Une sortie de scène comme seul Bowie pouvait en goupiller, d’autant que, coup de théâtre, il nous quittait à peine deux jours après le lancement de l’album. Derrière les paroles cryptiques sur lesquelles les exégètes se sont rués pour les déchiffrer dès l’annonce de son décès et les savants arrangements où jazz de pointe et avant-electronica entrent en collusion, ce qu’on entend surtout, c’est l’infinie tristesse d’un homme qui ne veut pas s’en aller.
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