rumba congolaise / soukouss

Festival International Nuits d’Afrique : Myster Jay à la scène Loto-Québec

par Rédaction PAN M 360

On se croirait presque à Kinshasa, au cœur de la nuit! Jeremie Langi, alias Myster Jay, promet un spectacle chic et classe, plein de joie et de musique, où l’ambiance et la sape seront au rendez-vous! De sa voix claire et haut perchée, parfaitement adaptée à ce qu’il fait, l’auteur, chanteur, compositeur et interprète décline son héritage congolais, aux couleurs du soukous et de la rumba. Préparez vos chorégraphies ndombolo, elles vous seront bien utiles!

You’d almost think you were in Kinshasa, in the heart of the night! Jeremie Langi, aka Myster Jay, promises a classy show, a chic ambiance full of joy and music with characteristic La Sape elegance on full display. With his clear, high voice, perfectly suited to what he does best, the singer-songwriter expresses his Congolese heritage coloured by soukous and rumba. Get practising your ndombolo dance steps, you’re going to want to join in!

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blues / bossa nova / Brésil / jazz

FIJM | Dianne Reeves et Romero Lubambo: un duo intime de virtuoses

par Michel Labrecque

Dianne Reeves n’est plus la saveur jazz du mois. Son dernier album solo remonte à 2014. Cette année, on ne parle que de Samara Joy, avec raison. Mais la chanteuse qui a multiplié les prix Grammys dans les années 90 et 2000 a encore des choses à chanter. Elle nous en a fait une démonstration convaincante, dans un duo avec le guitariste d’origine brésilienne Romero Lubambo. 

Par un hasard absolu, j’assiste depuis deux semaines, à une succession de concerts intimes dans l’immense Place des Arts : Alain Souchon et ses fils, la Mexicaine Natalia Lafourcade en solo et maintenant ce duo américain-brésilien. C’est comme se retrouver dans un salon…quand même immense, mais, dans tous ces cas, ça a fait mouche avec moi.

Dianne Reeves et son complice à la guitare classique ont commencé par une réinterprétation totale de la pièce rock fétiche Dreams de Fleetwood Mac. Nous avons rapidement compris que ces deux personnes se complètent à merveille. Cette voix qui gravit trois octaves, qui skatte, qui médite, qui chuchote, qui crie, s’entremêle avec les notes de guitares, qui s’inspirent autant du jazz que de la bossa nova ou du blues.

Une grande admiratrice de Dianne Reeves, rencontrée par hasard, m’a confié qu’elle ne chantait jamais une chanson de façon identique. Quant à ce Romero Lubambo, c’est un guitariste émérite et inventif. 

Ce concert était indubitablement marqué par le Brésil, alors que nous avons entendu des versions de Egberto Gismonti, Carlos Lyra, Antonio Carlos Jobim et …Minuano de Pat Metheny. Pour le reste, c’était du gressin, du Miles Davis et du McCoy Tyner, assaisonné de deux compositions de Madame Reeves: Tango et Nine.

Dianne Reeves nous a aussi partagé des tranches de vie personnelles et a terminé sur une note politique, en partageant son inquiétude sur la situation dans son pays ainsi que son amour pour le Canada et les Canadiens. À la fin, la grande majorité des 800 spectateurs fredonnait un blues avec elle, manifestement contente.

Aujourd’hui âgée de bientôt 69 ans, la chanteuse ne semble pas avoir envie de se taire. Elle fera paraître bientôt un disque avec Romero Lubambo et participera à un album avec Branford Marsalis, pour commémorer le centenaire de la naissance de John Coltrane. 

