afro-rap / hip-hop

3 Heures Prod au Club Soda

par Rédaction PAN M 360

3 Heures Prod a le plaisir de vous inviter à leur prochain concert au Club Soda où ils présenteront leur nouvel album, Nouvelle Ère. Attendez-vous à de nombreuses surprises, y compris des collaborations avec des artistes de renom.
3 Heures Prod est un collectif musical réunissant des artistes d’origine africaine tels que YA CETIDON, JEEKAY, KAZALITO, et DALLAS. Pionniers du mouvement afro au Québec dans le domaine du hip-hop, ils mettent en avant des sonorités inspirées de la musique africaine.
Ce concert a pour objectif de fusionner le hip-hop québécois avec une variété de musiques internationales, comme ils l’ont fait à travers des collaborations avec Loud, Shreez, Connaisseur Ticaso, Dee End, Rosalvo, Mikezup et bien d’autres. Préparez-vous à un voyage musical à travers plusieurs styles.
Depuis plusieurs années, 3 Heures Prod se distingue par sa capacité à offrir des performances scéniques exceptionnelles. Pour ce concert, ils vous réservent de nombreuses surprises, tant au niveau des invités présents sur scène que des performances, qui seront accompagnées de danses de diverses origines.
Ne manquez pas cette occasion unique de découvrir 3 Heures Prod en live et de vivre une expérience musicale inoubliable.

3 Heures Prod invites you to their upcoming concert at Club Soda, where they will present their new album, Nouvelle Ère. Expect plenty of surprises, including collaborations with renowned artists!
3 Heures Prod is a musical collective bringing together artists of African origin, such as YA CETIDON, JEEKAY, KAZALITO, and DALLAS. As pioneers of the Afro movement in Quebec’s hip-hop scene, they blend influences from African music into their sound.
This concert aims to fuse Quebec hip-hop with a variety of international music styles, just as they have done through collaborations with Loud, Shreez, Connaisseur Ticaso, Dee End, Rosalvo, Mikezup, and many others. Get ready for a musical journey across different genres!
For years, 3 Heures Prod has stood out for their electrifying live performances. This show will feature exciting surprises, from special guest appearances to dynamic performances enhanced by dance styles from diverse origins.
Don’t miss this unique opportunity to experience 3 Heures Prod live and immerse yourself in an unforgettable musical event!

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folk-pop / Indie

James Bay au MTelus

par Rédaction PAN M 360

Le chanteur et auteur-compositeur anglais James Bay, au style bluesy, crée un folk-pop émouvant et évocateur, porté par une voix chaude et éraillée. Grâce au succès du single Hold Back the River, certifié platine, son premier album, Chaos and the Calm (2015), est un véritable tournant : il atteint la première place des charts au Royaume-Uni et se classe dans le Top 10 à travers l’Europe et l’Australasie. Apportant une touche de fraîcheur à son son, il sort son deuxième album, Electric Light, en 2018, qui atteint la deuxième place des classements. En 2019, il publie l’EP Oh My Messy Mind, comprenant le titre Peer Pressure en duo avec Julia Michaels. Son troisième album, Leap (2022), le maintient dans le Top 5 britannique, et au cours des deux années suivantes, il dévoile plusieurs singles, dont l’émouvant Goodbye Never Felt So Bad et Up All Night en 2024, en collaboration avec Noah Kahan et The Lumineers. Ce dernier titre figure sur son quatrième album, Changes All the Time.

Bluesy English singer/songwriter James Bay crafts moving and evocative folk-pop delivered with a warm, raspy voice. Riding the success of the platinum single « Hold Back the River, » his 2015 debut album, Chaos and the Calm, was a breakthrough, soaring to number one in the U.K. and landing in the Top Ten across Europe and Australasia. Incorporating fresh flair, he issued his sophomore effort, Electric Light, in 2018, which peaked at number two. An EP, Oh My Messy Mind, arrived in 2019 featuring « Peer Pressure » with Julia Michaels. Bay’s third long-player, 2022’s Leap, kept him in the U.K. Top Five, and over the next two years, he delivered singles like the heartbroken « Goodbye Never Felt So Bad » and 2024’s Noah Kahan and Lumineers collaboration « Up All Night, » the latter of which appeared on his fourth long-player, Changes All the Time.

