Il y a des musiciens qui s’améliorent à chaque album et il y en a d’autres qui, comme Gee Tee, ne commettent pas cette erreur.
Fidèles à leur son de la première heure, les australiens revisitent encore les limites du budget pop-punk et on en redemande. Un peu moins bon que le précédent Goodnight Neanderthal (2023) mais à peine.
Si on y prête attention, il y a quand même une légère amélioration au niveau de la réalisation mais ce n’est pas suffisant pour leur en tenir rigueur. Seul défaut perceptible, et encore, c’est légèrement moins punk, en toute relativité. Aussi, ça frise un peu The Cars par bout, mais encore là, défaut est bien relatif.
On demeure dans le simple et efficace, avec un son cru et rugueux, tout en proposant des mélodies qui accrochent dès les premières mesures. Pas pour les fans de prog mais tsé.