cinéma / classique / hommage

OSM : 2001 - L’Odyssée de l’espace

par Rédaction PAN M 360

L’Orchestre et le Chœur de l’OSM accompagnent le mythique film de science-fiction réalisée par Stanley Kubrick, 2001 : l’Odyssée de l’espace, pour un voyage philosophique où futurisme et poésie se rencontrent. Le film explore l’évolution humaine sous l’influence d’un mystérieux monolithe extraterrestre, de la préhistoire à l’ère spatiale. L’intelligence artificielle HAL 9000 se retourne contre l’équipage du vaisseau Discovery One. L’astronaute Bowman, seul survivant, traverse un portail cosmique et renaît sous une forme supérieure, symbolisant une nouvelle étape de l’humanité. Les images époustouflantes prennent vie au rythme du célèbre Beau Danube bleu de Johann Strauss, ainsi qu’avec des œuvres de Richard Strauss et des compositions envoûtantes de György Ligeti. Une expérience cinématographique et musicale à voir absolument.

Embark on a philosophical journey with the Orchestre symphonique de Montréal and the OSM Chorus as they accompany Stanley Kubrick’s iconic sci-fi masterpiece, 2001: A Space Odyssey. This fusion of futurism and poetry takes you through humanity’s evolution, from prehistory to the space age, guided by an enigmatic alien monolith. As the sentient supercomputer HAL 9000 turns on the crew of the spaceship Discovery One, astronaut Bowman becomes the last survivor. He passes through a cosmic gateway and is reborn as a higher life form symbolizing the next stage of humanity’s evolution. Stunning visuals are brought to life by Johann Strauss’ Blue Danube, works by Richard Strauss and the captivating compositions of György Ligeti. A cinematic and musical experience you won’t want to miss!

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Ce contenu provient de l’Orchestre symphonique de Montréal et est adapté par PAN M 360

classique moderne

OCM : Bernstein et ses ‘’side stories’’ à l’honneur

par Frédéric Cardin

L’Orchestre classique de Montréal donnait un concert bénéfice sous les auspices de la musique de Leonard Bernstein, le samedi 3 mai 2025. En vedette, la soprano Sharon Azrieli, la mezzo Julie Nesrallah, le baryton James Westman et le violon solo de l’orchestre, Mark Djokic. Rappelons que l’argent amassé permettra d’offrir un accès à des concerts classiques aux nouveaux arrivants, aux personnes âgées en milieu de santé et à d’autres groupes qui ne bénéficient pas des mêmes opportunités que la population en général. 

Audace? Témérité? Intégrité artistique? Ce sont des œuvres austères’’, dans le panthéon bernsteinien, qui ont dominé la soirée (Arias and Barcarolles, et la Serenade (selon le banquet de Platon)). À peine deux extraits de West Side Story (le Mambo et Somewhere, placés aux deux extrémités du concert) et un air de Candide, même pas celui auquel nous sommes habitués (Glitter and be gay) mais plutôt I am so easily assimilated, qui mérite pleinement d’être entendu lui aussi. 

Si le Candide était réussi avec la soprano Sharon Azrieli en forme aguicheuse, le Mambo a souffert de décalages rythmiques (un péché mortel dans ce genre de musique) et Somewhere n’était pas plus que correct, avec les trois solistes vocaux et l’orchestre. Une fois ces bémols appuyés mentionnés, cela dit, je suis heureux de dire que le corpus central du concert était, lui, extrêmement réussi, voire splendide. 

Arias and Barcarolles est la dernière œuvre majeure de Bernstein (1988, un an avant sa mort). C’est un cycle de neuf mélodies qui forment un tout narrativement cohérent, tel un mini opéra, pour mezzo-soprano, baryton et orchestre. En moins de trente minutes, sont évoqués les aléas d’une vie de couple, des débuts à l’âge avancé, avec des réflexions sur l’amour, la vie, etc. L’écriture resserrée laisse tout de même transparaître une large panoplie de styles musicaux, tels le jazz, le blues et l’atonalisme moderne. Contrairement à Mass, par contre, point de collisions frontales, et même déboussolantes, entre les genres cités. Plutôt une grande maturité dans l’organisation des oppositions et de l’éclectisme. Une œuvre qui mérite d’être bien plus vastement entendue. 

Les solistes, Nesrallah et Westman, étaient en très bonne forme, surtout la mezzo, criante d’authenticité et de justesse dans le jeu scénique offert (et dans les limites de ce que pouvait permettre la situation). Je n’avais jamais vu cette dame, également animatrice à la CBC, sur scène auparavant. Je voudrais la revoir dans une véritable mise en scène opératique. La partition d’orchestre est, soulignons-le, redoutable. Chacun est à nu, les rythmes s’entrecroisent, les jaillissements de notes sont d’une précision imparable, et tout doit être mené avec un doigté et une fermeté technique impeccable. La cheffe Mélanie Léonard, discrète mais fiable, a relevé le défi, avec les musiciens.

