chant choral / classique occidental / musique de la Renaissance / période classique

9e de Beethoven, Montréal, il y a 200 ans…

par Alexis Desrosiers-Michaud

En ce jour de Saint-Valentin, nous avons eu droit à une première au concert de l’ensemble Caprice et de l’ensemble ArtChoral : la 9ᵉ symphonie de Beethoven sur instruments anciens, sous la direction de Matthias Maute.

Le programme initial devait présenter en ouverture la cantate méconnue Hiob de Fanny Mendelssohn-Hensel. En lieu et place, nous avons eu droit à deux pièces yiddish, soient, Yih’yu L’ratzon de Ernst Bloch et un air traditionnel nommé Oy dortn, ainsi que le célèbre Miserere de Gregorio Allegri.

Les deux pièces juives faisant intervenir la soprano Sharon Azrieli et son imposant vibrato. Agissant à titre de cantor, elle annonce des psalmodies et le chœur lui répond. On ne sait si c’est un problème de micro ou de projection, mais on l’entendait peu du fond du parterre. Reste que c’est fort joli, et que ça nous rappelle que cette musique juive et hébraïque est trop peu jouée dans nos salles de concert.

Le Miserere est un bijou de génie musical qui ne laisse pas droit à l’erreur. Malheureusement, des erreurs, il y eut. D’abord, les voix du quatuor perché dans les hauteurs de la Maison symphonique ne sont pas homogènes ; celles des hommes ne vibrent pas, alors que celles des femmes, si. Qui plus est, ce n’est pas toujours juste. Ensuite, il n’y a aucun changement de volume dans toute la pièce, et comme cette pièce se répète souvent, ça devient redondant et on en perd toute l’intimité. Puis, dans les psalmodies, les notes différentes sont accentuées par les choristes, au lieu d’être légèrement appuyées, et ce n’est parfois pas net dans les coupures et les consonnes. Bref, c’est une belle œuvre, mais qui aurait mérité un rendu plus conséquent.

Le vrai plaisir de la première partie réside dans la création de William Kraushaar, également choriste dans le pupitre des basses, Höre auf meine Stimme. Maute nous avait prévenus, la mélodie allait nous rester en tête, et c’est pour les bonnes raisons. Simple, sans être kitsch, répétée assez souvent sans trop qu’on s’en rende compte, elle est souple et expressive. L’accompagnement ne s’impose pas et laisse le chœur chanter en jouant le rôle d’un tapis harmonique. Si ce n’était de quelques accords dissonants du langage de Morten Lauridsen et de ses contemporains dans les passages a cappella, nous aurions placé cette œuvre entre les styles de Mendelssohn et de Schubert, et à notre première écoute, cette pièce semble accessible pour une majorité des chœurs amateurs. Vite, à quand la publication !

Selon le chef Maute, c’est la première fois à Montréal que la neuvième de Beethoven est jouée sur instruments anciens. Cela prend quelques minutes à s’adapter à ce nouveau son, mais c’est fort agréable et très réussi, malgré quelques écarts de justesse et de précision. Le son n’est pas gras, et les passages forte ne donnent pas l’impression qu’Obélix est en train de soulever le Sphinx, mais la tension est là. Dans le premier mouvement, que Maute dirige à une vitesse folle, on entend tous les éléments des dialogues musicaux, et le deuxième a vraiment l’aspect d’une danse, ce que l’on ressent peu chez beaucoup d’autres chefs. Cependant, la section médiane de ce mouvement est trop rapide et les vents ne suivent pas.  Le troisième mouvement n’est certainement pas adagio, mais très cantabile. On profite des phrases sans s’éterniser ou de tomber dans la lune.