Ne me dites surtout pas que 69 ans c’est vieux. J’atteindrai cet âge dans quelques jours…

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blues-rock / boogie-rock / rock n' roll

Festival International de Jazz de Montréal : George Thorogood & the Destroyers au MTelus

par Rédaction PAN M 360

Guitariste de blues-rock inspiré par Elmore James, Hound Dog Taylor et Chuck Berry, George Thorogood n’a jamais gagné beaucoup de respect de la part des puristes du blues, mais il est devenu un favori populaire au début des années 80 grâce à une exposition répétée à la radio FM et sur le circuit du rock de stade. La musique de Thorogood était toujours bruyante, simple et directe — ses riffs et ses licks étaient tirés directement du blues de Chicago des années 50 et du rock & roll — mais son approche formule lui a permis de se constituer un large public dans les années 80, période où ses albums atteignaient régulièrement le statut d’or.

A blues-rock guitarist who draws his inspiration from Elmore James, Hound Dog Taylor, and Chuck Berry, George Thorogood never earned much respect from blues purists, but he became a popular favorite in the early ’80s through repeated exposure on FM radio and the arena rock circuit. Thorogood’s music was always loud, simple, and direct — his riffs and licks were taken straight out of ’50s Chicago blues and rock & roll — but his formulaic approach helped him gain a rather large audience in the ’80s, when his albums regularly went gold.

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bluegrass / boogie-rock / folk

Festival International de Jazz de Montréal : Tommy Emmanuel au Théâtre Maisonneuve

par Rédaction PAN M 360

Auteur-compositeur et interprète, Tommy Emmanuel est un creuset d’influences de tous les genres, de la pop au bluegrass et du jazz au rock n’ roll. Pour lui, la musique est faite de rythme et d’émotion, toutes les autres distinctions n’ont pas de sens.
Le légendaire artiste qui a ébloui les publics du monde entier, a reçu un Grammy Award, plusieurs ARIA Awards et d’innombrables récompenses, mais rien ne signifie plus pour lui que les trois lettres que Chet Atkins a placées à la fin de son nom : C.G.P. Le titre de Certified Guitar Player était le plus grand honneur qu’Atkins pouvait accorder à un autre guitariste – un signe que le récipiendaire avait non seulement maîtrisé l’instrument, mais qu’il l’avait emmené vers de nouveaux horizons et qu’il était devenu un guide pour la prochaine génération de guitaristes.
Tous ceux qui ont vu Tommy jouer vous le diront : le chanteur est là, tout comme le batteur, le bassiste, le guitariste rythmique et le guitariste principal. D’une manière qu’il faut souvent voir pour le croire, Tommy joue simultanément toutes les parties d’un groupe complet, ses doigts dansant sur le manche avec une dextérité et une rapidité qui sembleraient impossibles si l’on n’en était pas témoin.
La détermination de Tommy à divertir et à émouvoir le public grâce au pouvoir de la musique reste intacte alors qu’il approche de sa septième décennie en tant qu’artiste.

Songwriter and a performer, Tommy Emmanuel is a melting pot of influences across genres, form pop to bluegrass and jazz to rock n’ roll. To him, music is rhythm and emotion, all other distinctions are meaningless.
The legendary entertainer has dazzled audiences across the world. Tommy has a Grammy Award, multiple ARIA Awards and countless accolades, but nothing means more to Tommy than the three letters Chet Atkins designated at the end of Tommy’s name: C.G.P. The title of Certified Guitar Player was the highest honor Atkins could bestow on another player – a signifier that the recipient had not only mastered the instrument but taken it to new vistas and become a guiding light for the next generation of pickers.
Anyone who has seen Tommy play will tell you, the vocalist is there, as is the drummer, the bass player and the rhythm and lead guitarists. In a way that must often be seen to be believed, Tommy plays all the parts of a full band simultaneously, his fingers dancing around the fretboard with a dexterity and speed that would seem impossible if you weren’t witnessing it.
Tommy’s determination to entertain and move audiences through the power of music, remains undimmed as he closes in on his seventh decade as a performer. 