L’autre gros morceau était la Serenade, un concerto pour violon qui ne dit pas son nom. Bien que mieux connue que la précédente, cette œuvre reste relativement exigeante pour un public profane qui retient du maestro états-unien ses comédies musicales et sa direction mémorable des grands chefs-d’œuvre symphoniques. 

Le violon solo de l’Orchestre, Mark Djokic, a offert une prestation remarquable, avec un timbre d’instrument lumineux et scintillant, et une incarnation émotionnelle très convaincante. Pour un ‘’petit’’ orchestre comme l’OCM, la présence d’un soliste du calibre de Djokic est une véritable aubaine. On leur souhaite d’en profiter pleinement et très longtemps. Encore une fois, l’orchestre que Bernstein ne laisse pas souvent se reposer, a été à la hauteur de l’occasion, sous la baguette assurée de Mme Léonard. 

Votre humble serviteur n’avait pas accès au coquetèles et aux petits fours qui venaient avec les billets plus dispendieux (et plus utiles à la mission), mais on peut être assurés que messieurs dames Nesrallah, Westman, Djokic et Léonard (et tous les autres musiciens) ont dû recevoir des accolades bien méritées à leur arrivée parmi les convives après le concert (nonobstant les quelques bémols mentionnés en début d’article). 

gothique / Indie / post-punk

Bria Salmena au Ritz PDB

par Rédaction PAN M 360

La chanteuse et auteure-compositrice torontoise Bria Salmena apporte une intensité inlassable à sa musique, fusionnant des genres disparates allant du punk et du goth au country et à l’indie rock ambiant. Elle s’est d’abord fait connaître à la fin des années 2010 en tant que leader du groupe post-punk acclamé par la critique, Frigs, avant de passer un certain temps au sein du groupe de tournée d’Orville Peck. Au début des années 2020, elle a lancé une carrière solo, publiant plusieurs EPs de covers éclectiques, puis a signé chez Sub Pop pour son premier album complet, Big Dog, prévu pour 2025.

Toronto singer/songwriter Bria Salmena brings a restless intensity to her music, blending disparate genres from punk and goth to country and ambient indie rock. She first made her name in the late 2010s as the frontwoman for the critically lauded post-punk band Frigs, then spent some time as part of Orville Peck’s touring band. In the early 2020s, she launched a solo career, releasing a handful of eclectic covers EPs, then signed to Sub Pop for her full-length debut, 2025’s Big Dog.

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death metal progressif / grindcore / trash metal

Shred Fest 2025 au Théâtre Fairmount

par Rédaction PAN M 360

Avec/With :

Obscura

Groupe de heavy metal novateur originaire de Landshut, en Bavière, Obscura propose un mélange audacieux et complexe de death metal technique et de thrash progressif, qui a été salué dès la sortie de leur premier album, Retribution, en 2006. Avec une formation en perpétuel changement, le guitariste et chanteur Steffen Kummerer (connu pour sa guitare Ran à sept cordes au design unique) reste le seul membre constant du groupe. Depuis 2002, il dirige le navire noir Obscura, livrant des albums d’un extrême métal aussi inventif que brutal, comme Omnivium (2011) et Diluvium (2018). Après plusieurs remaniements, le groupe sort A Valediction en 2021, suivi en 2023 par A Celebration I: Live in North America, publié chez Nuclear Blast. En 2024, Kummerer renouvelle entièrement le line-up pour enregistrer et tourner avec l’album A Sonication, prévu pour 2025.

An innovative heavy metal group from the Bavarian town of Landshut, Germany, Obscura employ a heady and jarring blend of technical death metal and progressive thrash that drew accolades with the release of their 2006 debut album, Retribution. Featuring a rotating cast of virtuoso players, guitarist and vocalist Steffan Kummerer (known for his custom-shaped, seven-string Ran guitar) is the group’s sole constant member, and he has steered the black ship Obscura since 2002, issuing singular extreme metal outings like Omnivium (2011) and Diluvium (2018) that are as inventive as they are punishing. In 2021, after several lineup changes, the band issued A Valediction. Two years later, Nuclear Blast issued A Celebration I: Live in North America. Kummerer cleaned house in 2024, hiring an entirely different lineup to record and tour behind 2025’s studio outing A Sonication.

