chant choral / classique occidental / trad québécois

Sacré Gilles Vigneault | Entre Natashquan et Buenos Aires

par Judith Hamel

La musique sacrée nous raconte parfois plus que le catéchisme. Elle rassemble, elle élève, elle nous rappelle que nous sommes ici, ensemble. Ce samedi soir, le Chœur Métropolitain nous convie à une double messe à la croisée des Amériques. À la rencontre des peuples argentins et québécois, ces messes font vibrer les rythmes du quotidien, mêlant toutes deux les traditions européennes et les folklores locaux. 

Mais la véritable star du soir, c’était Gilles Vigneault. Une charmante vieille dame, assise à mes côtés, me souffle à l’oreille : « Monsieur Vigneault est là ! ». Les gens devant, derrière, se retournent et sortent leur téléphone pour capturer la présence de cette légende. Avant même que la première note ne résonne dans la Maison symphonique, une ovation s’élève pour saluer ce grand homme qui a forgé la nation québécoise. 

La première partie du concert était consacrée à l’Argentine à travers la musique de quatre de ses compositeurs : Carlos Guastavino, Astor Piazzolla, Juan de Dios Filiberto et Ariel Ramírez.

Le concert s’ouvre sur une note de merveille, de contemplation, avec Indianasde Carlos Guastavino. Ses mélodies charmantes nous chantent la pomme par des textes d’amour aux métaphores sur la nature. Dans Oblivion d’Astor Piazzolla, une œuvre initialement écrite pour bandonéon, l’arrangement pour chœur et voix soliste avec la soprano Myriam Leblanc nous a ensorcelé dès sa première note avec un timbre pur et coloré. Cette version mélancolique fait résonner la thématique de l’oubli dans l’œuvre comme une douce nostalgie. Avec Caminito de Juan de Dios Filiberto, on change de dynamique. Cette chanson légère, ancrée dans la tradition du tango, apporte une touche entraînante et conviviale au concert. 

Enfin, avant la messe québécoise, c’est la Misa Criolla d’Ariel Ramírez qui vient conclure cette première partie. Comme Gilles Vigneault avec sa terre natale de Natashquan, Ramírez explore ici le métissage des cultures, entre racines autochtones et héritages européens. Cette œuvre surprend par ses sections dansantes rythmées qui alternent avec des passages lyriques. Les solistes Antonio Figueroa (ténor) et Emanuel Lebel (baryton) étaient d’une magnifique complémentarité timbrale. Cette messe vivante et ancrée dans les traditions locales mérite d’être entendue et réentendue.

Comme Ramirez, Vigneault tisse les fils d’un peuple métissé dans cette messe qui évoque nos vents du Nord et la prière des gens ordinaires. Présentée en première mondiale, ce nouvel arrangement de la Grand-Messe par Sebastian Verdugo prend une forme légère et colorée, où les textures du chœur se mêlent à celles des guitares, du charango, du piano, de la contrebasse, du violon et des percussions. Si la plupart de la messe conserve une structure et des textes traditionnels, certains airs sont transformés en rigodon accompagné de cuillères et de guitare folk, ce qui surprend agréablement les auditeur·rices. 

Enracinée dans la mémoire de Vigneault de Natashquan, la première et dernière partie comprend des paroles en innu : « Shash anameshikanù. Matshik ! Ituték! Minuatukushùl etaiék. » (Maintenant que la messe est dite, Allez vivre en paix sur la terre). 

Enfin, après avoir patiemment attendu leur moment, les choristes de Vincent-d’Indy se sont joints aux musiciens pour les dernières chansons du concert. Sous les arrangements sensibles de François O. Ouimet, plusieurs chansons emblématiques de Gilles Vigneault ont été interprétées, en terminant évidemment par Gens du pays. Les regards rivés vers Vigneault, c’est tout un public debout qui lui a chanté notre hymne qui célèbre d’ailleurs cette année ses 50 ans, tout comme l’Alliance chorale du Québec. Un moment touchant où on ressentait l’amour d’un peuple pour notre Québec, mais surtout pour celui qui a fait naître cet hymne que l’on connaît tous et toutes si bien.

big band / jazz

Festival International de Jazz de Montréal : Jazz at Lincoln Center Orchestra with Wynton Marsalis à la Maison symphonique

par Rédaction PAN M 360

Orchestre de Jazz new-yorkais de renommée mondiale résident du Jazz at Lincoln Center depuis 1988 et composé de 15 des meilleurs solistes et ensembles de jazz actuels, le JLCO est un habitué du Festival. Il interprète un vaste répertoire allant de compositions historiques rares à des œuvres originales, sous la direction générale et artistique de Wynton Marsalis, une des plus grandes figures du jazz encore actives aujourd’hui.