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Alternative / indie rock

The Kooks au MTelus

par Rédaction PAN M 360

Arrivant une bonne décennie après l’apogée de la Britpop, The Kooks ont ravivé ce fracas accrocheur et plein de malice pour une génération légèrement plus tardive. Leur premier album, Inside In/Inside Out, est sorti en 2006, la même année que le premier album des Arctic Monkeys. Les deux groupes étaient peut-être de légers rivaux, mais leurs débuts quasi simultanés ont marqué la naissance d’une nouvelle génération de groupes britanniques à guitares, aussi redevables aux Strokes qu’au rock classique. Inside In/Inside Out a été un immense succès au Royaume-Uni, atteignant la deuxième place des charts avant d’obtenir le statut de quadruple disque de platine. Leur deuxième album, Konk, sorti en 2008, est entré directement à la première place des classements britanniques, mais est rapidement redescendu. Junk of the Heart, paru en 2011, n’a pas relancé leur succès, mais le quatuor a persévéré et fait son retour en 2014 avec Listen, un album élargissant leur palette sonore pour intégrer des influences soul, dance et new wave, tout en conservant leur amour pour la pop/rock britannique classique qui avait toujours été leur fondement. The Kooks ont continué à associer des grooves aérés à une production soignée sur leurs albums suivants, Let’s Go Sunshine (2017) et 10 Tracks to Echo in the Dark (2022).

Arriving a good decade after the peak of Brit-pop, the Kooks revived that knowing, catchy clatter for a slightly later generation. Their debut, Inside In/Inside Out, appeared in 2006, the same year as the Arctic Monkeys’ debut. The two bands may have been mild rivals, but their near-simultaneous debuts represented the birth of a new generation of British guitar bands, one as indebted to the Strokes as to classic rock. Inside In/Inside Out was a major hit in the U.K., peaking at number two on its way to quadruple-platinum status. Konk, their 2008 sophomore album, entered the U.K. charts at number one but slid down rather quickly. 2011’s Junk of the Heart didn’t revive their fortunes, but the quartet stuck to it, re-emerging in 2014 with Listen, a record that broadened their sound to encompass soul, dance, and new wave while retaining their love of the classic British pop/rock that had always been at their foundation. The Kooks continued to pair spacious grooves with lush production on subsequent efforts Let’s Go Sunshine (2017) and 10 Tracks to Echo in the Dark (2022).

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classique moderne / classique occidental / musique traditionnelle sud-africaine

L’OSM et Abel Selaocoe : de ces soirées où l’on aimerait suspendre le temps

par Judith Hamel

L’OSM nous offre parfois des cadeaux. Des moments de communion inattendue comme c’était le cas le 22 mai dernier. Le programme du concert mettait avant tout de l’avant la pièce conclusive Roméo et Juliette, mais c’est surtout le voyage pour s’y rendre qui fut porteur de sens. 

Le concert s’est ouvert avec Ma mère l’Oye de Maurice Ravel, sous la direction expressive et précise de la cheffe Xian Zhang. Cette suite de contes musicaux a permis à plusieurs musicien·nes d’être mis de l’avant en tant que solistes. Dans Les entretiens de la Belle et de la Bête, le fameux solo de contrebasson, incarnant la Bête maladroite, a été brillamment interprété par Michael Sundell avant que le glissando désenchanteur de la harpe le transforme en prince. 

Puis, est entré en scène Abel Selaocoe pour interpréter Four Spirits qui évoque la communauté de Sebokeng où il a grandi, accompagné de l’orchestre et du multipercussionniste Bernhard Schimpelsberger. Selaocoe est un violoncelliste et chanteur d’origine sud-africaine apportant avec lui un bagage musical impressionnant. 