Atheist

Sans doute le groupe de metal progressif ultime de son époque, Atheist a développé un death-jazz d’une complexité vertigineuse, trop avancé même pour les amateurs de metal les plus aguerris. Au fil de trois albums enregistrés avec une détermination admirable malgré de nombreuses difficultés, leur style inventif mais difficile d’accès leur a valu un respect durable, tout en limitant leurs chances d’atteindre un succès grand public.

Arguably the ultimate progressive metal band of their day, Atheist’s impossibly Byzantine death-jazz proved too advanced even for committed metalheads to stomach. Over the span of three albums admirably recorded in spite of crippling adversity, the band’s inventive but inaccessible style has earned them a lasting respect, but likewise compromised their chances of attaining widespread success.

Origin

Basé à Topeka, Kansas, le quintette Origin se spécialise dans un death/grind metal d’une technicité, rapidité et brutalité exceptionnelles. Depuis leur premier EP de 1997 et l’album éponyme de 2000 chez Relapse, le groupe a misé sur un picking tremolo/sweep furieux à travers les guitares et la basse, des triplets/quintuplets de notes en 16e sur des cordes en accordage bas, et une orgie de blastbeats. Le guitariste Paul Ryan est le seul membre original. Le batteur John Longstreth a joué avec le groupe de 1999 à 2003 avant de revenir en 2007, tandis que le bassiste Mike Flores a rejoint en 2002. Le chanteur Jason Keyser est le frontman du groupe depuis la fin de 2011. L’album Antithesis (2008) a reçu leurs critiques les plus constantes depuis leurs débuts, tandis que Entity (2011) a été enregistré par le trio Origin avant l’arrivée de Keyser. Omnipresent (2014) a marqué le retour triomphal du groupe en tant que quatuor avec un jeu légèrement plus lent. Unparalleled Universe (2017) a signalé un retour au death metal technique, rapide et brutal. Abiogenesis: A Coming Into Existence (2019) a compilé les démos du groupe et d’autres premiers morceaux composés par Ryan, tandis que Chaosmos (2022) a marqué le véritable retour du quatuor en studio.

Topeka, Kansas-based quintet Origin specializes in ridiculously technical, fast, and punishing death/grind metal. Since 1997’s debut EP and 2000’s self-titled Relapse full-length, the band put all of its chips down on furious tremolo/sweep picking across guitars and bass, downtuned, sixth string-riding triplet/quintet 16th notes, and an orgy of blastbeats. Guitarist Paul Ryan is the only original member. Drummer John Longstreth served from 1999 until 2003 and re-joined in 2007, while bassist Mike Flores joined in 2002. Vocalist Jason Keyser has fronted the band since late 2011. 2008’s Antithesis scored their most consistent reviews since their debut, while 2011’s Entity saw Origin record as a pre-Keyser trio. 2014’s Omnipresent showcased the triumphant return of the band as a somewhat slower-playing quartet. 2017’s Unparalleled Universe marked a return to speedy, brutal, technical death metal. 2019’s Abiogenesis: A Coming Into Existence compiled the band’s demos and other early Ryan-composed material, while 2022’s Chaosmos marked the quartet’s proper return to recording.

Decrepit Birth

Fusionnant une puissance physique brute avec une attaque d’une précision infaillible, Decrepit Birth est un groupe de death metal technique originaire de Santa Cruz, Californie. L’histoire du groupe commence au milieu des années 90, lorsque le chanteur Bill Robinson rencontre le guitariste Matt Sotelo, et qu’ils découvrent qu’ils partagent l’ambition de créer une musique véritablement intransigeante. En 2001, les choses se concrétisent lorsque Robinson et Sotelo s’associent au bassiste Derek Boyer et commencent à assembler du matériel. En 2003, le groupe avait déjà acquis une réputation grâce à leurs concerts marquants et a sorti leur premier album, … And Time Begins, avec le batteur Tim Yeung. Yeung ne resta pas longtemps avec le groupe, et en 2004, K.C. Howard est devenu leur nouveau batteur. Après une tournée intensive, Sotelo a commencé à écrire des morceaux qui donnaient à Decrepit Birth un son plus mélodique sans réduire leur férocité. Le résultat fut leur deuxième album, Diminishing Between Worlds (2008). Bien que Joel Horner jouait de la basse avec le groupe à ce moment-là, il ne figure pas sur l’album, Sotelo jouant également de la basse et des claviers en plus de la guitare. Selon les standards de Decrepit Birth, leur album suivant a été réalisé rapidement, avec Polarity sorti en 2010 sur le label metal respecté Nuclear Blast. La formation Robinson/Sotelo/Horner/Howard a été complétée en studio par les guitaristes Dan Eggers et Ty Oliver, ainsi que par le batteur Lee Smith. À la fin de 2010, Sam Paulicelli est devenu leur nouveau batteur, remplaçant K.C. Howard, et Sean Martinez a pris la place de Horner à la basse en 2013. Bien que Decrepit Birth ait tourné intensivement pour promouvoir Polarity, le groupe a pris une pause lorsque Sotelo est devenu père pour la première fois et a voulu rester à la maison avec son jeune fils. Cependant, il n’a pas cessé d’écrire de nouvelles chansons pendant son congé paternité, et avec Sot

