jazz

Festival International de Jazz: Apéro Jazz Molson – Donald Dogbo et Tevet Sela Quartet!

par Rédaction PAN M 360

Le Festival International de Jazz est de retour à Montréal cette année pour une 44e édition!

Du 27 juin au 6 juillet 2024, la série « Apéro Jazz Molson » présentée par Molson propose des artistes Jazz aux esthétiques diversifiées, et ce, gratuitement!

  • Donald Dogbo – Vendredi 5 juillet 2024
  • Tevet Sela Quartet – Samedi 6 juillet 2024

Ce contenu provient du site officiel du Festival International de Jazz de Montréal et est adapté par PAN M 360.

classique occidental / musique contemporaine

Les Violons du Roy | Rêves et expérience sonore d’une nuit d’été

par Cédric Picard

Seul au micro, avant même l’entrée en scène de l’orchestre, Nicolas Ellis nous invite au rêve. Pas le rêve enfantin et ludique, mais bien le Rêve (avec un grand R) sous toutes ses facettes, qu’elles soient joyeuses ou tragiques, pleines d’espoir ou de déception. Avec humour, il suggère que l’on mette de côté tout rêve en lien avec les voitures de course considérant la pollution sonore due aux événements du Grand Prix Formule 1 ayant lieu tout près de la Salle Bourgie ce soir-là. Sur ce, les musiciennes et musiciens des Violons du Roy prennent place sur la scène pour créer une véritable expérience musicale. 

Dès le début, on sent qu’il ne s’agira pas d’un concert typique. D’abord, plusieurs chaises sur scène sont ostensiblement vides, puis, la musique débute sur des sons électroniques qui donnent l’impression d’une forêt pleine de vie. Par la suite, l’ensemble entre en jeu et la soprano Andréanne Brisson Paquin se fait entendre, mais au fond du balcon de la salle. À peine a-t-on le temps de vivre pleinement cet espace sonore, une création de la compositrice Claudie Bertounesque, que la Fantaisie sur un thème de Thomas Tallis de Ralph Vaughan Williams en émerge sans interruption. Dès lors, on découvre le deuxième élément inusité de ce concert : neuf musiciennes et musiciens de l’ensemble sont eux aussi installés au balcon de la Salle Bourgie. Ce sont les neuf interprètes qui composent le deuxième orchestre de la célèbre œuvre. Le comble est que l’acoustique de la Salle Bourgie est si parfaite que, si on ne connaissait la position de ces musiciens (c’était mon cas, étant assis au parterre), on aurait juré que le son provenait de quelque endroit dissimulé sur scène. Le moment était particulièrement enchanteur. 

Les performances musicales des musiciennes et musiciens des Violons du Roy n’ont pas fait exception à la réputation de l’ensemble qui se démarque par la qualité constante de ses interprétations à travers tous les styles. Des mélodies expressives et flottantes de Vaughan Williams au folklorisme déjanté de Kilar, tout passe à merveille. Mention spéciale à la soprano Andréanne Brisson Paquin qui transmet avec brio la charge émotive des paroles de Golijov par la flexibilité et la puissance remarquable de sa voix. 

Après le concert, il m’est resté l’impression d’avoir vécu une expérience singulière, quelque chose de plus grand qu’une simple performance musicale. L’inclusion des trois interludes commandés spécialement pour faire le pont entre les œuvres, le choix de jouer Vaughan Williams de manière antiphonale et l’ordonnancement des œuvres au programme de la plus lyrique à la plus frénétique, ce sont là l’évidence d’une attention particulière dans la conception de l’expérience musicale. Je dois avouer que j’ai été convaincu. J’aurais toutefois retiré l’entracte qui scindait maladroitement en deux parties les chansons de Golijov. Le fil conducteur aurait été beaucoup plus apparent s’il n’était pas coupé. Une autre opportunité manquée, à mon avis, est l’intégration plus ou moins habile des illustrations de Frédéric Ellis. Bien qu’elles soient magnifiques, elles n’ont pas énormément contribué à l’expérience de concert. Ceci étant dit, elles n’y ont rien retiré non plus, donc je ne leur en tiens pas rigueur. 