Par un recours inventif aux techniques de jeu étendues, il explore en profondeur les potentialités rythmiques, mélodiques, mais surtout timbrales de l’instrument qu’il met au service de l’expressivité. Avec son violoncelle, Selaocoe parvient à convoquer une pluralité de timbres et de fonctions : l’instrument devient tour à tour l’écho rythmique de sa voix, un double vocal, ou se rapproche d’un luth ou d’une guitare. Il se fait tantôt accompagnateur, tantôt porteur d’envolées lyriques, et assure le prolongement sensible de son corps. 

Pour sa voix, que dire… Déjà, que l’amplification bien dosée dans la Maison Symphonique met de l’avant l’étendue de ses jeux vocaux et permet d’assurer la grandeur de sa créativité et de ses expressions dynamiques. Encore là, il mélange plusieurs traditions, en insérant dans un solide contrôle vocal des doux chants de langues sotho du sud et en zulu et des chants gutturaux qui emplissent acoustiquement la salle. Ensemble, le violoncelle et la voix permettent d’exprimer les textes inspirés avec une gamme d’émotions dédoublée. 

Du quatrième mouvement, célébrant l’esprit de collectivité, sont sortis un timide murmure puis un chœur composé du public. Après une longue ovation, Selaocoe est revenu sur scène pour offrir un dernier air dédié à l’instant présent. Il nous rappelle que si nous n’avons pas su faire ce qu’il fallait hier, il est encore temps de le faire aujourd’hui. Et un dernier chœur se forma… 

En deuxième partie, retour aux classiques avec des extraits des deux premières suites de Roméo et Juliette de Prokofiev. Une œuvre qui on l’imagine a été jouée des centaines de fois par les musicien.nes, mais qui ne manque pas d’être agréable à entendre. Si l’interprétation n’a pas été la plus marquante de la soirée, elle n’en demeurait pas moins efficace. Entre les solides éclats de Pierre Beaudry au trombone basse et les envolées dramatiques portées par Zhang, le public y a trouvé son compte. 

Une soirée où la nouveauté et le déjà connu s’alterne et permet au public de ressentir les émotions sincères. En espérant que Selaocoe nous revienne vite ! 

Il y a des soirs comme celui-là qu’on aimerait déjà revivre bientôt. 

crédit photo : Antoine Saito

classique / post-romantique

OSM : Le chant de la terre de Mahler par Payare

par Rédaction PAN M 360

La rencontre inédite entre la musique de Mahler et la création d’une œuvre pour voix et orchestre en langues autochtones promet une fin de saison mémorable! Face à fragilité de l’existence humaine, le renouvellement perpétuel de la nature alimente le rêve d’immortalité des humains. Traitée par Mahler dans Le chant de la terre, cette thématique trouvera un écho dans une œuvre composée et écrite par des artistes autochtones, allochtones et métis rendant hommage à la vie et à la Terre. Ce concert hors du commun clôturera une saison 2024-2025 prometteuse!

An unprecedented convergence between the music of Mahler and the premiere of a work for voices and orchestra sung in Indigenous languages will make for a memorable season finale! Faced with the fragility of human existence, the perpetual renewal of nature has nurtured the dream of immortality in humans. This theme, depicted by Mahler in Das Lied von der Erde, will be echoed by a work composed and written by Indigenous, non-Indigenous, and Métis artists paying homage to life and to the Earth. An extraordinary concert that will bring a promising 2024-2025 season to a close!

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Ce contenu provient de l’Orchestre symphonique de Montréal et est adapté par PAN M 360

période romantique

Atteindre le ciel : le défi de Francis Choinière pour finir la 10e saison de son OPCM

par Frédéric Cardin

Il y avait finale et première d’un seul tenant hier soir à la Maison symphonique de Montréal : l’Orchestre Philharmonique et Choeur des Mélomanes (OPCM) terminait sa saison (la dixième de son existence) avec une première interprétation à vie d’une symphonie de Mahler, en l’occurrence la deuxième, ‘’Résurrection’’. Le chef Francis Choinière l’avait choisie pour sa beauté et sa magnificence, lui permettant ainsi de mettre en relief les capacités de son orchestre. La soprano Sarah Dufresne et la mezzo Allyson McHardy se joignaient à l’ensemble pour les courtes mais belles lignes lyriques des quatrième et cinquième mouvements de l’œuvre.

