classique moderne / classique occidental / période romantique

OSM | Symphonie alpestre : Quand les bois deviennent des sherpas

par Alexis Desrosiers-Michaud

Ce sont les derniers concerts cette semaine de l’Orchestre symphonique de Montréal (OSM) avant sa prochaine tournée qui l’emmènera dans les meilleures salles d’Europe au cours des prochaines semaines. Pour l’occasion, c’était au tour de la Symphonie alpestre de Richard Strauss d’être rodée, sous la direction de Rafael Payare.

En lever de rideau, l’OSM présentait également Jeden Baum spricht « Chaque arbre parle » de l’Irano-Canadien Iman Habibi. À en croire la note de programme, cette œuvre aurait eu tout à gagner à être insérée dans le Marathon Beethoven de l’OM du mois passé. Elle coche toutes les cases de comment le concours de composition a été présenté lors des concerts, soit, grosso modo, comment le compositeur peut exprimer aujourd’hui l’influence que Beethoven a eue sur sa vie. Pour pousser plus loin, il est écrit que le titre même provient d’un journal personnel de Beethoven. Et c’est ce qu’on entend ! Habibi utilise habilement les esthétiques dramatiques et campagnardes des Cinquième et Sixième symphonies, sans les citer, dans une structure tripartite, avec des cuivres et des percussions agités, mais des cordes et des bois plus calmes. Le tout mène à une finale grandiose pleine d’espoir. Bref, quelque chose de plus intéressant que les deux créations auxquelles nous avions personnellement assisté lors des concerts du dimanche 20 octobre. On ne peut s’empêcher d’esquisser un petit sourire quand on se remémore que le concours de l’OM date d’avant la pandémie et qu’on lit que Jedem Baum spricht fut créé en 2020 en tant que commande du Philadelphia Orchestra qui est dirigé par… Yannick Nézet-Séguin !

24h avant le concert, l’OSM a annoncé que le Concerto pour piano de Scriabine sera remplacé par le Troisième concerto de Ludwig van Beethoven, mais toujours interprété par Bruce Liu. Ce dernier enfilera le concerto avec finesse et fluidité. Jamais il ne forcera, piochera, ni ne marquera exagérément. La main droite est si agile que les trilles sont quasi imperceptibles et son jeu de nuances est époustouflant. Liu a une capacité de suspendre les notes au dernier moment pour amortir une phrase ou changer de caractère. Le début du deuxième mouvement nous transporte dans un autre monde avec une main gauche réconfortante et une mélodie à peine effleurée par les doigts de la main droite. Personne n’a donné d’explication au changement d’œuvre, mais cette exécution en valait la peine.

La Symphonie alpestre a de quoi impressionner avec sa durée (45-50 min.), son instrumentation dense (abondantes sections de cuivres et de percussions, instruments inusités) et son florilège thématique, mais il faut aller fouiller dans les détails pour vraiment impressionner. À plus ou moins 130 exécutants, jouer fort est un jeu d’enfant, mais il n’est pas toujours évident de doser ses nuances. Comme Payare met en priorité la famille d’instruments la plus susceptible de se faire enterrer, nommément les bois, tout se rééquilibre. En bons guides expérimentés, ils ont été brillants, individuellement et collectivement. Dès la première note, le bassoniste Stéphane Lévesque et ses compères ont instauré l’ambiance calme de l’aube, sur fond de violons imperceptibles. Puis, le nouveau hautbois solo Alex Liedtke s’est distingué dans un solo lointain. Plus tard, ce même Liedtke, avec le clarinettiste Todd Cope et le légendaire Timothy Hutchins à la flûte, nous a littéralement mis sur le bout de notre chaise à la veille de l’orage, ne sachant pas trop quand le ciel allait nous tomber sur la tête. L’Élégie post-orage fut encore meilleure. Le fossé abyssal d’orchestration (on passe de l’orchestre complet à une formation intime, de chambre avec bois, cor et trompette solos sur pédale d’orgue) n’affecte en rien le jeu. Le piège de l’excitation et de l’agitation de la section précédente est évité et on nage en plein moment de zénitude. Tout au long de la symphonie, les cuivres ont assuré leur présence sans être trop puissants. Même qu’ils auraient pu prendre plus de place à quelques endroits, comme à chaque reprise du motif choral instauré dès le début. Le volume de la  banda était bon et les cors en ont mis plein la vue dans leur longue mélodie du Sommet, mais cela n’aurait pas été aussi excellent sans l’apport des cordes en dessous qui dictent la phrase sans relâcher la tension dans les notes longues. Bref, la Symphonie alpestre a beau raconter l’ascension seule d’un aventurier, cette magnifique exécution est l’œuvre d’un collectif parfaitement au parfum du rôle que chacun doit prendre pour atteindre le sommet.

