baroque

I Gemelli à Montréal : l’un des grands concerts de l’année!

par Frédéric Cardin

C’est l’une des plus belles soirées de musique que j’ai entendue cette année. Si un prix Opus pouvait être décerné au meilleur concert à Montréal par un organisme étranger, I Gemelli à la salle Bourgie mercredi soir dernier (le 22 novembre) serait dans les finalistes. I Gemelli est un ensemble porté par Emiliano Gonzalez Toro, ténor au registre large (un baryténor, en fait) et à la présence scénique aisée, dynamique et plus que sympathique. Sur scène, un autre ténor, Zachary Wilder, plus léger et lumineux, mais tout aussi techniquement et expressivement impressionnant. Pour ce concert d’airs baroques italiens (essentiellement, le programme de leur album A Room of Mirrors), ils étaient accompagnés avec un souffle vital enlevant par un violoncelle baroque, une viole de gambe, deux violons, un clavecin, une harpe, un théorbe ou une guitare baroque (le musicien changeait en fonction de la pièce) et un archiluth, soit l’ensemble I Gemelli.

Vous dire que c’était bon est par trop générique. Appelez ça comme vous voudrez, la mayo qui prend, le courant qui passe, un coup de circuit à chaque ‘’toune’’ ou presque, bref, ce fut mémorable. Premièrement parce que les musiciens et musiciennes sont tous bons, très bons. Les deux ténors se démarquent fortement, car souvent en vedette dans ce répertoire majoritairement vocal. Comme les miroirs du titre de l’album éponyme, tous deux sont capables des plus exquises subtilités en triple pianissimo (dans l’aigu svp (!), mais surprennent quand même dans leur complémentarité, évitant ainsi le double emploi. Les instrumentistes sont au sommet d’un art désormais bien maîtrisé, le baroque historique, mais ils semblent l’avoir élevé d’un nouveau cran en perfection technique et en affects authentiques. La sonorité d’ensemble de ces Gemelli est finement graduée et balancée, démontrant une écoute collective d’une remarquable cohérence.

Et puis le programme, parlons-en. J’en ai parlé un tout petit peu, mais il faut quand même souligner l’audace de se présenter pour la première fois dans une ville avec une affiche sans aucun véritable nom ‘’vendeur’’! Pas de Vivaldi, pas de Bach, même pas Corelli. Non, juste des Falconieri, d’India, Marini, Castelani, et autres grands de leur époque, mais reclus dans l’ombre désormais. Et pourtant, je pense que peu d’autres rendez-vous avec de plus éminents ‘’célèbres’’ auraient été plus satisfaisant. Ce que l’on a entendu était de l’ordre de la grande inspiration, avec des mélodies fortes et des compositions fines et tour à tour vivifiantes ou poignantes. Un festin du début à la fin.

Mais le véritable supplément d’âme de ce concert mémorable, c’est celui que les musiciens eux-mêmes ont apporté sur scène. Des artistes qui ont du plaisir à jouer ensemble et le montrent clairement, n’est-ce pas, en fin de compte, un excellent signe? Puis, Toro lui-même (secondé efficacement par Wilder) qui ose ce que peu d’Européens font encore, surtout ceux d’un très haut niveau comme ceux-ci : s’adresser directement au public, tout au long du concert. Une communication fluide, sympathique mais sans cabotinage, informative mais aucunement académique. On met dans l’ambiance, mais on ne fait pas du velouté racoleur, on s’amuse, mais avec un respect certain de l’intelligence des auditeurs. 

Et croyez-moi, le public a grandement apprécié. Après le concert, les musiciens se sont précipités dans le lobby de la salle pour parler au public et vendre quelques albums. Il y avait foule autour de la table et, si je ne m’abuse, la boîte bien remplie s’est vidée en un rien de temps. Même le très beau coffret d’Il ritorno d’Ulisse in patria de Monteverdi, récemment sorti, un objet de 60 $, s’est envolé. J’ai en ai eu un exemplaire, signé et aimablement octroyé par Toro lui-même. Le monsieur (c’est moi ça) est content.

