baroque / chant choral / chant lyrique / classique occidental / musique sacrée

Ensemble Caprice | Une belle soirée sous le signe de la Passion

par Alexis Desrosiers-Michaud

À deux semaines près, l’Ensemble Caprice et Matthias Maute préludaient les célébrations pascales avec la présentation de la Passion selon saint Jean de Johann Sebastian Bach. Dans son discours d’ouverture, Maute raconte que cette œuvre a beaucoup de liens, surtout dans les airs, avec l’art opératique. Comme il nous l’a mentionné plutôt en entrevue, « La Passion selon saint Jean alterne récitatifs, airs et chœurs pour porter le récit avec intensité. Les récitatifs racontent l’histoire, les airs expriment les émotions des personnages, et les chœurs incarnent la foule, renforçant le drame. L’orchestre soutient l’ensemble avec une écriture expressive qui souligne les moments clés. » La preuve nous en fut faite vendredi.

En l’absence de mise en scène, caractéristique de l’oratorio, il faut un narrateur, dans ce cas-ci, l’Évangéliste, pour décrire les scènes. Soutenant toute l’œuvre sur ses épaules, le ténor Philippe Gagné réussit haut la main le défi d’interpréter ce rôle ingrat, mais ô combien important. On voit clairement son intention de raconter réellement une histoire, avec une diction allemande impeccable et laissant les phrases textuelles dicter son interprétation, au lieu de suivre la partition, prêtant une confiance absolue envers le continuo.

L’autre découverte de la soirée est le choriste-soliste William Kraushaar – dont la composition nous avait subjuguées au dernier concert de Caprice -, dans le rôle de Jésus.  Non seulement sa voix est claire, mais Dieu qu’elle porte ! Nous avons déjà hâte de l’entendre comme soliste lors de la prochaine saison. Bien qu’ils interviennent peu, le contre-ténor Nicholas Burns et la soprano Janelle Lucyk livrent leurs arias avec beaucoup d’émotion. Burns est très émouvant en duo avec la larmoyante viole de gambe dans Es ist vollbracht (« Tout est achevé »). Quant à Lucyk, sa voix est quelque peu retenue, mais se fond bien avec les flûtes dans l’ariaIch folge dir gleichfalls (« Je te suis »). Ces deux solistes livrent non seulement leurs arias avec musicalité, mais également avec une présence scénique envoûtante et émouvante.

Le chœur est très bien préparé, et les articulations sèches qui lui sont conférées cadrent bien avec le rôle qu’il occupe, soit la plèbe qui ordonne et acclame l’action du récit biblique. Le meilleur exemple est le morceau « Kreuzige » (Cruxifiez-le! ») où les articulations courtes et accentuées sont incisives.

À la toute fin de l’œuvre, il y avait quelque chose de solennel de voir les solistes (sauf Jean l’Évangéliste) rejoindre le chœur pour entonner un Rut Wohl dansant, et le choral final, en guise d’accompagnement, de remerciement et de célébration de la vie du Christ.

crédit photo : Tam Lan Truong

chant lyrique / musique contemporaine

Nouvel Ensemble Moderne |Des airs nouveaux pour une nouvelle ère

par Judith Hamel

Le Nouvel Ensemble Moderne (NEM) écrit les premières pages d’un nouveau livre en cette saison 2024-2025 séparée en trois chapitres et portée par le vent de renouveau de Jean-Michaël Lavoie qui succède à Lorraine Vaillancourt après 35 ans à la barre de l’orchestre de chambre. Pour ce deuxième chapitre de trois cette saison, le NEM nous invite à la Cinquième salle de la Place des arts pour un concert en collaboration avec l’Atelier lyrique de l’Opéra de Montréal. 

Intitulé Chapitre 2 – Des airs nouveaux, ce concert d’après-midi proposait un répertoire paritaire, mettant de l’avant trois compositeur·rices du Québec ainsi que la compositrice coréenne Unsuk Chin. Dès l’entrée dans le foyer, le public était accueilli par une équipe de médiation dirigée par Irina Kirchberg, professeure invitée à l’Université de Montréal, qui proposait notamment un dispositif d’enregistrement permettant de superposer les voix des spectateur·rices ainsi qu’un panneau interactif sous forme de jeu de mémoire qui invitait à en découvrir davantage sur les œuvres au programme. 

