classique

Le requiem de Mozart à la Maison symphonique

par Rédaction PAN M 360

Vous pourrez revivre la splendeur et la désolation du Requiem de Mozart, ravivé par le brillant Ensemble Caprice et l’Ensemble ArtChoral. Souvent considéré comme ayant été composé pour ses propres funérailles, l’ultime chef-d’œuvre de Mozart est un témoignage d’une beauté envoûtante du génie de son compositeur. Également au programme, la Symphonie n° 41 (la « Symphonie Jupiter ») et l’Ave Verum Corpus de Mozart.

Relive the splendor and desolation of Mozart’s Requiem , brought to life by the brilliant Ensemble Caprice andEnsemble ArtChoral. Often thought to have been composed for his own funeral, Mozart’s final masterpiece is a hauntingly beautiful testament to the composer’s genius. Also on the program, Mozart’s Symphony No. 41 (the « Jupiter Symphony ») andAve Verum Corpus .

W.A. MOZART, Ave verum, K.618

W.A. MOZART, Symphony no. 41 Jupiter, K. 551

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W.A. MOZART, Requiem, K. 626


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classique

Les cordes avides: étudiants d’instruments à cordes en concert à la Salle Serge-Garant

par Rédaction PAN M 360

ENTRÉE LIBRE!

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classique

Les Quatre Saisons de Vivaldi à la Maison symphonique

par Rédaction PAN M 360

La violoniste Isabella d’Éloize Perron est de retour pour une tournée nord-américaine qui la mènera à Montréal, Toronto, Vancouver, New York, Philadelphie, Boston et bien d’autres. La flamboyante virtuose ne manquera pas d’impressionner lors d’une nouvelle série de concerts passionnants, dont ses débuts au Stern Auditorium / Perelman Stage du Carnegie Hall. Interprété par l’Orchestre FILMharmonique, Les Quatre Saisons de Vivaldi sera porté par un souffle de jeunesse, alors que Les Quatre Saisons de Buenos Aires, signé Astor Piazzolla, nous plongera dans l’univers sensuel du tango argentin.

Violinist Isabella d’Éloize Perron returns for a North American tour that will take her to Montreal, Toronto, Vancouver, New York, Philadelphia, Boston and more. The flamboyant virtuoso is sure to impress in another exciting series of concerts, including her debut at Carnegie Hall’s Stern Auditorium / Perelman Stage. Performed by the FILMharmonic Orchestra, Vivaldi’s Four Seasons will be carried by a breath of youth, while Astor Piazzolla’s Four Seasons of Buenos Aires will plunge us into the sensual world of Argentine tango.


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blues

Dawn Tyler Watson Quartet au Upstairs

par Rédaction PAN M 360

La compositrice-interprète lauréate d’un prix Juno Dawn Tyler Watson a gagné sa place parmi l’élite internationale du blues. Elle a adopté Montréal comme maison après avoir obtenu son baccalauréat en études jazz et théâtre de l’Université Concordia. Depuis lors, sa présence sur scène ardente et ses performances émouvantes lui ont valu une reconnaissance nationale et mondiale avec de nombreux prix, dont les Maple Blues Awards pour l’auteur-compositeur, le meilleur album, la chanteuse de l’année et une nomination de 2020 à la blues américaine pour la chanteuse de l’année aux côtés de grands noms comme Curtis Salgado et Mavis Staples. Son dernier album «Mad Love» vient de recevoir le prix JUNO 2020 du meilleur album de blues de l’année.

Juno Award-winning singer-songwriter Dawn Tyler Watson has earned her place among the international blues elite. She made Montreal her home after graduating from Concordia University with a B.A. in Jazz and Theatre Studies. Since then, her fiery stage presence and stirring performances have earned her national and global recognition with numerous awards including Maple Blues Awards for Songwriter, Best Album, Female Vocalist of the Year and a 2020 American Blues nomination for Female Vocalist of the Year alongside greats like Curtis Salgado and Mavis Staples. Her latest album « Mad Love » just won the 2020 JUNO award for best blues album of the year.

RÉSERVATIONS PAR TÉLÉPHONE AU 514-931-6808

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afropop

Kenzow au Club Balattou

par Rédaction PAN M 360

« Les gens veulent quelque chose de rafraichissant », expliquait Kenzow à The Gazette, disant du même coup vouloir amener la coolitude de la guitare ouest-africaine dans les rues de la ville. Le fils d’Idrissa Ouedraogo manie une pop africaine inspirée de reggae, s’égarant parfois dans des recoins soukous.