Le dernier mouvement s’ouvre avec souplesse et légèreté. Enfin, les récitatifs des violoncelles/contrebasses ne sont pas trop lourds ! Et tout exalte avant l’entrée du chœur, avec le récitatif de la basse Dominique Côté. Mais dès que le chœur commence, quelque chose nous agace : une soprano perce plus que le reste de sa section, spécialement dans le suraigu, ce qui équivaut à dire presque tout le temps chez Beethoven. Une fois que ceci est ciblé par l’oreille, il est extrêmement difficile de l’ignorer. Ma voisine de siège, qui en fut aussi dérangée, m’a confié en fin de soirée que ce n’était pas la première fois que ça se produisait chez ce tandem. À corriger, si on veut éviter que le travail d’une personne vienne déséquilibrer une exécution rare et de haut niveau.

crédit photo: Tam Photography

classique moderne / classique occidental

OSM | Payare et Weilerstein : passion à deux de Prokofiev à Ravel

par Alexandre Villemaire

En cette veille de Saint-Valentin, les 12 et 13 février, le cadre était on ne peut plus propice à réunir sur la scène de la Maison symphonique le couple formé de Rafael Payare et Alisa Weilerstein.

Si Daphnis et Chloé de Maurice Ravel peut volontairement être associé à l’idylle amoureuse, tant par son propos que par sa musique, la Symphonie concertante pour violoncelle de Sergei Prokofiev, avec son éclectisme, ses sons mordants et percussifs, pouvait apparaître comme décalée par rapport à l’esthétique du programme. Au contraire, les œuvres étaient d’une grande complémentarité au niveau du langage timbral, des dynamiques et de leur jeu passionné.

En première partie donc, la Symphonie concertante de Sergei Prokofiev. Écrite entre 1950 et 1952, cette œuvre en trois mouvements de la maturité du compositeur russe est un remaniement d’un précédent concerto pour violoncelle dont l’accueil fut vertement critiqué. Le langage de Prokofiev y est texturé et composite, faisant appel à tout l’entendu du violoncelle, de même qu’à des sonorités et des passages orchestraux et rythmiques qui rappellent le jazz. Au podium, nous avions un Payare toujours aussi fougueux, plus contenu que d’habitude dans sa gestique pour cette partition complexe où les interventions de l’orchestre sont véloces au niveau des textures et des techniques. La direction de Payare était précise et l’orchestre d’une grande intensité.  

Les deuxième et troisième mouvements (Allegro giusto et Andante con moto) nous ont particulièrement plu, respectivement pour leur virtuosité, leur usage d’effets orchestraux dynamique et leur accent folklorique pour la cadence du deuxième mouvement où Alisa Weilerstein démontre toute l’étendue de sa technique et des jeux possibles de son instrument avec une aisance évocatrice. Même si ce qui, à l’oreille, semble sonner faux est en fait bien calculé, écrit et transmis avec naturel. Les lignes de violoncelles sont aussi véloces que les traits d’orchestre, se mariant avec les différentes sections dans une orchestration riche et inventive. Sur scène, Alisa Weilerstein nous transporte dans un univers qui est le sien où elle ne fait pas que jouer la musique. Elle est la musique. Elle incarne un personnage telle une actrice sur une scène de théâtre où son expression faciale et ses gestes sont aussi signifiants que la musique qui l’accompagne. Elle a d’ailleurs été chaleureusement ovationnée par le public pendant plusieurs minutes.

La deuxième partie dédiée à la musique du ballet Daphnis et Chloé nous plongeait dans un monde onirique et coloré. Ici, Payare devient un peintre devant un canevas vierge qu’il peint avec précision. Même si on se trouve dans du répertoire qui est archi connu, voir se déployer les dynamiques et les couleurs imaginées par Ravel est toujours un ravissement. Intéressante disposition d’ailleurs que celle du chœur qui était installé plus en hauteur qu’à l’habitude pour cause d’enregistrement. Bel effet également que de faire entrer successivement les rangées de choristes lors de l’introduction pour simuler un effet de voix qui arrive du lointain et qui gagne en puissance. Petite critique : l’effet processionnel aurait eu encore plus d’impact si cette entrée avait été chantée sans partition ! Pour le reste, les interventions du chœur étaient excellentes, assurées avec un beau contrôle des nuances et des dynamiques. À l’orchestre, Rafael Payare danse sur scène et instigue vigueur et caractère aux différents effectifs orchestraux tant dans les moments les plus diaphanes que dans les passages tonitruants et cuivrés rappelant le langage de Georges Gershwin. L’interprétation des deux œuvres de cette soirée, étonnamment complémentaire et passionnée, méritait amplement les applaudissements nourris d’une Maison symphonique bien remplie et a donné à l’orchestre de beau matériel pour leurs prochaines sorties d’albums ; sorties que nous avons hâte de découvrir.