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folk-punk / post-punk / rock alternatif

Festival International de Jazz de Montréal : Violent Femmes à la salle Wilfrid-Pelletier

par Rédaction PAN M 360

Violent Femmes s’est formé en 1981 en tant que groupe punk acoustique jouant dans les rues de Milwaukee, dans le Wisconsin. Leurs principales influences à l’époque étaient Gene Vincent and the Blue Caps et The Velvet Underground. Leur objectif est de faire du rock plus fort que n’importe quel autre groupe acoustique de la planète.
Une critique élogieuse dans le New York Times leur a permis de signer un contrat d’enregistrement, ce qui a donné lieu à des tournées dans le monde entier. Le premier album éponyme de Violent Femmes est devenu le premier et le seul album de l’histoire du Billboard à entrer dans les charts avec une certification de platine, huit ans après sa sortie. Au cours des trois décennies suivantes, les Femmes sont devenues un pilier des festivals, des clubs et des théâtres dans plus de 20 pays à travers le monde. L’émission Unplugged de MTV a été inspirée par les Femmes, bien qu’elles n’y aient jamais participé. 
Leur son brut et leur perspective lyrique honnête ont été cités comme une influence par des artistes aussi divers que Pink, Keith Urban, The Smiths, The Pixies, John Cusack, Mark Morris et Wim Wenders. Plus de 40 ans après le début de leur carrière, les Violent Femmes continuent d’attirer un jeune public lors de leurs tournées, de créer une musique durable et d’inspirer des personnes de tous âges.

Violent Femmes formed in 1981 as an acoustic punk band playing on the streets of Milwaukee, Wisconsin. Their main influences at that time were Gene Vincent and the Blue Caps and The Velvet Underground. Their goal was to rock harder than any other acoustic act on the planet. After being rejected for an audition by a local nightclub, the Femmes set up outside a Pretenders gig and began to play.
A rave review in the New York Times eventually led to a record deal, which in turn spawned worldwide touring. Violent Femmes eponymous debut album became the first and only album in Billboard history to enter the charts with a platinum certification- eight years after its release.
Over the ensuing three decades, the Femmes became a mainstay of festivals, clubs, and theaters in more than 20 countries worldwide. MTV’s Unplugged show was inspired by the Femmes, although they never actually appeared on it. Their raw sound and honest lyrical perspective has been cited as an influence by artists as diverse as Pink, Keith Urban, The Smiths, The Pixies, John Cusack, Mark Morris, and Wim Wenders. More than 40 years into their careers, Violent Femmes continue to attract young audiences on tour, create lasting music, and inspire people of all ages.

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hommage / jazz

Festival International de Jazz de Montréal | Gala du centenaire d’Oscar Peterson – Canadiana Suite à la Maison symphonique

par Rédaction PAN M 360

Gala du centenaire d’Oscar Peterson : Canadiana Suite, avec l’Oscar Peterson Centennial Quartet et Jazz Orchestra sous la direction de John Clayton.
Dans le même édifice où le grand Oscar Peterson a donné son dernier concert inoubliable à Montréal, 21 ans plus tard, le Festival International de Jazz de Montréal et les coproducteurs Jim Doxas et Céline Peterson commémoreront fièrement le 100e anniversaire de Peterson avec une soirée de musique célébrant la carrière de près de sept décennies de l’un des trésors nationaux les plus aimés du Canada.
L’Oscar Peterson Centennial Quartet – Robi Botos, Mike Downes, Jocelyn Gould et Jim Doxas – ouvrira la soirée avec des sélections tirées du vaste catalogue de musique originale de Peterson, ainsi que quelques standards de jazz que les fans d’OP écoutent depuis des décennies. Après cette prestation, l’OPCQ sera rejoint par l’Oscar Peterson Centennial Jazz Orchestra et son directeur invité spécial, le bassiste, compositeur, arrangeur et chef d’orchestre John Clayton, lauréat d’un GRAMMY. La Maison symphonique sera ensuite remplie des sons de la bien-aimée Canadiana Suite de Peterson (arrangée par John Clayton), qui célèbre elle-même son 60e anniversaire cette année.
La soirée se terminera par un concert final très spécial et la remise du prix Oscar Peterson de cette année par Céline Peterson et un invité surprise.

