Intimité, économie de moyens, minimalisme folk, extrême sobriété… pouvoir de l’envoûtement, sorcellerie de l’amour. Piano, guitares acoustiques, saxophone discret… La Néo-Zélandaise Aldous Harding se dévoile dangereusement à travers ces chansons à la fois délicates pour leur facture apparente et redoutables pour leur contenu poétique. Leurs étonnantes propriétés tumultueuses, érotiques, passionnelles, amoureuses, spirituelles. Ces eaux calmes sont un leurre, cette violence du calme est un merveilleux paradoxe, Aldous Harding est une magicienne.
Tout le contenu 360
Critique de concert Brésil/jazz
Bianca Rocha : Beaucoup de chaleur dans la froidure !
Par Michel Labrecque
Critique de concert hip-hop/Brésil/jazz
PALOMOSA | BADNADNOTGOOD, bon bon pas vilain !
Par Félicité Couëlle-Brunet
Critique de concert latino/électronique/hip-hop
Palomosa | Nick Leon, un bon coup d’électro latine
Par Félicité Couëlle-Brunet
Critique de concert Brésil/jazz
Manoel Vieira : un hommage à João Donato meilleur que l’original ?
Par Michel Labrecque
Critique d'album Océan Indien/Musique contemporaine/traditionnel 2024
Gamelan Pesel – Pesta Nada
Par Laurent Bellemare
Critique d'album expérimental / contemporain/Experimental/rock 2024
Sleepytime Gorilla Museum – Of The Last Human Being
Par Laurent Bellemare
Critique d'album expérimental/expérimental / contemporain 2024