Puis, le concert s’est ouvert avec Vision de José Evangelista, une pièce pour petit ensemble et mezzo-soprano à l’aura mystique. La chanteuse brésilienne Camila Montefusco a brillamment interprété cette œuvre qui met de l’avant les origines espagnoles du compositeur ainsi que ces multiples influences.

Suivait ensuite Bouchara de Claude Vivier, une longue chanson d’amour entièrement chantée dans une langue inventée. La soprano Chelsea Kolić, portée par l’expressivité de l’écriture, nous donnait l’impression de comprendre son message, alors même qu’il nous échappait. Comme quoi, nous n’avons pas besoin de parler la langue pour comprendre l’amour. 

En deuxième partie, Orpheus on Sappho’s Shore (Sur le rivage de Shappo) de Luna Pearl Woolf a impressionné avec la riche voix du contreténor Ian Sabourin qui naviguait habilement entre ses multiples registres. 

Enfin, le NEM a offert Cantatrix Sopranica de Unsuk Chin, seule pièce hors Canada du programme. Écrite pour deux sopranos, un contreténor et ensemble, elle était ici portée par Chelsea Kolić, Ariadne Lih et Bridget Esler, trois sopranos dont les timbres s’entrelaçaient parfaitement dans cette œuvre qui fascine par ses textures. Chin y explore l’acte même de chanter, convoquant des échauffements vocaux, des jeux de rôles et des renversements inattendus entre chanteuses et musicien·nes. Son écriture éclatée en fait une œuvre hyper-vocale où l’ensemble orchestral prolonge et magnifie les voix. Accessible et complexe à la fois, mêlant virtuosité, humour et émotion, cette pièce s’accorde avec la nouvelle direction du NEM.

La collaboration entre l’Atelier lyrique et le NEM a été un succès. L’engagement des jeunes chanteur·ses aux voix expressives et précises s’allie très bien avec l’esprit du NEM. 

Jean-Michaël Lavoie dirige avec une telle fluidité. Lorsque les lumières éclairent le travail des musicien·nes, on peut parallèlement arriver à décortiquer chaque petite intention du chef, voir avec clarté les variations de souplesse dans ces gestes. Ainsi, le NEM est entre de bonnes mains. 

Pour leur prochain concert, on a la chance de ne pas avoir à attendre trop longtemps. Le 10 mai prochain, c’est un rendez-vous à la Salle Pierre-Mercure où ils présenteront le Chapitre 3 – Dérive 2 Pierre Boulez

minimaliste / musique contemporaine

Les quatuors de Steve Reich à Bourgie : une mécanique minimaliste parfaitement huilée

par Frédéric Cardin

Pour la première fois à Montréal étaient donnés, le mardi 1er avril, l’ensemble des quatuors à cordes de Steve Reich, trois au total. Quand je dis quatuors à cordes, je veux dire en vérité quatuors à cordes ET bandes sonores, car tous ont recours à cet ajout. Joués en ordre chronologique décroissant par le Quatuor Mivos, les trois œuvres sont emblématiques de l’univers sonore de l’États-Unien, un pionnier du Minimalisme et, pour plusieurs artistes des générations suivantes, le grand-père de la musique techno et de la technique du sampling (échantillonnage). 

LISEZ L’ENTREVUE RÉALISÉE AVEC L’ALTISTE DU QUATUOR MIVOS, À PROPOS DES QUATUORS DE STEVE REICH

En effet, deux des trois quatuors utilisent l’échantillonnage sonore (sons concrets, bribes de voix, etc.) dans une perspective rythmique et mélodique. Si l’utilisation de sons concrets en musique ne date pas de Reich (Schaeffer, Henry, Stockhausen sont passés par là avant), sa façon instinctive et rythmiquement accrocheuse d’en décliner la répartition a été inspiratrice d’un mouvement créatif dont le hip hop est le dernier genre en date à en reprendre, souvent sans le savoir, certains impératifs. 