Oscar Peterson Centennial Gala: Canadiana Suite, featuring the Oscar Peterson Centennial Quartet & Jazz Orchestra, directed by John Clayton.
In the same building where the great Oscar Peterson performed his last unforgettable concert in Montreal, 21 years later, the Festival International de Jazz de Montréal and co-producers Jim Doxas and Céline Peterson will proudly commemorate the occasion of Peterson’s 100th birthday with a full evening of music celebrating the nearly 7-decade career of one of Canada’s most beloved national treasures.
Featuring a performance from the Oscar Peterson Centennial Quartet — Robi Botos, Mike Downes, Jocelyn Gould, and Jim Doxas — the evening will open with selections from Peterson’s extensive catalogue of original music as well as a few of the jazz standards that OP fans have been listening to for decades. Following this performance, the OPCQ will be joined by the Oscar Peterson Centennial Jazz Orchestra and very special guest director, GRAMMY Award-winning bassist, composer, arranger, and bandleader John Clayton. Maison symphonique will then be filled with the sounds of Peterson’s beloved Canadiana Suite (arr. John Clayton), which itself is celebrating its 60th anniversary this year.
The evening will conclude with a very special finale performance and the presentation of this year’s Oscar Peterson Award from Céline Peterson and a surprise guest.

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blues / pop / rock alternatif

Festival International de Jazz de Montréal : Mon Laferte à la salle Wilfrid-Pelletier

par Rédaction PAN M 360

En Norma Monserrat Bustamante Laferte vit aussi l’auteure-compositrice-interprète et artiste visuelle latino-américaine Mon Laferte. Une créatrice qui, dans sa musique, évolue naturellement dans une grande variété de genres.
Des influences musicales qu’elle cultive depuis son adolescence dans sa ville natale de Viña del Mar, à ce qu’elle a appris du Mexique, sa seconde patrie depuis 2007, où elle a sorti ses premiers albums de manière indépendante.
Elle compte à ce jour huit albums qui sont le résultat de l’expérimentation et du dépassement de la peur de l’essai et de l’erreur. Tout au long de sa carrière, Mon s’est produite sur des scènes importantes telles que Coachella, Vive Latino, Viña del Mar, Walt Disney Concert Hall, Hollywood Bowl, Lincoln Center, Movistar Arena Chile, Movistar Arena Argentina et l’Auditorio Nacional de Mexico, pour n’en citer que quelques-unes. Elle a obtenu quatre nominations aux Latin GRAMMY® et deux aux GRAMMY®. En vendant des millions d’albums dans le monde entier, Mon Laferte s’est déjà imposée comme l’une des plus importantes auteures-compositrices-interprètes.

Inside Norma Monserrat Bustamante Laferte also lives the Latin American singer-songwriter and visual artist Mon Laferte. A creator who, in her music, moves naturally in a wide variety of genres.
From musical influences that she cultivated since she was a teenager in her native Viña del Mar, to what she has learned from Mexico, her second home since 2007, where she released her first albums independently.
She has eight albums to date which are the result of experimentation and overcoming the fear of trial and error. Throughout her career, Mon has performed at major venues such as Coachella, Vive Latino, Viña del Mar, Walt Disney Concert Hall, Hollywood Bowl, Lincoln Center, Movistar Arena Chile, Movistar Arena Argentina and the Auditorio Nacional in Mexico City, to name a few. She has earned four Latin GRAMMY® and two GRAMMY® nominations. Selling millions of albums worldwide, Mon Laferte has already established herself as one of the most important singer-songwriters.

