électro-pop / new wave

Osheaga : Marina au parc Jean-Drapeau

par Rédaction PAN M 360

Avec son chant dramatique teinté de new wave et son sens aigu de la mélodie, Marina compose des morceaux pop aux claviers omniprésents, oscillant entre ballades mélancoliques, électro-pop scintillante et glam théâtral. Connue d’abord sous le nom Marina and the Diamonds, elle sort trois albums classés au Royaume-Uni et au Billboard 200 dans les années 2010, avant de se recentrer sur une esthétique plus épurée avec Love + Fear (2019), sous le simple nom de Marina. En 2021, elle renoue avec le son qui avait séduit ses premiers fans grâce à Ancient Dreams in a Modern Land, porté par le hit Man’s World, nommé aux Igor Novello Awards. Après la publication du recueil de poésie Eat the World en 2024, elle fait paraître en 2025 son sixième album studio, Princess of Power.

With a distinctively dramatic, new wave-influenced vocal delivery and melodic style, Marina’s keyboard-driven pop songs vary from melancholic ballads to shimmering electro-pop and theatrical glam. The singer and songwriter released three U.K.- and Billboard 200-charting albums as Marina and the Diamonds during the 2010s before rebranding as simply Marina with 2019’s stripped-back Love + Fear. In 2021, she returned to a sound familiar to fans of her early work on Ancient Dreams in a Modern Land, which featured the Igor Novello-nominated hit « Man’s World. » After publishing 2024’s Eat the World: A Collection of Poems, she issued her sixth full-length, 2025’s Princess of Power.

POUR ACHETER VOTRE BILLET, C’EST ICI!

Ce contenu provient d’AllMusic et est adapté par PAN M 360

dubstep / électronique

Osheaga : ISOxo au parc Jean-Drapeau

par Rédaction PAN M 360

Originaire de San Diego, ISOxo propose un mélange survolté de plusieurs styles de musique bass, dont le trap, le dubstep, l’electro-house et la wave. Il commence à diffuser ses morceaux épiques et chargés d’adrénaline vers 2017, et se fait véritablement remarquer avec son premier EP, Nightrealm, sorti en 2021, qui reçoit le soutien d’artistes comme Skrillex et Alison Wonderland. En 2022, il publie Niteharts, un ensemble de remixes en collaboration avec son complice de longue date Knock2. Son premier album complet, kidsgonemad!, voit le jour en 2023, suivi en 2024 d’une version deluxe intitulée KGM(irl), ainsi que de 4EVR, un autre projet commun avec Knock2 sous le nom ISOKNOCK.

San Diego’s ISOxo produces an exhilarating blend of several forms of bass music, including trap, dubstep, electro-house, and wave. He began releasing his epic, thrill-packed songs around 2017, and issued his debut EP, Nightrealm, in 2021, gaining support from Skrillex and Alison Wonderland, among others. Niteharts, a remix set with longtime collaborator Knock2, appeared in 2022, and ISOxo’s debut full-length, kidsgonemad!, arrived in 2023. Deluxe version KGM(irl)* followed in 2024, as well as 4EVR, another Knock2 collaboration (as ISOKNOCK).

POUR ACHETER VOTRE BILLET, C’EST ICI!

Ce contenu provient d’AllMusic et est adapté par PAN M 360

période romantique

Festival de Lanaudière | Hamelin/Dover : la musique qui résonne

par Frédéric Cardin

Après avoir héroïquement sauvé le concert de l’OM du 27 juillet dernier (LISEZ MON COMPTE-RENDU ICI), le pianiste Marc-André Hamelin offrait hier soir le programme pour lequel il avait été appelé. Ça se passait à l’église de Mascouche, fort bien garnie pour l’occasion. On s’en trouve réjouis car la soirée fut belle. 