Merging brutal physical power with an unerringly precise attack, Decrepit Birth are a technical death metal band from Santa Cruz, California. The band’s story begins in the mid-’90s, when vocalist Bill Robinson met guitarist Matt Sotelo, and the two discovered they shared an ambition to create truly uncompromising music. In 2001, things got serious when Robinson and Sotelo teamed up with bassist Derek Boyer and began assembling material. By 2003, the band had developed a reputation for their striking live shows, and they released their debut album, … And Time Begins, with the three musicians joined by drummer Tim Yeung. Yeung didn’t last long with the group, and in 2004 K.C. Howard became their new drummer. After extensive touring, Sotelo began writing material that gave Decrepit Birth a more melodic sound without cutting back on their ferocity. The result was their second full-length album, 2008’s Diminishing Between Worlds. While Joel Horner was playing bass with the band by this time, he didn’t appear on the album, with Sotelo playing bass and keyboards as well as guitar. By Decrepit Birth’s standards, their next album was completed quickly, with Polarity released in 2010 by respected metal label Nuclear Blast; the Robinson/Sotelo/Horner/Howard lineup was supplemented in the studio by guitarists Dan Eggers and Ty Oliver and drummer Lee Smith. By the end of 2010, Sam Paulicelli became the group’s new drummer, replacing KC Howard, and Sean Martinez took over from Horner on bass in 2013. While Decrepit Birth toured hard in support of Polarity, the group took a break after Sotelo became a father for the first time and wanted to stay home with his young son. However, he didn’t stop writing new songs while on paternity leave, and with Sotelo and Martinez recording in their respective home studios and Paulicelli cutting drum tracks at a studio in Canada, Decrepit Birth returned in 2017 with the album Axis Mundi.

Fractal Universe

Fractal Universe est un groupe français de metal progressif fondé en 2014.
Avec leur deuxième album Rhizomes Of Insanity sorti en 2019 chez Metal Blade Records, le groupe a créé l’une des œuvres les plus complexes et captivantes du metal progressif du XXIe siècle, tant sur le plan musical, lyrique qu’émotionnel. Le groupe a fortement tourné pour promouvoir cet album, rejoignant les poids lourds d’Obscura en février/mars 2020, participant ainsi à l’une des dernières tournées avant la pandémie, et satisfaisant leurs fans tout en gagnant de nombreux nouveaux adeptes. Avec son successeur, The Impassable Horizon, ils sont allés encore plus loin, suivant sans effort la trajectoire qu’ils s’étaient fixée pour créer un album captivant du début à la fin.

Fractal Universe is a French Progressive Metal Band founded in 2014.
With their 2019’s sophomore record Rhizomes Of Insanity, released on Metal Blade Records the band created one of the most musically, lyrically, and emotionally complex and compelling progressive metal works of the twenty-first century. The band toured the record hard, joining heavyweights Obscura in February/March of 2020, making for one of the last tours in the world pre-pandemic, and in doing so sated their faithful while winning legions of new followers. With its successor, The Impassable Horizon, they have gone even deeper, effortlessly following the trajectory they set themselves on to create an album that is riveting from start to finish.

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heavy metal / metalcore

Invent Animate & Silent Planet au Théâtre Beanfield

par Rédaction PAN M 360

Invent Animate

Le groupe texan de metalcore Invent Animate a émergé au milieu des années 2010 avec un son complexe et techniquement impressionnant, intégrant le djent, l’ambient, le métal progressif et le post-hardcore. Après avoir traversé plusieurs changements de membres, ils se sont forgé une réputation pour leur travail minutieux en studio avec des albums comme Stillworld (2016) et Greyview (2020), tout en consolidant leur héritage de groupe live intense. Après trois albums chez Tragic Hero, ils ont signé avec le label australien UNFD et ont sorti Heavener en 2023.

Texas metalcore combo Invent Animate rose in the mid-2010s with an intricate, technically dazzling sound that incorporated djent, ambient, progressive metal, and post-hardcore. While enduring a handful of membership changes, they earned a reputation for detailed studio craft on albums like 2016’s Stillworld and 2020’s Greyview while also cementing a legacy as a fierce live act. After three albums on Tragic Hero, they signed with Australia’s UNFD and released 2023’s Heavener.