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dark-rave / DJ set / techno

SAT : Dômesicle x Homegrown — Matrixxman (US) • Quan (live) • Dileta

par Rédaction PAN M 360

Un Dômesicle en forme de rave signé Homegrown avec Matrixxman, référence des nouvelles heures de la techno, accompagné de Quan, live profesh, et Dileta, résidente du collectif. Boom boom boom boom boom.

A rave-style Domesicle brought to you by Homegrown, featuring Matrixxman—a key figure in the new era of techno—alongside Quan with a pro-level live set, and Dileta, a resident of the collective. Boom boom boom boom boom.

Matrixxman

Alors que la scène techno américaine s’est raréfiée ces dernières années, Charles Duff, alias Matrixxman, s’impose comme une figure incontournable. Son univers sonore, froid et mécanisé, conserve pourtant une chaleur subtile et harmonieuse. Sa musique incarne une étincelle d’humanité dans un monde en marche vers l’automatisation et la singularité technologique. Joué par des figures comme DVS1, Rødhåd, Jeff Mills, Ben Klock, Richie Hawtin ou Levon Vincent, il a également été remixé par des légendes telles que Larry Heard, Silent Servant et The Hieroglyphic Being. Après une série remarquée d’EPs sur Dekmantel, Planet Rhythm et Delft, il sort son premier album chez Ghostly International en 2015.

Amid a scarcity of US techno producers in recent years, Charles Duff, also known as Matrixxman, has emerged as a new force. His sound tends to be cold and mechanised yet still retains an element of warmth and soul. His music is a lone spark of instantiated humanity amid the march toward automata and technological singularity. His music has been played by the likes of DVS1, Rødhåd, Jeff Mills, Ben Klock, Richie Hawtin, and Levon Vincent, and remixed by Larry Heard, Silent Servant, and The Hieroglyphic Being. After a steady output of EPs on labels like Dekmantel, Planet Rhythm, and Delft, he released his first full-length album on Ghostly International in 2015.

Quan

Quan est un producteur de musique électronique vietnamien basé à Montréal depuis 2018. Ancien DJ résident au Savage à Hanoï et directeur technique du festival Equation, il a joué un rôle important dans le développement de la scène électronique vietnamienne et asiatique en général. En 2017, il devient le premier artiste vietnamien à se produire pour Boiler Room Vietnam et entame une tournée à travers l’Asie avec son live set entièrement joué sur du matériel hardware. Installé au Canada, il fonde Quanalog Instruments, une entreprise spécialisée dans la fabrication de synthétiseurs modulaires. Il fait ses débuts au festival MUTEK Montréal, avec lequel il collabore depuis. En 2022, il présente son système personnalisé au salon Superbooth à Berlin, puis donne son premier live européen au mythique Berghain.

Quan is a Vietnamese electronic music producer based in Montreal since 2018. Formerly a resident DJ at Savage in Hanoi and technical manager for Equation festival, significantly contributing to the development of the Vietnamese and broader Asian electronic music scene. He was the first Vietnamese artist at Boiler Room Vietnam in 2017 and toured across Asia with his live hardware set. In Canada, he founded Quanalog Instruments, crafting modular synths. He debuted at MUTEK Montreal and has since collaborated with the festival. In 2022, he showcased his custom system at Superbooth Berlin and performed his European debut live set at Berghain.

Dileta

Dileta est un·e DJ résdent·e de Homegrown Harvest depuis 2019 reconnu·e pour son style à la fois atmosphérique, explosif et imprévisible, joignant d’innombrables sous-genres et époques de musique bass et techno en une structure complexe en constante évolution. Iel a fait ses preuves en ouverture ou fermeture pour des artistes visionnaires tels que DJ Stingray, Objekt, LCY, Batu, re:ni, Mor Elian, Ploy, Darwin, Martyn, Ayesha, Ben UFO, Overland et Nikki Nair, ainsi que dans des sets b2b mémorables avec des légendes locales comme Anabasine, Honeydrip et Lis Dalton.