Hamelin a lancé le programme avec une sonate de Nikolai Medtner, celle en la mineur, op. 38 n° 1, « Reminiscenza ». C’est une pièce d’un seul trait d’environ 15 minutes et qui mélange habilement, comme c’est le cas avec Medtner, des élans romantiques rachmaninoviens avec une densité contrapuntique germanique. Cette sonate a ceci de peu usuel qu’elle fait partie d’un cycle plus vaste de huit ‘’mélodies oubliées’’ (reminiscenza), d’où le catalogage numéral. L’op. 38 no 1 est la plus vaste des huit, une véritable sonate en bonne et due forme s’étant étrangement trouvée insérée dans une suite thématique. Elle s’amorce avec une douce mélodie aux échos nostalgique avant d’être développée de façon de plus en plus touffue et agitée, puis de revenir à l’esprit de simplicité initial. Hamelin l’a portée avec force, bien que l’acoustique assez réverbérante de l’église ait flouté quelque peu les contours de l’œuvre. 

C’est ensuite le Quatuor étatsunien Dover, formé au Curtis Institute. Le groupe est solide et possède à son actif de nombreux enregistrements salués et récompensés. L’altiste habituelle, Julianne Lee, ne pouvait être présente, si bien qu’elle fut remplacée par … Pierre Lapointe. Non, bien sûr, pas celui entendu la veille avec l’OM sur le Mont-Royal, qui est chanteur. Plutôt un altiste canadien né à Hull et établi au Texas, qu’on connaît malheureusement peu ici. Le pauvre homme est presque impossible à trouver sur le web. Tapez Pierre Lapointe, ajoutez ‘’alto’’ ou même ‘’violon’’, et toute la place des résultats sera quand même prise par l’artiste pop québécois. M’enfin, comme dirait Gaston. Dommages car il a démontré de très belles aptitudes avec le reste du groupe. Solide techniquement, expressif, quoiqu’un peu éteint au niveau de la projection, sauf exception. 

Ainsi constitué, les Dover ont lancé le séduisant Quatuor à cordes n° 1 en ré majeur, op. 11 de Tchaïkovsky avec une pâte sonore un peu mince, presque acide. À fins de comparaison, écoutez le St Lawrence qui joue la même entrée, ce thème si puissamment lié à l’âme russe, et ressentez la rondeur du son, avec sa merveilleuse couleur sombre et profonde comme une abysse. Cette façon a ma préférence je l’avoue. Cela dit, les Dover se sont replacés peu après, et ont offert une lecture très chantante, particulièrement dans le superbe (et célébrissime) Andante cantabile, et dans le Finale, aussi bien trempé dans une énergie vitale convaincante. Les deux derniers accords auraient pu être un brin mieux retenus, moins précipités, mais le public est parti à la pause pipi en fredonnant allègrement l’inoubliable thème. 

Le morceau principal était le Quintette pour piano et cordes en fa mineur, FWV 7 de César Franck, réunissant Hamelin et le quatuor. Le quintette est une construction puissante, avec des passages qui donnent des frissons. Je pense surtout au deuxième mouvement, avec ses accords sublimes empreints de spiritualité poignante, voire de mysticisme transcendant. Ce ne sont pas tous les quatuors qui réussissent à recréer ce moment dans sa prégnance émotionnelle. Ni tous les pianistes qui s’y joignent avec la délicatesse voulue. Ce fut le cas hier, et donc un très beau moment de musique. Le mouvement final a été rendu avec une efficace fébrilité, portée par des articulations précises, bien que, encore une fois, un peu brouillées par l’ampleur résonnante de l’endroit. Ça me donne envie de vous conseiller, si vous étiez présent, d’aller écouter le même Marc-André Hamelin, avec un quatuor quatre étoiles (Joshua Bell, Pamela Franck, Nobuko Imai et Steven Isserlis) dans un enregistrement capté en concert à Verbier : la clarté des voix y est remarquable, ainsi que le propos dramatique de l’écriture, dans une prise de son beaucoup plus limpide que la projection in situ à l’église de Mascouche. Une différence qui se remarque.

Néanmoins, le feu expressif et la qualité de jeu des cinq musiciens sur scène ont donné au public présent un excellent concert de musique de haute tenue. Une ovation sentie a été accordée, à raison. 