REGARDEZ L’ENTREVUE AVEC FRANCIS CHOINIÈRE À PROPOS DE LA SYMPHONIE RÉSURRECTION DE MAHLER. 

Francis Choinière dirige de façon posée, sans les effluves de ses collègues montréalais, Rafael Payare et Yannick Nézet-Séguin, ou encore l’historique Bernstein, un modèle en soi. Cela induit une attention à la clarté presque cristalline des lignes et des contrastes, nombreux, de la partition. Là où un Bernstein crée une viscéralité prenante, Francis dessine des portraits précis et plus réfléchis. Ce qui n’empêche pas l’atteinte de tutti impressionnants et efficaces lorsqu’ils sont nécessaires. 

J’ai particulièrement apprécié la caractérisation qu’il a donnée aux cordes, très belles et riches de tempérament. Chapeau à la première chaise de l’orchestre, la violoniste Mary-Elizabeth Brown, qui a effectué des solos vibrants et très chantants. 

Le deuxième mouvement, andante moderato, avait une belle tenue pastorale et débonnaire. Même chose pour le Scherzo (troisième mouvement), avec un ‘’allant’’ de danse bien tenu. 

Urlicht, ce moment de grâce (quatrième mouvement) nous a donné l’occasion d’apprécier la mezzo McHardy dans une projection sonore un tantinet sombre pour les besoins de la partition, mais donné dans un très agréable raffinement tonal et esthétique. 

Le mouvement final et ses nombreuses pauses dynamiques est un redoutable morceau à attacher, car il faut s’assurer que la fluidité de la ‘’montée’’ vers la lumière finale, qui s’amorce ici et se termine au mouvement suivant, ne s’en trouve pas diminuée et rendue moins pénétrante par ces fréquents arrêts. Ceux-ci doivent apparaître comme de simples respirations dans une ascension spirituellement continue, et ce malgré les changements de textures et d’affects. Je dois rapporter que, en écoutant furtivement quelques commentaires du public après le concert, cet aspect de l’œuvre n’a peut-être pas été parfaitement compris par tous. Si je n’ai pas senti, moi-même, l’irrémédiabilité de cette ascension pendant le déploiement du mouvement, la finale chorale a fini par réconcilier le propos avec l’objectif. En effet, Francis Choinière a mené ses quelque 200 musiciens à une apothéose qui a (encore des commentaires glanés dans le public) donné des frissons à bien des personnes présentes, votre humble serviteur compris. Ça valait la peine de s’y rendre car ce grand tutti avait du panache! Le ciel a été atteint, même s’il a bien failli attendre. 

Je souhaite noter, en bon critique qui doit chipoter sur des détails techniques, le manque de finition technique et esthétique des trompettes et des cors dans plusieurs passages délicats. Si on veut rejouer du Mahler, il faut absolument fignoler cet aspect. 

En tout et partout, une belle incursion chez Mahler par un très jeune orchestre qui montre son aptitude à jouer ce répertoire exigeant. Il aura tout le temps de peaufiner les détails et d’en offrir d’autres bientôt à son public, souvent nouveau venu à ce répertoire. Celui-ci, considérant sa réaction, a apprécié l’expérience et reviendra dans l’avenir.

Merci Francis et l’OCPM pour construire le public de demain de si belle façon. 