L’idée de faire sortir le concert classique de son cadre rigide n’est pas nouvelle, mais la manière dont Nicolas Ellis et les Violons du Roy l’ont exécutée est louable. Ce concert a été un exemple parfait de ce qu’il est possible de faire lorsqu’on s’interroge réellement sur l’expérience qu’on offre en tant que musicien classique et qu’on laisse aller sa créativité et celle des créatrices et créateurs d’aujourd’hui. Mon seul hic: j’en veux cent fois plus! J’ai foi que cette approche nous en mettra plein l’ouïe dans les prochaines saisons des Violons du Roy et dans les prochaines œuvres de nos compositrices et compositeurs canadiens. 

Entretien avec Claudie Bertounesque 

J’ai eu le plaisir de m’entretenir avec Claudie Bertounesque à la suite du concert pour en apprendre plus sur sa pratique artistique. La compositrice s’est dite choyée par l’amour qu’elle a reçu de la part des Violons du Roy dans le contexte de cette création. Étant spécialisée en composition de musique à l’image, ce genre de commande hautement spécifique fait fleurir sa créativité. D’ailleurs, elle m’a révélé que l’écoute des œuvres à l’origine de ses interludes lui a rappelé la couleur bleue, une belle coïncidence considérant que c’est la couleur prédominante des illustrations de Frédéric Ellis. Elle m’a aussi appris l’origine de la musique électronique contenue dans cette œuvre, soit, entre autres, le son d’une lampe à gaz qu’elle a enregistré́ dans un chalet qu’elle a visité et le cri d’un geai bleu qu’elle a ensuite manipulé pour produire des sons ressemblant au coassement d’une grenouille ou à la stridulation de criquets. J’invite les amateurs de musique électroacoustique à entendre Le chant des bélugas, une autre pièce de la compositrice commandée par Nicolas Ellis et l’Orchestre de l’Agora.

crédits photo: Pierre Langlois

classique moderne / classique occidental / opéra

Festival Classica | Der Kaiser von Atlantis : malgré sa modestie, une production importante

par Frédéric Cardin

Un moment que j’attendais depuis longtemps a eu lieu hier à la salle Claude-Champagne de l’Université de Montréal : la représentation de l’opéra Der Kaiser von Atlantis, de Viktor Ullman par le Nouvel Opéra Métropolitain (NOM) et le Festival Classica. Enfin, presque ce que j’attendais car il s’agissait d’une version concert, étoffée, cela dit, grâce à des projections vidéo. Der Kaiser est un grand chef-d’œuvre en petit format (une heure, même pas), un opéra fondamental du 20e siècle qui a failli disparaître sous l’incurie des Nazis, mais à survécu des décennies sous un vieux matelas. Suivez le lien ci-bas pour connaître une partie de l’histoire.

REGARDEZ L’ENTREVUE RÉALISÉE AVEC LE CHEF MATHIAS MAUTE À PROPOS DE DER KAISER VON ATLANTIS 

Der Kaiser raconte une histoire simple : l’Empereur Overall (quel nom approprié) fait la guerre à tous ses voisins. Il se targue d’avoir la Mort à ses côtés, ‘’sous sa bannière’’, et qu’avec elle, aucun ennemi ne peut survivre. La Mort, qui en a assez d’être instrumentalisée de la sorte, décide de faire la grève. Plus personne ne pouvant mourir, la guerre devient inutile, et plus personne n’a peur du vilain dictateur impérial. À tel point que même des soldats tombent amoureux à travers les lignes ennemies. Overall se désespère, lorsque la Mort lui apparaît et lui propose un marché : elle reprendra son service à condition que sa première victime soit l’Empereur lui-même. Dans un geste final de rédemption, celui-ci accepte, pour le bien de tous. La référence directe à Hitler et au fascisme est évidente (la rédemption en moins), et fait figure de symbole puissant, hyper concentré, et de réquisitoire contre l’absurdité de la mégalomanie. Ullmann est mort à Auschwitz en 1944. Il n’aura jamais pu constater que son sujet n’a jamais eu la force de caractère du personnage fictif. 

La partition de Ullmann est merveilleuse. Un chef-d’œuvre absolu de modernisme éclectique, typique d’un certain style des années 1920, 30 et 40, qui osait mélanger allègrement la musique atonale, le Romantisme tardif, le jazz, les musiques populaires, la consonance et la dissonance. Bref, ce à quoi nous sommes aujourd’hui habitués, un siècle d’avance. 

