Baião / Brésil

PAN M 360 aux Nuits d’Afrique 2024 | Kirá a mis le feu au Balattou

par Sandra Gasana

Accompagné de son batteur, percussionniste, bassiste et guitariste, Kirá a lancé le coup d’envoi de la 38ème édition du Festival Nuits d’Afrique, muni de sa guitare. C’est une salle comble qui attendait le fils de Manu Chao au Club Balattou hier soir, alors qu’il en est à sa première visite dans la métropole.

« Y a-t-il des Brésiliens dans la salle ? », demande-t-il. « Je suis content de partager ça avec vous », dit-il en anglais. Contrairement à plusieurs concerts donnés par des Brésiliens, celui-ci avait un public diversifié et multigénérationnel. Il alterne entre ses deux derniers albums, Semente de Peixe et Olho Açude, l’un étant plus introspectif et l’autre tourné vers l’extérieur. 

Le public s’est mis à danser très tôt dans le concert, et plus le spectacle avançait, plus c’était difficile de rester assis. Les chœurs étaient assurés par le percussionniste et le guitariste, alors que le bassiste se faisait discret. Parfois, dans la même chanson, nous avions un changement complet de rythme, mélangeant parfois le reggae avec du baião ou du maracatu. Nous avons eu droit à des solos de guitare époustouflants avant d’écouter le morceau Mar Mangão. « Là, nous allons à la mer, dans la côte est du Brésil », nous explique-t-il avant ce morceau.

C’est lors de la 2ème partie du spectacle qu’il dévoile son côté bête de scène, notamment lorsqu’il met de côté sa guitare pour mieux danser. La scène du Balattou était clairement trop petite pour les envolées de danse de Kirá.

« Nous existons grâce à vous, alors merci de nous faire exister, de nous faire jouer, chanter, d’être en vie avec nous », confie-t-il entre deux chansons.
On sentait une bonne synergie entre les musiciens, et Kirá interagissait avec eux souvent durant le spectacle. « Là, on va direct à Bahia » dit-il en portugais avant de laisser sa guitare de côté et là, c’est la folie totale sur scène. Il fait sauter le public, il leur fait faire des mouvements de danse, il leur demande de descendre au sol et de remonter en sautant, ce qu’ils font avec grand plaisir. Il remercie la foule en français, en espagnol et en portugais, changeant de langues d’une chanson à l’autre. Il prend le temps de remercier chacun des musiciens, le technicien de son et le festival Nuits d’Afrique, sous les applaudissements de la salle.
« C’est la dernière chanson, nous avons besoin de votre énergie maximale », demande-t-il avant de jouer son plus récent succès Bota Pra Rodar. « C’est la folie, cette chanson, au Brésil », nous apprend-il, avant de poursuivre avec deux ou trois morceaux, un peu plus rock. Je ne serais pas surprise de le revoir très vite à Montréal, sur une plus grande scène qui lui permettra de danser à sa guise.

Crédit photo: Nuits d’Afrique

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Afrique

Festival International Nuits d’Afrique | AFRIQUE EN CIRQUE AVEC KALABANTÉ

par Rédaction PAN M 360

« J’ai travaillé pour presque tous les cirques québécois à l’international et j’ai trouvé qu’il manquait quelque chose, les acrobaties africaines me manquaient. J’ai donc voulu monter un spectacle qui parlait de mon pays d’origine qui est la Guinée », explique Yamoussa Bangoura, fondateur de la troupe (RFI, 2022). Afrique en cirque, qui revient d’une tournée internationale, est un condensé rafraîchissant et hyper énergisant de l’immense talent artistique qu’abrite l’Afrique de l’Ouest. Exploits acrobatiques, explosifs, chorégraphies agiles et athlétiques, percussions palpitantes, kora authentique, tableaux qui se succèdent dans un rythme effréné… Le spectacle fédère le théâtre, la musique, la danse et les arts du cirque.

BILLETS ICI

L’Afrique en Cirque with Kalabanté

As the troupe’s founder explained, “I’ve worked with almost every Québec circus internationally and I felt that something was missing, I yearned for the African style of acrobatics. So, I wanted to create a show that reflected my country of origin, which is to say Guinea” (RFI, 2022). Afrique en cirque, returning from an international tour, is a refreshing and superbly energizing showcase of West Africa’s immense talent. Explosive acrobatics, choreographies displaying powerful athletic prowess, thundering percussions and rhythmic kora music, scene upon scene in rapid succession… their shows are a combination of theatre, music, dance and circus arts.

