L’influence du classicisme viennois est perceptible dans la Première Symphonie de Beethoven. Cependant, dans cette partition d’une énergie enflammée, les idées novatrices foisonnent, telles les prémices d’un style qui s’affirmera au fil des ans. L’énergie motrice de la Huitième Symphonie de Chostakovitch est tout autre : brutale, pathétique, impitoyable. Cette œuvre saisissante évoque le climat dramatique des années de guerre, et l’ironie s’y manifeste comme une réponse à la souffrance.
BEETHOVEN, Symphonie no 1 en do majeur, op. 21 (26 min)
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CHOSTAKOVITCH, Symphonie no 8 en do mineur, op. 65 (61 min)
The influence of Viennese classicism is perceptible in Beethoven’s First Symphony. However, in this fiercely energetic score, innovative ideas abound, like the beginnings of a style that would assert itself over the years. The driving energy of Shostakovich’s Eighth Symphony is quite different: brutal, pathetic, merciless. This striking work evokes the dramatic climate of the war years, with irony as a response to suffering.
BEETHOVEN, Symphony No. 1 in C major, Op. 21 (26 min)
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CHOSTAKOVICH, Symphony No. 8 in C minor, Op. 65 (61 min)
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