L’orchestre de chambre d’une quinzaine de musiciens comprend un harmonium, un banjo, une guitare et les cordes, bois et cuivres classiques. C’est une musique pétillante de motifs et de bribes de mélodies qui se juxtaposent et s’enchaînent rapidement, sans jamais donner l’impression de s’amalgamer dans une soupe informe. Au contraire, des lignes ultra-limpides, dessinées au scalpel, anticipant parfois celles de Chostakovitch. Ullmann nous garde constamment en alerte. Un modernisme souvent cynique, qui grince et joue serré dans les coins, mais bourré d’humour et d’une contagieuse vitalité. 

Le côté vocal est divisé entre scansions et chant. Il faut noter la très belle prestation de Frédéric Caton (la Mort), une basse ronronnante, très collée au personnage. Également, Florence Bourget dans le rôle du Tambour, magnifique projection et timbre agréable. Éric Laporte en Arlequin (qui symbolise la Vie) est adéquat mais un peu mince dans les aigus. Pierre-Yves Pruvot joue l’Empereur Overall et son vibrato grandiloquent a la chance de profiter d’un personnage qui s’en accommode. Je ne suis pas certain que j’aurais aimé dans un autre contexte. Le Haut-Parleur, la radio nationale en sommes, est mené ‘’impérialement’’ par Tomislav Lavoie, mais dans un Allemand qui manque de clarté. Emmanuel Hasler et Sophie Naubert sont très corrects dans leurs petits rôles de soldats. 

Il s’agissait d’une version concert, mais ‘’augmentée’’, disais-je, grâce à des projections vidéo, combinant de très belles illustrations partiellement animées de Maxime Bigras et un montage de films d’archives réalisé par Matthieu Thoër, de Lumifest en cavale. Sans cette dimension visuelle, l’expérience aurait pu paraître aride. Ne reste plus qu’à espérer maintenant une réelle production scénique, dans un avenir pas trop lointain.

Je ne suis pas de l’avis d’un collègue qui regrette l’absence de costumes dans une version concert. À quoi peut bien servir de ‘’grayer’’ des chanteurs en Halloween quand ils sont condamnés à rester fixes? Ça serait ridicule. Enfin…

Le concert s’est terminé avec la présentation de la Symphonie pour orchestre de chambre no 1 « Remember to Forget », du Montréalais Jaap Nico Hamburger. Un complément adéquat, le thème sous-jacent de cette symphonie étant celle d’un train qui se dirige vers la mort (1er mouvement) et d’un autre qui se dirige vers la libération, ou la vie (2e mouvement).

Le lien avec Der Kaiser se faisait sentir avec la musique de Hamburger, qui manifeste des traits de ressemblance avec celle de Ullmann, bien qu’elle soit bâtie sur une architecture discursive beaucoup plus linéaire. Pas de bonds soudains, voire violents, entre des affects, des textures et des rythmes opposés. Plutôt une musique assez consonante, bien qu’occasionnellement parcourue de poussées atonales, campée sur une pulsation soutenue, illustrant ainsi la marche du train. Dépendant si celui-ci se dirige vers la mort ou la vie, l’atmosphère change, bien sûr. Hamburger ferait un très bon compositeur de cinéma. Cette musique possède un indéniable supplément d’âme : les parents de Hamburger ont survécu grâce au débarquement allié de 1944. Après Ullmann, assassiné, l’existence permise de cet homme fait figure de conclusion positive. Un train vers la mort, un autre vers la vie. 

Hamburger a passé beaucoup de temps en début de concert à offrir un concentré 101 de l’histoire de la musique, avec de nombreuses approximations et raccourcis. Curieux, de la part d’un éminent professeur et musicien.

Il faut regretter que la salle Claude-Champagne n’ait été que partiellement remplie. Serait-ce la salle elle-même, le problème? Pas son acoustique, excellente, mais plutôt son emplacement. Un cul-de-sac (littéralement) dépourvu de toute forme de commodités dans un large rayon tout autour (zéro resto, bar, ou activités quelconque). Un quartier dortoir. Quel dommage, elle sonne si bien. 