Resident DJ at the Homegrown Harvest parties since 2019, Dileta is known for their atmospheric, explosive and unpredictable style, fusing numerous subgenres and eras of bass music and techno into an intricate structure in constant flux. They made their mark opening or closing for forward thinking artists like DJ Stingray, Objekt, LCY, Batu, re:ni, Mor Elian, Ploy, Darwin, Martyn, Ayesha, Ben UFO, Overland and Nikki Nair, as well as in memorable b2b sets with local legends like Anabasine, Honeydrip and Lis Dalton.

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jazz

FIJM | Stella Cole: de Tik Tok aux plus grandes scènes de jazz

par Sandra Gasana

Pour sa première participation au Festival international de Jazz de Montréal, Stella Cole est venue accompagnée de son contrebassiste, son batteur et son pianiste, tous aussi talentueux les uns que les autres. C’est devant un Studio TD rempli à craquer que l’Américaine basée à New York est apparue toute vêtue de rouge.

Après un premier morceau uniquement instrumental, elle est arrivée sur la scène et d’emblée, a présenté son pianiste dès la première chanson, puis les autres musiciens à la 3e et 4e chanson. Elle donne de l’espace à ses musiciens, quasiment dans chaque chanson, pour faire leurs solos respectifs alors qu’elle maitrise parfaitement sa voix.

“C’est ma première fois à Montréal, je n’ai pas vu grand-chose de la ville encore mais j’ai toute la journée demain, alors si vous avez des recommandations, je suis preneuse », nous avise-t-elle, entre deux chansons.

Celle qui a eu la piqure pour la musique grâce aux films, notamment Le magicien d’Oz dont elle était obsédée à l’âge de 3 ans, aime interpréter les plus grands classiques de jazz. On a parfois l’impression de faire un voyage musical dans le temps, dans le New York des années 60 ou 70, tellement sa voix rappelle les artistes de cette époque. Elle reprend notamment Singing in the rain, It’s magic, ou encore Cry Me a River, avec brio, avec les instruments communiquant entre eux parfois.

Son deuxième album It’s Magic doit paraitre à la fin de l’été mais elle nous a tout de même fait découvrir un des morceaux de ce dernier, sorti la veille du spectacle, Till There Was You, sous Decca Records.

Le jeu d’éclairage semblait très bien s’allier avec sa tenue rouge, passant du rouge au bleu, selon les chansons et l’ambiance. Elle fait allusion au film Casablanca, qui a marqué sa jeunesse, mais mon moment préféré est lors de son interprétation de I must have done something good.

« Mais j’ai envie de déménager ici », plaisante-t-elle, après qu’un spectateur lui ait offert un bouquet de fleurs après la 2ème chanson. Bon, j’avoue que son interprétation de Perhaps, était remarquable. Cela dit, elle ne bouge pas beaucoup sur scène, sauf pour laisser ses musiciens briller lorsqu’elle se met un peu de côté, mais à part ça, elle semble quelque peu timide.

Une chose est sûre : cette jeune femme brune au sourire contagieux a su charmer le public montréalais, dont plusieurs festivaliers ont fait la file longtemps pour accéder au Studio TD gratuitement.

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alt-rock / ska

Festival International de Jazz de Montréal : The Cat Empire au MTelus

par Rédaction PAN M 360

Le groupe australien plein d’énergie, The Cat Empire, s’est distingué en incorporant et en imitant une multitude de styles, dont le ska, le rocksteady, le jazz latin, le funk, l’afrobeat et le hip-hop. Ils se sont d’abord imposés comme un groupe de scène avant de sortir leur premier album éponyme en 2003, et depuis, leurs albums studio ont régulièrement atteint les sommets des classements ARIA, avec des hits numéro un comme Two Shoes (2005) et Rising with the Sun (2016). Animés par un turntabliste, une section de cuivres et des danseurs, leurs performances ont été documentées à travers une série de sorties live, notamment Live on Earth (2009), un double album enregistré lors de concerts à travers le monde. Le groupe de longue date a célébré ses 20 ans d’activité avec la sortie de Stolen Diamonds (2019), leur sixième album à entrer dans le Top Ten ARIA.