afrobeat / hip-hop / rap

Osheaga : Shaboozey au parc Jean-Drapeau

par Rédaction PAN M 360

Artiste aux multiples talents, Shaboozey est un musicien, cinéaste, auteur et producteur éclectique, dont le style puise son inspiration dans des univers aussi variés que la musique country, le rock classique, la pop des années 1980, l’afrobeat, le jazz et le hip-hop. Bien qu’il se fasse connaître dès 2014 avec le single Jeff Gordon, ce n’est qu’en 2018 qu’il sort son premier album officiel, Lady Wrangler. Il enchaîne en 2022 avec Cowboys Live Forever, Outlaws Never Die, un album mêlant country et trap. En 2024, il participe à l’album Cowboy Carter de Beyoncé, avant de connaître un véritable tournant dans sa carrière avec son troisième album, Where I’ve Been, Isn’t Where I’m Going. Porté par le tube A Bar Song (Tipsy) — numéro un du classement Hot Country Songs et nommé aux Grammy Awards —, cet album consacre Shaboozey comme l’un des visages majeurs d’une nouvelle génération d’artistes qui redéfinissent les frontières des genres musicaux.

The genre-blending multi-hyphenate known as Shaboozey is an eclectic musician, filmmaker, author, and producer whose sound draws varied inspiration from country music, classic rock, ’80s pop culture, Afrobeat, jazz, and hip-hop. Though his first output arrived in 2014 in the form of the « Jeff Gordon » single, he wouldn’t release his official debut full-length until 2018. That album, Lady Wrangler, was followed by the country- and trap-infused Cowboys Live Forever, Outlaws Never Die in 2022. Along with contributing to Beyoncé’s Cowboy Carter album, he topped the Hot Country Songs chart with the Grammy-nominated « A Bar Song (Tipsy) » off his breakout third album, 2024’s Where I’ve Been, Isn’t Where I’m Going.

POUR ACHETER VOTRE BILLET, C’EST ICI!

Ce contenu provient d’AllMusic et est adapté par PAN M 360

pop

Osheaga : Gracie Abrams au parc Jean-Drapeau

par Rédaction PAN M 360

La chanteuse et autrice-compositrice Gracie Abrams s’illustre dans une pop moderne stylisée et mélancolique, au son évolutif subtilement influencé par Lorde. Elle se fait d’abord connaître en ligne à la fin des années 2010 grâce à une série régulière de singles, avant de percer en 2020 avec les titres 21 et I Miss You, I’m Sorry, extraits de son EP Minor. Elle collabore ensuite avec Benny Blanco sur le titre très médiatisé Unlearn en 2021, avant de sortir un second EP, This Is What It Feels Like. Son premier album, Good Riddance, coécrit avec Aaron Dessner (du groupe The National), paraît début 2023 et lui vaut une nomination au Grammy Award de la Révélation de l’année. Bien que cet album ait rencontré un bon succès au Royaume-Uni et en Irlande, c’est avec son deuxième album, The Secret of Us, qu’Abrams atteint de nouveaux sommets deux ans plus tard : numéro deux aux États-Unis, numéro un au Royaume-Uni et en Australie. Également coécrit avec Dessner, l’album comprend une collaboration remarquée avec Taylor Swift sur le morceau us..

Singer/songwriter Gracie Abrams specializes in a stylized, moody modern pop with a subtly shifting sound partially indebted to Lorde. Abrams cultivated an online following through a steady series of single releases appearing at the end of the 2010s, experiencing a breakthrough in 2020 with the singles « 21 » and « I Miss You, I’m Sorry » from her EP Minor. She also worked with Benny Blanco on the high-profile 2021 track « Unlearn » before releasing her sophomore EP, This Is What It Feels Like. Abrams’ debut album, the Aaron Dessner co-penned Good Riddance, arrived in early 2023, and she was later nominated for a Best New Artist Grammy Award. While that album had charted well in the U.K. and Ireland, two years later she landed in the Top Two in the U.S. (number two), U.K. (number one), and Australia (number one) with her sophomore album, The Secret of Us. Again co-written with Dessner, it featured a collaboration with Taylor Swift (« us. »).

POUR ACHETER VOTRE BILLET, C’EST ICI!