Ces gens savent se faire des amis et ils nous ont donné de bien bonnes raisons de les réinviter. 

classique / expérimental / contemporain

Faculté de musique U de M | Voix, timbre(s), identité(s)

par Rédaction PAN M 360

Dans le milieu en constante évolution de la recherche et de la performance musicales, le timbre est souvent vu comme une empreinte unique caractérisant chaque interprète ou instrument. Toutefois, des études récentes mettent en lumière les limites de cette conception essentialiste, soulignant que le timbre est plutôt un produit de la pratique performative, du contexte musical et culturel. Ainsi, le timbre, bien qu’expressif, n’est pas une entité isomorphe à l’identité, mais un véhicule capable de communiquer diverses identités, qu’elles soient authentiques ou construites. 


L’événement ‘Voix, timbre(s), identités(s)’ aborde cette complexité sous des angles multiples: culturels, genrés, historiques, et stylistiques. Au-delà des questions musicologiques et philosophiques, les conférenciers exploreront les implications créatives et pédagogiques, particulièrement en musique vocale et opératique. Ils s’intéresseront au style et à la technique du chant lyrique, ainsi qu’à l’impact de la diversité timbrale dans l’opéra, notamment sous les angles culturels et identitaires.

Animée par Patrick Giguère et Kit Soden, cette activité est présentée en collaboration avec la Chaire de recherche du Canada en création d’opéra de l’Université de Montréal et s’inscrit aussi dans le cadre de la série d’événements Place à la recherche-création, issue d’une collaboration entre le Laboratoire d’innovation de l’Université de Montréal et de Campus vivant.

Participantes et participants :

Sara Albu (chanteuse, expérimentation et création d’opéras contemporains)

Corinne Cardinal (chanteuse classique et métal, chercheuse sur la voix gutturale)

Jean-François Daigneault (contre-ténor, spécialiste des musique ancienne, musique contemporaine),

Patrick Giguère (compositeur) 

Elham Manouchehri (chanteuse spécialisée en musique perse)

J.Marchand Knight (chanteuse, pédagogue, chercheuse sur le timbre et la perception du genre)

Kit Soden (compositeur, recherche sur le timbre instrumental et vocal) 

Déroulement :

15 h – Patrick Giguère – Mot de bienvenue, introduction

15 h 10 – Kit Soden – Présentation «Au-delà de la couleur sonore : Élargir le vocabulaire de l’analyse timbrale pour décoder les identités dans la musique»

15 h 40 – J. Marchand Knight – Présentation «Timbre vocal, biais visuel et trope de Carmen»

16 h – Corinne Cardinal – Présentation «Les méchanismes de la voix gutturale» 

16 h 20 – Pause

16 h 30 – Table ronde animée par Patrick Giguère et Kit Soden, avec Elham Manouchehri, Sarah Albu, Jean-François Daigneault, Corinne Cardinal et J. Marchand Knight

17 h 40 – Questions du public

18 h – Fin

CE CONTENU PROVIENT DE LA FACULTÉ DE MUSIQUE DE L’UNIVERSITÉ DE MONTRÉAL ET EST ADAPTÉ PAR PAN M 360

INFOS ET PLACES ICI

classique

Trio Fibonacci – Les grands romantiques à la Salle Bourgie

par Rédaction PAN M 360

Parcourez le XIXe siècle en compagnie de trois de ses illustres représentants. Chopin, de la première génération des romantiques, se distingue avec son premier et unique trio teinté de poésie et de rythmes dansants. Charriant à la fois la fougue de sa jeunesse tout en laissant entrevoir la profondeur de son œuvre à venir. On reste ensuite dans l’élégance d’un salon français avec la musique de Cécile Chaminade. La compositrice, dont cette pièce allait établir la réputation, fascine en effet par son lyrisme touchant de sincérité qui mêle l’intime au grandiose. Outre-Rhin, Brahms écrivait à la même époque un de ses grands chefs-d’œuvre crépusculaires. Son Trio n° 3, d’une expressivité émouvante, dévoile en effet le monde sentimental et passionné de celui qui deviendrait le plus universel des grands romantiques.