alt-pop / électro-pop

Group Project au Théâtre Fairmount

par Rédaction PAN M 360

Group Project est un trio de Montréal, Canada qui fait de la musique alternative-pop. Les débuts du groupe remontent à 2015 quand Jeremy Harbec rencontre Jacob Brown et qu’ils commencent à expérimenter avec des beats EDM & Pop dans la chambre à coucher/studio de Jeremy. En 2016 le duo commence à sortir leurs chansons sur SoundCloud. C’est alors qu’Alex Remington se joint à Jeremy et Jacob pour former Group Project et qu’ils commencent à enregistrer leurs premières chansons ensemble. Les vocales étaient alors enregistrées de façon créative sous des couvertures et les guitares étaient enregistrées avec des micros tenus manuellement puisque le groupe ne possédait pas encore de stands à micros. Le gérant d’artiste, Stéphane McGarry, promenait un jour son chien quand la mère d’Alex (la fan #1 de Group Project!) lui suggéra d’écouter les chansons du groupe. La fille de Stéphane entendit les chansons qu’il écoutait et lui dit que tous les ados à son école écoutaient déjà ces chansons. Deux ans plus tard, Group Project établit un partenariat avec Spectra Musique et Evenko et le groupe a hâte de continuer à progresser en 2021. Le plus récent single du groupe ‘Settle Down’ est sorti le 28 mai dernier.

Group Project is an alternative-pop trio based out of Montreal, Canada. The band can trace its roots back to 2015 when Jeremy Harbec met Jacob Brown, to experiment with EDM & Pop beats in Jeremy’s bedroom studio. They began to release their songs on SoundCloud in 2016. Alex Remington soon joined the picture, and Group Project began recording its first few songs. Vocals were recorded creatively under blankets, and guitars were recorded by hand-held microphones since the trio did not have mic-stands. The band’s manager, Stephane McGarry, was walking his dog one day when Alex’s mom (Group Project’s biggest fan) convinced him to give the band’s music a listen. Stephane’s daughter heard the songs playing in the background and informed him that all the kids were listening to it at her school. Two years later, Group Project has partnered with Spectra Musique and Evenko and the band is looking forward to taking strides forward in 2021. The band’s single ‘Settle Down’ was released on May 28th.

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Ce contenu provient de Spectra et est adapté par PAN M 360

alt-rock / indie pop

The Wedding Present au Ritz PDB

par Rédaction PAN M 360

Porté par la voix insistante de David Gedge et ses paroles sincèrement éprises d’amour, The Wedding Present est l’un des groupes fondateurs et moteurs de l’indie rock au Royaume-Uni. Bien que la formation ait évolué autour de Gedge, son attachement aux guitares au jeu rapide, aux tempos vifs et aux mélodies accrocheuses est resté intact depuis leur premier single en 1985. Le groupe débute avec une énergie brute et maladroite sur ces premiers singles et l’album George Best (1987), avant que leur son ne gagne en richesse et en puissance avec le chef-d’œuvre bruyant Seamonsters (1991), une touche grunge assumée sur Watusi (1994), ou une légèreté pétillante avec l’EP Mini (1996). Après avoir dissous le groupe à la fin des années 90 pour fonder Cinerama, un projet plus influencé par la pop orchestrale, Gedge reforme The Wedding Present en 2004 et sort l’album percutant Take Fountain. Les années suivantes alternent entre tournées anniversaires célébrant leurs premiers albums et sorties discographiques, comme Going, Going… en 2016 ou 24 Songs en 2023, une compilation de singles publiés sur un an, poursuivant l’exploration des tribulations amoureuses de Gedge avec une énergie et une maîtrise intactes.

Built around David Gedge’s insistent voice and earnestly lovelorn lyrics, the Wedding Present are one of the founders and driving forces of indie rock in the U.K. Though the cast revolves around him, Gedge’s devotion to quickly strummed guitars, lively tempos, and sharp hooks has stayed the same since their first single in 1985. The band started off awkward and energetic on those initial singles and 1987’s George Best album, but as their confidence and instrumental prowess grew, their sound became richer and more powerful (1991’s noisy masterpiece Seamonsters), or happily grungy, (1994’s Watusi), or light and fizzy (1996’s Mini EP). After splitting up the band in the late ’90s to start the more orchestral pop-influenced Cinerama, Gedge re-formed the Wedding Present in 2004 and issued the bracing Take Fountain album. The years that followed saw the band alternating between anniversary tours to celebrate early albums and releasing records like 2016’s Going, Going… and 2023’s 24 Songs — the latter collected a year’s worth of singles, that continued to chart the course of Gedge’s romantic travails with undimmed energy and skill.

