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La révélation palestinienne Nai Barghouti, le rapper montréalais Narcy en tandem avec son ami et collègue arabo-américain Omar Offendum, la Compagnie Rassegna encline aux musiques méditerranéennes, l’ultime légende vivante du chaâbi algérien Abdelkader Chaou, la chanteuse Dorsaf Hamdani et le chœur Deus Ex Machina, les derviches tourneuses Tawhida Tanya Evanson, Shraddha Blaney et Crow, la chanteuse jazzo-marocaine Malika Zarra, l’opéra immersif Sainte-Marine, le troubadour palestinen Abo Gabi, les chants d’hypnose de l’oudiste franco-égyptien Mohamed Abozekry, les solistes chanteuses Oumaima El Khalil, Lila Borsali et Raoudha Abdallah au service des chants de libération, le supravirtuose du oud Naseer Shamma, l’Algérien Kamel Benani et la musique malouf, l’étoile montante de Tunisie Nour Kamar, on en passe.
Le 25e Festival du Monde Arabe de Montréal se déploie pendant plus d’un mois avec le conflit infernal entre la Palestine, le Liban et Israël qui semble très loin de se résorber. Malgré tout, le FMA se tient à Montréal et persiste à alimenter le dialogue des cultures et l’oppose à la haine et la division. Joseph Nakhlé, fondateur et directeur artistique de l’événement, explique à Alain Brunet le contexte de ce FMA et en décrit les grandes lignes de sa programmation sous le thème Méprises : 25 ans de rêves en couleur. C’est dire…