Il reste qu’un tel trésor opératique encore trop caché doit absolument être monté et montré partout. Il peut servir autant de document anti-totalitarisme puissant que d’introduction à l’opéra et au langage musical modernes. Sa durée très brève, ses archétypes compréhensibles par tous et toutes et les possibilités infinies qu’il offre en termes de mise en scène, sont autant d’éléments qui en font un incontournable absolu de l’art musical. Ce n’est pas avec ça que le Festival Classica remplira ses coffres, mais l’importance culturelle et sociale de ce genre de proposition est notable, et pourra certainement inspirer d’autres passionnés dans le futur. Il faut donc saluer la vision et le courage de l’équipe Classica, malgré les moyens très modestes à leur disposition pour réaliser ce projet (soulignés à grands traits par d’autres médias…). Que les commanditaires qui le soutiennent le sachent : votre investissement ira infiniment plus loin qu’une ristourne monétaire. 

Bravo et merci pour avoir osé.

breakbeat / électronique / techno

Dystopique. Futuriste. Visionnaire: DJ STingray 313, l’oracle de la techno sombre

par Salima Bouaraour

DJ STINGRAY 313 X SAT X PANM360 

1er juin 2024 

Ce 1er juin, au Club SAT, le public a pu se délecter d’un symbole iconique de la techno de Détroit: DJ Stingray 313. Le nouveau système son a permis de fournir un cadre idyllique pour savourer les sélections de Sherard Ingram. Dystopique. Futuriste. Sombre. Un set de 2 heures où se succèdent les variations d’électro breakée, texturée, analogique, à la teinte scientifique et empreinte de techno au kick martelant. 

Depuis 2006, cet adepte de la scène souterraine a su développer une esthétique unique : toujours masqué et habillé d’un maillot de baseball de Détroit, emmenant le public dans les antres les plus sombres de leur intellect repoussant ainsi les limites de la musique. Des transitions tranchantes contrastant avec le calme constant de ce magicien nocturne. Ce qui fait l’exceptionnel qualité et renommé de ce sagace DJ est sa capacité à offrir des prestations parfaites en modulant constamment la trame sonore tant dans les styles que dans les crescendo brusques et explosifs, ou les diminuendo abrupts. 

L’ambiance dans l’Espace SAT était électrique et joyeuse à souhait. En effet, les fidèles se réjouissaient de cette séance d’exorcisme à s’en évanouir! Invité à maintes reprises à Montréal, on ne se lassera jamais de voir ce virtuose adepte des grands clubs comme Le Basement à New York, le Tangent Galerie à Détroit, Le Tresor à Berlin, le Human Club à Barcelone ou le Festival Intonal à Malmo ou les soirées Dekmantel à Amsterdam. La liste est bien longue! 

Retrouvez toute la programmation de la SAT ici:

expérimental / contemporain

Suoni Per Il Popolo: Peter Zummo Quartet + Malcolm Goldstein + Guy Thouin & Aaron Leaney

par Rédaction PAN M 360

Peter Zummo Quartet est composé de Josh Cole à la basse, Michael Davidson au vibraphone, Blake Howard aux percussions et Peter Zummo au trombone, à la voix et au synthétiseur. Ils joueront « Different Birds », des compositions et des arrangements pour percussions improvisées et ensemble mélodique, avec des pistes d’accompagnement synthétisées d’un genre encore non spécifique et des segments de paroles non linéaires qui suggèrent des conversations entendues et des pensées intérieures. Malcolm Goldstein, contemporain de Zummo et Thouin, présent depuis les années 1960 sur la scène musicale internationale et locale, rejoint le quartet après une courte performance en solo. En ouverture de la soirée, le saxophoniste Aaron Leaney (Ratchet Orchestra) retrouve le légendaire batteur Guy Thouin pour interpréter la musique de leur premier album vinyle en duo, « Lockdown », sorti sur le label Astral Spirits Records, basé à Austin, au Texas. Leur musique est profondément axée sur l’intersection entre l’héritage indo-caribéen de Leaney, les multiples exodes de Thouin en Inde dans les années 1970, lorsqu’il a étudié avec le gourou du tabla Karamuthulla, et leur vocabulaire commun d’improvisateurs acharnés, malgré l’écart d’âge de quatre décennies qui les sépare.