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Alternative / indie rock

Momma au Théâtre Fairmount

par Rédaction PAN M 360

Projet de rock indépendant aux riffs lourds, aux voix mélancoliques et aux textes introspectifs, Momma est un duo composé d’Etta Friedman et d’Allegra Weingarten, qui se partagent le chant, l’écriture et la guitare. Leur deuxième album, Two of Me (2020), leur a valu une certaine reconnaissance dans la presse musicale grand public. Deux ans plus tard, elles ont fait leurs débuts chez Polyvinyl avec Household Name, leur troisième album et leur premier en studio professionnel. Après une série de festivals et de tournées, elles ont sorti de nouveaux morceaux, dont Bang Bang (2023) et Ohio All the Time (2024).

An indie rock project with a penchant for heavy riffs, moody vocals, and rumination, Momma is the duo of Etta Friedman and Allegra Weingarten, who share singing, songwriting, and guitar duties. They had a minor breakthrough with their 2020 sophomore album Two of Me, winning acclaim in the mainstream music press. Two years later, they made their Polyvinyl debut with their third album, Household Name, which was also their professional studio debut. Amid the plethora of festival dates and tour opportunities that followed, they released new songs including « Bang Bang » (2023) and « Ohio All the Time » (2024).

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chant lyrique / classique

Concours musical international de Montréal : Grande finale du CMIM

par Rédaction PAN M 360

L’heure est venue pour les cinq finalistes sélectionnés à la demi-finale par le prestigieux jury du CMIM de se mesurer à leurs pairs.
À cette étape cruciale du Concours, les chanteurs et chanteuses doivent démontrer toute l’étendue de leur technique et de leur expressivité à travers un programme d’une durée maximale de 18 minutes incluant trois airs extraits d’opéras ou d’œuvres orchestrales, interprétés dans au moins deux langues différentes.
Pour cette ultime épreuve, les finalistes ont le privilège de se produire aux côtés de l’Orchestre symphonique de Montréal (OSM), l’orchestre officiel du CMIM, sous la direction du renommé chef d’orchestre Patrick Summers. Ce moment décisif culminera en fin de soirée avec l’annonce des lauréats et des gagnants des prix spéciaux lors de la cérémonie de clôture.
Qui remportera le prestigieux titre de grand lauréat ou grande lauréate de Voix 2025? Venez encourager vos favoris et vivre en direct, depuis Montréal, l’émergence de futures célébrités internationales!

The time has come for the five finalists selected by the prestigious CMIM international jury during the semifinal to distinguish themselves from their peers.
At this crucial final stage of the competition, singers must demonstrate the full extent of their technique and expressiveness in a program lasting no more than 18 minutes, including three arias drawn from the opera or orchestral repertoire and performed in at least two different languages.
For this final round, the five finalists have the privilege of performing alongside the Orchestre symphonique de Montréal (OSM), under the direction of renowned conductor Patrick Summers. This decisive moment will culminate at the end of the evening with the announcement of the laureates and the winners of the special prizes at the closing ceremony.
Who will win the prestigious title of Grand Laureate of Voice 2025? Come and cheer on your favourites and experience the emergence of future international stars live from Montreal! Don’t miss this exceptional event.

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coldwave / gothique / krautrock

Peter Hook and The Light au MTelus

par Rédaction PAN M 360

Peter Hook & The Light est un groupe anglais de post-punk, formé en mai 2010 par le bassiste et chanteur Peter Hook, ancien membre des groupes influents Joy Division et New Order. Le groupe comprend également Jack Bates, le fils de Hook, à la basse, ainsi qu’Andy Poole (claviers) et Paul Kehoe (batterie), qui avaient tous deux joué avec Hook au sein de Monaco, l’un de ses anciens projets.
Le groupe est reconnu pour interpréter en concert les albums de Joy Division et de New Order. Cette initiative a suscité des critiques de la part des autres membres de New Order, Bernard Sumner, Stephen Morris (également membre de Joy Division) et Gillian Gilbert, après la reformation de New Order sans Hook. Peter Hook & The Light sont parfois accompagnés par Rowetta, qui assure des voix invitées.