Le plus récent, WTC 9/11, utilise des sons tirés de la tragédie du 11 septembre 2001 à New York, alors que le premier, ‘’Different Trains’’ (qui reste le meilleur de tous), fait un parallèle entre les trains voyageant entre New York et Los Angeles (que Reich a souvent utilisés à une époque), et ceux qui transportaient les Juifs vers les camps d’extermination pendant la Seconde guerre mondiale (Reich est Juif, et l’allégorie lui est venue à l’esprit avec force). Entre les deux, le Triple Quartet requiert une bande sur laquelle deux autres quatuors jouent chacun une partition pendant que l’ensemble interprète la sienne live sur scène. 

Le Quatuor Mivos a enregistré ces trois mêmes quatuors pour Deutsche Grammophon. Ses musiciens sont donc bien trempés dans les exigences de cette musique. Il reste malgré tout qu’une performance de ces partitions sur scène est extrêmement exigeante. Il faut une concentration de tous les instants pour réagir précisément à ce qui se passe dans la bande sonore et chez les collègues, en plus de ne pas perdre le fil de toutes les répétitions, régulièrement ponctuées de petits changements aussi subtils que fondamentaux dans l’énergie dynamique de la musique. Comme on dit, c’est facile de se perdre là-dedans. 

Chapeau bas aux quatre excellents musiciens de l’ensemble new yorkais (en première visite chez nous!) Olivia de Prato et Adam Woodward aux violons, Victor Lowrie Tafoya à l’alto et Nathan Watts au violoncelle. Leur lecture a été épatante de précision et de coordination. 

C’est presque un rendez-vous annuel de grands noms du Minimalisme que nous propose la programmation de la salle Bourgie (dans les dernières années nous avons eu Glass et Missy Mazzoli), et nous le saluons avec enthousiasme. On espère que cela continuera et, pourquoi pas, qu’il y en aura même plus. 

Piano

Chilly Gonzales au Théâtre Rialto

par Rédaction PAN M 360

Chilly Gonzales est aussi bien réputé pour son approche intimiste du piano à travers sa trilogie d’albums Solo Piano que pour son remarquable talent de showman en concert et ses compositions pour des artistes de grande renommée. Vêtu d’un peignoir et chaussé de pantoufles, il remplit les salles de spectacle du monde entier : en l’espace d’une soirée, il peut donner un sublime récital de piano, disséquer la musicologie d’un tube de Billie Eilish et faire preuve de sa dextérité lyrique de rappeur. Chilly aime aussi s’interroger sur son propre enthousiasme pour les musiques souvent considérées d’un « goût » douteux et ose poser la question : la musique doit-elle être soumise à une appréciation intellectuelle ou peut-elle simplement aller droit au cœur ?

Chilly Gonzales is as much renowned for his intimate approach to the piano on his trilogy of Solo Piano albums as he is for his remarkable showmanship in concert, composing for artists of great renown. Dressed in a bathrobe and slippers, he fills concert halls the world over: in the space of an evening, he can give a sublime piano recital, dissect the musicology of a Billie Eilish hit and demonstrate his lyrical dexterity as a rapper. Chilly also likes to question his own enthusiasm for music often considered of dubious “taste”, and dares to ask the question: should music be subject to intellectual appreciation, or can it simply go straight to the heart?

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Ce contenu provient de POP Montréal et est adapté par PAN M 360.

alt-rock / Indie / shoegaze

This Will Destroy You au Ritz PDB

par Rédaction PAN M 360

This Will Destroy You est un groupe texan qui compose de longues pièces instrumentales atmosphériques en utilisant une variété d’effets guitare et de changements dynamiques. Incorporant des influences comme le shoegaze, l’ambient et le doom metal, ils rejettent l’étiquette de « post-rock » qui leur est souvent attribuée. Apparue pour la première fois avec un EP démo bien accueilli en 2005, Young Mountain, le groupe a continué à faire évoluer son son à travers des sorties suivantes, dont l’album influencé par le metal Tunnel Blanket (2011) et le drone lourd Another Language (2014).

