chanson keb franco / pop

Stéphanie Boulay au Théâtre Petit Champlain

par Rédaction PAN M 360

C’est avec le cœur léger et plus de confiance en ses propres moyens que jamais que Stéphanie Boulay remontera sur scène, en solo oui, mais entourée de ses ami.es précieux (Charles Blondeau à la batterie, Camille Gélinas aux claviers et Alexandre Martel à la guitare et à la basse) pour défendre son deuxième album solo, Est-ce que quelqu’un me voit?. Elle a une envie insatiable d’agentivité, de liberté et de tracer son chemin à elle toute seule – quitte à repartir à zéro s’il le faut – pour aller à la rencontre de ce public qui ne la connaît probablement pas encore, ou, du moins, pas comme ça. Habile à créer chaque soir des moments qui n’existaient pas encore et qui n’existeront plus jamais dans la même forme, à faire rire et à se livrer avec autodérision et impudeur, Stéphanie présentera ses chansons toutes neuves, qu’elle a travaillé deux ans durant à extirper d’elle-même, avec l’aide du réalisateur Alexandre Martel. Elles sont crues, ces chansons, elles sont intimes et franches, mais elles sont aussi libres, baveuses, éclatantes et dansantes.

It’s with a lighter heart and more confidence in her own abilities than ever that Stéphanie Boulay will be back on stage, solo yes, but surrounded by her precious friends (Charles Blondeau on drums, Camille Gélinas on keyboards and Alexandre Martel on guitar and bass) to defend her second solo album, Est-ce que quelqu’un me voit? She’s got an insatiable appetite for agentivity, for freedom, and for blazing her own trail – even if it means starting from scratch if need be – to meet audiences who probably don’t know her yet, or at least not like this. Skilled at creating moments each evening that never existed before and will never exist again in the same form, at making people laugh and at revealing herself with self-deprecation and shamelessness, Stéphanie will present her brand-new songs, which she worked for two years to extract from herself, with the help of producer Alexandre Martel. These songs are raw, intimate and frank, but they’re also free, slobbery, bright and danceable.

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baroque / classique occidental

Violons du Roy |  Jeux célestes pour un Bach cérémoniel

par Mona Boulay

Samedi le 3 mai a vu être performé le premier concert des Violons du Roy au Monastère des Augustines depuis la pandémie de COVID-19. Un retour remarqué en ces lieux somptueux, accordé autour de la musique de Bach.

Nous sommes avisés avant le début de concert : celui-ci se voudra proche d’une cérémonie, les applaudissements doivent être réservés pour la fin de la dernière pièce de programme. Ceci étant dit, petit hic, le dernier morceau inscrit sur ce dernier n’est pas le bon, ce qui causera des applaudissements au mauvais endroit, sous les regards gênés des musicien·ne·s.

Le concert s’ouvre sur trois extraits de L’Art de la fugue, BWV 1080 de Bach, le premier en formation complète orchestrale au centre de la pièce, et les deux suivants en trios. En groupe, on est marqué par un superbe effet de tension suspendue avant la section finale de l’extrait, tandis qu’en trio se révèlent les sons purs des musicien·ne·s, usant de vibrato avec parcimonie pour les rendre encore plus poignants.

S’en suivent alors deux pièces en solo : la première, « Allemande », extraite de la Partita pour violon nº2 en ré mineur,est interprétée au violon par Angélique Duguay, dans les hauteurs du jubé de la chapelle. L’ensemble est bien exécuté. La deuxième pièce est le « Prélude » extrait de la Suite pour violoncelle nº1, interprété pour l’occasion à l’alto par Jean-Louis Blouin, cette fois-ci de retour au centre du bâtiment. Son jeu riche en nuance et en vitalité nous laisse une agréable sensation de beauté en bouche.

Par la suite, le concert se déroule avec deux extraits de concertos de Vivaldi, dont le premier se distingue par un superbe accompagnement en lourés délicats de l’ensemble sur un solo de Katya Poplyansky au violon. Le deuxième extrait a quant à lui présenté des unissons d’ensemble d’une grande qualité, avec des envolées encore une fois très vivantes de Jean-Louis Blouin à l’alto.

