Le Montréalais Bruce Liu, lauréat du prestigieux Concours de piano Chopin 2021 et vainqueur du Concours OSM 2012, interprétera avec l’Orchestre le Concerto n^o 2 de Chopin sous la baguette de Dalia Stasevska. La cheffe finlando-ukrainienne diaprera la Maison symphonique de couleurs nordiques avec la mystérieuse Symphonie  n^o 6 de Sibelius, qui dissimule sous une apparente tranquillité une force intérieure peu commune.

Montrealer Bruce Liu, winner of the prestigious 2021 Chopin Piano Competition and of the 2012 OSM Competition, performs Chopin’s Concerto no. 2 with the Orchestra under the baton of Finnish-Ukrainian conductor Dalia Stasevska. The Maestra will also make the Maison symphonique resonate with Nordic sounds in a performance of Sibelius’ mysterious Symphony no. 6, whose apparent tranquility conceals uncommon inner strength.

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Créé en 1799, l’oratorio La création de Haydn se répand comme une traînée de poudre à travers l’Europe et unifie, le temps d’un concert, un continent déchiré par la guerre. Structurée en trois parties, respectivement consacrées aux éléments, aux animaux et à l’humain, ainsi qu’au paradis terrestre, La création alterne récits bibliques et commentaires musicaux dans une fresque fraternelle d’une grande expressivité.

First performed in 1799, Haydn’s oratorio The Creation spread with astonishing speed throughout Europe. It united, if only for the duration of its performances, a continent torn asunder by war. Structured in three parts devoted respectively to the elements, to animals and humans, and to heaven on earth, The Creation alternates biblical passages with musical commentary in a vastly expressive spiritual fresco.

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Le temps est bon, un concert-bénéfice grandiose qui vous invite à rendre hommage aux musiques de films québécois ainsi qu’à l’un de ses piliers, l’auteur-compositeur, Stéphane Venne.

Avec la participation spéciale de Marie-Élaine Thibert et Christine Dubois, le concert réunit sur scène 160 choristes et 150 jeunes musiciens provenant de cinq collèges de la région de Montréal, qui évolueront sous l’habile animation de Lynda Johnson. Quelques musiciens de l’Orchestre Métropolitain de Montréal se joindront également au groupe pour l’occasion.

L’événement s’inscrit dans une volonté de soutenir les actions du Centre jeunesse de la Montérégie et leur projet Découverte, qui souhaite offrir aux enfants suivis par la DPJ, l’accès à des apprentissages et des expériences artistiques.

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Le Chœur St-Laurent vous convie à un grand concert intitulé Psalmae. Les trois œuvres présentées sont inspirées de psaumes et de textes qui apportent réconfort et espoir.

Le Psaume 121 (Psalm 121) du compositeur canadien Imant Raminsh met en musique un texte fort connu et porteur d’un message apaisant : entre notre départ et notre arrivée, celui qui veille sur nous ne dort jamais. Suit le Psalmus Hungaricus de Zoltán Kodály, dont c’est le 100^e anniversaire de création, avec le ténor canadien Ian Cleary pour la première fois au Chœur St-Laurent, un rôle qu’incarnent les choristes. Enfin, le Chœur St-Laurent présente une œuvre très rarement offerte au public : le Psaume 100 du compositeur Max Reger, une symphonie-chorale de grande envergure et aux sonorités festives offrant des moments d’une immense beauté.

The St. Lawrence Choir invites you to a wonderful concert: Psalmae. The three works to be performed include texts inspiring the listener with personal comfort and hope. 

Psalm 121 by Canadian composer Imant Raminsh sets to music a well-known religious text: from beginning to end, the One who watches over us never sleeps. This is followed by Zoltán Kodály’s Psalmus Hungaricus on the 100th anniversary of its composition, with Canadian tenor Ian Cleary, making his debut with the St. Lawrence Choir, as the psalmist and his people represented by the choristers. Finally, the Choir will perform Max Reger’s Psalm 100, a rarely heard choral symphony marked by festive harmonies and moments of immense beauty.

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Dans le cadre du cycle Mahler présenté à l’OSM, le maestro Rafael Payare dirigera la monumentale Symphonie n^o 5 du compositeur autrichien, au lendemain d’un concert du même programme présenté au Carnegie Hall à New York. Entre tempête, tension et vision du paradis, ce majestueux édifice instrumental chemine des ténèbres vers la lumière, de la marche funèbre initiale jusqu’au rondo final triomphal. Le pianiste Yefim Bronfman sera quant à lui de retour à l’OSM dans le virtuose Concerto n^o 2 de Bartók.

As part of the Mahler cycle presented by the OSM, Maestro Rafael Payare will conduct the Austrian composer’s monumental Symphony no. 5. Storminess, tension, and heavenly visions carry this majestic instrumental edifice from darkness into light, from the opening funeral march to the triumphant Rondo-Finale. Also on the program: pianist Yefim Bronfman is back with the OSM to perform Bartók’s masterful Concerto no. 2.

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Confiance et jeunesse émanent des premières notes de la captivante Ballade pour orchestre de Samuel Coleridge-Taylor, ce compositeur afro-britannique qui a su tailler sa place dans le Londres du 19^e siècle. Lumineux, le jeu du pianiste David Jalbert sublime l’exigeante partition de Prokofiev. Au podium, Yannick Nézet-Séguin dirige l’Orchestre dans la cinquième de Sibelius, une œuvre unique aux qualités picturales et dramatiques hors du commun.

The confidence of youth emanates from the first notes of the captivating Ballade for Orchestra written by Samuel Coleridge-Taylor, an African-British composer who made a name for himself in 19th-century London. David Jalbert’s brilliant piano playing elevates Prokofiev’s demanding score to the sublime. On the podium, Yannick Nézet-Séguin conducts the orchestra for Sibelius’s fifth symphony, a unique piece with sweeping imagery and extraordinary drama.

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