Afrique / classique / période moderne

OSM : Angélique Kidjo chante Glass

par Rédaction PAN M 360

Beethoven dépeint poétiquement les chants d’oiseaux et le murmure des ruisseaux, alors que Janácek, en fin observateur, oppose la quiétude de la vie sylvestre au monde conflictuel des humains. De son côté, Glass s’inspire de poèmes africains évoquant le mythe de la création du monde et celui des dieux du royaume d’Ifé. La musique nourrit l’imaginaire d’Angélique Kidjo qui donne vie aux légendes avec sa voix puissante et profonde.

While Beethoven poetically depicted birdsong and rippling streams, Janácek, a stark observer, contrasted the stillness of forest life with the conflict-filled world of humans. Meanwhile, Glass drew inspiration from African poems that tell of the creation myth and deities of the ancient Ifé Empire, fuelling the imagination of Angélique Kidjo, who brings these legends to life with vocal depth and power.

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Ce contenu provient de l’Orchestre symphonique de Montréal et est adapté par PAN M 360

jazz

Mois de l’histoire des Noirs | Malika Tirolien et l’ONJM cassent la baraque

par Vitta Morales

Je ne passerai pas par quatre chemin pour dire que Malika Tirolien avec l’ONJM a été l’un des meilleurs concerts auxquels j’ai assisté. Nous ne sommes qu’en février, mais je pense qu’il s’agira de l’un de mes concerts préférés de l’année. Et la raison en est simple : jeudi à la Cinquième salle de la PdA, Tirolien et compagnie nous ont offert des interprétations fantastiques de chansons solidement conçues, rehaussées par les excellents arrangements de Jean-Nicolas Trottier.

Tirolien, armée d’une section rythmique, de trois choristes, d’un orchestre à cordes et de cuivres, a interprété des chansons de son album Higher, sorti en 2021, ainsi que quelques autres sélections issues d’un projet distinct appelé Gemini Crab. Les chansons de Higher, dans leur forme originale, sont déjà groovy, riches en synthétiseurs et très énergiques (en partie, sans doute, parce qu’elles ont été coproduites par Michael League de Snarky Puppy). Dans une entrevue avec Tirolien, notre collègue Varun Swarup s’est demandé avec beaucoup d’intelligence si ces chansons pouvaient devenir encore plus grandioses. La réponse est immédiate.

Ces arrangements, et en particulier l’utilisation des cordes, sont synonymes de légèreté et de flottement dans les moments les plus doux de la musique, mais ils sont également capables d’ajouter une densité et une dissonance satisfaisantes lorsque c’est nécessaire. Les cors, quant à eux, ont apporté une certaine puissance et un certain tonus, ce qui a rendu les moments les plus groovy encore plus agréables. Pour reprendre les mots de Tirolien, Jean-Nicolas « a trouvé le moyen d’élever la musique sans lui faire perdre son identité première ». Musicalement, le spectacle et les compositions contenaient un peu de tout.

Des grooves de quintuplets, un shuffle en 12/8, des solos de synthé, une bataille de saxophones, du rap politique, des notes aiguës, des changements de tempo créatifs, un solo de guitare déchirant et même une légère chorégraphie ont été vus avant la fin de la soirée. Et le plus important, c’est que tout a fonctionné. Cela a vraiment fonctionné. En parcourant mes notes, j’ai cherché à voir s’il y avait des commentaires critiques qui valaient la peine d’être mentionnés. En fin de compte, j’ai décidé qu’il serait un peu forcé d’inclure des remarques. En effet, ce que je retiens de cette soirée n’est pas « Wow, quel beau concert, mais il aurait été bon de nettoyer les éléments X, Y et Z ». Je me suis plutôt dit : « Quel concert exceptionnel de la part de toutes les personnes impliquées ».

Alternative / post-rock / rock prog

Steven Wilson au MTelus

par Rédaction PAN M 360

Connu pour son éthique de travail intense, Steven Wilson est l’un des artistes les plus acclamés et prolifiques du Royaume-Uni. Auteur-compositeur, multi-instrumentiste et leader de groupe, Wilson est passé progressivement du statut de musicien culte avec Porcupine Tree, Bass Communion, No-Man et Blackfield à une reconnaissance plus large en tant qu’artiste solo à succès au XXIe siècle. Ses albums Grace for Drowning (2011), The Raven That Refused to Sing and Other Stories (2013) et Hand.Cannot.Erase. (2015), un album conceptuel mêlant rock progressif et pop, ont tous marqué son ascension. Il a poursuivi avec 4½, un mini-album de six titres, avant de sortir en 2017 To the Bone, qui reflète son amour pour la pop progressive. Il a continué cette exploration en fusionnant divers genres pop sur The Future Bites en 2021, suivi d’un album enregistré en isolement, The Harmony Codex, en 2023.