Après ces retours en formation complète, les solistes sont de retour pour trois extraits de Bach. Raphaël Dubé nous interprète au violoncelle le « Prélude » extrait de la Suite pour violoncelle nº3 en do majeur, superbement joué, visage tendu vers le plafond, dynamique : une véritable effusion de joie. On poursuit avec l’« Adagio » de la Sonate pour violon nº3 en do majeur, interprété par Katya Poplyansky, une pièce avec des couleurs plus atypiques, notamment des débuts de valeur longue en appogiatures arpégées très rapides, rendues avec toute la subtilité de la musicienne. Enfin, c’est aussi au violon que Pascale Gagnon nous présente l’« Allegro », extrait de la Sonate pour violon nº2, dans un jeu riche et virtuose, dont les questions-réponses internes avec elle-même sont parfaitement rendues.

Approchant tranquillement son terme, le concert se poursuit avec le célébrissime Canon en  majeur de Pachelbel, avec de beaux échanges de motifs entre les pupitres, avant de se terminer sur l’« Air » extrait de la Suite pour orchestre nº3 en ré majeur de Bach, lui aussi très connu. S’il est à mon goût toujours risqué de reprendre ces mélodies (peut-être trop ?) éprouvées du public, la performance est réussie, le jeu de tension et des résolutions est maîtrisé. 

Le concert, d’une durée de 60 minutes, dans ce lieu magnifique, a offert des airs célestes, dont le public a semblé conquis.

crédit photo : Monastère des Augustines

acadie / country-folk

Les Hay Babies au Grizzly Fuzz

par Rédaction PAN M 360

Le spectacle live des Hay Babies, c’est une expérience envoûtante où le rock rencontre l’âme folklorique de l’Acadie. Ce show c’est la fête, c’est country rock et c’est sincère. Greyées de guitares, de costumes iconiques et de leurs harmonies vocales, elles entrainent les spectateurs sur une virée musicale au travers des paysages sonores riches des régions qui leur tiennent tant à cœur. Et qui dit  » Acadie  » dit « bon temps ». Sur scène, Julie, Katrine et Vivianne dégagent une énergie contagieuse grâce aux histoires comiques et touchantes de leur dernier album. Elles créent une ambiance à la fois festive et introspective, pleine de sourires, d’écoute et d’émotions. Les Hay Babies ne se contentent pas de divertir, elles créent une connexion authentique avec leur public en l’invitant à connaître davantage les récits et les rythmes de leurs chez eux, une chanson à la fois.

The Hay Babies’ live show is a spellbinding experience where rock meets the folk soul of Acadia. This show is about celebration, country rock and sincerity. With their guitars, iconic costumes and vocal harmonies, they take the audience on a musical journey through the rich soundscapes of the regions they love so much. And where there’s “Acadie”, there’s “bon temps”. On stage, Julie, Katrine and Vivianne exude a contagious energy, thanks to the comical and touching stories on their latest album. They create an atmosphere that’s both festive and introspective, full of smiles, listening and emotion. The Hay Babies don’t just entertain, they create an authentic connection with their audience, inviting them to get to know the stories and rhythms of their home, one song at a time.

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chanson keb franco / folk-pop

Louis-Jean Cormier au Théâtre Petit Champlain

par Rédaction PAN M 360

Ce nouveau spectacle se veut comme un retour aux sources. Un désir d’aller à l’opposé de la dernière tournée de Karkwa, de s’éloigner du bruit et de retrouver l’essence du musicien que je suis et de ses créations. Évidemment, je replongerai dans le répertoire de ma carrière solo mais j’irai aussi fouiller dans les bacs, dans les souvenirs de jeunesse pour réinventer plusieurs chansons d’autres artistes. Quand je suis seul sur scène, il y a une connexion profonde qui se crée avec vous. C’est une symbiose qui n’a pas d’égal…
Et ça me manquait.