crédit photos: Antoine Saito

Afrique / classique / période moderne

OSM : Angélique Kidjo chante Glass

par Rédaction PAN M 360

Beethoven dépeint poétiquement les chants d’oiseaux et le murmure des ruisseaux, alors que Janácek, en fin observateur, oppose la quiétude de la vie sylvestre au monde conflictuel des humains. De son côté, Glass s’inspire de poèmes africains évoquant le mythe de la création du monde et celui des dieux du royaume d’Ifé. La musique nourrit l’imaginaire d’Angélique Kidjo qui donne vie aux légendes avec sa voix puissante et profonde.

While Beethoven poetically depicted birdsong and rippling streams, Janácek, a stark observer, contrasted the stillness of forest life with the conflict-filled world of humans. Meanwhile, Glass drew inspiration from African poems that tell of the creation myth and deities of the ancient Ifé Empire, fuelling the imagination of Angélique Kidjo, who brings these legends to life with vocal depth and power.

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classique / post-romantique

OSM : Wagner et Debussy – De l’amour à la mer

par Rédaction PAN M 360

Dans ce programme, l’alto, avec ses sonorités profondes et émouvantes, exprime la douleur de la séparation qui résonne dans l’œuvre de Wagner et dans le Concerto de la compositrice canadienne Cassandra Miller, créé en 2023 par Lawrence Power. Quant à Debussy, il dépeint la mer à travers des touches impressionnistes, mêlant nostalgie et rêve, pour un voyage sonore fait de subtiles sensations. Une expérience musicale à la fois intense et poétique, à découvrir absolument!

This program highlights the viola’s deep, expressive voice in Canadian composer Cassandra Miller’s Concerto, a poignant reflection on separation premiered in 2023 by Lawrence Power, and an excerpt from Wagner’s Tristan and Isolde, both poignant reflections on separation. Meanwhile, Debussy paints a vivid portrait of the sea with impressionistic colours, immersing listeners in a nostalgic and dreamlike soundscape. Enjoy a musical journey that is both powerful and poetic.

Programme

Hector Berlioz, Le Corsaire, Ouverture, op. 21, H 101 (8 min)
Cassandra Miller, I cannot love without trembling, concerto pour alto (25 min)
Richard Wagner, Tristan und Isolde, WWV90 : Prélude et mort d’Isolde (17 min)
Claude Debussy, La mer, trois esquisses symphoniques pour orchestre, L. 109, CD 111 (23 min)

Program

Hector Berlioz, Le Corsaire, Overture, Op. 21, H 101 (8 min)
Cassandra Miller, I cannot love without trembling, Concerto for Viola (25 min)
Richard Wagner,  Tristan und Isolde, WWV90: Prelude and death of Isolde (17 min)
Claude Debussy, La mer, trois esquisses symphoniques pour orchestre, L. 109, CD 111 (23 min)

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baroque / classique

Ensemble Caprice : Magnificat de Bach à la Maison symphonique

par Rédaction PAN M 360

Laissez-vous emporter par la passion! La joie éclatante du Magnificat de Bach se marie à merveille avec l’intensité du Concerto pour violon en mi mineur de Felix Mendelssohn, l’un des plus émouvants de tous les temps.
Sous la direction de Matthias Maute, l’Ensemble Caprice et l’Ensemble ArtChoral donneront vie au Magnificat interprété par quatre solistes exceptionnels. Le concerto pour violon no. 2 de Mendelssohn sera joué par le violoniste Mark Fewer. Décrit comme « intrépide » et « hors des cadres » par le Globe and Mail et le National Post, Mark Fewer s’illustre sur les scènes internationales avec son propre style unique et envoûtant.