Jeune artiste auteur-compositeur-interprète, originaire du Burkina Faso, il a posé ses bagages à Montréal il y a deux ans, après un passage par la France. On peut d’ailleurs l’entendre jouer de la musique dans les rues de Montréal ou dans le métro.

Avec des sonorités afro pop urbaine et reggae dans le style d’Afrique de l’Ouest, Kenzow souhaite toucher et émouvoir le plus de monde possible, peu importe les origines.

Très inspiré, le musicien passe son temps à la recherche de nouvelles sonorités, souvent accompagné de sa guitare. Fils du célèbre réalisateur Africain Idrissa Ouedraogo, Kenzow a été bercé par l’art et la culture, depuis son enfance.

“People want something refreshing,” Kenzow told The Gazette, saying he wanted to bring West African guitar coolness to the city streets. Idrissa Ouedraogo’s son wields a reggae-inspired African pop sound, sometimes straying into soukous corners.

A young singer-songwriter from Burkina Faso, he moved to Montreal two years ago after a stint in France. You can hear him playing music in the streets of Montreal or in the subway.

With urban Afro pop and reggae sounds in the style of West Africa, Kenzow wishes to touch and move as many people as possible, regardless of their origins.

Very inspired, the musician spends his time looking for new sounds, often accompanied by his guitar. Son of the famous African director Idrissa Ouedraogo, Kenzow has been rocked by art and culture since his childhood.


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avant-garde / classique occidental / expérimental / contemporain / musique contemporaine

Quatuor Bozzini : micro tonalités, grandes musiques

par Frédéric Cardin

La musique savante contemporaine ne se porte pas trop mal à Montréal. Hier soir, une salle pleine (l’Espace bleu du complexe Wilder dans le Quartier des Spectacles) accueillait le concert Harmonies inouïes du Quatuor Bozzini, alors que la veille, c’est l’Agora Hydro-Québec du Cœur des sciences de l’UQAM qui offrait une salle comble à la SMCQ. De bonnes nouvelles, donc. Mais revenons à nos moutons bozziniens. Ce n’était pas une proposition facile que celle de ce concert : quatre créations de musique microtonale par trois jeunes compositeurs et une compositrice assez peu connus : Gabriel Dufour-Laperrière, Paolo Griffin, Bekah Simms et Francis Battah (qui, celui-ci, bénéficie tout de même d’une renommée grandissante). 

Les prochains concerts du Quatuor Bozzini

Adherence de Paolo Griffin est un exercice assez monochrome (ou plutôt microchrome?) qui place l’auditeur dans une sorte de microgravité sonore, faite de notes soutenues (microtonales bien sûr) se superposant les unes sur les autres dans une dynamique presque inexistante. Tout coule de Gabriel Dufour-Laperrière est une construction de proximité stylistique avec Adherence, mais déjà plus mouvante dans les dynamiques et dans l’écriture instrumentale. de nombreux glissandos détaillent une architecture générale ondoyante, qui enfle et se désenfle constamment. Ces pics et ces creux dynamiques demeurent centrés sur une moyenne qui oscille entre le mezzo-forte et le forte, mais qui, au quatre cinquièmes de la pièce environ, atteignent un intense double forte. 

Les deux meilleures pièces (à mon humble avis) encadraient le programme. Songs for Fallow Fields (Chansons pour champs en jachère) de Bekah Simms ose la mélodie et la consonance, auxquelles se greffent des ornementations et des enrobages harmoniques microtonaux. En ce sens, la partition de la jeune compositrice terre-neuvienne installée à Glasgow est résolument plus actuelle que les deux précédentes. En ce début de 21e siècle, l’exploration des rencontres entre la néo-tonalité, voire le mélodisme franc, et les techniques d’avant-garde expérimentale est une avenue porteuse qui rafraîchit fortement le discours de la musique savante. Une avenue qui a également l’avantage non négligeable d’élargir le public de cette discipline. Bref, à Bekah Simms (présente dans la salle) qui disait à propos de cette pièce : Je n’ai pas l’habitude d’écrire des mélodies, mais cette fois, j’avais le temps’’, je répondrais : ‘’Poursuivez sur cette voie, et continuez de prendre le temps, ça marche!’’.