Peter Hook & The Light are an English post-punk band, formed in May 2010 by bassist and vocalist Peter Hook, formerly of the influential post-punk bands Joy Division and New Order. The band also features Hook’s son Jack Bates (bass), as well as Andy Poole (keyboards) and Paul Kehoe (drums), who both played with Hook as part of Monaco, one of Hook’s previous groups.
The band is noted for performing the Joy Division and New Order albums live. The band gained some criticism from the other New Order members, Bernard Sumner and Stephen Morris (also of Joy Division) and Gillian Gilbert, after New Order’s reunion without Hook. The band is also occasionally accompanied by Rowetta, who performs guest vocals.

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électronique / industriel / noise / noise

ORPHX au Ritz PDB

par Rédaction PAN M 360

Le duo canadien Rich Oddie et Christina Sealey a fondé Orphx au début des années 90, publiant une série de cassettes expérimentales mêlant noise et musique industrielle. Leur premier album CD, Fragmentation, est sorti en 1996 sur le label américain Malignant Records. À la fin des années 90, leur son évolue vers une approche plus proche du techno, souvent qualifiée de rhythmic noise. L’EP 10” Nullity paraît sur Hands Productions en 1998, suivi de l’album Vita Mediativa en 1999. Le duo commence alors à se produire intensivement en Amérique du Nord et en Europe, participant notamment aux festivals industriels allemands Maschinenfest et Forms of Hands au début des années 2000, aux côtés d’artistes comme Winterkälte, Ah Cama-Sotz et Mimetic. Orphx poursuit ses sorties sur Hands Productions, tout en publiant l’album Circuitbreaking sur Hymen Records en 2004. En 2008, Hands publie Teletai, une compilation double CD regroupant des morceaux rares ou auparavant disponibles uniquement en vinyle, avec un disque de remixes signés Surgeon, Fluxion, Sleeparchive et d’autres figures de la scène techno et industrielle. En 2009, Orphx signe avec le label Sonic Groove d’Adam X et entame la publication d’une série de 12” techno, tout en partageant l’affiche avec des DJs comme Marcel Dettmann et Ben Klock. Hymen Records compile ensuite ces morceaux en CD avec The Sonic Groove Releases, Pt. 1 en 2014, suivi de Pt. 2 en 2015. En 2016, Orphx sort l’album Pitch Black Mirror, sur lequel figure la chanteuse Marie Davidson en tant qu’invitée.

Canadian duo Rich Oddie and Christina Sealey began Orphx in the early ’90s, releasing a series of experimental noise and industrial cassettes. Their first CD release was Fragmentation on American label Malignant Records in 1996, and by the end of the ’90s, their sound had shifted in a more techno-leaning direction, often referred to as « rhythmic noise. » The 10″ EP Nullity appeared on Hands Productions in 1998, followed by full-length CD Vita Mediativa in 1999. The duo began performing extensively across North America and Europe, and made several appearances at German industrial festivals Maschinenfest and Forms of Hands in the early 2000s, alongside labelmates such as Winterkälte, Ah Cama-Sotz, Mimetic, and numerous others. Several albums on Hands Productions continued, as well as 2004 full-length Circuitbreaking on Hymen Records. In 2008, Hands released Teletai, a double-CD collection of rarities and tracks previously only released on vinyl, with a disc of remixes by Surgeon, Fluxion, Sleeparchive, and many other techno and industrial artists. In 2009, Orphx signed to Adam X’s Sonic Groove label and began releasing a series of techno 12″s, and the duo performed at events with techno DJs such as Marcel Dettmann and Ben Klock. Hymen Records began compiling tracks from these 12″s for CD releases, starting with The Sonic Groove Releases, Pt. 1 in 2014, followed by Pt. 2 in 2015. Orphx’s full-length, Pitch Black Mirror, which featured guest vocals by Marie Davidson, was released in 2016.

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