Let yourself be carried away by passion! The brilliant joy of Bach’s Magnificat perfectly blends with the intensity of Felix Mendelssohn’s Violin Concerto in E minor, one of the most moving of all time.
Under the direction of Matthias Maute, Ensemble Caprice and Ensemble ArtChoral will bring the Magnificat to life, performed by four exceptional soloists. Mendelssohn’s Violin Concerto No. 2 will be played by the fabulous violinist Mark Fewer. Described as « fearless » and « outside the box » by the Globe and Mail and the National Post, Mark Fewer stands out on international stages with his unique and captivating style that continues to enthrall audiences.

Programme

Johann Sebastian Bach, Magnificat, BWV 243
Felix Mendelssohn, Concerto pour violon no 2 en mi mineur, op. 64 MWV O 14
Jeffrey Ryan, Bellatrix

Program

Johann Sebastian Bach, Magnificat, BWV 243
Felix Mendelssohn, Violin Concerto in E minor, Op. 64, MWV O 14
Jeffrey Ryan, Bellatrix

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classique / période romantique

OSM : Brahms & Dvořák – splendeur du romantisme

par Rédaction PAN M 360

López rend un vibrant hommage à la Finlande à travers son poème symphonique Aino, tandis que Dvořák affirme avec éclat son identité slave en insérant, pour la première fois, une danse folklorique dans sa Symphonie n°6. Enfin, laissez-vous envoûter par le légendaire Concerto pour violon de Brahms, un monument du répertoire, magistralement interprété par le violoniste mondialement reconnu James Ehnes.

López’s symphonic poem Aino is a beautiful tribute to Finland, while Dvořák affirms his Slavic identity in his Symphony No. 6 by using material from a Slavic folk dance for the first time. Finally, let yourself be enchanted by Brahms’ legendary Violin Concerto, a mainstay of the instrument’s repertoire, which will be masterfully performed by the internationally acclaimed violinist James Ehnes.

Programme

Jimmy López, Aino (14 min)
Johannes Brahms, Concerto pour violon, op. 77 (35 min)
Antonín Dvořák, Symphonie no 6, op. 60, B. 112 (41 min)

Program

Jimmy López, Aino (14 min)
Johannes Brahms, Concerto for Violin, Op. 77 (35 min)
Antonín Dvořák, Symphony No. 6, Op. 60, B. 112 (41 min)

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classique / jeunesse

OSM : Des bonbons ou un sort !

par Rédaction PAN M 360

Pensez-vous que la Maison symphonique puisse abriter des monstres et des vampires? Ou que la baguette de la cheffe d’orchestre soit capable de jeter des sorts? Bien sûr que non ! À moins que…la musique ait des pouvoirs magiques… Pour en avoir le cœur net, revêtez votre déguisement et préparez-vous à être transporté dans des mondes imaginaires où des créatures mystérieuses vous raconteront de drôles d’histoires. Vous laisserez vous ensorceler?

Have you ever wondered if the Maison Symphonique is haunted by monsters and vampires? Could a conductor’s baton double as a magic wand? What if music truly held magical powers? To find out, dress up in your best costume and step into a world of imagination, where you’ll hear strange tales told by mysterious creatures. Let the magic of music sweep you away!

Programme

Œuvres de Saint-Saëns, Goulet, Grieg, etc.

Program

Works by Saint-Saëns, Goulet, Grieg, etc.

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baroque / classique

OSM : Le Requiem Allemand par Kent Nagano

par Rédaction PAN M 360

Le chef émérite de l’OSM, Kent Nagano, dirige le poignant Requiem allemand de Brahms, tel qu’il fut donné en 1868 à Brême en Allemagne. Cette version historique, présentée pour la toute première fois à l’OSM, intègre des extraits d’œuvres baroques, de la Passion selon St Mathieu de Bach et du Messie de Handel. Ces pièces musicales mettent en perspective l’héritage de Brahms et soulignent le lien du compositeur avec la grande tradition musicale germanique. Une œuvre qui invite à une réflexion profonde sur la vie et la mort. Un rendez-vous musical unique !