crédit photo : Antoine Saito

classique occidental

Jason Xu, premier saxophoniste à rafler les honneurs au Concours de l’OSM

par Alexis Desrosiers-Michaud

Pour la première fois de son histoire, la finale du Concours de l’OSM mettait en vedette pas un, mais deux saxophonistes, en plus d’un trompettiste et d’une tromboniste basse. Et pour la première fois de son histoire, le premier prix est attribué à un saxophoniste, le Sino-Canadien Jason Xu.

C’est d’ailleurs avec lui que la finale du concours s’est ouverte, par une interprétation de la Rhapsodie pour saxophone alto d’André Waignien. Cette pièce ne lui a laissé aucun répit. Il n’y a pas beaucoup de passages lyriques, mais il est capable de faire chanter les lignes de manières virtuoses. Xu a un beau son expressif et velouté. On le perd cependant un peu dans les nuances douces, mais l’orchestre, dirigé par Jacques Lacombe, aurait pu jouer moins fort. Sinon, une de ses qualités est de faire un tout avec celui-ci. Rapidement, on sent qu’une chimie s’installait entre le soliste et l’orchestre.

Le deuxième candidat était le trompettiste ottavien Charles Watson dans le Concerto pour trompette de Franz Joseph Haydn. Stoïque, il prend le pari de jouer avec un son rond, sans force ni flamboyance, avec un jeu de finesse et des articulations nettes. Il manquait cependant un peu de nuance et de phrasé. Nul ne sait si la concentration fait gagner des points, mais il a été importuné à quelques reprises, notamment par des applaudissements aux mauvais endroits, malgré les avertissements, et par les cris d’un bambin. Aussi, une cadence de concerto n’est pas un solo de jazz : on n’applaudit pas à la fin de celle-ci et lorsque l’orchestre reprend ! Malgré tout, Watson est demeuré imperturbable.

Après l’entracte, c’était au tour de Malena Lorenson qui a interprété le Concerto pour tuba de John Williams (oui, oui, lui), mais adapté pour trombone basse. Malgré quelques craquements au début, elle offre une performance époustouflante. Le son est égal dans le vaste registre de l’instrument et Lorenson passe très facilement au-dessus de l’ensemble orchestral. Il ne faut pas oublier que le concerto est conçu pour être joué par un instrument à pistons, alors qu’au trombone, c’est le bras seul qui bouge pour effectuer les changements de notes. Lorenson rend cette gymnastique complexe avec une impressionnante facilité et se surpasse également dans les articulations du registre grave. Native de l’Alberta, mais étudiant à Montréal, elle a chaudement été applaudie par le public.

L’alignement de l’après-midi s’est conclu avec Bingchen He. Le deuxième saxophoniste de la soirée a choisi d’interpréter le Concerto pour saxophone alto d’Henri Tomasi. Il y a beaucoup de notes, mais il y a peu de valeur ajoutée à la virtuosité. Tout comme dans le concerto de Williams, l’orchestration y est très dense et, malheureusement, le saxophone se fait manger tout rond à plusieurs reprises. He prend plus de place sur scène que les autres et on sent qu’il y a moins de symbiose avec l’orchestre. Après une longue délibération, les résultats ont été les suivants :

1er prix : Jason Xu

2e prix : Malena Lorenson

3e prix : Bingchen He

4e prix : Charles Watson

Le jury international, placé sous la présidence de la directrice générale de l’Orchestre philarmonique royal de Liège Aline Sam-Giao, était composé de : Leone Buyse, professeure émérite en musique Ida and Joseph Kirkland Muller de la Rice University, Manon Lafrance, trompettiste et pédagogue, Louise Pellerin, hautboïste et professeure à l’Université des arts de Zurich, Rafael Payare, directeur musical de l’OSM, Jacques Lacombe, chef d’orchestre et Peter Sullivan, trombone solo à l’Orchestre symphonique de Pittsburgh.

crédit photo : Antoine Saito

classique

Orchestre de l’Agora: Émile Proulx-Cloutier Symphonique

par Rédaction PAN M 360

L’univers musical d’Émile Proulx-Cloutier, aux textes foisonnants et aux musiques envoûtantes, adapté en version symphonique le temps de deux concerts événements!