Contenu tiré du site Productions Nuits d’Afrique et adapté par PAN M 360

afrobeat / soul/R&B

Festival International Nuits d’Afrique : Joyce N’Sana

par Rédaction PAN M 360

« On est sous le parapluie de l’Afrobeat, avec des touches de Soul et de R&B, parce que c’est ce que la voix de Joyce N’Sana porte. Il faut se déplacer pour aller la voir » (Radio-Canada, 2022). La Révélation Radio-Canada, qui a un nouvel album en préparation pour 2024, exorcise les heures sombres qu’elle a vécues dans son pays d’origine lors de la guerre civile en délivrant de sa voix puissante aux inflexions soul un message de paix et d’harmonie. Bête de scène, l’autrice, compositrice et interprète conjugue Reggae, Gospel, Hip-hop, Jazz et Afroblues en ce qu’elle nomme son Afrobluehop, un cocktail explosif bien ancré dans la tradition musicale du Congo.

« We’re under the umbrella of Afrobeat, with touches of Soul and R&B, because that’s what Joyce N’Sana’s voice is all about. You have to go out of your way to see her » (Radio-Canada, 2022). The Radio-Canada Revelation, who has a new album in the works for 2024, exorcises the dark hours she lived through in her homeland during the civil war, delivering a message of peace and harmony with her powerful, soul-inflected voice. The singer-songwriter combines Reggae, Gospel, Hip-hop, Jazz and Afroblues in what she calls her Afrobluehop, an explosive cocktail firmly rooted in the musical tradition of the Congo.

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jazz / rock / salsa

Festival International Nuits d’Afrique : Team Salsa Sextet

par Jacob Langlois-Pelletier

« La Salsa n’est pas un rythme. C’est un concept » (Willie Colón, pionnier du New York Sound dans les années 70). Cette musique de la rue, née dans la Grosse Pomme, est une musique d’immigrés. Une musique entrelaçant différents rythmes, propulsée par la diaspora latine, particulièrement cubaine et portoricaine, dans une tentative éperdue de se forger une identité propre, sur fond de revendications sociales. Aussi inspirée par la liberté d’improvisation du Jazz et du Rock, la Salsa met en valeur les rythmes afro-descendants qui ont pollinisé les folklores caribéens dès le 16e siècle. Elle défie tous les codes. C’est cette fureur de vivre, d’exister, de danser, que cultive Team Salsa Sextet à la ferveur des percussions et à la puissance des cuivres.

« Salsa is not a rhythm. It’s a concept » (Willie Colón, pioneer of the New York Sound in the 70s). This street music, born in the Big Apple, is the music of immigrants. A music that interweaves different rhythms, propelled by the Latin diaspora, particularly Cuban and Puerto Rican, in a frantic attempt to forge its own identity, against a backdrop of social demands. Also inspired by the improvisational freedom of Jazz and Rock, Salsa highlights the Afro-descendant rhythms that have pollinated Caribbean folklore since the 16th century. It defies all codes. Team Salsa Sextet cultivates this fury for living, for existing, for dancing, with the fervor of percussion and the power of brass.

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cumbia / latino / salsa

Festival International Nuits d’Afrique : Boogát

par Jacob Langlois-Pelletier

« Boogát est un des porte-étendards les plus prolifiques de la musique latine au Québec » (La Presse, 2024). Poirier, Marie-Mai, Karim Ouellet, Grégory Charles, les 7 Doigts, Alfa Rococo, Radio Radio et bien d’autres : Boogát est de toutes les collaborations. Alors le voir en tête d’affiche, avec son nouvel opus Del Horizonte, ça fait plaisir ! Juste équilibre entre les Cumbia, Salsa, Reggaeton, des scandés Hip-hop et des sons digitaux, la musique de ce lauréat d’un prix Juno, qui traite autant d’identité que d’amour en espagnol (surtout), en anglais et en français, est diablement efficace, dansante et joyeusement insoumise.

