai dit, l’Orchestre Métropolitain s’est surpassé. Mais je souligne également la direction claire et solide de JoAnn Falletta. Sans être époustouflante, la cheffe impose un ordre et une confiance assurée, en laissant assez de place pour l’expressivité des musiciens. Une maestra sans esbroufe, dévouée à la musique et laissant le ‘’show’’ à ceux et celles qui sont payés pour ça.

J’ai très bien senti que le public passablement profane est sorti de cette aventure avec un sentiment de satisfaction et d’émerveillement partagé. Bravo à l’OM, c’est exactement pour ça qu’existe la musique. 

classique

Mozart : La flûte enchantée à la Salle Claude-Champagne

par Rédaction PAN M 360

Atelier d’opéra et Orchestre de l’UdeM 

Jean-François Rivest, direction 

Richard Margison et Robin Wheeler, direction Atelier d’opéra  

Patrick R. Lacharité, mise en scène

Margaux Tabary, costumes

Marie-Aube St-Amant Duplessis, éclairages

Gabriela Hébert, images et projections

Natacha Filiatrault, coiffures et maquillages

Roxane Loumède, assistante à la mise en scène et régisseuse

Carl Pelletier, scénographie et accessoires

Mozart, La flûte enchantée

Un prince chargé de délivrer une princesse prisonnière d’un faux tyran; une reine maléfique d’une beauté troublante; un oiseleur bouffon au grand cœur et une flûte magique pour vaincre le mal : ce n’est ni un conte de Perrault ni une légende des frères Grimm, mais un des plus fascinants opéras de l’histoire de la musique, La flûte enchantée de Mozart.

Mêlant féérie, ésotérisme et situations cocasses, cette œuvre fut considérée comme une merveille en Allemagne dès sa création en 1791. Et que dire de l’incroyable musique de Mozart? Le mieux est de venir la découvrir en compagnie de l’Atelier d’opéra et de l’Orchestre de l’UdeM, dirigé par Jean-François Rivest, dans une mise en scène de Patrick R. Lacharité.

Quant au caractère fantastique de l’opéra, il permettra aux étudiant∙es en composition et création sonore de laisser libre cours à leur imagination pour réaliser une scénographie originale conçue à partir de mapping vidéo et d’installations lumineuses.

Distribution

Sarastro, grand prêtre d’Isis et Osiris – Brendan Friesen, basse

Die Königen der Nacht – Marion Germain, soprano

Pamina, fille de la Reine de la nuit – Maud Lewden, soprano

Erste Dame – Daphnée Brideau, soprano

Zweite Dame – Maïlys Arbaoui-Westphal, soprano

Dritte Dame – Julie Boutrais, mezzo-soprano

Erster Knabe – Salomé Karam, soprano

Zweiter Knabe – Cloée Morissette, soprano

Dritter Knabe – Serina Itri, mezzo-soprano

Prince Tamino – Emmanuel Raymond, ténor

Der Sprecher – Jean-Philippe Laroche, basse

Papageno, oiseleur – Justin Domenicone, baryton

Papagena, promise de Papageno – Kevisha Williams, soprano

Monostatos – Andoni Iturriria-Machinandiarena, ténor

Erster Geharnischter Mann – Pierre Heault, ténor

Zweiter Geharnischter Mann – Théo Raffin, baryton

Erster Priester – Pierre Heault, ténor

Zweiter Priester – Geoffrey Zhou, rôle parlé


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classique

Concert de cor à la Salle Serge-Garant

par Rédaction PAN M 360

Classe de Louis-Philippe Marsolais.

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afrobeats

KARNIVAL au Club Soda

par Rédaction PAN M 360

Une nuit chaude aux rythmes éclectiques et rassembleurs pour une 13e année au Club Soda ! KARNIVAL avec Poirier est maintenant un classique de la Nuit blanche à Montréal.
Karnival mettra en scène Poirier qui sera accompagné de danseurs et danseuses de style afro urbains qui ont déjà participé à plusieurs événements et vidéos avec Poirier. Aussi, Piyou, un solide DJ de Montréal qui a souvent joué avec Poirier, assurera la première heure avant que Poirier prenne les commandes de 1h à 3h.
Karnival, c’est un plancher de danse du tonnerre à la sauce dancehall, soca, afrobeats, afro house, etc. Les DJs embraseront la salle avec une sélection qui saute aisément d’un continent à l’autre et qui fait le lien entre nouveautés et découvertes avec une énergie semblable à celle d’un carnaval!

A hot night of eclectic, unifying rhythms for a 13th year at Club Soda! KARNIVAL with Poirier is now a Montreal All-Nighter classic.

Karnival will feature Poirier accompanied by urban Afro-style dancers who have already taken part in several events and videos with Poirier. Also, Piyou, a solid DJ from Montreal who has often played with Poirier, will be on hand for the first hour before Poirier takes over from 1 to 3.

Karnival is a thunderous dance floor with dancehall, soca, afrobeats, afro house and more. The DJs will set the room ablaze with a selection that leaps effortlessly from one continent to another, linking new and discovered with carnival-like energy!

ENTRÉE LIBRE! RSVP FACEBOOK ICI!

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Chanson francophone / pop

Miro au Club Soda

par Rédaction PAN M 360

Après le toit du Stade Olympique, un MTELUS et un spectacle exclusif dans un Esco plein à craquer, Miro est de retour pour présenter son 3ᵉ album, Géant, au Club Soda, dans le cadre de MONTRÉAL EN LUMIÈRE!

Si vous aviez raté sa dernière date à Montréal, c’est la chance de vous reprendre et pas à moitié! Cette fois, c’est avec Simon Kearney, Mike Clay, San James et Soraï qu’il partagera la scène pour vous faire vivre l’expérience Géant au maximum !

Première partie de feu assurée par BéLi

After the roof of the Olympic Stadium, a MTELUS and an exclusive show in a packed Esco, Miro is back to present his 3ᵉ album, Géant, at Club Soda, as part of MONTREAL HIGH LIGHTS!

If you missed his last Montreal date, this is your chance to catch up, and not half-heartedly! This time, he’ll be sharing the stage with Simon Kearney, Mike Clay, San James and Soraï, to give you the full Géant experience!

Opening act: BéLi


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