Peter Zummo Quartet consists of Josh Cole on bass, Michael Davidson on vibraphone, Blake Howard on percussion and Peter Zummo on trombone, voice and synthesizer. They will perform “Different Birds”, compositions and arrangements for improvised percussion and melodic ensemble, with as yet non-specific synthesized accompaniment tracks and non-linear lyric segments that suggest overheard conversations and inner thoughts. Zummo and Thouin’s contemporary Malcolm Goldstein, a fixture on the international and local music scene since the 1960s, joins the quartet after a short solo performance. Opening the evening, saxophonist Aaron Leaney (Ratchet Orchestra) reunites with legendary drummer Guy Thouin to perform music from their first duo vinyl album, “Lockdown”, released on Austin, Texas-based Astral Spirits Records. Their music is deeply focused on the intersection between Leaney’s Indo-Caribbean heritage, Thouin’s multiple exoduses to India in the 1970s, when he studied with tabla guru Karamuthulla, and their shared vocabulary of relentless improvisers, despite the four-decade age gap between them.

POUR ACHETER VOTRE BILLET, C’EST ICI!

Ce contenu provient de Suoni Per Il Popolo et est adapté par PAN M 360.

post-rock / psychédélique / shoegaze

Suoni Per Il Popolo: Yoo Doo Right + Shunk + Aspirateur

par Rédaction PAN M 360

avec Mothland

Une nuit consacrée à une approche honnête de l’expérimentation, Yoo Doo Right s’engage dans des éléments de krautrock, de shoegaze, de post-rock et de psychédélisme, créant un son unique qui pourrait être décrit comme un « accident de voiture au ralenti », avec le rock cataclysmique de Shunk qui repousse les limites, ils vous laisseront revigoré, choqué et amoureux de leur son intense mais subtil. Et Aspirateur, musique pour saxophone et guitare électrique du duo James Goddard et Mat Ball.

with Mothland

A night dedicated to an honest approach to experimentation, Yoo Doo Right engage with elements of krautrock, shoegaze, post-rock and psychedelia, creating a unique sound that could be described as a “slow-motion car crash”, with Shunk’s cataclysmic boundary-pushing rock, they’ll leave you invigorated, shocked and in love with their intense yet subtle sound. And Aspirateur, music for saxophone and electric guitar by duo James Goddard and Mat Ball.
POUR ACHETER VOTRE BILLET, C’EST ICI!

Ce contenu provient de Suoni Per Il Popolo et est adapté par PAN M 360.

classique

Domaine Forget: Le Domaine sur la route – Saint-Joseph-de-la-Rive

par Rédaction PAN M 360

Église de Saint-Joseph-de-la-Rive

Offerts gratuitement, ces concerts intimes aux styles variés vous amèneront dans différents lieux de Charlevoix pour un été rempli d’escapades musicales.

SAMEDI 6 JUILLET
14 h – Marc-Étienne Leclerc, guitare

DIMANCHE 21 JUILLET
11 h
Dominique Beauséjour-Ostiguy, violoncelle
Dantonio Pisano, piano

SAMEDI 27 JUILLET
14 h – Cordes en balade

JEUDI 15 AOÛT
19 h 30
Ariane Girard, mezzo-soprano
Dominique Côté, baryton
Anne-Marie Bernard, Louise Pelletier, Jean-François Mailloux, piano

Saint-Joseph-de-la-Rive Church

Offered free of charge, these intimate concerts in a variety of styles will take you to different Charlevoix venues for a summer full of musical escapades.

SATURDAY, JULY 6
2 p.m. – Marc-Étienne Leclerc, guitar

SUNDAY, JULY 21
11 h
Dominique Beauséjour-Ostiguy, cello
Dantonio Pisano, piano

SATURDAY, JULY 27
2 p.m. – Cordes en balade

THURSDAY AUGUST 15
19 h 30
Ariane Girard, mezzo-soprano
Dominique Côté, baritone
Anne-Marie Bernard, Louise Pelletier, Jean-François Mailloux, piano

CET ÉVÈNEMENT EST GRATUIT!

Ce contenu provient du Domaine Forget Charlevoix et est adapté par PAN M 360.

classique

Festival de Lanaudière: Nézet-Séguin et Hamelin – À nouveau réunis

par Rédaction PAN M 360

C’est devenu une sorte de tradition lanaudoise : la réunion estivale de deux des plus grands musiciens du Québec, auxquels l’on doit certains des plus grands moments de notre Festival depuis quelques années. Cette fois, c’est autour de Franz Liszt qu’on les retrouve, non pas d’un, mais de ses deux (!) concertos pour piano, démentiellement ardus, interprétés à la suite par un Marc-André Hamelin se jouant de toutes les difficultés. Entre ces deux mastodontes, la profonde intériorité et la nostalgie romantique de Brahms sont au rendez-vous.