Silent Planet

Silent Planet est un groupe de metalcore basé à Los Angeles, dont la musique oscille entre des moments de contemplation atmosphérique calme et des assauts sonores puissants. Leurs paroles offrent une réflexion sur les défis de la vie dans un monde destructeur et chaotique. Bien que le leader du groupe, Garrett Russell, soit chrétien, il a fermement rejeté l’idée de classer Silent Planet comme un groupe chrétien, expliquant que ses paroles sont thématiquement diverses et cherchent à poser des questions plutôt qu’à donner des réponses faciles. Le groupe a fait forte impression dès ses débuts avec l’attaque percutante de The Night God Slept en 2014, et a ajouté des structures plus complexes ainsi qu’une utilisation accrue de l’électronique avec When The End Began en 2018 et Superbloom en 2023.

Silent Planet are a Los Angeles-based metalcore band whose music embraces dynamics swinging from quiet, atmospheric contemplation to a full-on sonic assault, and whose lyrics offer a thoughtful view of the challenges of life in a destructive, chaotic world. Though group leader Garrett Russell is a Christian, he’s firmly rejected classifying Silent Planet as a Christian band, saying his lyrics are thematically diverse and strive to ask questions rather than provide easy answers. The group stormed out of the gate with a challenging attack on 2014’s The Night God Slept, and added more complex structures and increased use of electronics with 2018’s When The End Began and 2023’s Superbloom.

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indie pop / indie rock

Saint Motel au Théâtre Beanfield

par Rédaction PAN M 360

Saint Motel est un groupe indie basé en Californie, dont le pop-art vivant et accrocheur est souvent accompagné d’éléments visuels innovants, tant sur scène que sous la forme de vidéos uniques créées par le groupe pour accompagner la plupart de leurs chansons. Après avoir signé avec le label major Parlophone, ils ont connu un hit dans les classements avec leur single de 2014, My Type, qui a trouvé un public au Royaume-Uni et dans certaines parties de l’Europe. Leur album de 2016, Saintmotelevision, comportait des vidéos en réalité virtuelle pour chaque morceau, faisant de lui le premier album VR jamais réalisé. Ils ont ensuite sorti les EPs Original Motion Picture Soundtrack, Pt. 1 et Pt. 2, qu’ils ont combinés pour créer leur troisième album, Original Motion Picture Soundtrack en 2021. À partir de Everyone’s a Guru Now en 2023, Saint Motel a entamé une nouvelle phase, avec des singles tels que Fine Wine et Stay Golden en 2024.

Saint Motel are a California-based indie band whose vivid and catchy art-pop is often paired with innovative visual elements both on-stage and in the form of unique self-made videos that accompany most of their songs. After signing with major-label Parlophone, they landed a charting hit with their 2014 single « My Type, » which found an audience in the U.K. and parts of Europe. Their 2016 album, Saintmotelevision, featured virtual reality videos for every track, making it the first VR album ever made. They later released the EPs Original Motion Picture Soundtrack, Pt. 1 and Pt. 2, which they then combined to make their third album, 2021’s Original Motion Picture Soundtrack. Starting with 2023’s « Everyone’s a Guru Now, » Saint Motel kicked off a new phase that has yielded singles like « Fine Wine » and 2024’s « Stay Golden. »

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hip-hop / rap

Pouya au Club Soda

par Rédaction PAN M 360

Pouya s’est fait connaître avec « Get Buck », titre phare de son EP Baby Bone, un morceau brutal et agressif, dépourvu de refrain. Le titre de cet EP sorti en 2013 faisait référence à son surnom et à son admiration pour Bone Thugs-N-Harmony. Si l’influence de ce groupe pionnier du rap mélodique se ressent tout au long de sa discographie, le rappeur originaire de Miami s’est démarqué par un style personnel et créatif, ainsi que par sa grande capacité d’adaptation aux variations de ses producteurs. Entre 2016 et 2018, Pouya connaît le succès avec Underground Underdog, Drop Out of School (en collaboration avec Fat Nick) et Five Five, qui se hissent dans les classements Billboard. Durant cette période, il marque aussi les esprits avec « 1000 Rounds », un single réalisé avec Ghostemane. Lorsque ce titre est certifié or en 2021, son catalogue s’est enrichi de plusieurs projets indépendants, dont The South Got Something to Say et Blood Was Never Thick as Water.