This Will Destroy You are a Texan group who compose lengthy, atmospheric instrumental pieces utilizing a variety of guitar effects and dynamic changes. Incorporating influences such as shoegaze, ambient, and doom metal, they reject the « post-rock » label that is usually applied to them. Initially appearing with a well-received 2005 demo EP, Young Mountain, the group continued to evolve their sound through subsequent releases including the metal-influenced Tunnel Blanket (2011) and the drone-heavy Another Language (2014).

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baroque / chant lyrique / classique occidental / opéra

Opera McGill | Imeneo ou l’art du « less is more »

par Alexis Desrosiers-Michaud

Opera McGill donnait vendredi soir la première de sa série de représentations de Imeneo de Georg Friedrich Handel, au Théatre Paradoxe, une ancienne église située rue Monk, transformée en salle de spectacle, le tout dans une formule cabaret, où les convives sont invitées à déguster un verre pendant la représentation. 

Des cinq interprètes principaux, c’est la ténor Patricia Yates dans le rôle-titre qui se démarque. À la fois par l’interprétation scénique de son personnage, un peu trop fier et par l’amplitude de sa voix, elle assure une présence qui dépasse le cadre du Paradoxe, et qui marcherait tout autant dans une salle d’opéra plus conventionnelle. Dans le rôle de Trinto, son opposant, le contre-ténor Reed Demangone, ne vend pas sa place non plus, mais pour des raisons contraires. Plus effacé, timide, Demangone fait preuve d’agilité et de délicatesse dans ses arias, tout comme dans son jeu de celui qui se fera piquer sa promise. 

Chez les dames, Elizabeth Fast en met plein la vue en Clomiri dans la première moitié de l’opéra, voulant séduire Imeneo qui l’a sauvée d’une attaque de pirates, en compagnie de Rosmene. Cette dernière jouée, par Patricia Wrigglesworth, prend du galon dans la seconde partie, s’affirmant de plus en plus, ce qui lui donne de la crédibilité dans son choix de mari à la toute fin. Au final, Fast et Wrigglesworth offrent une performance égale, chacune sachant quand et comment prendre le dessus sur sa rivale. 

Mis à part des costumes « à la Romaine », rien dans ce qui nous a été présenté nous indique avec précision l’époque ou le lieu dans lequel l’action se déroule. À ce titre, la mise en scène simple et efficace de Patrick Hansen tient la route. Le décor ne tient qu’à quatre bandes verticales descendant du plafond et une roche gigantesque ayant l’air d’un grain de popcorn éclaté, suspendu en plein centre. Une roche qui ne semble qu’à servir à rediriger les éclairages et à obstruer les surtitres, nécessaire étant donné que l’opéra est chanté en italien. 

Également, puisqu’il n’en est pas obligé, il n’y a aucun changement de décor ni de costumes. De ce fait, Hansen élimine le risque que l’auditeur se pose des questions à savoir « on est rendu où ? » ou « qui est qui maintenant ? » et peut se concentrer sur l’action. Bref, cette mise en scène est tellement efficace qu’on ne se rend pas compte tout de suite de sa simplicité, sans être ennuyante non plus. En voulant faire trop, parfois, on passe à côté de l’essentiel… Ce n’est pas le cas ici et c’est fort bien mené. Il est intéressant de noter que chaque personnage a un double, comme il est coutume dans les productions estudiantines; la distribution « B » chantera en solistes demain et le « A » sera de retour dimanche. Sauf que dans cette production, la notion de la doublure est finement et judicieusement exploitée. Les dix artistes font partie des trois concerts, mais ceux « en congé » interviennent comme choristes, mais dans leurs costumes de personnages. Le paroxysme de ce jeu du double arrive à la fin du premier acte, lorsque les doubles exécutent leur homonymes, tels des émotions qui déchirent l’âme, plongeant la salle dans un rouge macabre. 

