Deux fois nommés au Polaris, alt-pop jokesters de Toronto, dirigés par Robin Dann avec Thom Gill et Philippe Melanson. C’est là que réside la merveille de Bernice : ils nous rappellent que le funk de la salle de jeux de Mario Kart 64 n’a pas besoin d’exister en exclusivité mutuelle avec une riche tapisserie d’émotions humaines. Même si nous vivons cette chronologie la plus maudite, nous pouvons regarder dans le cœur des choses, s’attarder sur les défis auxquels nous sommes appelés à être témoins, et trouver un peu de légèreté pour nous mener à bien ; attrapez un petit champignon et cruisez dans la soupe existentielle. » -Andrew Patterson
Two-time Polaris nominees, Toronto alt-pop jokesters, led by Robin Dann with Thom Gill and Philippe Melanson. And therein lies the wonder of Bernice: they remind us that the arcade funk of Mario Kart 64 need not exist in mutual exclusivity with a rich tapestry of human emotion. Even if we’re living in this most cursed of timelines, we can look into the heart of things, dwell on the challenges we’re called to witness, and find a little levity to carry us through; grab a little mushroom and cruise in the existential soup. » -Andrew Patterson
Marker Starling (Chris A. Cummings, anciennement Mantler) joue ses caractéristiques Melancholy Party Jams à Toronto et ailleurs depuis 1999. Il se produit actuellement en tant que six musiciens composés de Cummings (Wurlitzer et voix), Jay Anderson (batterie), Matt McLaren (basse), Dorothea Paas (guitare et chant), Andrew Scott (guitare et chant) et Ed Squires (percussions), le groupe a récemment ouvert pour Stereolab à Toronto et à Montréal.
Marker Starling (Chris A. Cummings, formerly Mantler) has been playing his trademark Melancholy Party Jams in Toronto and elsewhere since 1999. Currently performing as a six-piece consisting of Cummings (Wurlitzer and vocals), Jay Anderson (drums), Matt McLaren (bass), Dorothea Paas (guitar and vocals), Andrew Scott (guitar and vocals) and Ed Squires (percussion), the band recently opened for Stereolab in Toronto and Montreal.
Only The End, le deuxième album d’Ashley Shadow, conserve une introspection mélancolique armée d’un espoir palpable et d’une palette sonore luxuriante. La voix envoûtante d’Ashley est toujours un régal à écouter, comme on a pu l’entendre dans ses projets de collaboration passés avec des artistes tels que Bonnie Prince Billy et Lightning Dust.
Only The End, Ashley Shadow’s second album, retains a melancholy introspection armed with palpable hope and a lush sonic palette. Ashley’s haunting voice is always a treat to listen to, as we’ve heard in her past collaborative projects with artists such as Bonnie Prince Billy and Lightning Dust.
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Ce contenu provient de POP Montréal et est adapté par PAN M 360.