Known for an intense work ethic, Steven Wilson is among the U.K.’s most acclaimed and prolific artists. As a songwriter, multi-instrumentalist, and bandleader, Wilson made a gradual transition from cult status with Porcupine Tree, Bass Communion, No-Man, and Blackfield to mainstream success as a charting solo artist in the 21st century with 2011’s Grace for Drowning, 2013’s The Raven That Refused to Sing and Other Stories, and 2015’s Top 40 prog-pop concept album Hand.Cannot.Erase. He followed with a 4½, a six-track mini album, and in 2017 released To the Bone, a collection that reflected his love of progressive pop. He continued that exploration with a meld of varying pop genres on 2021’s The Future Bites, following with an album recorded in isolation, 2023’s The Harmony Codex.

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classique moderne / classique occidental

Des échos d’Afrique qui résonnent bien

par Frédéric Cardin

Hier soir avait lieu le concert Échos lointains d’Afrique de l’Orchestre classique de Montréal, avec la soprano Suzanne Taffot. Au programme de cette soirée sous la direction musicale de Kalena Bovell, cheffe états-unienne originaire du Panama, des oeuvres de compositeurs afro descendants : le britannique Samuel Coleridge-Taylor, les États-uniens George Walker et William Grant Still, le Québécois David Bontemps et quelques spirituals issus du Sud.

Le plat principal de la soirée était la création du cycle de mélodies de David Bontemps, Le deuil des roses qui s’effeuillent. Ce titre évocateur provient de la plume du poète et auteur haïtien Jacques Roumain, dont nous commémorions le 80e anniversaire de décès en 2024. En neuf textes bellement mis en musique par Bontemps, la soprano Suzanne Taffot a donné vie à des paysages subtils et chaleureux, parfois mélancoliques, dans une langue musicale bien trempée dans les racines stylistiques du petit pays antillais. Lignes sinueuses, rythmes chaloupés, syncopés, mais dans une architecture sonore légère, sobrement déployée. Bontemps, en rendant ce bel hommage à ses propres racines haïtiennes, a par le fait même confirmé son statut d’étoile montante de la composition moderne québécoise. Nous aurions, cela dit, apprécié que les textes soient projetés sur le large mur vide derrière l’orchestre, afin de bien s’imprégner de toute la beauté de cette poésie inspirante, l’écriture vocale ne permettant pas toujours aux mots de s’épanouir avec toute la clarté potentielle. La voix de Suzanne Taffot est belle, avec un registre étendu qui démontre une aisance naturelle dans toutes les hauteurs. 

REGARDEZ L’ENTREVUE AVEC SUZANNE TAFFOT, À PROPOS DE CE CONCERT

Jolies Novelletten de Coleridge-Taylor, compositeur romantique britannique d’origine sierra-leonaise et très agréables Danzas de Panama de William Grant Still, avec leurs mélodies toutes simples mais traitées avec un sobre raffinement. C’est Lyric for Strings de George Walker qui a peut-être le plus impressionné, grâce à son pathos retenu, construit avec élégance. Une sorte d’Adagio de Barber, plus économe sur les affects. 

Quelques moments de pure grâce vocale ont complétés la soirée quand Suzanne Taffot est revenue sur scène pour interpréter quatre spirituals, chaleureusement arrangés par Moses Hogan et Hugo Bégin. Le public a été conquis, si ce n’était déjà fait, par ces Deep River, Give Me Jesus, Sometimes I Feel Like A Motherless Child et He’s Got the Whole World in His Hands.

Kalena Bovell a mené l’ensemble avec un investissement sincère, dans une direction mêlant précision et suggestivité émotionnelle. 