OSM Conductor Emeritus Kent Nagano leads a moving performance of Brahms’ A German Requiem, as it was presented in 1868 in Bremen, Germany. Making its debut at the OSM, this historic recreation includes excerpts from Baroque masterpieces such as Bach’s St. Matthew Passion and Handel’s Messiah. These musical selections offer insight into Brahms’ artistic heritage and underscore his profound connection to the rich German musical tradition. This masterpiece invites deep contemplation on life and death, promising a truly exceptional musical journey.

Programme

Johannes Brahms, Un Requiem allemand, sur des textes de l’Écriture sainte, op.45 (version Bremen 1868)
Johann Sebastian Bach, Passion selon Saint Mathieu, BWV 244 : « Erbarme dich, mein Gott »
Georg Friedrich Handel, Le Messie, HWV 56 (orch. W. A. Mozart) – extraits Œuvres pour violon et orgue de Bach, Tartini et Schumann

Program

Johannes Brahms, A German Requiem, from words of the Holy Scripture, Op. 45 (1868 Bremen version)
Johann Sebastian Bach, St. Matthew Passion, BWV 244: “Erbarme dich, mein Gott” (6 min)
George Frideric Handel, Messiah, HWV 56 (orch. W. A. Mozart) – excerpts

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classique / musique contemporaine / Piano

OSM : Le sacre du printemps

par Rédaction PAN M 360

L’OSM vous propose un véritable feu d’artifice musical en présentant trois œuvres spectaculaires. Le Concerto no 1 de Tchaïkovski, interprété par le talentueux pianiste Bruce Liu. Le sacre du Printemps d’Igor Stravinsky, créé le 29 mai 1913, qui illustre un rituel païen inspiré des traditions slaves, où une jeune fille est sacrifiée pour assurer le retour du printemps. Sa première représentation a provoqué un véritable scandale, allant jusqu’à déclencher une émeute. Cette œuvre révolutionnaire est aujourd’hui reconnue comme un chef-d’œuvre fondateur de la musique moderne. Une création du compositeur québécois Denis Gougeon ajoutera un bouquet d’étincelles à ce concert. Gougeon est l’un des compositeurs contemporains les plus reconnus au Canada, particulièrement pour sa musique empreinte de lyrisme, d’énergie rythmique et d’une grande expressivité.

The OSM presents three extraordinary works in an explosive musical fireworks display. Tchaikovsky’s Piano Concerto No. 1, performed by the brilliant Bruce Liu, shines in this program. Also featured is Igor Stravinsky’s The Rite of Spring, first premiered on May 29, 1913. This revolutionary work, depicting a pagan ritual from Slavic traditions involving the sacrifice of a young girl to bring spring, caused a riot at its scandalous debut but is now celebrated as a cornerstone of modern music. To add even more sparkle to the concert, the orchestra will premiere a composition by celebrated Quebec composer Denis Gougeon, known for his lyricism, rhythmic energy, and deep expressiveness.

Programme

Denis Gougeon, création (de 10 à 12 min) – commande de l’OSM
Piotr Ilitch Tchaïkovski, Concerto pour piano no 1, op. 23 (32 min)
Igor Stravinsky, Le sacre du printemps (33 min)

Program

Denis Gougeon, Premiere (10 to 12 min) – OSM commission
Pyotr Ilyich Tchaikovsky, Concerto for Piano No. 1, Op. 23 (32 min)
Igor Stravinsky, The Rite of Spring (33 min)

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classique / période romantique / Piano

OSM : Mozart et l’élégance d’Angela Hewitt

par Rédaction PAN M 360

Il y a beaucoup de charme et d’éclat dans ce Concerto de Mozart interprété par la pianiste Angela Hewitt. En introduisant des citations de Beethoven et Haydn dans son œuvre, Colgrass crée une fascinante passerelle entre les époques musicales et propose un véritable voyage à travers le temps. Plongez ensuite dans la nostalgie hivernale de Tchaïkovski, qui évoque avec émotion ses promenades enneigées dans sa Symphonie n° 1.