The world-renowned group from New York City, based at the Lincoln Center since 1988 and featuring 15 of today’s finest jazz soloists and ensembles, the Jazz at Lincoln Center Orchestra is a Festival regular. The JLCO performs a vast repertoire, ranging from rare historical compositions to original works, under the general and artistic direction of Wynton Marsalis, one of the greatest jazz figures still active today.

LES BILLETS POUR CE SPECTACLE SONT ÉPUISÉS!

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baroque / chant choral / chant lyrique / classique occidental / musique sacrée

Ensemble Caprice | Une belle soirée sous le signe de la Passion

par Alexis Desrosiers-Michaud

À deux semaines près, l’Ensemble Caprice et Matthias Maute préludaient les célébrations pascales avec la présentation de la Passion selon saint Jean de Johann Sebastian Bach. Dans son discours d’ouverture, Maute raconte que cette œuvre a beaucoup de liens, surtout dans les airs, avec l’art opératique. Comme il nous l’a mentionné plutôt en entrevue, « La Passion selon saint Jean alterne récitatifs, airs et chœurs pour porter le récit avec intensité. Les récitatifs racontent l’histoire, les airs expriment les émotions des personnages, et les chœurs incarnent la foule, renforçant le drame. L’orchestre soutient l’ensemble avec une écriture expressive qui souligne les moments clés. » La preuve nous en fut faite vendredi.

En l’absence de mise en scène, caractéristique de l’oratorio, il faut un narrateur, dans ce cas-ci, l’Évangéliste, pour décrire les scènes. Soutenant toute l’œuvre sur ses épaules, le ténor Philippe Gagné réussit haut la main le défi d’interpréter ce rôle ingrat, mais ô combien important. On voit clairement son intention de raconter réellement une histoire, avec une diction allemande impeccable et laissant les phrases textuelles dicter son interprétation, au lieu de suivre la partition, prêtant une confiance absolue envers le continuo.

L’autre découverte de la soirée est le choriste-soliste William Kraushaar – dont la composition nous avait subjuguées au dernier concert de Caprice -, dans le rôle de Jésus.  Non seulement sa voix est claire, mais Dieu qu’elle porte ! Nous avons déjà hâte de l’entendre comme soliste lors de la prochaine saison. Bien qu’ils interviennent peu, le contre-ténor Nicholas Burns et la soprano Janelle Lucyk livrent leurs arias avec beaucoup d’émotion. Burns est très émouvant en duo avec la larmoyante viole de gambe dans Es ist vollbracht (« Tout est achevé »). Quant à Lucyk, sa voix est quelque peu retenue, mais se fond bien avec les flûtes dans l’ariaIch folge dir gleichfalls (« Je te suis »). Ces deux solistes livrent non seulement leurs arias avec musicalité, mais également avec une présence scénique envoûtante et émouvante.

Le chœur est très bien préparé, et les articulations sèches qui lui sont conférées cadrent bien avec le rôle qu’il occupe, soit la plèbe qui ordonne et acclame l’action du récit biblique. Le meilleur exemple est le morceau « Kreuzige » (Cruxifiez-le! ») où les articulations courtes et accentuées sont incisives.

À la toute fin de l’œuvre, il y avait quelque chose de solennel de voir les solistes (sauf Jean l’Évangéliste) rejoindre le chœur pour entonner un Rut Wohl dansant, et le choral final, en guise d’accompagnement, de remerciement et de célébration de la vie du Christ.

crédit photo : Tam Lan Truong

classique / période moderne

OSM : Isabelle Demers interprète l’Oiseau de feu

par Rédaction PAN M 360

Virtuose accomplie, Isabelle Demers séduit le public par le dynamisme de son jeu et l’originalité de ses programmes. Lors de ce concert, elle transformera le Grand Orgue Pierre-Béique en un somptueux orchestre, dévoilant tous ses atouts dans les transcriptions d’œuvres de Rimski-Korsakov et de Stravinsky.

Consummate virtuosa Isabelle Demers charms audiences with her dynamic playing and original programs. In this concert, she transforms the Grand Orgue Pierre-Béique into an opulent orchestra, bringing out its many facets in transcriptions of works by Rimsky-Korsakov and Stravinsky.

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cinéma / classique

OSM : Fantasia de Disney

par Rédaction PAN M 360

Vivez la magie de Disney avec l’OSM et Fantasia, un des plus spectaculaires films d’animation jamais réalisés. Féériques, cocasses ou fantastiques, les images fusionnent avec la musique de Beethoven, Stravinsky, Dukas et bien d’autres afin de vous faire découvrir l’univers fantastique de la musique classique.

Experience the magic of Disney with the OSM and Fantasia, one of the most spectacular animated films ever made. Enchanting, comical and fanciful, its images dovetail with music by Beethoven, Stravinsky, Dukas, and many others in this journey through the enthralling world of classical music.