Soirée pleinement réussie devant une salle Pierre-Mercure comble (ce qui devrait suffire à remettre en question certaines affirmations qui critiquent les programmations basées sur la diversité en musique classique).

nu-métal / post-grunge / rock alternatif

Deftones au Centre Bell

par Rédaction PAN M 360

Pionniers du mouvement nu-metal des années 90, Deftones mêlent leurs influences individuelles pour créer un hybride artistique de metal alternatif qui équilibre beauté et brutalité. L’un des premiers groupes à alterner riffs lourds et chants hurlés avec des passages plus éthérés et des voix murmurées, ils ont rapidement dépassé la scène nu-metal, influençant une génération de musiciens avec leur trilogie d’albums certifiés platine : Adrenaline (1995), Around the Fur (1997) et White Pony (2000), considéré comme un album majeur du genre. Dans les années 2000 et 2010, le groupe repousse encore plus ses frontières sonores, s’éloignant des structures de chansons grand public au profit d’ambiances de plus en plus expansives, comme sur Deftones (2003), Diamond Eyes (2010) et Gore (2016). En 2020, ils entament leur quatrième décennie en tant que groupe avec leur neuvième album, Ohms.

As one of the progenitors of the ’90s nu-metal movement, Deftones embrace their individual influences to create an artistic, alternative metal hybrid that balances beauty and brutality. As one of the first groups to alternate heavy riffs and screamed vocals with more ethereal music and hushed singing, they quickly evolved beyond the nu-metal scene, influencing a generation of musicians with their trio of platinum-certified early albums: 1995’s Adrenaline, 1997’s Around the Fur, and 2000’s seminal White Pony. In the 2000s and 2010s, they pushed their sonic boundaries even further, departing from mainstream-friendly song structures in favor of increasingly expansive atmospherics on sets like 2003’s self-titled effort, 2010’s Diamond Eyes, and 2016’s Gore. In 2020, they kicked off their fourth decade as a unit with their ninth album, Ohms.

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dance-pop / DJ set / Électronique

The Bloody Beetroots au Théâtre Fairmount

par Rédaction PAN M 360

Initialement signé sur le label Dim Mak du célèbre DJ Steve Aoki et souvent comparé stylistiquement aux superstars électro françaises Justice, The Bloody Beetroots — qui est en réalité un projet solo de Sir Bob Cornelius Rifo — a suscité un grand intérêt dans la blogosphère musicale à partir de 2006 grâce à ses remix et productions. L’apparence masquée de l’artiste à la Daft Punk a également attiré une attention médiatique considérable. Rifo a commencé à établir le Bloody Beetroots DJ Set comme un acte de performance au début de 2008 avec une courte tournée américaine, incluant un passage au South by Southwest et plusieurs concerts à Los Angeles, où il est apparu aux côtés de Aoki. Après quelques EPs, le premier album des Bloody Beetroots, Romborama, est sorti en 2009. Rifo a ensuite passé les deux années suivantes à promouvoir l’album avec une tournée intensive, et au printemps 2010, il a donné à son groupe live le nom de Bloody Beetroots Deathcrew ’77.

Initially releasing music on celebrity DJ Steve Aoki’s Dim Mak label and often compared stylistically to French electro superstars Justice, the Bloody Beetroots — technically a solo project of one Sir Bob Cornelius Rifo — generated significant buzz in the music blogosphere from 2006 onward with both remix and production work. The Italian artist’s masked appearance à la Daft Punk also garnered significant media attention. Rifo began to establish the Bloody Beetroots DJ Set as a performance act in early 2008 with a short American tour that included a stop at South by Southwest as well as numerous club gigs in Los Angeles, where he appeared alongside Aoki. Following a handful of EPs, the Bloody Beetroots’ first album, Romborama, was released in 2009. Rifo then spent the next couple of years promoting the record with an extensive touring schedule, and by spring 2010 he had named his live act Bloody Beetroots Deathcrew ’77.

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glam rock / humour / spoken words

Ninja Sex Party au MTelus

par Rédaction PAN M 360

Le duo new-yorkais de comédie musicale Ninja Sex Party propose des hymnes humoristiques et accrocheurs mêlant le rock des années 1980 et l’attitude glam metal à des grooves souvent synthétiques et orientés vers la danse. Composé de Danny Sexbang (Leigh Daniel Avidan) et Ninja Brian (Brian Wecht), le duo s’est construit une base de fans fidèles grâce à ses vidéos en ligne et à des albums comme NSFW (2011) et Strawberries and Cream (2013), tous deux classés numéro un au Billboard dans la catégorie Comedy Albums. Bien que l’humour et leurs personnages satiriques de héros nerds soient au cœur de leur projet, ils abordent la musique avec sérieux, comme en témoigne leur série d’albums de reprises Under the Covers, où ils apposent leur touche à la fois espiègle et sincère sur des morceaux de a-ha, Van Halen, Boston et bien d’autres.