Brought to life by pianist Angela Hewitt, Mozart’s Concerto dazzles with its charm and brilliance. Colgrass creates intriguing connections between musical eras by incorporating quotes from Beethoven and Haydn, taking listeners on a journey through time. The program concludes with Tchaikovsky’s Symphony No. 1, which captures the nostalgic beauty of the composer’s snowy winter walks.

Programme

Michael Colgrass, As Quiet As (13 min)
Wolfgang Amadeus Mozart, Concerto pour piano nᵒ 26, K. 537, « du Couronnement » (30 min)
Piotr Ilitch Tchaïkovski, Symphonie no 1, op. 13, « Rêves d’hiver » (44 min)

Program

Michael Colgrass, As Quiet As (13 min)
Wolfgang Amadeus Mozart, Concerto for Piano No. 26, K. 537 (“Coronation”) (30 min)
Pyotr Ilyich Tchaikovsky, Symphony No. 1, Op. 13 (“Winter Dreams”) (44 min)

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classique / musique contemporaine / Piano

OSM : L’ensorcelant Oiseau de feu de Stravinsky

par Rédaction PAN M 360

Lauréat du Concours OSM en 2022 et du Concours international de piano de Leeds, le Canadien Jaeden Izik-Dzurko amorce une brillante carrière pianistique. Venez l’écouter dans ce concert au format réduit animé par Philippe-Audrey Larrue-St-Jacques, dans le Concerto de Grieg : une œuvre qui séduit par son irrésistible mélange de lyrisme et de vigueur. Laissez-vous ensuite charmer par la féérie de L’Oiseau de feu, dont les somptueuses couleurs orchestrales créent un véritable enchantement sonore.

Canadian pianist Jaeden Izik-Dzurko, who launched a stellar career after winning the 2022 OSM Competition and the Leeds International Piano Competition, takes the stage in this intimate concert hosted by Philippe-Audrey Larrue-St-Jacques. Hear him perform Grieg’s Piano Concerto, a piece known for its captivating mix of lyricism and vigour. Then, allow yourself to be swept away by the enchanting beauty of The Firebird, where lush orchestral colours paint a mesmerizing sonic landscape.

Programme

Edvard Grieg, Concerto pour piano, op. 16 (30 min)
Igor Stravinsky, L’Oiseau de feu, Suite pour orchestre (1919) (23 min)

Program

Edvard Grieg, Concerto for Piano, Op. 16 (30 min)
Igor Stravinsky, The Firebird, Suite for Orchestra (1919) (23 min)

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classique

OSM : De Bartók à Mozart – flûte, improvisation et symphonie

par Rédaction PAN M 360

Le clarinettiste Kinan Azmeh séduit par son jeu fluide, nuancé et sa grande aisance à improviser. Aux côtés de l’OSM, il présente un programme où se croisent liberté créative, accents folkloriques de Bartók et sensibilité novatrice de Carl Philipp Emanuel Bach. La Symphonie no 39 de Mozart conclut ce programme avec fluidité et élégance.

Clarinetist Kinan Azmeh captivates audiences with his fluid, nuanced playing and remarkable improvisational talent. Joined by the OSM, he will showcase a program that blends creative freedom, Bartók’s folk-inspired motifs, and Carl Philipp Emanuel Bach’s innovative sensitivity. The evening concludes with Mozart’s graceful and elegant Symphony No. 39.

Programme

Béla Bartók, Six danses folkloriques roumaines (6min)
Carl Philipp Emanuel Bach, Concerto pour flûte, H.425, W.22 en re mineur (26min)
Kinan Azmeh, Suite for improvisor and orchestra (22min)
Wolfgang Amadeus Mozart, Symphonie no 39, K. 543 (29min)

Program

Béla Bartók, Six Romanian Folk Dances (6 min)
Carl Philipp Emanuel Bach, Concerto for Flute in D Minor, H. 425, W. 22 (26 min)
Kinan Azmeh, Suite for Improvisor and Orchestra (22 min)
Wolfgang Amadeus Mozart, Symphony No. 39, K. 543 (29 min)

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