This new show is a return to our roots. A desire to go in the opposite direction from Karkwa’s last tour, to get away from the noise and rediscover the essence of the musician I am and his creations. Obviously, I’ll be delving back into the repertoire of my solo career, but I’ll also be delving into the bins and memories of my youth to reinvent a number of songs by other artists. When I’m alone on stage, there’s a deep connection with you. It’s a symbiosis that has no equal… And I missed that.

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chanson keb franco / pop-rock

Pascale Picard au Théâtre Petit Champlain

par Rédaction PAN M 360

L’autrice-compositrice-interprète Pascale Picard nous présente son nouveau spectacle.
Guitare à la main, Pascale Picard se produit dans les bars de sa ville natale de Québec depuis qu’elle a l’âge de les fréquenter. D’abord armée des reprises de tous genres, elle se met peu à peu à présenter des compositions originales à la hauteur de sa voix. Ces dernières se retrouveront en 2007 sur Me, Myself & Us, un premier album qui fera rapidement des ravages avec plus de 300 000 copies vendues. La jeune artiste fera une entrée fracassante dans le paysage musical, et ce autant au Québec qu’en France.

Singer-songwriter Pascale Picard presents her new show.
Guitar in hand, Pascale Picard has been performing in the bars of her native Quebec City since she was old enough to frequent them. Initially armed with covers of all kinds, she gradually began to present original compositions worthy of her voice. In 2007, these were featured on Me, Myself & Us, a debut album that quickly became a hit, selling over 300,000 copies. The young artist made a resounding entrance on the musical scene, both in Quebec and in France.

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classique moderne / classique occidental / musique de chambre / période classique / période romantique

Les Violons du Roy | Trios inattendus : Le charme intimiste de la musique de chambre

par Mona Boulay

C’est en tout début de soirée, dans le cadre de la « Série Apéro », que nous retrouvons cette fois-ci les Violons du Roy pour le concert Dvořák et Cie : Trios inattendus. Le concert, d’une durée plus courte que les concerts habituels des Violons du Roy, puise son répertoire dans des pièces écrites pour des cadres privés bourgeois ou nobles : réceptions, dîners… Tant d’occasions pour se divertir grâce à de plus petites formations instrumentales.

La première pièce, le Trio pour cordes en si bémol majeur de Mozart, nous donne à entendre deux violons accompagnés par la contrebasse, alliance peu commune dans les trios baroques, mais qui était sûrement pratiquée à l’époque pour porter un peu plus la basse que le violoncelle dans les soirées privées. L’« Adagio » nous donne à entendre de jolis échanges entre les trois musiciens, tandis que le  « Menuetto » est beaucoup plus rebondi. Les musiciens ont un jeu commun très agréable et toutes les variations, que ce soit dans le phrasé des croches ou dans les rallentandos, sont effectuées avec grâce. La formule trio met très à nu les musiciens, et on entend parfois de minuscules accrocs d’archet, notamment à la contrebasse, mais cela fait aussi partie du charme de ces petites formations.

Le concert continue avec le Terzetto pour deux violons et alto en do majeur de Dvořák, alternant entre passages véloces en homorythmies, très bien exécutés, et jeux de questions-réponses plus doux. L’alto est superbe dans le « Larghetto » et dynamise le « Scherzo ». La dernière section de la pièce comprend une magnifique montée en énergie et en émotion de la première partie de violon, Pascale Gagnon qui nous offre une splendide prestation. Le public est conquis. Ensuite vient la Sérénade pour deux violons et alto de Kodály, pièce bien plus moderne qui nous fait entendre des couleurs de musique hongroise mêlées à des approches plus expérimentales pour l’époque. Dès le début, la salle est subjuguée par le jeu du thème en suraigu de la violoniste Katya Poplyanski, qui m’avait déjà conquise à sa place de premier violon lors d’un précédent concert des Violons du Roy. Cette dernière possède un sens musical acéré et une maîtrise totale de son instrument, mais toujours en gardant une place centrale au phrasé émotif et aux envolées : un jeu à la fois méthodique et libre. Le « Lento » nous présente un échange entre le violon 1 et l’alto, soutenu par une texture en accords du violon 2 ; une section vraiment particulière, mais dans laquelle on voit réellement converser les deux musiciennes solistes. Le mouvement « Vivo », pour finir, est plus ludique et conclut la pièce en beauté. 