New York musical comedy duo Ninja Sex Party make humorous, hooky anthems that combine ’80s rock and hair metal posturing with often synthy, dance-oriented grooves. Centered around their ironic alter egos, the duo of Danny Sexbang (Leigh Daniel Avidan) and Ninja Brian (Brian Wecht) have built a loyal fan base with their online videos and albums like 2011’s NSFW and 2013’s Strawberries and Cream, both of which hit number one on Billboard’s Comedy Albums chart. While humor and playing up their satirical, nerd-hero personae are their primary focus, they take their music seriously, as evidenced by their ongoing covers album series Under the Covers, in which they put their cheeky, yet still heartfelt stamp on tracks by a-ha, Van Halen, Boston, and others.

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country

Nate Smith au MTelus

par Rédaction PAN M 360

Nate Smith est un chanteur et auteur-compositeur country doté d’une voix chaleureuse et profonde, ainsi que d’un talent pour raconter les joies et les défis de la vie quotidienne. Il n’a connu le succès à Nashville qu’à sa deuxième tentative, après avoir reçu un rappel puissant de ce qu’il aimait dans sa ville natale. Sa musique, empreinte d’une forte charge émotionnelle, adopte une approche naturelle et discrète qui met en valeur la puissance de sa voix, tandis que l’honnêteté de son interprétation s’accorde avec la sincérité de ses textes. Il s’est d’abord fait connaître grâce à One of These Days, une chanson profondément personnelle devenue virale, avant d’enchaîner avec des succès indépendants comme Sleeve et Under My Skin, qui lui ont valu de signer avec Sony Music. Il a ensuite confirmé son talent avec I Don’t Wanna Go to Heaven, un tendre récit d’amour à long terme. En 2023, il a sorti son premier album éponyme Nate Smith, porté par le single Whiskey on You, classé au Billboard Hot 100 et Hot Country Songs. L’album s’est hissé dans le Top 30 du Billboard 200, suivi de l’EP Through the Smoke. En 2024, il a dévoilé son deuxième album, California Gold, mené par le single Bulletproof.

Nate Smith is a country singer and songwriter with a rich, warm voice and a gift for stories about the joys and challenges of everyday life. He didn’t find success in Nashville until his second try in Music City, after he was given a powerful reminder of what he loved about his hometown. Smith’s music is strongly emotional but has a natural, low-key approach that complements the strength of his instrument, and he communicates an honesty that meshes with the home truths of his lyrics. He first made a name for himself when his deeply personal « One of These Days » became a viral success, and independent hits like « Sleeve » and « Under My Skin » led to his signing with Sony Music and scoring another success with the tender tale of long-term love, « I Don’t Wanna Go to Heaven. » In 2023, he released his full-length debut, Nate Smith, anchored by the Billboard Hot 100 and Hot Country Songs single « Whiskey on You. » The album cracked the Top 30 of the Billboard 200 and was followed by the EP Through the Smoke. In 2024, he delivered his sophomore album, California Gold, led by the single « Bulletproof. »

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classique / post-romantique

OSM : Wagner et Debussy – De l’amour à la mer

par Rédaction PAN M 360

Dans ce programme, l’alto, avec ses sonorités profondes et émouvantes, exprime la douleur de la séparation qui résonne dans l’œuvre de Wagner et dans le Concerto de la compositrice canadienne Cassandra Miller, créé en 2023 par Lawrence Power. Quant à Debussy, il dépeint la mer à travers des touches impressionnistes, mêlant nostalgie et rêve, pour un voyage sonore fait de subtiles sensations. Une expérience musicale à la fois intense et poétique, à découvrir absolument!

This program highlights the viola’s deep, expressive voice in Canadian composer Cassandra Miller’s Concerto, a poignant reflection on separation premiered in 2023 by Lawrence Power, and an excerpt from Wagner’s Tristan and Isolde, both poignant reflections on separation. Meanwhile, Debussy paints a vivid portrait of the sea with impressionistic colours, immersing listeners in a nostalgic and dreamlike soundscape. Enjoy a musical journey that is both powerful and poetic.