Take a journey through the 19th century with three of its most illustrious representatives. Chopin, from the first generation of the Romantics, stands out with his first and only trio, filled with poetry and dancing rhythms. It conveys both the ardour of his youth and offers a glimpse of the depth of his work to come. The music of Cécile Chaminade evokes the elegance of the French salons. This composer, whose reputation this piece was to establish, fascinates us with her touchingly sincere lyricism, which combines the intimate with the grandiose. At the same time, across the Rhine, Brahms was writing one of his great twilight masterpieces. His movingly expressive Trio No. 3 reveals the sentimental and passionate world of the man who would become the most universal of the great romantics.

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Ce contenu provient de la Salle Bourgie et est adapté par PAN M 360.

Piano

Marianne Trudel rend hommage à Antonio Carlos Jobim au Upstairs

par Rédaction PAN M 360

Marianne Trudel est une pianiste, compositrice, improvisatrice et arrangeuse aux multiples talents. À la fois énergique et passionnée, sa musique recoupe un large éventail d’intérêts musicaux.

En tant qu’interprète, elle poursuit une carrière active dans une variété de contextes allant du solo au duo, Trifolia, Marianne Trudel 4 + Ingrid Jensen, au septet et aux grands ensembles. Elle a joué au Canada, aux Etats-Unis, au Mexique, en France, en Espagne, en Allemagne, en Angleterre, en Ecosse, aux Pays-Bas, en Italie, en Hongrie, en Lituanie et en Chine. Elle a publié 6 enregistrements en tant que leader, qui ont tous reçu des critiques élogieuses.

Marianne Trudel is a multi-talented pianist, composer, improvisor, and arranger. At once energetic and passionate, her music cross-cuts a wide swath of musical interests.

As a performer, she pursues an active career in a variety of settings ranging from solo performance to duo, Trifolia, Marianne Trudel 4 + Ingrid Jensen, septet, and large ensembles. She has played in Canada, United States, Mexico, France, Spain, Germany, England, Scotland, Netherlands, Itlaly, Hungary, Lithuania, and China. She has published 6 recordings as a leader, all having garnered rave reviews.

RÉSERVATIONS PAR TÉLÉPHONE AU 514-931-6808

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scandinave / trad québécois

Mundial Montréal au Centre des musiciens du monde : Tous au Nord, à l’Est et à l’Ouest!

par Frédéric Cardin

Vendredi 17 novembre dernier avait lieu au Centre des musiciens du monde à Montréal (CMM) un concert en partenariat avec le festival Mundial Montréal. C’est la deuxième année que cette relation se manifeste entre le CMM et l’événement showcase, et elle a déjà démontré toute sa pertinence. D’abord par la qualité exceptionnelle des artistes qui sont invités à s’exprimer à l’église Saint-Enfant Jésus du Mile-End (la salle attitrée à la plupart des concerts du CMM), puis la réjouissante différence du type de musique offert lors de ces concerts en comparaison de ceux du Mundial.

Au CMM, les artistes nous ont offert des rencontres interculturelles (c’est le principe de base du Centre) dont le résultat est souvent d’un nouveau intellectuel et musical plus savant et raffiné que pour Mundial. Alors que ce dernier favorise les groupes qui ont une énergie et une portée plus près de la pop (sans se conformer à ce style précisément), le CMM cherche à transcender les différences avec des propositions musicales qui s’appuient souvent sur des recherches poussées. 