Deux soirées à la Maison symphonique de Montréal qui s’annoncent aussi prodigieuses qu’excitantes, alors qu’Émile sera magnifiquement accompagné de l’Orchestre de l’Agora, dirigé par les chefs Nicolas Ellis (22 novembre) et Julien Proulx (7 décembre). Les arrangements seront signés par Francois Vallières et Guido Del Fabbro.

The musical universe of Émile Proulx-Cloutier, with its abundant texts and spellbinding music, adapted to a symphonic version for two concert events!

Two evenings at the Maison symphonique de Montréal promise to be as prodigious as they are exciting, with Émile magnificently accompanied by the Orchestre de l’Agora, conducted by Nicolas Ellis (November 22) and Julien Proulx (December 7). The arrangements are by Francois Vallières and Guido Del Fabbro.

POUR ACHETER VOTRE BILLET, C’EST ICI!

Ce contenu provient de l’Orchestre de l’Agora et est adapté par PAN M 360.

classique occidental

Marathon Beethoven de l’OM, soir 2 : De la nature humaine

par Alexandre Villemaire

Deuxième étape vendredi le 18 octobre pour l’Orchestre Métropolitain sur le trajet de son marathon Beethoven à la Maison symphonique avec Yannick Nézet-Séguin.

Après une introduction héroïque la veille, le prochain kilomètre à franchir par l’orchestre de la métropole était dévolu aux symphonies no 6, dite « Pastorale » et no 7, précédé d’une création du jeune compositeur Francis Battah, jeune compositeur déjà auréolé de plusieurs distinctions en Europe et au Canada. Son Prélude aux paysages urbains qui a ouvert la soirée a été spécifiquement pensé pour précéder le premier mouvement de la Symphonie no 6. Dans cette courte pièce, Battah réutilise plusieurs matériaux thématiques de la « Pastorale », les déconstruit et les modifie par un langage et une écriture complexes. L’emploi de plusieurs modes de jeux (arco pour les cordes, flatterzunge pour les vents) confère à l’œuvre un caractère dynamique et une forte dimension timbrale. La pièce se termine par un glissando de cordes fantomatique avant d’enchainer directement avec le premier mouvement de la sixième symphonie. Le passage se fait de manière naturellement étonnante et fluide, tant les citations musicales, qu’on ne reconnaît pas forcément tout de suite, mais qu’on distingue par l’évocation du timbre, ont préparé nos oreilles à « l’Éveil d’impressions agréables en arrivant à la campagne ».

Pièce parmi les plus descriptives du catalogue symphonique de Beethoven, la Symphonie no 6 est aussi parmi les plus connues du compositeur, dans laquelle il peut être aisé de tomber dans l’écoute facile et le pilote automatique, tant ses thèmes sont connus et ont été joués et entendus. Yannick ne tombe pas dans la facilité. Dirigeant l’entièreté des symphonies par cœur, le chef sollicite chacun des musiciens de son orchestre pour sculpter des phrasés et des lignes signifiantes. Après l’énergie lumineuse du premier mouvement, le deuxième mouvement (« Scènes au bord du ruisseau ») a plongé l’auditoire dans un état apaisant et de repos avec des sonorités éthérées. Un véritable esprit de fête villageoise se dégage du troisième mouvement où les vents se démarquent dans l’ensemble, malgré quelques petites imprécisions de justesse. Après la fête, le tonnerre se fait entendre dans le quatrième mouvement, annonçant l’orage. Un orage que YNZ initie tout en douceur, comme dans le lointain, avant de le faire progresser en intensité jusqu’à l’éclatement. Par un contrôle de dynamique soigné, le chant pastoral qui suit a conclu la symphonie avec sérénité.