crédit photo: Stephanie Sedlbauer

Chanson francophone / électro-pop / Indie

Zaho de Sagazan au MTelus

par Rédaction PAN M 360

Zaho de Sagazan c’est une voix singulière et puissante, de celles qui font dresser nos poils. Un timbre grave porté par des rythmes électroniques qui côtoient la techno berlinoise et l’electronica française.
Passant des murmures aux cris, l’artiste de 24 ans s’amuse, se raconte et dissèque les travers humains sur des textes en français d’une sincérité tranchante. Ses mots, drapés de mélodies puissantes à la mélancolie subtile, nous plongent dans une intimité partagée, où l’on goûte à la délicieuse liberté de danser, de penser et de s’émouvoir.
Au côté de son batteur Tom Geffray, Zaho nous livre une Krautpop moderne inspirée de ceux qui l’ont fait danser tels que Koudlam ou Autumn. Côtoyant la folie de Catherine Ringer ou Brigitte Fontaine vient toujours le moment où elle retourne s’asseoir les yeux fermés à son piano, fidèle allié de ses créations.

Zaho de Sagazan possesses a unique and powerful voice—one that sends shivers down your spine. Her deep, resonant tone is carried by electronic rhythms that blend Berlin techno with French electronica.
Shifting from whispers to cries, the 24-year-old artist plays, reflects, and dissects human flaws through razor-sharp, sincere French lyrics. Her words, wrapped in potent melodies with a subtle melancholy, draw us into a shared intimacy where we revel in the freedom to dance, think, and feel.
Alongside her drummer, Tom Geffray, Zaho delivers a modern Krautpop sound, inspired by artists who made her dance, such as Koudlam and Autumn. With echoes of the wild energy of Catherine Ringer or Brigitte Fontaine, she always finds a moment to return to her piano, eyes closed—her most faithful creative companion.

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Ce contenu provient de Bonsound et est adapté par PAN M 360

classique / période moderne

OSM : Isabelle Demers interprète l’Oiseau de feu

par Rédaction PAN M 360

Virtuose accomplie, Isabelle Demers séduit le public par le dynamisme de son jeu et l’originalité de ses programmes. Lors de ce concert, elle transformera le Grand Orgue Pierre-Béique en un somptueux orchestre, dévoilant tous ses atouts dans les transcriptions d’œuvres de Rimski-Korsakov et de Stravinsky.

Consummate virtuosa Isabelle Demers charms audiences with her dynamic playing and original programs. In this concert, she transforms the Grand Orgue Pierre-Béique into an opulent orchestra, bringing out its many facets in transcriptions of works by Rimsky-Korsakov and Stravinsky.

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Ce contenu provient de l’Orchestre symphonique de Montréal et est adapté par PAN M 360

hip-hop / rap

MIKE au Théâtre Fairmount

par Rédaction PAN M 360

Avec un flow grave et flottant, ainsi que des beats oniriques qu’il produit lui-même, le rappeur MIKE continue de pousser le rap vers des directions plus expérimentales. Il a commencé à toucher un plus large public vers la fin des années 2010, en sortant fréquemment des mixtapes, en collaborant avec Earl Sweatshirt et en recevant des éloges critiques pour son album lourd et endeuillé Tears of Joy en 2019. Ses projets suivants, comme Weight of the World (2020), Disco! (2021) et Burning Desire (2023), ainsi que ses albums collaboratifs avec Wiki et The Alchemist (Faith Is a Rock, 2023) et Tony Seltzer (Pinball, 2024), ont été tout aussi bien accueillis.

With a floating, woozy baritone flow and dreamlike self-produced beats, rapper MIKE continues pushing rap in more experimental directions. He began reaching more listeners near the end of the 2010s, frequently releasing mixtapes, collaborating with Earl Sweatshirt, and finding critical acclaim with his heavy, grieving 2019 album Tears of Joy. Subsequent projects such as 2020’s Weight of the World, 2021’s Disco!, and 2023’s Burning Desire, along with collaborative albums made with Wiki and the Alchemist (2023’s Faith Is a Rock) and Tony Seltzer (2024’s Pinball) have been similarly well-received.