It’s become something of a Lanaudière tradition: the summer reunion of two of Quebec’s greatest musicians, who have been responsible for some of our Festival’s finest moments in recent years. This time, it’s all about Franz Liszt, in not one but two (!) of his insanely arduous piano concertos, performed back-to-back by Marc-André Hamelin, who makes light of all the difficulties. Between these two behemoths, Brahms’ deep interiority and romantic nostalgia are on display.

POUR ACHETER VOTRE BILLET, C’EST ICI!

Ce contenu provient du Festival de Lanaudière et est adapté par PAN M 360.

classique

L’OSM dans les parcs SiriusXM – Beaconsfield

par Rédaction PAN M 360

Retrouvez l’OSM dans les parcs lors d’un concert gratuit en plein air dirigé par le chef d’orchestre Andrei Feher! Sous la thématique du Noël des campeurs, venez écouter, en famille ou entre ami.es, des extraits du répertoire classique des fêtes comme Casse-Noisette de Tchaïkovski ou la Farandole de Bizet. Profitez de moments magiques sous les étoiles en compagnie d’André Robitaille, du violoncelliste d’origine sino-canadienne Leland Ko, lauréat du premier prix du Concours OSM 2023, ainsi que de l’Orchestre.

Join the OSM in the parks for a free outdoor concert led by conductor Andrei Feher! Under the theme of Christmas for campers, come and listen to excerpts from the classical holiday repertoire, such as Tchaikovsky’s Nutcracker and Bizet’s Farandole, with family and friends. Enjoy magical moments under the stars in the company of André Robitaille, Chinese-Canadian cellist Leland Ko, winner of first prize in the OSM Competition 2023, and the Orchestra.

CET ÉVÈNEMENT EST GRATUIT!

Ce contenu provient de l’Orchestre symphonique de Montréal et est adapté par PAN M 360.

punk / rock n' roll

Suoni Per Il Popolo: Puffer + Purity Culture + Zeal + White Knuckle

par Rédaction PAN M 360

La musique effrayante de Purity Culture à Toronto, le D-Beat Raw Punk de Zeal à Ottawa, le mélange de Rock ‘n’ Roll et de Punk de Puffer à Montréal et pour finir, le « Progressive Punk Outfit » de White Knuckle.

Purity Culture’s scary music in Toronto, Zeal’s D-Beat Raw Punk in Ottawa, Puffer’s mix of Rock ‘n’ Roll and Punk in Montreal, and last but not least, White Knuckle’s “Progressive Punk Outfit”.
POUR ACHETER VOTRE BILLET, C’EST ICI!

Ce contenu provient de Suoni Per Il Popolo et est adapté par PAN M 360.

classique

L’OSM dans les parcs Sirius XM – Brossard

par Rédaction PAN M 360

Retrouvez l’OSM dans les parcs lors d’un concert gratuit en plein air dirigé par le chef d’orchestre Andrei Feher! Sous la thématique du Noël des campeurs, venez écouter, en famille ou entre amis, des extraits du répertoire classique des fêtes comme Casse-Noisette de Tchaïkovski ou la Farandole de Bizet. Profitez de moments magiques sous les étoiles en compagnie d’André Robitaille, du violoncelliste d’origine sino-canadienne Leland Ko, lauréat du premier prix du Concours OSM 2023, ainsi que de l’Orchestre.

Join the OSM in the parks for a free outdoor concert led by conductor Andrei Feher! Under the theme of Christmas for campers, come and listen, with family or friends, to excerpts from the classical holiday repertoire such as Tchaikovsky’s Nutcracker or Bizet’s Farandole. Enjoy magical moments under the stars in the company of André Robitaille, Chinese-Canadian cellist Leland Ko, winner of first prize in the OSM Competition 2023, and the Orchestra.
CET ÉVÈNEMENT EST GRATUIT!

Ce contenu provient de l’Orchestre symphonique de Montréal et est adapté par PAN M 360.

Inscrivez-vous à l'infolettre