La deuxième partie du concert dédié à la septième symphonie a offert un contraste par son caractère éclatant, rythmé et plein de vitalité. Le premier mouvement possédait un caractère royal dans un tempo que Nézet-Séguin a déployé avec élégance. Magistrale a été la transition attacca avec le fameux deuxième mouvement, une marche funèbre dramatique, dans laquelle tout, des dynamiques aux nuances, était juste et balancé. L’exposition de l’architecture de mouvement a été finement construite par le chef, notamment par la mise en relief de l’interaction entre les lignes de violons et d’altos. Les troisièmes et quatrièmes mouvements, marquésPresto et Allegro con brio ont été une chevauchée fantastique et haletante où le cavalier Nézet-Séguin s’amusait ferme, dansant presque sur le podium, insufflant aux différentes sections de l’orchestre un élan vital festif et captivant. Cette interprétation fut le meilleur moment de la soirée. Arrivant à la fin de cette course, l’orchestre a reçu de longs applaudissements d’un public relativement nombreux en liesse.

S’adressant à la foule, Yannick Nézet-Séguin a lancé cette invitation au public : « Dimanche, 11h. Parlez-en à vos amis! » L’invitation est faite. Et nous y serons pour la suite de ce parcours.

baroque / classique

Arion Orchestre Baroque et le SMAM autour de Handel et Fastes royaux d’Angleterre

par Alain Brunet
DESCRIPTIF:

En ouverture de saison, et pour une première fois à la Maison symphonique, Arion Orchestre Baroque se joint de nouveau au Studio de musique ancienne de Montréal afin d’offrir un programme fastueux ! Andrew McAnerney et Mathieu Lussier vous présenteront la rutilante Music for the Royal Fireworks de Handel, dont on retrouvera les cuivres dans les magnifiques anthems du même pour le couronnement de George II ainsi que dans celui de William Boyce pour le couronnement de George III.

BILLETS ET INFOS ICI

PROGRAMME:


William Boyce (1711-1779)
The King Shall Rejoice
William Byrd (1540/43-1623)
O Lord, make Thy servant Elizabeth our Queen 
Thomas Weelkes (1576-1623)
O Lord, grant the King a long life 
George Frideric Handel (1685-1759)
Musique pour les feux d’artifice royaux, HWV 351 Zadok the Priest, HWV 258 Let Thy Hand be strengthened, HWV 259 The King Shall Rejoice, HWV 260 My Heart is Inditing, HWV 261

ARTISTES:
ANDREW McANERNEY

Direction

MATHIEU LUSSIER

Direction

STUDIO DE MUSIQUE ANCIENNE DE MONTRÉAL
chant choral / classique / noël

OSM : Festivités en chants et musiques

par Rédaction PAN M 360

Le temps des fêtes est un moment intense de partage et de paix. Pour le célébrer en musique, participez à ce concert exceptionnel lors duquel vous serez invités à chanter avec le Chœur de l’OSM : une expérience galvanisante! Après l’hiver, le doux printemps célébré par Rimski-Korsakov dans La fille de neige vous conduira jusqu’à la ville éternelle au son des grandioses Pins de Rome de Respighi.

The holidays are a special time for sharing and peace. Join us for this musical celebration in a soul-stirring concert where you will be invited to sing along with the OSM! Winter gives way to the sweetness of spring with Rimsky-Korsakov’s The Snow Maiden, then transports us to the Eternal City in Respighi’s spectacular Pines of Rome.

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classique / noël / trad québécois

OSM : Le Vent du Nord souffle sur l’OSM

par Rédaction PAN M 360

De la féérie de Casse-Noisette à l’entrainante musique traditionnelle du Québec, c’est à un concert très stimulant que vous convient l’OSM et le groupe Le Vent du Nord. Ce dernier proposera des œuvres de son cru et des pièces traditionnelles dans une version orchestrale. Reels, gigues et autres airs enlevés « swingueront » avec la musique scintillante de Tchaïkovski.

From the fairy-tale world of The Nutcracker to toe-tapping Quebec folk music, you’re invited to a rousing concert given by the OSM and Le Vent du Nord. This folk group will perform their own music as well as orchestral versions of traditional songs, and reels, jigs, and other lively tunes will swing alongside Tchaikovsky’s scintillating music.

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cinéma / classique

OSM : Les trois mousquetaires en ciné-concert

par Rédaction PAN M 360

«Un pour tous, tous pour un!» Pour sauver l’honneur de la reine, D’Artagnan et ses amis mousquetaires se lancent dans de périlleuses aventures.  La trame sonore de ce film muet sera réalisée au Grand Orgue Pierre-Béique par László Fassang, un virtuose de l’improvisation.