Pouya broke through with the Baby Bone EP highlight « Get Buck, » a track so unrelenting and combative that it lacked space for a hook. The title of its 2013 parent release referred to the rapper’s nickname and love for Bone Thugs-N-Harmony. While the influence of that pioneering melodic rap group can be sensed throughout Pouya’s discography, the Miami native’s highly personal and creative lyricism, combined with his easy adaptability to the wildly varying approaches of his producers, have made him stand out all along. From 2016 through 2018, Pouya’s Underground Underdog, Drop Out of School (with Fat Nick), and Five Five each hit Billboard charts, a period during which the rapper also scored with the Ghostemane collaboration « 1000 Rounds. » By the time that single went gold, in 2021, Pouya’s catalog had expanded with additional independent projects such as The South Got Something to Say and Blood Was Never Thick as Water.

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art-pop / cosmic jazz / jazz groove

Syncopes et synergies : Le jazz fusion de Karneef se mêle à la yacht pop de Rapallo

par Stephan Boissonneault

Cette semaine, grâce aux locaux Karneef et Rapallo, La Sala Rossa a accueilli une soirée de jazz fusion cosmique éclectique et de pop expérimentale de yachty, qui a également servi à la sortie de l’album de Karneef, It’s How You Say It, un album de jazz fusion déjanté.

Fusions et bousculades : Les mouvements de marché de Rapallo

La soirée a commencé avec l’entrée en scène de Rapallo, qui s’est lancé dans le disco-funk de plage de « Daryll’s on the News », avant d’enchaîner avec les chansons de leur premier album, Merger, qui sont plus proches du monde des affaires. Rapallo ne se contente pas de jouer ses chansons, il les présente, et tout le monde dans la foule est un actionnaire en puissance ou un noceur qui cherche à s’éclater. Les duels vocaux enjoués et les histoires absurdes entre le guitariste Nick Lanyon et l’envoûtante Kyla Jolene ressemblent un peu à un duo entre Kenny Loggins et Olivia Newton-John, et l’idée d’un groupe qui se la joue « slacker business » fonctionne vraiment bien en live. Mais cela ressemble plus à une croisière avec des CEOS nonchalants et buvant trop de Mai Tais qu’à une réunion Q4 à part entière. « The Alkalite » est peut-être l’une des chansons les plus accrocheuses que j’ai entendues en concert depuis longtemps, et sur scène, c’est un merveilleux rêve de fièvre. La guitare de Lanyon sur le morceau « The Cage » est absolument dégoûtante et hypnotique – l’homme peut déchirer comme Steve Vai et s’en débarrasser comme si de rien n’était.

L’ambiance de Rapallo se résume à une accroche qui vous fait bouger, avec des paroles étonnantes comme « Don’t call it a fantasy / You just live in it / All of the ivory in the key of C », tirée de « Lion’s Share ». Une chanson comme « V.I.P. » est un hymne au synthétiseur avec un fantastique solo d’Isaac Maynes dans les années 80. On dirait Tears for Fears s’ils étaient coincés dans un WeWork. Et « Breathing Underwater » est très codé Supertramp. La musique de Rapallo est une pure métaphore d’entreprise : l’amour comme les fusions et les acquisitions hostiles, la vulnérabilité comme un actif qui se déprécie. Le contraste n’aurait pas pu être plus parfait : Rapallo exigeant que nous investissions, et Karneef exigeant que nous ressentions.

Liquidité en 11/8 temps : It’s How You Say It de Karneef, en belle chute libre

Le jazz a toujours connu une certaine résurgence, et depuis une quinzaine d’années, des artistes comme Thundercat, BADBADNOTGOOD et Snarky Puppy ont mené la charge vers le grand public. Mais avec son spectacle et son album It’s How You Say It, Karneef devrait être ajouté à cette liste.

Lorsque Karneef est entré sur scène avec son orchestre de jazz composé de six musiciens, les lumières se sont éteintes et une brise chaude et jazzifiée s’est emparée de la salle. La musique est douce, chaotique et profondément engagée dans la communication émotionnelle. Saxophone, clavier, basse, guitare brumeuse et un tourbillon syncopé de batterie tourbillonnent dans des négociations polyrythmiques. Karneef est l’orchestrateur vocal fou de ce groupe sauvage de musiciens trop talentueux. Il se lance dans des grognements passionnés, pleins d’âme, et secoue la tête en signe d’incrédulité face au talent brut de son groupe : Rodolfo Rueda à la basse, Max Lazich à la batterie, Ryan Nadin à la guitare, Teddy Kadonoff aux chœurs et au trombone basse, Cedric de Saint-Rome aka Housefly aux claviers et Evan Shay aux saxophones.