Par exemple, en première partie du concert de vendredi, le duo composé des chanteuses traditionnelles Maling Thunell (de Suède) et Jessica Paradis (du Québec) a présenté le résultat d’une résidence de création lors de laquelle les deux artistes ont comparé puis réuni des chants aux résonances similaires issus des deux terroirs folkloriques. Sur scène, les deux jeunes dames s’accompagnent soit d’une harpe, d’un harmonium, d’un accordéon tout en chantant et s’échangeant des parties de mélodies et de textes qui ont des racines similaires. De la Suède au Québec, le public très attentif a reçu de façon très agréable une sorte de cours d’ethnologie du folklore 101. Les voix des deux artistes sont superbes, de l’ordre du chant étudié de musique ancienne. Surtout, elles se superposent de façon complémentaire, celle de Thunell un beau soprano lumineux et celle de Paradis plus près d’un mezzo. Souvent, les versions des chansons (la suédoise et la québécoise) s’embrassaient dans un riche contrepoint parfaitement bien équilibré. La rencontre intitulée Paysages nordiques mérite entièrement d’être présentée partout au Québec, mais aussi en Suède bien entendu. Beau, touchant et enrichissant. On s’en souviendra.

Maling Thunell solo : 

Jessica Paradis : 

La deuxième partie du concert présentait le duo CelloGayageum. Cello pour violoncelle bien entendu (joué par un Autrichien d’origine coréenne Sol Daniel Kim) et gayageum pour l’instrument coréen du même nom, un cousin du koto japonais (joué par la Coréenne Dayoung Yoon). La rencontre ici proposée se fait entre l’art musical traditionnel coréen et l’art classique occidental, dans un ensemble de pièces originales (le répertoire existant pour ce genre d’instruments étant inexistant) qui offre des aventures sonores assez accessibles, et surtout ludiques. Le caractère ici exprimé est résolument moins savant et sophistiqué que celui de Paysages nordiques, mais la rencontre réussit néanmoins à créer de belles étincelles et à plaire abondamment au public présent. 

Cellogayageum :

 

Mundial Montréal nous offre constamment de belles découvertes en musique world globalisée, dans une optique orientée vers le marché des festivals a rassemblements grands publics. Ce qu’apporte le Centre des musiciens du monde à cette dynamique, c’est une orientation de marché plus niché, mais ô combien important et essentiel dans notre enrichissement interculturel collectif. 

jazz

5 à 7 jazz à la Place des Arts

par Rédaction PAN M 360

Du 23 au 25 novembre au Salon urbain de la Place des Arts, amorcez votre soirée sur une bonne note en compagnie d’étudiantes et étudiants des programmes d’interprétation jazz de la Faculté de musique de l’Université de Montréal.

En formule cinq à sept, des combos de 5 à 6 musiciens de haut niveau revisitent des standards du jazz en y ajoutant une touche moderne et personnelle. Une belle occasion d’apprécier la virtuosité et le talent de la prochaine génération de musiciennes et musiciens issus de l’UdeM!

At the Salon Urbain at Place des Arts from November 23 to 25, start your evening on the right note with students from the Jazz Performance program at the Université de Montréal’s Faculty of Music.

During these happy hour events, enjoy the sounds of high-calibre combos of 5-6 musicians performing jazz standards with a modern and personal touch. A great opportunity to experience the virtuosity and talent of the emerging generation of musicians from the UdeM!

GRATUIT!

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classique

Ensemble I Gemelli – Airs baroques italiens à la Salle Bourgie

par Rédaction PAN M 360

Dans un dialogue virtuose autour de la vocalité italienne, les ténors Emiliano Gonzalez Toro et Zachary Wilder présentent les plus belles pièces du premier Baroque. Voix et instruments se répondent dans une palette de couleurs et d’expressions richement contrastées. Une « Galerie des glaces » comme réjouissante ode à la gémellité !

Engaging in a masterful dialogue of Italian vocal music, tenors Emiliano Gonzalez Toro and Zachary Wilder present some of the finest works of the early Baroque. Voices and instruments answer each other through a palette of richly contrasting colours and expressions. This “Hall of Mirrors” creates a joyful ode to twinship!