La dernière pièce du programme était également la plus étoffée, la plus aboutie et celle démontrant la meilleure maîtrise du langage musical mais aussi du principe de structure discursive et de propos à la fois exigeant et aisément compréhensible. 

Simplement intitulé Quatuor à cordes no 4, l’œuvre du Montréalais Francis Battah va plus loin encore que la rencontre consonance mélodique/microtonalité de Bekah Simms. Dans son quatuor, Battah construit un système de musique modale microtonale! Ce n’est pas en soi une invention puisque dans certaines cultures, telle la tradition du chant maqam de la musique savante musulmane, la microtonalité modale est chose acquise. Néanmoins, la démarche de Batah est aboutie et franchement réussie, et ceci lui permet de créer un véhicule dans lequel des musiques folkloriques imaginaires sont évoquées dans un canevas généreux de quelque 20 minutes. Ainsi, nous avons l’impression en l’écoutant qu’une porte sur un univers parallèle s’est ouverte, nous laissant découvrir un monde semblable au nôtre, mais dans lequel les bases musicales ‘’normales’’ sont microtonales. Battah a beaucoup écouté une multitude de musiques folkloriques et savantes non européennes afin d’inspirer son écriture. On reconnaît, comme des spectres fantomatiques mais aisément discernables, des influences celtiques, indiennes, arabes, perses. Le Quatuor à cordes no 4 de Francis Battah aura, je le souhaite ardemment (et j’ose aussi le prédire) une belle et longue vie. Les quatuors sérieux et audacieux y trouveront une matière à la hauteur de leur talent et une œuvre qui malgré son haut degré de savoir saura plaire à un public curieux et attentif. L’ami et collègue Alain Brunet, qui m’accompagnait sur place, était aussi de cet avis.

Il serait presque inutile de souligner, encore une fois, la qualité de jeu du quatuor Bozzini. Impeccable et parfaitement au diapason de la volonté des artistes créateurs. Il y a certainement une bonne étoile au-dessus de la tête de ces quatre jeunes artistes en composition savante, car voir sa musique jouée par un ensemble de si haute tenue est un privilège exceptionnel. 

De gauche à droite : Francis Battah, Bekah Simms, Alissa Cheung, Clemens Merkel, Stephanie Bozzini, Isabelle Bozzini, Paolo Griffin, Gabriel Dufour-Laperrière – crédit : Alain Brunet
latino

Stephanie Osorio au Club Balattou

par Rédaction PAN M 360

Hivernant dans les rythmes des terres chaudes de l’Amérique du Sud, tout comme un oiseau migrateur, la musique de Stephanie Osorio est remplie de poèmes qui cherchent à développer un son nouveau et chaleureux à partir des rythmes latino-américains, cherchant à contribuer à la diversité musicale du Québec et à offrir au public un voyage musical à travers des histoires de la vie quotidienne qui migrent sans frontières, de l’oreille directement à l’âme de l’auditeur.

Wintering in the rhythms of the warm lands of South America, like a migratory bird, Stephanie Osorio’s music is filled with poems that seek to develop a new and warm sound from Latin American rhythms, seeking to contribute to the musical diversity of Quebec and to offer the audience a musical journey through stories of everyday life that migrate without borders, from the ear directly to the listener’s soul.

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Ce contenu provient de Club Balattou et est adapté par PAN M 360.

Kim Richardson Trio au Dièse Onze

par Rédaction PAN M 360

Lauréate de trois prix Juno, Kim, née en Ontario, chante depuis plus de 35 ans. Elle chante (presque) n’importe quoi! Du rock, de la pop, du R’N’B, du jazz, du gospel, du country et même quelques pièces classiques avec l’Orchestre symphonique de Montréal. Ses voyages musicaux l’ont menée à travers le Canada ainsi que dans certaines régions des États-Unis, d’Europe, d’Afrique et d’Amérique du Sud. Parmi ses dernières apparitions, Kim a chanté les hymnes nationaux pour les Canadiens de Montréal, a participé au 375e anniversaire de Montréal au Centre Bell et terminé une tournée de 30 mois avec American Story Show. Son plus récent single intitulé No Mountain Too High avec le chanteur/compositeur et multi-instrumentiste incroyable Jason Lang, est disponible sur la plupart des plateformes musicales

Winner of three Juno awards, Ontario-born Kim has been singing for over 35 years. She sings (almost) anything! Rock, pop, R’N’B, jazz, gospel, country and has even performed some classical pieces with the Montreal Symphony Orchestra. Her musical travels have taken her across Canada as well as parts of the US, Europe, Africa and South America. Among her latest appearances, Kim has sung the national anthems for the Montreal Canadiens, participated in the 375th anniversary of Montreal concert at the Bell Centre and completed a 30-month tour with “American Story Show”. Her recent single called “No Mountain Too High” with singer/songwriter and musician extraordinaire Jason Lang, is available on most music platforms.