« Boogát is one of the most prolific standard-bearers of Latin music in Quebec » (La Presse, 2024). Poirier, Marie-Mai, Karim Ouellet, Grégory Charles, les 7 Doigts, Alfa Rococo, Radio Radio and many others: Boogát is part of every collaboration. So it’s great to see him headlining with his new opus Del Horizonte! Striking the right balance between Cumbia, Salsa, Reggaeton, hip-hop rhythms and digital sounds, the music of this Juno award-winner, which deals as much with identity as love in Spanish (mostly), English and French, is devilishly effective, danceable and joyfully rebellious.

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afrobeat / soukouss

Festival International Nuits d’Afrique : Sia Tolno

par Jacob Langlois-Pelletier

Révélation RFI en 2011, Sia Tolno est de celles qui sortent des sentiers battus, qui personnifient la force et la résilience des femmes africaines. Elle est de celles qui ouvrent des portes, déconstruisent les préjugés. Soutenue par Tony Allen, l’acolyte de Fela Kuti, cette survivante de la guerre en Sierra Léone, pays où elle a grandi, s’est taillé une place de choix dans le milieu très masculin de l’Afrobeat. Toujours à l’affût de nouveaux défis, en quête d’intensité et de nouveaux groove, cette voix puissante que l’on compare à Angélique Kidjo et Miriam Makeba, se démarque également par sa participation au collectif Afro Dead, qui réinvente à grand renfort d’Afrobeat, de Soukous et de Highlife les morceaux de l’éclectique Grateful Dead. Son dernier EP, Baya (2023) fait la part belle aux rythmes mandingues et Afro-blues.

RFI Revelation in 2011, Sia Tolno is one of those who think outside the box, who personify the strength and resilience of African women. She’s one of those who opens doors and deconstructs prejudice. Supported by Tony Allen, Fela Kuti’s acolyte, this survivor of the war in Sierra Leone, the country where she grew up, has carved out a place for herself in the male-dominated world of Afrobeat. Always on the lookout for new challenges, in search of intensity and new grooves, this powerful voice, which has been compared to Angélique Kidjo and Miriam Makeba, also stands out for its participation in the Afro Dead collective, which reinvents the tracks of the eclectic Grateful Dead with Afrobeat, Soukous and Highlife. His latest EP, Baya (2023), features Mandinka and Afro-blues rhythms.

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bossa nova / flamenco

Festival International Nuits d’Afrique : Aboulaye Koné

par Jacob Langlois-Pelletier

Avoir des racines profondes permet d’explorer d’autres horizons sans se perdre. Zal Sissokho l’a bien compris, lui qui, de la Bossa nova au Flamenco, en passant par la Folk québécoise, multiplie les amitiés musicales sans jamais perdre son identité. Au contraire. La source, son 6e album, sorti l’automne dernier sous étiquette Disques Nuits d’Afrique, témoigne de la profondeur de l’attachement du griot à ses origines mandingues. Avec toute l’agilité, l’authenticité et l’humilité qu’on lui connaît, ce passeur d’histoires met de l’avant l’essence de la kora dans une approche « plutôt moderne » jumelant « basse sautillante aux    » (La Presse, 2023).  

Having deep roots allows you to explore other horizons without losing yourself. Zal Sissokho understands this well, and from Bossa nova to Flamenco, via Quebecois Folk, he multiplies musical friendships without ever losing his identity. Quite the contrary, in fact. La source, his 6th album, released last autumn on the Disques Nuits d’Afrique label, bears witness to the depth of the griot’s attachment to his Mandingo origins. With all the agility, authenticity and humility he’s known for, this storyteller brings the essence of the kora to the fore in a « rather modern » approach that combines « bouncy bass with » (La Presse, 2023).

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Brésil / samba

Les Gilsons ont conquis les cœurs des Montréalais

par Sandra Gasana

Avant l’entrée sur scène du trio qui fait fureur au Brésil, Gilsons, leur percussionniste Ricardo Guerra et leur trompettiste Osiel Junior s’installent d’abord avant d’accueillir José, João et Francisco Gil, sous les applaudissements d’un public majoritairement brésilien. Tous vêtus de bleus et de blanc pour l’occasion, les trois descendants de Gilberto Gil ont une complicité indéniable sur scène, ce qui rend l’atmosphère agréable d’emblée.

Ils débutent avec Pra gente acordar, qui figure dans l’album qui porte le même nom, paru en 2022. Au centre de la scène, Francisco qui chante la plupart des morceaux, avec José et João, parfois aux chœurs, parfois uniquement à la guitare et/ou à la basse. C’est fascinant de les voir interchanger les guitares tout au long du spectacle, une véritable chaise musicale mais avec les guitares. Ils enchaînent avec Algum ritmo, une collaboration avec Jovem Dionisio.