Ce contenu provient d’AllMusic et est adapté par PAN M 360

DJ set / EDM / électronique

Osheaga : Lost Frequencies au parc Jean-Drapeau

par Rédaction PAN M 360

Le producteur belge Lost Frequencies a connu un immense succès international grâce à ses morceaux de dance ensoleillés et mélancoliques, ses remixes et ses collaborations. Il s’est fait remarquer en 2014 avec Are You with Me, un titre de tropical house basé sur une chanson country d’Easton Corbin, qui s’est hissé en tête des classements à cinq reprises en Belgique et a donné lieu à plus d’une douzaine de titres certifiés or, platine ou diamant. Ce morceau figure sur son premier album Less Is More (2016), aux côtés d’autres grands succès comme Reality (avec Janieck Devy) et une reprise de What Is Love de Haddaway. Son deuxième album, Alive and Feeling Fine (2019), inclut d’autres tubes comme Crazy (avec Zonderling) et Melody (avec James Blunt). Après la sortie de l’EP Cup of Beats en 2020, Lost Frequencies poursuit sur sa lancée avec des hits tels que Rise et Where Are You Now (avec Calum Scott) en 2021, Questions (avec James Arthur) en 2022, et The Feeling en 2023, un titre aux accents country.

Belgian producer Lost Frequencies has achieved massive international success with his sunny yet wistful dance tracks, remixes, and collaborations. Beginning with his 2014 breakout hit « Are You with Me, » a tropical house track based on a country song by Easton Corbin, he topped the charts in his home country five times, and released more than a dozen tracks that have been certified gold, platinum, or diamond. The song appeared on his 2016 full-length Less Is More, along with other major hits like « Reality » (featuring Janieck Devy) and a cover of Haddaway’s « What Is Love. » 2019’s Alive and Feeling Fine included further smashes like « Crazy » (with Zonderling) and « Melody » (featuring James Blunt). After releasing the EP Cup of Beats in 2020, Lost Frequencies scored further hits with 2021’s « Rise » and « Where Are You Now » (with Calum Scott), 2022’s « Questions » (with James Arthur), and 2023’s country-infused « The Feeling. »

POUR ACHETER VOTRE BILLET, C’EST ICI!

Ce contenu provient d’AllMusic et est adapté par PAN M 360

indie rock / post-punk / synth-pop

Osheaga : Future Islands au parc Jean-Drapeau

par Rédaction PAN M 360

Le groupe Future Islands s’est forgé une identité sonore reconnaissable grâce à un synth-pop élégant, dépourvu de guitares, contrebalancé par les hurlements, gémissements et élans lyriques du charismatique chanteur Samuel T. Herring. Basé à Baltimore, le groupe affine son style au fil de plusieurs albums prometteurs, avant de percer en 2014 avec l’album quasi parfait Singles et une performance mémorable dans l’émission Late Night with David Letterman. Le sens du risque vocal de Herring et les mélodies amples du groupe atteignent un nouveau sommet avec The Far Field (2017), puis avec le plus mélancolique As Long as You Are (2020). Leur septième album, People Who Aren’t There Anymore (2024), mêle morceaux énergiques et ballades plus lentes.

Future Islands’ trademark sound is sleek, guitar-less synth pop balanced with the howls, yelps, and croons of dynamic vocalist Samuel T. Herring. The Baltimore-based group honed their sound on a series of promising albums before their near-perfect 2014 LP Singles and a stunning appearance on Late Night with David Letterman vaulted them to prominence. Herring’s daring as a vocalist and the band’s sweeping melodies were further honed to a point on the slick 2017 album The Far Field and 2020’s melancholy As Long as You Are. Their seventh full-length, People Who Aren’t There Anymore, a mixture of energetic numbers and slow jams, arrived in 2024.

POUR ACHETER VOTRE BILLET, C’EST ICI!

Ce contenu provient d’AllMusic et est adapté par PAN M 360

hip-hop / rap

Osheaga : bbno$ au parc Jean-Drapeau

par Rédaction PAN M 360

Chanteur et rappeur canadien irrévérencieux, bbno$ (prononcé « baby no money ») mélange hip-hop, R&B et musique électronique dans un style accrocheur et hypnotique. Il se fait connaître à la fin des années 2010 et connaît un succès viral en 2019 avec le single Lalala, produit par Y2K, certifié platine et classé dans les charts en Europe, en Australasie et aux États-Unis. Collaborateur régulier de l’excentrique Yung Gravy, notamment dans la série d’albums Baby Gravy, bbno$ poursuit sa carrière avec des disques inventifs comme Goodluck, Have Fun (2020) et Bag or Die (2022). En 2024, il revient avec plusieurs singles, dont It Boy.