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Afrique / classique

OSM : Symphonie «Pastorale» et la mythologie de Glass

par Rédaction PAN M 360

Glass s’inspire de poèmes africains pour composer Ifé, et Beethoven fait part de ses sensations lors d’une promenade à la campagne. De la mythologie du Bénin, célébrée par la chanteuse Angélique Kidjo, à la nature bucolique représentée dans la symphonie « Pastorale », vivez un délicieux moment d’évasion!

Glass drew inspiration from African poems to compose Ifé, while Beethoven conveyed his impressions as he strolled through the German countryside. From the legends of Benin, celebrated by singer Angélique Kidjo, to the rustic landscapes unfolding in the “Pastoral” Symphony, join us for a delightful moment of escape!

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classique / post-romantique

OSM : La poignante Symphonie nº 5 de Tchaïkovski

par Rédaction PAN M 360

Après son succès remporté en 2023, Tianyi Lu retrouve l’OSM en compagnie du pianiste Pierre-Laurent Aimard, un spécialiste incontesté de Bartók. De ce dernier, il interprétera le Troisième Concerto, une partition emplie de poésie et d’emprunts au folklore hongrois. À la relative sérénité de cette œuvre, répondront les accents tourmentés de la Symphonie no 5 de Tchaïkovski dans laquelle le compositeur livre ses craintes les plus secrètes.

After her remarkable performance in 2023, Tianyi Lu returns to the OSM. She is joined by pianist Pierre-Laurent Aimard, undisputed champion of Bartók’s music who performs the composer’s exquisitely poetic Concerto no. 3, infused with elements of Hungarian folklore. This work’s relative tranquility is paired with the tormented inflections of Tchaikovsky’s Symphony no. 5, through which this composer related his most profound personal anxieties.

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classique / classique occidental

Un Voyage Envoûtant à Travers Les Planètes de Holst

par Varun Swarup

Plus d’un siècle après sa création, Les Planètes de Holst demeure une pierre angulaire du répertoire orchestral, et sous la direction de François Choinière avec L’Orchestre Philharmonique et Chœur des Mélomanes (OPCM), l’œuvre a été interprétée avec une clarté et une intention qui ont mis en valeur ses textures complexes et son ampleur émotionnelle. La salle presque comble de la Maison Symphonique témoignait de l’attrait intemporel de cette suite monumentale.

Le déroulement de la performance a été marqué par une attention minutieuse aux détails, capturant le caractère distinct de chaque mouvement. De l’énergie implacable et percussive de Mars aux effluves éthérés de Neptune, l’orchestre a fait preuve d’une précision technique et d’une compréhension profonde de la vision expansive de Holst. Les applaudissements enthousiastes du public après chaque mouvement ont souligné leur connexion à la musique. La rendition de Vénus s’est particulièrement distinguée, déployant une qualité sereine et lyrique qui contrastait efficacement avec les mouvements environnants. Cependant, c’est Neptune qui a laissé l’impression la plus durable. Avec le chœur féminin positionné stratégiquement au-dessus du public, leurs voix désincarnées se sont progressivement évanouies dans le silence, créant un effet irréel qui a persisté dans la salle bien après la dernière note. Le silence collectif du public avant l’éruption des applaudissements en disait long sur l’impact de la performance.

La seconde partie du programme a opéré un changement de ton avec Gloria de Karl Jenkins, une œuvre chorale à grande échelle qui, bien que vibrante et rythmiquement engageante, a semblé quelque peu décalée par rapport à l’introspection et aux qualités cosmiques de The Planets. Malgré ce contraste de programmation, le chœur de l’OPCM a livré une performance engagée et soignée, naviguant avec précision et énergie à travers les transitions dramatiques de l’œuvre. La direction de Choinière est restée une force unificatrice tout au long de la soirée. Sa gestuelle, à la fois expressive et maîtrisée, a équilibré les extrêmes dynamiques de la partition avec une direction claire. Sa capacité à faire ressortir toute la palette de couleurs et de textures de l’orchestre était évidente, en particulier dans les passages plus délicats, où son approche nuancée a permis à la musique de respirer.

Bien que l’association de Holst et Jenkins ait mis en lumière des sensibilités musicales divergentes, la soirée a finalement démontré la versatilité de l’OPCM et le talent de Choinière en tant que chef capable de naviguer avec assurance entre le monumental et l’intime.

acadie / classique / folk

OSM : Salebarbes rencontre l’OSM

par Rédaction PAN M 360

Lancer une invitation à Salebarbes c’est comme s’assurer que le party va lever !  L’année 2025 de ce groupe aura été spectaculaire et l’OSM est heureux de les accueillir sur scène en ouverture de sa série OSM Pop pour couronner en version symphonique leur immense succès.  Sous la direction de la cheffe Dina Gilbert et des arrangements symphoniques d’Antoine Gratton, préparez-vous à vous à taper du pied et à vivre une soirée dont vous vous souviendrez longtemps.