Leur set semblait intergalactique, comme si le groupe s’était branché sur une transmission d’un univers parallèle où la fusion est la source d’énergie dominante et où les sentiments s’échangent comme des minéraux rares. Karneef, à la fois magicien, prêcheur et bouffon de jazz, dirigeait le chaos comme un homme possédé par la mélodie elle-même. Sa voix ricoche entre chants gutturaux et supplications en fausset, en particulier sur « If Only You Could See Your Face Right Now », qui m’a donné d’énormes vibrations Awaken, My Love ! de Childish Gambino. La batterie de Lazich était étonnante. Vous savez qu’un batteur de jazz est trop bon lorsque vous vous demandez si vos mains sont correctement attachées à votre corps. Lazich a dû être élevé dans une usine de métronomes.

Le style de jazz fusion de Karneef est constamment sur une corde raide sonore, juste assez déroutante pour les vrais amateurs de jazz, et juste assez accessible pour les gens qui cherchent à groover. Un morceau comme « Insides Match the Outside » va poser un groove régulier, l’abandonner comme un mauvais bail, puis se lancer dans un feu d’artifice polyrythmique d’inventions. Et puis il y a la présence scénique déjantée de Karneef, qui saute sur la scène comme un bouffon et un chef d’orchestre fantasque, ancrant le public pour des moments d’humilité et de répit. Honnêtement, nous sommes probablement encore en train de nous en remettre.

heavy metal / humour / post-grunge

Steel Panther & Buckcherry au MTelus

par Rédaction PAN M 360

Steel Panther

En se faisant passer de manière satirique pour un groupe de hair metal ayant manqué sa chance dans les années 80, le chanteur Ralph Saenz (Michael Starr), le batteur Darren Leader (Stix Zadinia), le bassiste Travis Haley (Lexxi Foxxx) et le guitariste Russ Parrish (Satchel) ont écumé les clubs du Sunset Strip au tournant du millénaire sous le nom de Metal Shop (plus tard rebaptisé Metal Skool, puis Steel Panther). Avec leurs perruques volumineuses, vestes en cuir, spandex à rayures zébrées, une technique acquise en jouant dans un groupe hommage à Van Halen, et une dose massive de machisme, leur parodie des excès du sexe, des drogues et du rock’n’roll a rapidement séduit le public, entraînant des concerts à guichets fermés et quelques incursions inattendues dans le grand public. À mesure que leur popularité grandissait, la scène hollywoodienne se pressait à leurs concerts, avec des apparitions fréquentes sur scène. Cela leur a ouvert des portes : le groupe a incarné le groupe de metal Danger Kitty dans une publicité pour Discover Card, a joué son propre rôle dans The Drew Carey Show, et sa chanson FF a été utilisée comme thème de l’émission Fantasy Factory sur MTV.

Satirically pretending to be a hair metal band that missed its big break in the ’80s, singer Ralph Saenz (« Michael Starr »), drummer Darren Leader (« Stix Zadinia »), bassist Travis Haley (« Lexxi Foxxx »), and guitarist Russ Parrish (« Satchel ») hit the club circuit on the Sunset Strip around the turn of the millennium under the name Metal Shop (later changed to Metal Skool and then to Steel Panther). With big, spiky wigs, leather jackets, zebra-striped spandex, chops earned from playing in a Van Halen tribute band, and lots and lots of machismo, their comic take on sex, drugs, and rock & roll to the extreme caught on quickly, leading to sold-out shows and some unexpected brushes with mainstream success. As their popularity increased, the Hollywood crowd started frequenting their sets, often making appearances on-stage. This led to some opportunities: the group fittingly played the metal band « Danger Kitty » in a Discover Card commercial; they appeared on The Drew Carey Show as themselves; and their song « FF » was used as the theme for MTV’s Fantasy Factory.

Buckcherry

Arrivé à la fin des années 90, alors que le post-grunge s’éteignait et que le nu-metal gagnait du terrain, Buckcherry a fièrement entretenu la flamme du hard rock décadent. Le groupe s’est présenté comme un retour assumé à l’âge d’or du Sunset Strip des années 80, considérant Mötley Crüe comme ses pairs plutôt que Limp Bizkit. Son premier album éponyme, paru en 1999, a produit le hit Lit Up, qui s’est hissé au sommet du palmarès Mainstream Rock, permettant au groupe de se maintenir jusqu’à ce qu’il connaisse un succès inattendu en 2006 avec son troisième album, 15. Porté par le sulfureux Crazy Bitch et la ballade Sorry (qui a atteint le Top 10), l’album a été certifié platine, un succès qui a permis au groupe de traverser les décennies malgré de nombreux changements de formation, avec toujours le chanteur Josh Todd comme pilier. Buckcherry a sorti son dixième album studio, judicieusement intitulé Vol. 10, en 2023.