En fait, ils ne sont pas tous fils de Gilberto Gil, comme je pensais, mais seul José est le fils, tandis que João et Francisco sont les petits-fils du grand nom de la musique brésilienne. « Nous sommes contents d’être ici, pour la première fois au Canada », nous partage José, avant de poursuivre avec Vento Alecrim, tiré de l’album Varias Queixas, paru en 2018. Cet opus fusionne plusieurs styles tels que la samba, le rap, le funk, l’afoxé mixés avec de l’électronique.

Pour le morceau Vem de là, c’est José qui prend le lead cette fois-ci et les deux autres font les chœurs, tout en encourageant le public a chanté avec eux sur Devagarinho, sur laquelle ils ont collaboré avec Mariana Volker. La complicité de trois artistes est palpable tout le long du concert. Ils se taquinent, se parlent parfois à l’oreille en rigolant, se lancent des blagues à tout bout de champ.

Un autre morceau que la foule semblait apprécier, India, une collaboration avec Julia Mestre. C’est au tour de João de répéter à plusieurs reprises qu’ils sont contents d’être au Canada, qu’ils n’auraient jamais imaginé que leur musique les aurait amenés jusqu’ici, suivi d’applaudissements. 

Lorsqu’ils jouent les premières notes de Swing de Campo Grande, la foule se met à crier et à se trémousser aux rythmes de la musique. Idem avec Love, Love sur laquelle ils font chanter le public avec des lalalala sur fond de trompette délicieuse à l’oreille.

Ils alternent entre les deux albums, avec A voz, ou Proposta, qui contient des solos de João à tomber à la renverse. Ils ne pouvaient pas clôturer le show sans chanter Varias queixas, le tube qui a mis ce trio sur la map, comme on dit. 

Le rappel est arrivé très vite, sous les cris « Eu não vou embora » ou « Je ne m’en vais pas », de la foule qui tapait du pied, faisant trembler le plancher du National. Ils reviennent donc pour nous partager Um so, Duas cidades et Voltar na Bahia, en intégrant le cavaquinho de José, qui s’amuse aussi sur les percussions par moments, laissant les deux autres dialoguer avec leur guitare. Ils reprennent ensuite quelques classiques de samba, comme Alguém me aviso, de Dona Ivone Lara, au grand plaisir des spectateurs qui semblent apprécier le long rappel. Mon coup de cœur restera certainement João, dont la voix s’apparente le plus à celle de Gilberto Gil, et qui semble être le rebelle du trio. Et on aime tous les rebelles, n’est-ce-pas ?

La première partie a été assurée par une chanteuse brésilienne de Toronto, JØY Brandt, qui a partagé plusieurs de ses compositions originales avec le public, telles que son plus récent morceau Vem. Elle a aussi fait le plaisir de l’audience lorsqu’elle a repris la chanson classique d’Edson Gomes Árvore qu’elle a revisité en y mettant sa touche. Elle était accompagnée pour l’occasion par des musiciens tous originaires de Bahia, le percussionniste et batteur The Real WheresBaiano, Bernardo à la guitare et Luciano Vila Nova à la basse. Bien entendu, tout cela n’aurait pas été possible sans les Productions Showzaço, plus particulièrement Ulysses de Paula, qui nous ramène des artistes de haut calibre à Montréal depuis quelques années déjà. Entre Emicida, Zeca Pagodinho, Nando Reis et bientôt Jorge Aragão en août, il n’a plus besoin de faire ses preuves. Ce visionnaire est devenu un joueur clé dans la scène artistique brésilienne au Canada.

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funk / latino / reggae / soul

Festival International Nuits d’Afrique : Rumba de Bodas

par Jacob Langlois-Pelletier

À l’image des rues de sa ville d’origine, Bologne, Rumba de Bodas dégage une énergie galvanisante, empreinte de légèreté et d’ouverture sur le monde. Depuis 2008, ce groupe bohème épris de fête et de rassemblements éclatants répand la joie là où il s’arrête, disséminant son optimisme à tout vent. Kaléidoscope de rythmes Funk, Soul, Latins, Ska, Swing Reggae et Afrobeat qui s’entremêlent, la musique de Rumba de Bodas, soutenue par des cuivres omniprésents, propose d’infinies combinaisons sonores plus groovy les unes que les autres. Le collectif s’amène à Montréal avec son dernier album, Yen Ko (2023).