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classique

Voyage sud-américain avec Rafael Payare et Javier Perianes

par Rédaction PAN M 360

L’OSM et Rafael Payare accueillent le pianiste Javier Perianes pour une excursion musicale aux accents sud-américains. Vous explorerez le Brésil de Villa-Lobos avec sa Bachianas no 8 et l’Argentine de Ginastera à travers ses Variations concertantes. Au cœur de ce programme : la création montréalaise d’Ephemerae de López Bellido, un concerto pour piano conçu comme une transposition musicale de divers parfums. Les inflexions hispaniques du Boléro de Ravel compléteront ce programme riche en révélations.

The OSM and Rafael Payare welcome pianist Javier Perianes for a musical excursion to South America. Explore the Brazil of Villa-Lobos in his Bachiana no. 8 and Ginastera’s Argentina through his Variaciones concertantes. At the centre of this program is the Montreal premiere of Ephemerae by López Bellido, a piano concerto conceived as a musical transliteration of various fragrances. The Hispanic inflections of Ravel’s Bolero complete this ear-opening program.

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classique

Spartacus à Montréal

par Rédaction PAN M 360

Vous pourrez apprécier la musique captivante et puissante du compositeur Arménien Aram Kachatourian, dont le 120ème anniversaire est célébré cette année dans le monde entier.

Les morceaux les plus célèbres du fameux ballet Spartacus suivis du concerto pour violon en D mineur, l’un des plus beaux concertos pour violon du 20eme siècle, composé en 1940 pour le légendaire David Oistrakh et qui reste au répertoire des meilleurs violonistes au monde. Le manuscript des Suites pour ballet de Spartacus figure dans le registre du patrimoine mondial des documentaires de l’UNESCO, depuis 2014 a cause de son importance et de sa remarquable valeur universelle. Le soliste qui interpretera le concerto pour violon en D mineur est le brillant violoniste Sergey Khachatryan, l’un des violonistes le plus renommé de sa génération, et lauréat des compétitions Sibelius et Queen Elisabeth (Bruxelles).

La deuxième partie du concert est consacrée au 150ème anniversaire du grand compositeur Sergei Rachmaninoff, qui en son temps, fut considéré comme l’un des prodiges du piano depuis Franz List. L’orchestre National Philharmonique d’Arménie interprétera la Symphonie dramatique no 2 en E mineur, op 27, sous la baguette et la direction artistique de l’éminent musicien arménien Eduard Topchjan

Enjoy the captivating and powerful music of Armenian composer Aram Khachaturian, whose 120th anniversary is celebrated this year world-wide.

Hear the most memorable fragments from the famous Spartacus ballet followed by Violin Concerto in D minor, one of the best violin concertos of the 20th century. Composed in 1940 for the legendary David Oistrakh it remains in the repertoire of the world’s outstanding violinists. The manuscript of the Spartacus Ballet suites was included in the UNESCO World Documentary Heritage Register in 2014 for its significance and outstanding universal value. The soloist of Violin Concerto in D minor is a brilliant violinist Sergey Khachatryan, who is one of the most acclaimed violinists of his generation and winner of the Sibelius Competition and the Queen Elisabeth Competition (Brussels).

The second part of the concert is dedicated to the 150th anniversary of iconic Sergei Rachmaninoff who in his lifetime was considered Europe’s greatest piano prodigy since Franz List. The Armenian National Philharmonic Orchestra performs the dramatically expressive Symphony No. 2 in E minor, Op. 27 led by conductor and Artistic Director Eduard Topchjan, a distinguished Armenian musician.