Irreverent Canadian singer/songwriter bbno$ (« baby no money ») blends hip-hop, R&B, and electronic influences into a catchy and hypnotic mix. Emerging in the late 2010s, he scored a viral hit in 2019 with the Y2K-produced single « Lalala, » which was certified platinum and charted across Europe, Australasia, and the U.S. A frequent collaborator with kindred spirit Yung Gravy, as on the Baby Gravy series, bbno$ has continued to release inventive albums like 2020’s Goodluck, Have Fun and 2022’s Bag or Die. He released several singles in 2024, including « It Boy. »

POUR ACHETER VOTRE BILLET, C’EST ICI!

Ce contenu provient d’AllMusic et est adapté par PAN M 360

électronique / post-punk / soul/R&B

Osheaga : TV on the Radio au parc Jean-Drapeau

par Rédaction PAN M 360

Passé du statut d’expérimentateurs brooklyniens à celui de groupe acclamé par la critique, TV on the Radio mêle post-punk, électronique, soul, funk et bien d’autres influences dans une approche résolument inventive. Ce mélange sonore éclectique — sublimé par les productions immersives de David Andrew Sitek et les voix passionnées de Tunde Adebimpe et Kyp Malone — distingue immédiatement le groupe de ses contemporains de la scène new-yorkaise du début des années 2000. Leur univers, à la fois intense et accessible, apparaît déjà pleinement formé sur l’EP Young Liars (2003), puis s’épanouit avec brio sur leur premier album complet, Desperate Youth, Blood Thirsty Babes (2004). Les éloges se multiplient avec Return to Cookie Mountain (2006), qui accueille un caméo de David Bowie, l’un des premiers et plus fervents admirateurs du groupe. TV on the Radio continue d’innover avec des albums comme Dear Science (2008), plus rythmé, Nine Types of Light (2011), aux grooves plus fluides, ou encore Seeds (2014), marqué par des réflexions lucides sur le deuil. Durant la fin des années 2010 et dans les années 2020, leurs prestations scéniques intenses consolident leur statut de formation phare de la musique alternative.

Growing from Brooklyn-based experimenters into a highly acclaimed outfit, TV on the Radio mix post-punk, electronics, soul, funk, and more in vibrantly creative ways. This eclectic sonic blend — heightened by David Andrew Sitek’s enveloping production and Tunde Adepimbe and Kyp Malone’s passionate vocals and songwriting — immediately distinguished the band from their contemporaries within the early 2000s New York scene. TV on the Radio’s intense yet inviting sound arrived more or less fully formed on 2003’s Young Liars EP; on the following year’s full-length Desperate Youth, Blood Thirsty Babes, they embellished on their intense yet inviting sound brilliantly. Praise for their music only grew with 2006’s Return to Cookie Mountain, which featured a cameo by David Bowie, one of the band’s earliest and biggest fans. They continued to innovate on their later albums by adding more momentum on 2008’s Dear Science, leaning into easy grooves on 2011’s Nine Types of Light, and confronting loss with the clear-eyed meditations of 2014’s Seeds. Later in the decade and into the 2020s, fiery live performances upheld TV on the Radio’s reputation as one of alternative music’s most dynamic acts.

POUR ACHETER VOTRE BILLET, C’EST ICI!

Ce contenu provient d’AllMusic et est adapté par PAN M 360

Alternative / indie folk

Osheaga : KALEO au parc Jean-Drapeau

par Rédaction PAN M 360

KALEO, groupe islandais, propose des hymnes mêlant blues et folk, portés par la voix rauque et envoûtante du chanteur Jökull Júlíusson. Révélé en 2012 grâce au succès viral de la chanson Vor í Vaglaskógi, le groupe s’est rapidement attiré un public international, recevant des comparaisons élogieuses avec des artistes comme Hozier et Ray LaMontagne. Leur premier album, KALEO (2013), rencontre un franc succès et donne naissance à plusieurs titres devenus disques d’or. En 2016, leur deuxième album, A/B, leur permet de percer davantage, en atteignant le classement Billboard 200. Avec Surface Sounds (2021), KALEO adopte un son plus rock et affirmé, consolidant sa présence sur la scène internationale. Après plusieurs tournées d’envergure, le groupe poursuit dans une veine blues-rock plus brute avec Mixed Emotions, leur quatrième album paru en 2025.