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Ce contenu provient d‘AllMusic et est adapté par PAN M 360

cinéma / classique

OSM : Fantasia de Disney

par Rédaction PAN M 360

Vivez la magie de Disney avec l’OSM et Fantasia, un des plus spectaculaires films d’animation jamais réalisés. Féériques, cocasses ou fantastiques, les images fusionnent avec la musique de Beethoven, Stravinsky, Dukas et bien d’autres afin de vous faire découvrir l’univers fantastique de la musique classique.

Experience the magic of Disney with the OSM and Fantasia, one of the most spectacular animated films ever made. Enchanting, comical and fanciful, its images dovetail with music by Beethoven, Stravinsky, Dukas, and many others in this journey through the enthralling world of classical music.

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Ce contenu provient de l’Orchestre symphonique de Montréal et est adapté par PAN M 360

dance-pop / nu-disco

Kylie Minogue au Centre Bell

par Rédaction PAN M 360

L’icône mondiale performera dans de nombreuses villes à travers le monde au cours de ce qui sera sa plus vaste tournée depuis 2011. 2024 a déjà vu Kylie remporter le prix Global Icon aux BRITs et le prix Grammy du Meilleur enregistrement pop dance pour son succès « Padam Padam »; elle a assisté au Met Gala; elle a conclu sa première résidence à Las Vegas; elle a performé à la WeHo Pride; et elle a lancé une série de collaborations prestigieuses. Kylie a dit : « Je suis très excitée d’annoncer la tournée TENSION 2025. J’ai hâte de partager de superbes moments avec les fans partout à travers le monde, de célébrer l’ère Tension, et plus encore! C’est une aventure extraordinaire jusqu’à maintenant, et préparez-vous à votre gros plan lorsque je dirai “lights, camera, action”… et il y aura beaucoup de Padam Padam! »

The global icon will perform in cities across the world for her Tension 2025 tour and is set to be Kylie’s biggest tour since 2011. 2024 has already seen Kylie take home the Global Icon Award at the BRITs, win the Best Pop Dance Recording Grammy for the smash hit, ‘Padam Padam’, attend the Met Gala, complete her inaugural Las Vegas Residency, perform at WeHo Pride and release a series of high profile collaborations. Kylie said:“I am beyond excited to announce the TENSION TOUR 2025. I can’t wait to share beautiful and wild moments with fans all over the world, celebrating the Tension era and more! It’s been an exhilarating ride so far and now, get ready for your close up because I will be calling Lights, Camera, Action … and there will be a whole lot of Padaming!”

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folk-rock / hard rock

Heart au Centre Bell

par Rédaction PAN M 360

Avec une carrière couvrant près de cinq décennies, le groupe intronisé au Rock and Roll Hall of Fame en 2013 a vendu plus de 35 millions d’albums mondialement et a inscrit pas moins de 20 chansons au Top 40. HEART jouera les succès classiques de son répertoire, incluant « Magic Man », « Barracuda », « Crazy on You » et « These Dreams ». Les membres actuels de HEART sont Nancy Wilson (guitare rythmique, solo et acoustique, voix et chœurs), Ann Wilson (voix et flûte), Ryan Wariner (guitare solo et rythmique), Ryan Waters (guitares), Paul Moak (guitares, claviers et chœurs), Tony Lucido (basse et chœurs) and Sean T Lane (batterie et vélo). 

WIth a career spanning nearly five decades, the 2013 Rock and Roll Hall of Fame Inductees have earned global recognition selling more than 35 million albums worldwide, with 20 Top 40 singles to their name.  HEART will be performing their catalog of global chart-topping classic hits including  “Magic Man”, “Barracuda”, “Crazy on You” and “These Dreams”.  The current members of HEART feature Nancy Wilson (rhythm, lead and acoustic guitar, backing and lead vocals), Ann Wilson (lead vocals and flute), Ryan Wariner (lead and rhythm guitar), Ryan Waters (guitars), Paul Moak (guitars, keyboards and backing vocals), Tony Lucido (bass and backing vocals) and Sean T Lane (drums and bike).

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