BILLETS EN VENTE À LA PORTE!

Ce contenu provient du Dièse Onze et est adapté par PAN M 360.

MUTEK 2023 | Satosphère 1 : Metaract et Iwakura

par Théo Reinhardt

Le premier événement Satosphère de MUTEK 2023 est un programme double, avec les projets audiovisuels Metaract et Iwakura. Le premier est, selon le site web du festival, « une exploration de la dualité entre l’analogique et le numérique », et le second, « un voyage surnaturel pour redécouvrir la transcendance de la nature ». Voici nos impressions.

Crédits photo : Ash KG

Metaract

Metaract est la première des deux présentations, créée par les artistes japonais Manami Sakamoto et Yuri Urano. C’est un film immersif concentré sur la nature qui, dans le cadre de la SAT, s’interroge certainement sur les relations entre le monde naturel et technologique. 

D’une particule de poussière dans le néant, à une goutte d’eau dans une rivière qui gèle, à un morceau de terre dans une forêt, on semble nous faire passer à travers tous les états de la matière, comme si nous les vivions à la première personne. Les choses bougent lentement, même si on a l’impression de traverser des distances temporelles à l’échelle de l’univers en quelque 20 minutes. Qui plus est, le ton explorateur mais tout de même pudique de cette représentation assez abstraite de la nature n’est pas sans rappeler la lentille curieuse et avide envers la nature dans les films de Terrence Malick, je pense surtout à The Tree of Life et à son récent documentaire Voyage of Time.

La musique reste assez sobre, des nappes ambient qui nous placent dans un espace sans début ni fin, avec quelques sons de cloche et carillons lointains ici et là. L’image qui revient le plus souvent est celle de milliers de petits points flottants dans le néant, qui peuvent autant être infiniment petits ou grands. Il n’y a pas vraiment d’échelle de référence ici, mais même le petit paraît immense lorsque assis, la tête levée, sous le dôme de la satosphère. 

À la fin du film, alors que des coups de basse fréquence imitent un coeur bien vivant, les milliers de points colorés se dotent d’une intelligence et forment des arbres, avant d’éclore, de retomber dans un chaos galactique, et finalement, de revenir en tant qu’arbres, leur forme finale. Du moins, pour le moment.

Iwakura

Cette deuxième présentation, par les artistes Kazuka Naya, Ali Mahmut Demirel et Maurice Jones, est plus abstraite, plus bizarre, plus préoccupante et surtout, plus psychédélique.

Né de ce qui paraît être une obsession pour la géologie, le voyage d’Iwakura commence en arpentant lentement, et de très près, des parois de grottes variées, qui se fondent l’une dans l’autre. La musique ici est sombre, ténébreuse, calcifiée. On se croirait plongé dans une recherche minutieuse, sinon un peu fantasmatique, d’un fossile, d’un secret quelconque taillé dans le roc. Mais nous ne nous arrêterons pas là. Le voyage doit nous emmener bien plus loin, dans les limbes de la forme, et nous ne sommes pas certains d’en revenir. 

Au fil des images, les entités rocheuses, maintenant solitaires dans le néant, se succèdent, et leur mouvement devient de plus en plus surnaturel: elles se retournent en elles-mêmes, s’ouvrent vers nous en un tunnel qui s’écrase et s’allonge à l’infini, se creusent et se déploient en même temps par excroissances géométriques, symétriques, alors qu’on oublie la musique et que toute notre attention est piégée par ce trou noir géologique.