Iceland’s KALEO make soulful blues- and folk-infused anthems centered on lead singer Jökull Júlíusson’s smoky vocals. Since emerging to viral fame in 2012 with their song « Vor í Vaglaskógi, » they have earned a global audience, drawing favorable comparisons to artists like Hozier and Ray LaMontagne. The band’s debut, 2013’s KALEO, was a break-out success, spawning several more hits that went gold. They gained wider attention with their 2016 sophomore album, A/B, which cracked the Billboard 200. A bigger, more rock-driven sound characterized KALEO’s chart-topping 2021 release Surface Sounds. After several major tours, the band carried their increasingly gritty blues-rock sound onto their fourth album, 2025’s Mixed Emotions.

POUR ACHETER VOTRE BILLET, C’EST ICI!

Ce contenu provient d’AllMusic et est adapté par PAN M 360

Chanson francophone / chanson keb franco / classique occidental

Orchestre métropolitain sur le Mont-Royal : un gros calin collectif

par Frédéric Cardin

Quand on va au concert annuel de l’OM au pied du Mont-Royal, on n’y va pas pour faire les mélomanes avertis, qui recherchent le sublime sonore et la magie des coloris dans leur plénitude maximale. Pour ça, il faut aller à la Maison symphonique. Ou, si on veut le faire en plein air, à l’Amphithéâtre de Lanaudière, un modèle en son genre. Ici, ce qu’on y cherche, c’est plutôt un sentiment de communion collective. En ce sens, le mandat est toujours aussi bien rempli et l’objectif atteint. Une foule importante à l’image de la ville, toutes couleurs unies, tous styles, tous âges, toutes classes sociales, identités de genres, politiques, etc., s’est agglutinée sur les pentes de la montagne au coucher du soleil et à la montée de la nuit, offrant un panorama rêvé sur les gratte-ciels de la ville derrière la scène, et sur la nature splendide du Mont, côté cour. 

Dans ce genre de rencontre, la qualité sonore est ce qu’elle peut-être, c’est-à-dire poussée par une amplification généreuse pour qu’on puisse entendre avec le plus de force possible, mais sans générer de distorsion désagréable, les notes jouées par l’orchestre. Des commentaires glanés ci et là après la soirée indiquent que certains connaisseurs déplorer le fait que ce qu’on avait entendu ne correspondait pas exactement à ce qu’on entend à la Maison symphonique. C’est évident, et comme je viens de dire, ce n’est pas le but. 

Dès le départ (et après une mise en bouche pré-concert sous forme d’hommage à Pierre Péladeau, mécène qui a permis à cet orchestre d’exister au départ, malgré la présence du plus glorieux OSM), on annonçait les couleurs avec une salutation de Yannick comme le ‘’plus bel humain mis au monde par Dieu’’ (rien de moins), de Montréal comme la plus belle ville de l’Univers et l’OM comme le meilleur orchestre du monde. On sait bien que l’animatrice Mariana Mazza (en remplacement de Kim Thuy, ce qui a obligatoirement déçu plusieurs personnes, les deux personnalité étant aux antipodes, Kim Thuy tout en élégance et délicatesse, Mazza fonçeuse, voire vulgaire) en beurrait épais et assumait totalement l’enflure chauvine des annonces. Mais on a bien souri, et on a surtout apprécié en ce sens que, effectivement, Montréal a quelque chose de spécial, une énergie, une personnalité, voire une âme qui instille chez plusieurs de ses habitants, et beaucoup non natifs, une dévotion assez forte. On s’est fait un gros câlin collectif, un brin exagéré, mais sommes tous bienfaisant. 

Question musique, le programme avait une belle pertinence dans son éclectisme : une Symphonie italienne de Mendelssohn qui offre une pétillance estivale très appropriée et des mélodies mémorables, facilement appréciables par n’importe qui, même ceux et celles qui n’écoutent jamais de symphonies complètes en temps normal. Une jolie pièce d’Augusta Holmès, L’amour et la nuit, de style romantique, presque cinématographique, a été suivie d’une oeuvre québécoise de Hector Gratton (1900-1970), inspirée de mélodies folkloriques, Dansons le carcaillou (ce que personne n’a osé faire, heureusement). La portion classique s’est conclue avec le magnifique Oiseau de feu de Stravinsky, encore une partition dont les traits mélodiques et la facture colorée, grandiose, avait tout d’une musique de film pour les oreilles peu familières. Un facteur séduisant donc, et pleinement apprécié par la foule. 