High-spirited Australian band the Cat Empire have set themselves apart by incorporating and emulating a multitude of styles including ska, rocksteady, Latin jazz, funk, Afrobeat, and hip-hop. They established themselves as a live act before they released their self-titled debut album (2003), and since then have regularly hit the upper reaches of the ARIA chart with their studio albums, including the number one hits Two Shoes (2005) and Rising with the Sun (2016). Enlivened by a turntablist, horn section, and dancers, their performances have been documented on a series of secondary live releases, most notably the double-length Live on Earth (2009), drawn from gigs across the planet. The long-running band celebrated 20 years of activity with the release of Stolen Diamonds (2019), their sixth album to debut within the ARIA Top Ten.

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afro-latin / hip-hop / jazz contemporain / jazz groove

FIJM | New Jazz Underground

par Rédaction PAN M 360

Le trio américain New Jazz Underground a été décrit comme « un collectif innovant et ultra créatif qui s’efforce de s’imposer comme une voix déterminante pour le genre du jazz et au-delà ». Leur musique est une fusion des sensibilités traditionnelles du jazz, telles que le blues, le swing et l’improvisation, avec l’influence moderne du hip-hop, de la pop et de la musique afro-latino. Les auditeurs ont découvert le son indéniablement frais du trio grâce à des vidéos virales montrant le groupe en train de jouer dans leur salon. Des centaines de milliers de personnes ont visionné des vidéos telles que : « they can hate but we still swingin’ », « fk/st/c**t/jazz », « sad boy jazz », ainsi que de nombreuses autres vidéos mettant en scène l’alchimie exubérante du groupe, sa musicalité sans effort et son ambition sonore brute. Abdias Armenteros (saxophoniste et compositeur, 25 ans), Sebastian Rios (bassiste et compositeur, 27 ans) et TJ Reddick (batteur, 25 ans) ont tous été reconnus comme les jeunes artistes les plus prometteurs du jazz.

New Jazz Underground , an American trio, have been described as “an innovative and ultra creative collective striving to establish themselves as a defining voice for the genre of Jazz and beyond”. Their music signals a merging of traditional sensibilities in Jazz such as the blues, swing, and improvisation with the modern influence of hip-hop, pop, and afro-latino music. Listeners were introduced to the trio’s undeniably fresh sound through viral videos of the band performing in their living room. Hundreds of thousands viewed videos such as: “they can hate but we still swingin’”, “f**k/s**t/c**t/jazz”, “sad boy jazz”, as well as many others featuring the band’s exuberant chemistry, effortless musicality, and raw ambition in sound. Abdias Armenteros (Saxophonist/Composer, 25), Sebastian Rios (Bassist/Composer, 27), TJ Reddick (Drummer, 25) have each been lauded as some of Jazz’s most promising young artists in their own right.

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jazz moderne

FIJM | Dianne Reeves

par Rédaction PAN M 360

Dianne Reeves est une chanteuse de jazz très appréciée, née le 23 octobre 1956 à Détroit, Michigan, et élevée à Denver, Colorado. Issue d’une famille de musiciens, elle a été initiée au jazz par son oncle, Charles Burrell, un bassiste. elle est aussi la nièce de feu le claviériste George Duke. Reeves est connue pour sa voix puissante et agile, ses talents d’improvisatrice et sa capacité à mélanger le jazz avec le R&B, la musique brésileinne et d’autres genres.

Dianne Reeves is a highly acclaimed jazz vocalist, born on October 23, 1956, in Detroit, Michigan, and raised in Denver, Colorado. She comes from a musical family and was introduced to jazz by her uncle, Charles Burrell, a bassist. Reeves is known for her powerful, agile voice, improvisational skills, and ability to blend jazz with R&B, Brazilian, and other genres.

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