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rock psychédélique / synth-punk

M pour Montréal : Hippie Hourrah et Alix Fernz

par Rédaction PAN M 360

Hippie Hourrah
S’ils étaient nés au sein de la même famille, on dirait des membres de Hippie Hourrah qu’ils ont toujours été des « enfants spéciaux ». Des cas à part. Trois gloires du Bas-Canada s’envoyant des signaux sonores depuis leur pointe respective du triangle des Bermudes. « Des gars qui font mine de s’en foutre, mais qui démarrent au quart de tour, les riffs à vif, déments et étirables, émis par des guitares sixties ; psyché et mal élevé. Tout pour plaire » – dixit Les Inrockuptibles, après leur performance aux Trans Musicales de Rennes, en Hippie Hourrah est donc surtout (et heureusement pour nous) ungroupe de rock psychédélique. Anachronique, tendance dans le vent.

Alix Fernz
Multi-instrumentiste Alix Fernz, auteur, compositeur et interprète prolifique originaire de Sainte-Thérèse exprime son identité musicale et trouve son inspiration dans les contrastes entre, la pop hypnagogique et la dissonance du post punk. Les sonorités stridentes de la guitare et les accords mélodiques des vieux synthétiseurs, s’unissent et connectent dans une expérience commune de liberté et d’expression.En concert l’harmonie du chaos et les vocals d’Alix ne laisse personne indifférent.

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country / folk-pop

M pour Montréal : Billianne et Alice

par Rédaction PAN M 360

À seulement 20 ans, Billianne a le vent dans les voiles. Meilleur produit musical de Milton, Ontario depuis Deadmau5, elle lance The Things We Talk About, son premier EP, en juillet 2023 et cumule depuis d’enviables succès, notamment des premières parties pour Julia Jacklin et Half Moon Run, mais surtout des chiffres astronomiques sur les différentes plateformes. Près d’un million d’auditeurs mensuels sur Spotify et 600K de followers sur Tiktok acquis à coup de compositions originale et d’un cover de Tina Turner qui aura atteint le deux millions de streams en quelques semaines seulement. Mais outre ses chiffres, ce qui marque surtout chez Billianne à la fin du compte, c’est la douce beauté d’une voix qu’elle maîtrise à la perfection et ses compostions folk nostalgiques aussi simples qu’authentiques.

ALICE, c’est le projet solo d’Alice Tougas (auparavant membre de Canailles), qui s’applique depuis quelques années à transposer ses amours foireux en chansons à l’aide de son Wurlitzer. Épaulée par ses musiciens, cordialement nommés « Les Estis de Boys » (David Marchand, Paul Dawson, Eliott Durocher Bundock, Étienne Côté et Alex Burger – ce dernier officiant aussi en tant que réalisateur), elle a façonné une première collection de pièces, dont elle signe musique et textes (conseillée sur ce dernier point par Stéphane Lafleur). À paraître sous Costume Records, l’EP Du love à revendre avance des compositions groovy qui donnent une pas pire envie de shaker d’la patte.

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pop / rock

M pour Montréal : La Faune et Simon Daniel

par Rédaction PAN M 360

La Faune, c’est Jay Essiambre : un réalisateur de la relève qui mélange le rock, la pop, le folk et l’expérimental pour créer sa propre jungle musicale unique. C’est un son travaillé à travers maintes réalisations au studio de Jay, le Studio Malamute. La Faune a lancé son premier album, Demain c’était hier, en début 2020 et récidive quelques mois après avec un simple intitulé Mi-là. En Mars 2021, on retrouve Jay dans Pandore, une chanson qui retourne à ses racines emo. Il a atteint les demi-finales des Francouvertes 2020 et gagné plusieurs prix au Festival en Chanson de Petite-Vallée en 2021. Lorsqu’il n’est pas occupé avec La Faune, Jay accompagne une panoplie d’artistes sur scène en tant que multi- instrumentiste, dont Elisapie, Anachnid, Laura Niquay et Thaïs.

Simon Daniel explore une pop alternative où l’organique et le synthétique entrent en collision avec des sonorités transcendantes. Se démarquant par sa voix vibrante et envoûtante à la fois soyeuse et puissante, l’auteur-compositeur-interprète dévoile son univers par ses mélodies hypnotiques et des textes imagés introspectifs.

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