Pour finir le concert, l’alto cède sa place à la contrebasse, qui revient pour nous interpréter la Wiener Carnaval-Walzer de Strauss. Une pièce bien plus en simplicité, peut-être même trop, après les deux pièces audacieuses précédentes. Le tout est bien exécuté, amusant, sans tout autant briller.

Belle réussite musicale, ce concert est aussi l’occasion d’aborder autrement les musiciens des Violons du Roy, dans un cadre plus intimiste.

baroque / chant choral / chant lyrique / classique occidental

Violons du Roy et La Chapelle de Québec | Une soirée de découvertes sur les traces des premières cantates de Bach

par Mona Boulay

C’est un répertoire intéressant que nous ont présenté les Violons du Roy, accompagnés par le chœur de chambre La Chapelle de Québec, et dirigés par Bernard Labadie, ce 6 mars dernier : celui des premières cantates de Bach, premières œuvres de celui qui allait devenir la référence absolue de la musique baroque. 

Le concert s’ouvre sur une brève, mais très enjouée, présentation par Bernard Labadie. On y interroge les jeunes années de Bach : nous n’avons aucune trace de ses compositions réalisées avant son apprentissage, à l’exception d’une pièce autour de ses seize ans. Qu’a-t-il écrit pendant ces années d’études, avant de publier ses premières cantates ? Un grand mystère qui nous rend encore plus curieux·ses d’entendre ces fameuses premières œuvres diffusées. 

Ainsi, les premières notes de la Cantate BWV 150 Nach dir, Herr, verlanget mich résonnent dans le Palais Montcalm. Comme tout au long du concert, les formations sont éclatées : ce coup-ci, pas d’altos, un seul violoncelle, une contrebasse et un basson. Tout de suite, on entend clairement des couleurs que, sans connaître parfaitement Bach, on n’aurait pas imaginées sorties de l’esprit du compositeur : des harmonies audacieuses, changements vifs de tempo à répétition, et, de par la formation particulière, un équilibre sonore singulier. Les Violons du Roy rendent avec excellence la beauté de cette cantate. Les passages en chœur sont parfaitement réussis, mais il nous a semblé que les premiers passages des solistes (issu·e·s de La Chapelle) soient un peu plus timides.

La Cantate BWV 131 Aus der Tiefe rufe ich, Herr, zu dir poursuit la soirée, et cette fois-ci c’est le pupitre des violons qui se raréfie. Les altos reviennent dans la balance, et surtout, un hautbois fait son apparition, quasiment au rang de soliste puisqu’il vient tricoter en contrepoint avec les chanteurs solistes, et répondre à leurs interventions. Il semble que ce travail soit parfois éprouvant, et bien que la majorité de la cantate soit très bien maîtrisée par la musicienne, on décèle certaines tensions par endroit (aussi faut-il préciser que la partition demande une endurance respiratoire assez impressionnante). Lors de l’Arioso chanté par la basse, Stephen Hegedus, il semble que le tempo soit disputé entre le chanteur, le hautbois et l’orgue, ce qui donne une sensation d’imprécision sans que l’on puisse savoir qui en est le·la responsable.  Toutefois, on garde un bon sentiment général de la pièce, avec un final tout à fait maîtrisé qui nous laisse avec un goût de splendeur avant l’entracte. 

C’est une formation encore plus atypique qui ouvre la seconde moitié du concert, avec deux violes de gambe et deux flûtes à bec à la place de la section de violon dans la Cantate BWV 106 Gottes Zeit ist die allerbeste Zeit. Une couleur de musique ancienne bien assumée, évoquant des instrumentations de la Renaissance, qui donne lieu cependant à quelques défis de justesse. Les solistes semblent avoir repris du poil de la bête et leurs interventions marquent plus, notamment le « Ja, komm, Herr Jesu, komm! » exécuté par la soprano Myriam Leblanc avec brio. La cantate se déploie, avec également un beau solo de mezzo, exécuté par Marie-Andrée Mathieu, que l’on n’avait jusque-là pas entendue et agréablement soutenue par le ténor Hugo Hymas.