Programme

Hector Berlioz, Le Corsaire, Ouverture, op. 21, H 101 (8 min)
Cassandra Miller, I cannot love without trembling, concerto pour alto (25 min)
Richard Wagner, Tristan und Isolde, WWV90 : Prélude et mort d’Isolde (17 min)
Claude Debussy, La mer, trois esquisses symphoniques pour orchestre, L. 109, CD 111 (23 min)

Program

Hector Berlioz, Le Corsaire, Overture, Op. 21, H 101 (8 min)
Cassandra Miller, I cannot love without trembling, Concerto for Viola (25 min)
Richard Wagner,  Tristan und Isolde, WWV90: Prelude and death of Isolde (17 min)
Claude Debussy, La mer, trois esquisses symphoniques pour orchestre, L. 109, CD 111 (23 min)

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grindcore / metalcore / punk-metal

Full Of Hell & Harms Way au Théâtre Fairmount

par Rédaction PAN M 360

Full Of Hell

Full of Hell est un groupe américain de powerviolence dont le son oscille entre un grindcore fulgurant et un sludge metal brutal, avec des incursions dans le noise expérimental. Basé en Pennsylvanie centrale et à Ocean City, dans le Maryland, le groupe sort son premier album, Roots of Earth Are Consuming My Home, en 2011. Ils poursuivent leur exploration sonore chaotique avec des albums comme Trumpeting Ecstasy (2013) et Garden of Burning Apparitions (2021), ainsi qu’à travers des collaborations avec des artistes partageant leur goût pour l’extrême, tels que Merzbow, The Body, Primitive Man et Nothing.

Full of Hell are an American power-violence band whose sound ranges from blistering grindcore to brutal sludge metal, with ventures into experimental noise. Based in central Pennsylvania and Ocean City, Maryland, the group issued their debut album, Roots of Earth Are Consuming My Home, in 2011. They continued to spread sonic malevolence on subsequent efforts like Trumpeting Ecstasy (2013) and Garden of Burning Apparitions (2021), and on collaborations with like-minded decibel pushers Merzbow, the Body, Primitive Man, and Nothing.

Harms Way

Le groupe hardcore de Chicago, Harm’s Way, est une formation de musique heavy puissamment versatile qui intègre diverses influences au son brut de ses compositions. Le groupe a débuté en explorant le powerviolence et le grindcore, mais a évolué à chaque nouvelle sortie, son style s’enrichissant d’éléments de metalcore, power metal, groove metal et bien d’autres genres d’ici leur cinquième album, Common Suffering (2023).

Chicago hardcore band Harms Way is a powerfully versatile heavy music outfit who incorporates various hard-edged influences into its sound. The group began by exploring powerviolence and grindcore, but evolved with every new release, their sound growing to include elements of metalcore, power metal, groove metal and more by the time of their fifth album, 2023’s Common Suffering.

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hip-hop / rap français

Kerchark au Club Soda

par Rédaction PAN M 360

Après ses débuts dans le rap sous le nom de Zolal, Kerchak le rappeur cagoulé fait sensation sur les réseaux sociaux pendant quelques petites semaines. Il adopte les codes du Jersey Club. Cette musique, aux BPM élevés, aux basses omniprésentes, a été un terreau fertile pour le rappeur, qui est un pionnier de ce style de rap en France.

After starting his rap career under the name Zolal, the masked rapper Kerchak made waves on social media for a few weeks. He embraced the codes of Jersey Club, a high-BPM genre with heavy basslines that provided a fertile ground for his music. As a result, he became a pioneer of this rap style in France.

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hip-hop / hommage / rap

James Wythes : The Eminem Show, hommage à Eminem au Théâtre Fairmount

par Rédaction PAN M 360

The Eminem Show: A Tribute to the Real Slim Shady arrive à Montréal au Théâtre Fairmount le 28 novembre. James Wythes, originaire du Royaume-Uni, est le plus grand artiste hommage à Eminem au monde. Un spectacle qui ne déçoit jamais !

The Eminem Show: A Tribute to the Real Slim Shady is coming to Montreal at the Theatre Fairmount on Nov. 28. James Wythes is the world’s greatest Eminem Tribute Artist & he hails from the UK. This show never disappoints!

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