Like the streets of its home town, Bologna, Rumba de Bodas exudes a galvanizing energy, light-hearted and open to the world. Since 2008, this bohemian band has been spreading joy wherever they go, spreading their optimism far and wide. A kaleidoscope of intermingling Funk, Soul, Latin, Ska, Swing Reggae and Afrobeat rhythms, Rumba de Bodas’ music, backed by omnipresent brass, offers infinite combinations of sounds, each more groovy than the last. The collective comes to Montreal with its latest album, Yen Ko (2023).

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dancehall / reggae

Festival International Nuits d’Afrique : Takana Zion

par Rédaction PAN M 360

«Un savant mélange d’Afro, de R&B et de Dancehall teinté de Blues et parfois même de Salsa et de Flamenco. Le tout au service de l’Afrique, de la Guinée et empreint d’un message spirituel, de paix et d’unité» (Reggae.fr, 2023). Depuis plus de 15 ans, Takana Zion est une figure connue du circuit Reggae international. Cet adepte du singjay, dont la voix puissante est aussi à l’aise en français, qu’en anglais, soussou, poular et malinké, a notamment collaboré avec Capleton, Manjul, Sizzla ou Tiken Jah Fakoly. Après s’être exercé au Rap et au Dancehall, avant de se consacrer au Reggae roots, aujourd’hui, le lauréat d’une Victoire du Reggae se réinvente, avec son projet Banjo Kafaan (2023), qui rend hommage à ses ancêtres.

« A skilful blend of Afro, R&B and Dancehall tinged with Blues and sometimes even Salsa and Flamenco. All in the service of Africa and Guinea, and imbued with a spiritual message of peace and unity » (Reggae.fr, 2023). Takana Zion has been a well-known figure on the international Reggae circuit for over 15 years. This adept of singjay, whose powerful voice is equally at home in French, English, Soussou, Poular and Malinke, has collaborated with the likes of Capleton, Manjul, Sizzla and Tiken Jah Fakoly. After practicing Rap and Dancehall, before devoting himself to roots Reggae, today the Victoire du Reggae winner reinvents himself, with his project Banjo Kafaan (2023), which pays tribute to his ancestors.

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électronique / house / jungle

Nia Archives: Junglists Worldwide Tour à la SAT

par Rédaction PAN M 360

Créatrice de « HIJINXX », Nia Archives défend l’esprit DIY. Elle est productrice, chanteuse, compositrice et artiste visuelle. L’esthétique distincte et le style polyvalent de Nia Archives sont influencés par un mélange de genres tels que le hip-hop, la soul, la drum and bass, la jungle et la house.

The creator of ‘HIJINXX’, Nia Archives champions the DIY spirit. She is a producer, singer, songwriter and visual artist. Nia Archives distinct aesthetic and versatile style is influenced by a mixture of genres such as Hip Hop, Soul, Drum and Bass, Jungle and House.

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électronique

MUTEK: Nocturne 6

par Rédaction PAN M 360

La série Nocturne prend place toute la semaine à la SAT, avec une expérience amplifiée du jeudi au dimanche, puisque les spectacles sont présentés sur deux étages, à la fois dans l’espace de la SAT et sous le dôme de la Satosphère. Le programme présente des œuvres novatrices qui réinventent la musique électronique dans un environnement visuel immersif à la fine pointe de la technologie.

Pole DE – Tempus | Kode9 UK | Ayesha US | Liliane Chlela LB/QC – Anatomy of a Jerk | Cy-Ens CA/QC – Synapse | Andrea IT | Mike Shannon CA/DE | Salar Ansari IR/US

The Nocturne series takes root all week at the SAT, with an amplified experience from Thursday to Sunday, as performances are presented on two floors, both in the SAT space and under the Satosphère dome. The program features innovative works that reinvent electronic music within a state-of-the-art immersive visual environment.

Pole DE – Tempus | Kode9 UK | Ayesha US | Liliane Chlela LB/QC – Anatomy of a Jerk | Cy-Ens CA/QC – Synapse | Andrea IT | Mike Shannon CA/DE | Salar Ansari IR/US

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Ce contenu provient de MUTEK et est adapté par PAN M 360.

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