Pour clore le concert, c’est la Cantate BWV 4 Christ lag in Todes Banden qui a été choisie. Cette fois-ci on retrouve une formation baroque un peu plus standard. La cantate est plus austère, en accord avec le texte, à l’exception des Alléluias qui ponctuent chaque fin de verset. À noter un beau duo entre Myriam Leblanc et le contre-ténor Daniel Moody, bien que ce dernier perde légèrement de la beauté de son timbre sur les notes plus aiguës. Plus tard, on entend la voix de Stephen Hegedus, mise en valeur de manière plus prégnante que dans ses précédentes interventions, lors de son Aria pour le verset 5. Le concert se termine sur un ultime « Alléluia », grandiose.

Le concert BACH, LES PREMIÈRES CANTATES ET BERNARD LABADIE, sera présenté de nouveau à Québec le 7 mars 2025 et à Montréal le 8 mars 2025

BILLETS ET INFOS

nu-métal / post-grunge / rock alternatif

Deftones au Centre Vidéotron

par Rédaction PAN M 360

Pionniers du mouvement nu-metal des années 90, Deftones mêlent leurs influences individuelles pour créer un hybride artistique de metal alternatif qui équilibre beauté et brutalité. L’un des premiers groupes à alterner riffs lourds et chants hurlés avec des passages plus éthérés et des voix murmurées, ils ont rapidement dépassé la scène nu-metal, influençant une génération de musiciens avec leur trilogie d’albums certifiés platine : Adrenaline (1995), Around the Fur (1997) et White Pony (2000), considéré comme un album majeur du genre. Dans les années 2000 et 2010, le groupe repousse encore plus ses frontières sonores, s’éloignant des structures de chansons grand public au profit d’ambiances de plus en plus expansives, comme sur Deftones (2003), Diamond Eyes (2010) et Gore (2016). En 2020, ils entament leur quatrième décennie en tant que groupe avec leur neuvième album, Ohms.

As one of the progenitors of the ’90s nu-metal movement, Deftones embrace their individual influences to create an artistic, alternative metal hybrid that balances beauty and brutality. As one of the first groups to alternate heavy riffs and screamed vocals with more ethereal music and hushed singing, they quickly evolved beyond the nu-metal scene, influencing a generation of musicians with their trio of platinum-certified early albums: 1995’s Adrenaline, 1997’s Around the Fur, and 2000’s seminal White Pony. In the 2000s and 2010s, they pushed their sonic boundaries even further, departing from mainstream-friendly song structures in favor of increasingly expansive atmospherics on sets like 2003’s self-titled effort, 2010’s Diamond Eyes, and 2016’s Gore. In 2020, they kicked off their fourth decade as a unit with their ninth album, Ohms.

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classique

Les Violons du Roy : Dvořák et cie – Trios inattendus

par Rédaction PAN M 360

La formation du trio à cordes réunit habituellement un violon, un alto et un violoncelle. Il existe aussi d’autres types de formations, plus rares, telles ces trios inattendus : deux violons et un alto, puis deux violons et une contrebasse. Le Terzetto de Dvořák est au sommet de la production de musique de chambre du compositeur qui joua lui-même la partie d’alto lors de la création de l’œuvre.
À tour de rôle, musiciennes et musiciens s’adressent au public à propos des œuvres choisies, les compositeurs ou les particularités d’un instrument ou d’une technique de jeu.
Une formule 5 à 7 animée par les artistes incluant une consommation et des bouchées.

The string trio usually consists of a violin, a viola, and a cello. However, other, less common formations also exist, such as these unexpected trios: two violins and a viola, or two violins and a double bass. Dvořák’s Terzetto stands at the pinnacle of the composer’s chamber music output, with Dvořák himself playing the viola part at its premiere.
Taking turns, the musicians speak to the audience about the selected works, the composers, or the unique characteristics of an instrument or playing technique.
A 5-à-7 event hosted by the artists, including a drink and hors d’oeuvres.