Arriving in the late ’90s amidst the embers of post-grunge and the rise of nu-metal, Buckcherry proudly kept the torch of hard rock sleaze burning. The band styled themselves as deliberate throwbacks to the glory days of the ’80s Sunset Strip, acting as if their peers were Mötley Crüe instead of Limp Bizkit. Their eponymous 1999 debut generated the number one mainstream rock hit « Lit Up, » which was enough to keep the band afloat until they had an unexpected hit in 2006 with their third album, 15. Boasting the sordid rocker « Crazy Bitch » and « Sorry » (a power ballad that cracked the Top Ten), the album was certified platinum, a success that buoyed the group for decades amid numerous lineup changes, but always anchored by singer Josh Todd. Buckcherry issued their tenth studio album, the aptly named Vol. 10, in 2023.

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garage-rock / noise-pop / post-punk

L.A. Witch au Ritz PDB

par Rédaction PAN M 360

L.A. Witch, un trio rock gothique et atmosphérique basé à Los Angeles, est centré autour de la chanteuse/guitariste Sade Sanchez. Ils ont gagné une large reconnaissance avec leur premier album éponyme sorti en 2017, qui mettait en avant leur son endurci par la route et les alignait avec des groupes au style brut et vêtu de cuir, comme les Kills, the Jesus and Mary Chain, et Black Rebel Motorcycle Club.

Los Angeles’ L.A. Witch is a gothy, atmospheric rock trio centered on singer/guitarist Sade Sanchez. They gained widespread buzz with their 2017 debut, L.A. Witch, which showcased their road-hardened sound and aligned them with gritty, leather-clad outfits like the Kills, the Jesus and Mary Chain, and Black Rebel Motorcycle Club.

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folk-punk / indie rock / lo-fi

AJJ (en formule solo)

par Rédaction PAN M 360

AJJ est un groupe prolifique de folk-punk originaire de Phoenix, Arizona, dont le son sauvage intègre une instrumentation éclectique (cuivres, Theremin, mandoline, scie musicale) et explore une multitude de sujets allant de l’actualité et la politique à l’absurde. Après leurs débuts en 2005 sous le nom de Andrew Jackson Jihad, ils ont enregistré à un rythme effréné, publiant de nombreux singles D.I.Y., splits 7″, EPs et démos entre leurs albums studio, comme le très apprécié Can’t Maintain (2009) et Knife Man (2011). Ils se sont éloignés de leurs origines acoustiques sur Christmas Island (2014), avant de raccourcir leur nom en AJJ pour leurs sorties suivantes, comme Good Luck Everybody (2020) et Disposable Everything (2023), tout en offrant des commentaires spirituels et intenses sur eux-mêmes et la société à travers leurs nombreuses sorties annexes.

AJJ is a prolific folk-punk band from Phoenix, Arizona whose wild sound incorporates eclectic instrumentation (horns, Theremin, mandolin, singing saw) and explores myriad subjects from the topical and political to the absurd. After debuting in 2005 under the name Andrew Jackson Jihad, they recorded at a furious pace, issuing numerous D.I.Y. singles, split 7″ releases, EPs, and demos in between studio albums like 2009’s highly regarded Can’t Maintain and 2011’s Knife Man. They moved away from their acoustic originals on 2014’s Christmas Island, then shortened their name to the abbreviated AJJ on subsequent releases like 2020’s Good Luck Everybody and 2023’s Disposable Everything, all while offering witty, intense commentary on themselves and society at large through their copious auxiliary releases.

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classique / Piano

OSM : L’étincelant Concerto pour piano de Ravel

par Rédaction PAN M 360

Benjamin Grosvenor, magicien du piano, interprétera l’éblouissant Concerto en sol de Ravel. Au centre de cette partition d’un irrésistible dynamisme, le compositeur dévoile pudiquement sa sensibilité par le biais d’une mélopée d’une extrême douceur. L’ambiance plus tumultueuse de la Symphonie no 6 de Vaughan Williams offrira un contraste frappant. Puissante, entrecoupée de passages introspectifs, l’œuvre est attisée par des tensions permanentes qui s’estompent dans les sonorités quasi immatérielles du final.

Benjamin Grosvenor, a magician of the piano, will perform Ravel’s mesmerizing Concerto in G. In the middle movement of this irrepressibly vibrant work, the composer reveals his deep sensitivity in an ethereal melody of the utmost tenderness. The more turbulent mood of Vaughan Williams’ Symphony no. 6 offers a striking contrast: forceful, though interspersed with introspective passages, this work is powered by an ongoing tension that dissolves into virtual immateriality in the finale.

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Ce contenu provient de l’Orchestre symphonique de Montréal et est adapté par PAN M 360

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