“One for all, all for one!” To defend the Queen’s honour, D’Artagnan and his swashbuckling friends embark upon perilous adventures. The soundtrack to this silent film will be played on the Grand Orgue Pierre-Béique by virtuoso improviser László Fassang.  

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Orchestre Métropolitain, concert d’ouverture: Figures légendaires

par Rédaction PAN M 360

Bruckner l’architecte construit ici une véritable cathédrale, un monument grandiose, ciselé à la perfection, bouleversant de dévotion. N’ayant pas pu achever sa neuvième et dernière symphonie, il a lui-même suggéré que son célèbre Te Deum soit joué en guise d’ultime mouvement de cette œuvre. Le résultat, aujourd’hui interprété par quatre solistes de calibre international et le Chœur Métropolitain, est tout simplement monumental. L’OM et Yannick Nézet-Séguin, tandem brucknérien par excellence, reconnu depuis son enregistrement de l’intégrale des symphonies du compositeur, lui rendent avec ce programme un vibrant hommage soulignant son 200anniversaire de naissance. Comme le veut la tradition à l’OM, les premières notes de la saison seront celles d’un compositeur autochtone. Andrew Balfour, chef d’orchestre d’origine crie, a écrit de nombreuses œuvres chorales et a été en nomination aux prix Juno pour le meilleur album classique en 2023.

INFOS et BILLETS ICI

Durée approximative du concert : 1 h 33. Veuillez noter que ce concert est présenté sans entracte.

classique / Piano

OSM : L’impérial Concerto pour piano no 5 de Beethoven

par Rédaction PAN M 360

En y introduisant d’audacieuses innovations, Beethoven engage son ultime Concerto pour piano dans la voie du romantisme. Quant à la relation qui s’instaure entre le soliste et l’orchestre, elle reflète la position du compositeur dans la société du XIXe siècle, un artiste indépendant s’opposant parfois au monde qui l’entoure. L’énergie et la puissance présentes chez Beethoven animent également la Symphonie no5 de Sibelius, une œuvre lumineuse, au ton souvent conquérant.

Through its bold innovations, Beethoven’s last piano concerto opened a new path to musical Romanticism. The relationship he instilled between soloist and orchestra mirrors his social status in the 19th century: that of an independent artist sometimes at odds with the world around him. The drive and intensity of Beethoven’s Emperor Concerto also enliven Sibelius’ Symphony no. 5, a radiant work that is often triumphant in character.

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classique / latino

OSM : L’OSM aux couleurs de l’Amérique latine

par Rédaction PAN M 360

Voyagez à travers l’Amérique latine en compagnie du comédien Philippe-Audrey Larrue-St-Jacques au son de musiques aux rythmes fougueux. Des vastes plaines du Venezuela, poétiquement dépeintes par Estévez, aux pampas argentines de Ginastera, laissez-vous entrainer vers le Mexique de Gabriela Ortiz grâce à Paul Merkelo, le brillant trompette solo de l’OSM. Participez à cette véritable fiesta musicale latino-américaine!

Journey through Latin America to captivating rhythms with actor Philippe-Audrey Larrue-St-Jacques. Travel the sprawling plains of Venezuela poetically depicted by Estévez, experience Ginastera’s Argentinian Pampas, and be whisked away to Mexico as portrayed by Gabriela Ortiz and the dazzling tones of OSM Principal Trumpet Paul Merkelo. Come revel in a Latin American musical fiesta!

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classique / noël

OSM : Le temps des fêtes avec Nagano

par Rédaction PAN M 360

Œuvre emblématique du temps des fêtes, Casse-Noisette de Tchaïkovski séduit petits et grands grâce à son ambiance féérique et ses sonorités scintillantes. Profonde et chaleureuse, la voix de Marie-Nicole Lemieux illuminera ce concert dans la création mondiale d’une œuvre du compositeur canadien Matthew Ricketts. En cadeau, les célèbres Quatre saisons de Vivaldi données dans une orchestration tout à fait innovante!

That emblem of the holidays, Tchaikovsky’s The Nutcracker, delights all ages with its air of magic and its sparkling sounds. The rich, warm voice of Marie-Nicole Lemieux as she performs the world premiere of a work by Canadian composer Matthew Ricketts also lights up the concert. And yet another gift, Vivaldi’s beloved Four Seasons, will be played in a completely new orchestration!

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