Finalement, on revient à notre point de départ, avec des parois de rochers, auxquelles se fondent des chutes d’eau et des arbres, alors que la musique monte en intensité, en orchestration, et en sentimentalité. Tout un voyage. A-t-on atteint la transcendance? Le sublime? L’horreur? Un peu des trois, peut-être…

jazz / reggae

Momo Soro & Jazz’Wa au Club Balattou

par Rédaction PAN M 360

Dès que Momo Soro entame un solo de batterie, le temps s’arrête dans un de ces moments de grâce inexplicable où rien d’autre que la beauté du son ne compte. À l’aise autant sur des beats Reggae que des impros de Jazz ou dans un hommage à Charles Aznavour, il est de ces artistes qui vivent leur musique. Frappant son instrument avec force, conviction et joie, encore et toujours inspiré par les rythmes de son enfance à Korhogo, celui qui a accompagné les plus grands des musiques du monde est aussi un compositeur et un arrangeur de talent qui réussit à mettre en valeur ceux avec qui il partage la scène et à communiquer toute une gamme d’émotions au public.

As soon as Momo launches into a drum solo, time seems to stop in one of those inexplicably beautiful moments where only sound matters. Whether playing a reggae beat, improvising jazz or singing a song in honour of Charles Aznavour, he is one of those artists who fully lives and breathes their music. A master drummer who plays his instrument with conviction and pure joy, he will forever be inspired by the rhythms of his youth back in Korhogo. Not only has he played with some of the biggest names in world music, he also a talented composer and arranger who knows how to bring out the best of those with whom he stares the stage and to convey a whole range of emotions to his audience.

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Ce contenu provient des Productions Nuits d’Afrique et est adapté par PAN M 360.

jazz

Taurey Butler Trio chez Upstairs

par Rédaction PAN M 360

Taurey Butler est un pianiste de jazz phénoménal du plus haut calibre. Il présente ce concert en trio en compagnie de Morgan Moore à la contrebasse et Wali Muhammad à la batterie. Natif d’East Orange, au New Jersey, il a joué dans de nombreuses villes à travers le monde, de Hong Kong à New York. Il a choisi de poser ses valises à Montréal.

Le premier disque éponyme de Taurey Butler sur le label Justin Time est paru en novembre 2011. Ce premier album a reçu des critiques dithyrambiques. Depuis, il s’est imposé comme maitre d’un swing rythmé et élégant. Son style démontre un engouement profond pour le blues et les ballades.

Facile de se perdre dans le feu et le funk de Taurey Butler ou dans sa douceur et ses rythmes. Mais on peut aussi bien suivre la lumière éblouissante qui émane de sa musique.

Taurey Butler is a phenomenal jazz pianist of the highest calibre.

Hailing from East Orange, New Jersey, he has played in numerous cities across the world from Hong Kong to New York and now makes his home in Montréal. Taurey’s debut self-titled recording on the Justin Time label was released in November 2011 to resounding critical acclaim. He emerges as a fully-formed master of hard-driving swing with a deep feeling for the blues and ballads.

It’s easy to get lost in the fire and funk, the sweetness and swing, of Taurey Butler. But you can also follow the light that his music emanates.

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Ce contenu provient du Upstairs Jazz et est adapté par PAN M 360.

jazz

Shawn McPherson Blues Band au Upstairs Jazz

par Rédaction PAN M 360

Shawn McPherson est un chanteur et harmoniciste canadien qui parcoure la scène blues du Québec depuis sa jeune adolescence. Il s’est déjà distingué comme l’un des leaders et harmonicistes les plus accomplis de la nouvelle génération du blues canadien.

Sur scène, sa voix puissante et son énergie débordante captivent le public dès la première note. Fortement influencés par les bluesmans de Chicago, tels que Little Walter, Sonny Boy Williamson II et Big Walter Horton, Shawn et son groupe jouent de l’authentique Chicago Blues. Jouant sur instruments, microphones et amplis d’époque, ils vous transporteront dans le temps, à l’époque des ‘’juke joints’’ des années 1950.

Shawn McPherson is a Canadian blues harmonica player and singer. Having played the blues around Quebec since he was a young teen, he has already established himself as one of the great up-and-coming Canadian harmonica players and frontmen. With a booming voice and energetic stage presence, your attention will be drawn-in from the first note.

Heavily influenced by authentic Chicago bluesmen such as Little Walter, Sonny Boy Williamson II, and Big Walter Horton, Shawn and his band play authentic Chicago Blues. Using period-correct instruments, microphones, and amplifiers, you’ll be taken back in time to the juke joints of the early 1950s.

RÉSERVATIONS PAR TÉLÉPHONE SEULEMENT AU 514-931-6808!

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