L’indélébile Jon Spencer (Blues Explosion, Boss Hog, Pussy Galore, Heavy Trash, etc.) est de retour avec les incendiaires HITmakers. Annoncé pour le 1er avril chez In The Red, Spencer Gets It Lit est un poison d’avril poussé à l’extrême, un joyeux bordel d’électro-boogie, d’art-pop constructiviste, de psychédélisme boueux, de sleaze industriel et d’élégance futuriste. Spencer promet rien de moins qu’un chef-d’œuvre épique de freak beat directement sorti du garage le plus bizarre au monde. À travers des couches hallucinantes de fureur, de guitare fuzz, d’une batterie crash-bang, de torpilles photoniques et de sons d’un autre monde, le bluesman explosif crache, chantonne, rhapsodie et séduit frénétiquement. Spencer Gets It Lit se veut une odyssée sombre et dansante, à la fois une analyse approfondie du début du 21e siècle et une célébration de l’endroit où l’électricité rencontre l’esprit. Le Spencer nouveau est composé de treize chansons (15 sur le CD, juste pour emmerder les « vinyles freaks ») torrides sur l’amour, la perte, la luxure, la vie, dont le rave-up psycho-punk tordu injecté de Farfisa Junk Man, un premier clip simpliste et lo-fi qui donne le ton pour ce qu’il reste à venir.
garage-rock