L’Orchestre a bien joué, dans la mesure, encore une fois, où on est en plein air et que les nuances et les détails ont tendance à se perdre. Le spécialiste et habitué de la chose symphonique de concert en moi a envie de saluer la belle écoute offerte par ce très vaste public (50, 60 mille?). 

La finition, la ‘’cerise sur le cupcake’’, a été assurée par l’immense Pierre Lapointe, probablement le plus raffiné et aisément ‘’classicable’’ des auteurs interprètes québécois des 20 dernières années. Il a chanté trois titres de son album Dix chansons démodées pour ceux qui ont le cœur abîmé. Trois magnifiques pièces aux textes finement tissés, aux airs mélancoliques et aux orchestrations (assurées par l’excellent Antoine Gratton) riches et savoureuses. On était ici dans la grande chanson française, dans ce niveau musical d’excellence fusionnelle entre les mots et les notes. 

La tradition désormais implantée de jouer la 5e de Beethoven (le thème du 1er mouvement) dans le style disco, a assuré un départ festif du public qui a ainsi eu l’occasion de se déhancher et surtout se dégourdir les jambes avant de retourner à la maison et de se dire (c’était ça le but) que, un concert classique, c’est l’fun. 

Les pointilleux renâcleront assurément en critiquant la prise sonore largement amplifiée, les changements de tenue fréquents de Yannick Nézet-Séguin (un peu trop), l’animation de Mariana Mazza (passablement décalée par rapport à un concert classique habituel, mais souvent drôle malgré la crudité de certains passages) ou sur le programme lui-même, mais aucun de ceux-ci n’aura probablement réussi à démocratiser avec autant d’efficacité le concert symphonique et la musique classique, même la plus accessible. Voilà pourquoi on doit reconnaître que l’OM sait y faire et réussit encore son pari de fédérer toute une ville et ses habitants autour de son produit.

L’OM et Yannick Nézet-Séguin ont placé la musique classique au cœur de la vie et de l’esprit de Montréal, en éliminant les multiples disparités et en proposant une narration rassembleuse, acquise et appréciée par tous et toutes, et ‘’n’importe qui entre les deux’’. 

électronique / house

Osheaga : Sammy Virji au parc Jean-Drapeau

par Rédaction PAN M 360

Sammy Virji produit et mixe une variété de musiques de danse pleines d’entrain et d’exubérance, en particulier le bassline et le UK garage. Il débute en 2017 avec un son espiègle et effervescent issu de la scène bassline, avant de s’orienter vers un style garage plus mélodique et raffiné, notamment avec des sorties sur le label Kiwi Rekords de Conducta. Son album auto-produit Spice Up My Life paraît en 2020, et il collabore avec des artistes comme Flava D, Ragga Twins ou salute, se faisant également remarquer grâce à son remix du hit on & on de piri & tommy. La notoriété de Virji explose après une prestation virale pour DJ Mag en 2023, et son single If U Need It entre dans les charts britanniques. Il enchaîne depuis avec plusieurs collaborations, notamment avec Chris Lake, Joy Anonymous et Interplanetary Criminal.

Sammy Virji produces and spins several styles of giddy, exuberant dance music, particularly bassline and U.K. garage. Debuting in 2017, he soon transitioned from the cheeky, rambunctious sound of the bassline scene to a more refined, melodic garage sound, with releases on Conducta’s Kiwi Rekords. Virji’s self-released album Spice Up My Life appeared in 2020, and he collaborated with artists such as Flava D, Ragga Twins, and salute, additionally earning attention for his remix of piri & tommy’s hit « on & on. » Virji’s popularity increased considerably after a 2023 set for DJ Mag went viral, and his single « If U Need It » hit the U.K. charts. He’s since issued singles with Chris Lake, Joy Anonymous, and Interplanetary Criminal.

POUR ACHETER VOTRE BILLET, C’EST ICI!

Ce contenu provient d’AllMusic et est adapté par PAN M 360

Inscrivez-vous à l'infolettre