Throwing an invitation to Salebarbes is like making sure that the party will rise! The year 2025 of this group has been spectacular and the OSM is happy to welcome them on stage at the opening of its Pop series, to celebrate their huge success in a symphonic version. Under the direction of conductor Dina Gilbert and with symphonic arrangements by Antoine Gratton, get ready to kick your feet and live an evening you will remember for a long time.

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classique / période romantique

OSM : L’intense Symphonie « Leningrad » de Chostakovitch

par Rédaction PAN M 360

Ce programme juxtapose la pétillante Symphonie no 8 de Beethoven et la puissante Symphonie «Leningrad» de Chostakovitch, une œuvre poignante qui incarne la force de la résistance face à l’oppression. Ce contraste saisissant entre la quête de joie et l’évocation d’un moment historique dramatique promet un concert intense et captivant.

This program contrasts Beethoven’s vibrant Symphony No. 8 with Shostakovich’s powerful Leningrad Symphony, a poignant work that captures the spirit of resistance to oppression. The striking juxtaposition of Beethoven’s joy and Shostakovich’s depiction of a dramatic historical moment promises an intense and captivating concert experience.

Programme

Ludwig van Beethoven, Symphonie no 8, op. 93 (26 min)
Dmitri Chostakovitch, Symphonie no 7, op. 60, «Leningrad» (69 min)

Program

Ludwig van Beethoven, Symphony No. 8, Op. 93 (26 min)
Dmitri Shostakovich, Symphony No. 7, Op. 60 (“Leningrad”) (69 min)

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classique / période romantique

OSM : La damnation de Faust – quête de jeunesse éternelle

par Rédaction PAN M 360

Après avoir enflammé le public avec la Symphonie fantastique de Berlioz lors de sa dernière tournée européenne, Rafael Payare dirige La damnation de Faust. Cette œuvre magistrale de Berlioz, inspirée d’une légende dramatique de Goethe, se distingue par sa puissance orchestrale et son expressivité narrative. Elle suit le destin tragique de Faust qui fait un pacte avec Méphistophélès en échange du bonheur et de l’amour de Marguerite. Cette alliance précipite Faust en enfer, tandis que Marguerite trouve la rédemption. Portée par une orchestration remarquable et des chœurs saisissants, ce concert plongera le public dans une aventure émotionnelle intense et envoûtante. Une ouverture de saison à ne pas manquer!

After thrilling audiences with his interpretation of Berlioz’s Symphonie fantastique on his last European tour, Rafael Payare tackles The Damnation of Faust. Inspired by Goethe’s great play, Berlioz’s masterpiece is characterized by its powerful orchestral writing and narrative expressiveness. The work tells the tragic story of Faust, who makes a pact with Mephistopheles to secure happiness and Marguerite’s love. Instead, the deal lands Faust in hell while Marguerite is saved. Featuring remarkable orchestration and striking choral passages, this concert will take audiences on an intense and captivating emotional journey. A season opener that is not to be missed!

Programme

Hector Berlioz, La damnation de Faust, op. 24 (136 min)

Program

Hector Berlioz, The Damnation of Faust, Op. 24 (136 min)

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classique

OSM : Labadie, Faust et les grands classiques viennois

par Rédaction PAN M 360

Deux grands interprètes sont réunis dans un programme consacré à deux figures emblématiques du classicisme viennois : Beethoven et Haydn. Ce dernier rompt audacieusement avec les conventions dans sa Symphonie n°103, tandis que Beethoven infuse une expressivité romantique dans son Concerto pour violon. Les mystérieuses interventions des timbales, qui ouvrent les deux œuvres, tissent un dialogue fascinant et surprenant offrant au public une expérience riche et inoubliable. Ne manquez pas cette occasion de redécouvrir deux des plus grands compositeurs de l’histoire de la musique.

Two great performers come together for a concert dedicated to two iconic figures of Viennese classicism—Beethoven and Haydn. With his Symphony No. 103, Hadyn made an ambitious break with convention, while Beethoven’s Violin Concerto is full of romantic expressiveness. Both works open with mysterious-sounding timpani passages, creating a captivating dialogue that is always appreciated by audiences. Don’t miss your chance to rediscover two of the greatest composers of all time!

Programme

Joseph Haydn, Symphonie no 103, Hob. I : 103, « Roulement de timbales » (30 min)
Ludwig van Beethoven, Concerto pour violon, op. 61 (42 min)

Program

Joseph Haydn, Symphony No. 103, Hob. I:103 (“Drum Roll”) (30 min)
Ludwig van Beethoven, Concerto for Violin, Op. 61 (42 min)

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