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classique

Les Violons du Roy : Jonathan Cohen, Mozart et l’amitié

par Rédaction PAN M 360

Trois talentueux musiciens solistes se joignent aux Violons du Roy sous la direction de Jonathan Cohen dans un concert sous le signe de l’amitié et de l’admiration de Mozart pour le clarinettiste virtuose de l’époque, Anton Stadler, et trois confrères compositeurs qui auront durablement marqué le jeune prodige de Salzbourg.
Jonathan Cohen, chef
Isaac Chalk, alto
Stéphane Fontaine, clarinette
Mélisande McNabney, piano-forte

Three gifted soloists join Les Violons du Roy, conducted by Jonathan Cohen, in a concert dedicated to Mozart’s friendship and admiration for Anton Stadler, the greatest virtuoso clarinetist of his time. The programme also features works by three fellow composers who left a lasting impression on the young prodigy from Salzburg.
Jonathan Cohen, conductor
Isaac Chalk, viola
Stéphane Fontaine, clarinet
Mélisande McNabney, fortepiano

Programme

W.F. BACH
Sinfonia pour cordes en fa majeur, Fk. 67
M. HAYDN
Concerto pour alto et piano-forte en do majeur, MH 41
C.P.E. BACH
Symphonie en mi bémol majeur, Wq. 179
W.A. MOZART
Concerto pour clarinette en la majeur, K. 622

Program

W.F. BACH
Sinfonia for Strings in F Major, Fk. 67
M. HAYDN
Concerto for viola and fortepiano in C Major, MH 41
C.P.E. BACH
Symphony in E Flat Major, Wq. 179
W.A. MOZART
Concerto for Clarinet in A Major, K. 622

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baroque / classique

Les Violons du Roy : Symphonie à la française avec Nicolas Ellis

par Rédaction PAN M 360

Pour conclure la saison, le premier chef invité des Violons du Roy Nicolas Ellis dirige un programme de musique française, avec des œuvres composées avant ou juste après la Révolution française, comprenant une grande suite orchestrale de Rameau, une superbe symphonie de Gossec et un concerto pour violoncelle de Duport, véritable trésor oublié dont Raphaël Pidoux, dans ses débuts avec l’orchestre, en fera découvrir toute la richesse.

To round off the season, Les Violons du Roy Principal Guest Conductor Nicolas Ellis leads a programme of French music, with works composed before or just after the French Revolution, including a magnificent orchestral suite by Rameau, a superb symphony by Gossec and a cello concerto by Duport, a forgotten treasure which Raphaël Pidoux reveals in all its richness in his first performance with the orchestra.

Programme

F.J. GOSSEC
Symphonie en ré majeur, op.3 n°6
J.-L. DUPORT
Concerto pour violoncelle n°6 en ré mineur
J.-P. RAMEAU
Suite pour orchestre extraite d’opéras

Program

F.J. GOSSEC
Symphony in D Major, Op.3 No.6
J.-L. DUPORT
Cello Concerto No.6 in D Minor
J.-P. RAMEAU
Suite for orchestra from operas

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classique / post-romantique

Les Violons du Roy : Satie – Morceaux choisis en forme d’hommage

par Rédaction PAN M 360

Érik Satie occupe une place à part dans l’histoire et le répertoire de la musique. Inclassable, sa musique annonce le minimalisme américain tout en étant proche du surréalisme et de l’absurde. La poésie y est très souvent présente, particulièrement dans ses célèbres pages pour piano. Les Violons du Roy abordent Satie pour la toute première fois, grâce à des transcriptions de Simon Desbiens, spécialement réalisées pour eux à l’occasion du 100e anniversaire de la mort de ce bel iconoclaste.

Érik Satie occupies a special place in the history and repertoire of music. Unclassifiable, his music heralds American minimalism, yet is also close to surrealism and the absurd. Poetry is often present, particularly in his famous piano pages. Les Violons du Roy approach Satie for the very first time, thanks to transcriptions by Simon Desbiens, specially made for them on the occasion of the 100th anniversary of the death of this beautiful iconoclast.

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