La relève du jazz jouée par le Big Band de l’Université de Montréal
par Rédaction PAN M 360
Un grand concert jazz qui fera briller le Big Band de l’Université de Montréal et son nouveau directeur musical, le trompettiste brésilien João Lenhari, de même que la relève en composition jazz!
Lors de cette soirée, vous découvrirez les créations originales et arrangements des étudiantes et étudiants de la classe de Jean-Nicolas Trottier, interprétées par le Big Band.
A large-scale jazz concert showcasing the Université de Montréal Big Band and its new music director, Brazilian trumpeter João Lenhari, along with the new generation in jazz composition!
At this evening event you’ll discover original creations as well as arrangements by students in the class of Jean-Nicolas Trottier, as performed by the Big Band.
Mundial Montréal : Sara Curruchich, Zar Electrik, Lara Klaus, Andy Rubal & Son del Sun, Donald Dogbo et SPRLUA
par Rédaction PAN M 360
À la fois autrice, compositrice et interprète, Sara Curruchich puise son inspiration dans sa culture maya en composant dans sa langue maternelle, le Kaqchikel, et en espagnol, mélangeant avec subtilité des sonorités de folk, de rock avec des éléments propres à sa culture maya.
Quand la rencontre de trois activistes de la scène méditerranéenne aboutit au mariage entre les transes gnaouies, les boucles de la musiques subsaharienne et l’électro la plus ensorcelante, la célébration se fait forcément explosive. Sur les pistes de cet African techno, Anass Zine et Arthur Peneau, chanteurs-instrumentistes au gumbri, à l’oud et à la kora electrique, embarquent Did Miosine aux machines pour un trip envoûtant aux confins du Maghreb. Derrières les voix enchanteresses ou rugissantes, l’appel à la danse se fait par les rythmes et les soubresauts ternaires baignés d’électro. Ça tourne jusqu’à s’étourdir, ça bouillonne et tourbillon.
Andy Rubal est un auteur-compositeur-interprète, pianiste et arrangeur de formation classique qui explore et élargit la culture musicale de la salsa telle que nous la connaissons. Son premier projet solo, sortit sous le célèbre label EGREM du Buena Vista Social Club, a obtenu une nomination pour le « Meilleur album de salsa pour un nouvel artiste » aux Cuba Disco Awards en 2017. Son charisme sur scène associé à son talent de virtuose fait d’Andy Rubal un concert incontournable pour tous les amateurs de salsa.
Née à Recife, Lara Klaus est percussionniste, batteuse, chanteuse, compositrice et éducatrice.
Se consacrant particulièrement à l’étude et à l’enseignement des percussions du nord-est du Brésil, sa musique superpose avec ingéniosité toute la beauté et la complexité des influences brésiliennes avec des textures et des textes soul-pop interprété de manière organique et assumée.
Les producteurs électroniques montréalais Samito et Haig V, lauréat d’un prix JUNO, combinent leurs talents sous le nom de SPRLUA pour expérimenter les sons de l’Amapiano et de la French house, inspirés par la scène de danse montréalaise et l’essor de nouvelles perspectives de musique électronique mondiale.
Gus Dapperton a toujours été obsédé par la construction de nouveaux mondes. Cela fait partie de sa passion depuis qu’il a commencé à composer des chansons avec Garageband, un état d’esprit de créateur qui a fini par donner naissance à deux albums indépendants d’alt-pop à l’originalité provocante. Aujourd’hui signé chez Warner Records, Dapperton va encore plus loin dans son nouveau projet, Henge, en se plongeant dans des détails audacieux et des compositions immersives pour évoquer un monde
Gus Dapperton has always been obsessed with building new worlds. It’s been part of his passion since he started making songs in Garageband, a creator’s mindset that eventually shaped two independent albums of defiantly original alt-pop. Now signed to Warner Records, Dapperton goes even further on his new project, Henge, immersing himself in bold details and immersive songwriting to conjure a twilight world that permanently hovers between sunset and sunrise throughout 11 mercurial songs.
Fille de la fadista Teresa Siquieira, Carminho marie le fado authentique à des influences issues de la musique populaire portugaise et brésilienne ou encore du jazz. À 38 ans, la jeune diva est aujourd’hui une icône portugaise au rayonnement international figurant parmi les voix les plus pures et les plus passionnées de ce chant ardent et mélancolique qu’est le fado. Accompagnée de quatre guitaristes, elle présente Portuguesa, son sixième album paru en mars 2023, dont elle signe la production qui assimile tout ce qu’elle a appris de ses racines, dans le respect des mots et du langage traditionnel, avec un regard libre et contemporain sur le monde qui l’inspire.
Mundial Montreal : Second Moon, Mi’gmafrica, Bruno Capinan et Dumai Dunai
par Rédaction PAN M 360
Évoquant le son traditionnel coréen du pansori et mélangé à des instruments occidentaux, Second Moon est un groupe dynamique de 7 membres qui fait des vagues depuis sa formation en 2004. Combinant deux genres musicaux très différents, Second Moon apporte un son unique en fusionnant le Pansori coréen, un style de narration musicale, avec la musique irlandaise en incorporant des instruments tels que le sifflet irlandais, le bodhran et la mandoline. Le groupe s’est fait connaître en 2006 lorsqu’il a été sélectionné pour les prix « Rookie of the Year » et « Record of the Year » aux Korean Music Awards. Second Moon a continué à repousser les limites musicales avec son album Pansori Chunhyangga, qui a remporté le prix « Best Jazz & Crossover » aux Korea Music Awards 2017.
Evoking Korean traditional Pansori sound & mixed with Western instrumentals, Second Moon is a dynamic 7-member band that has been making waves since their formation in 2004. Combining two very different genres of music, Second Moon brings a unique sound as they fuse Korean Pansori, a style of musical storytelling, with Irish music by incorporating instruments like Irish whistle, bodhran & mandolin. The band gained recognition in 2006 when they were selected for « Rookie of the Year » & « Record of the Year » at the Korean Music Awards. Second Moon continued to push musical boundaries with their album Pansori Chunhyangga, which won the “Best Jazz & Crossover” award at the 2017 Korea Music Awards.
Mi’gmafrica, c’est la rencontre musicale entre la culture mandingue, avec Sadio Sissokho, émérite griot du Sénégal, à la kora et au chant, et la culture mi’gmaq, avec Valérie Ivy Hamelin, artiste multidisciplinaire de la Nation micmac de Gespeg, au tambour, à la flûte et au chant. Les mélodies, les chants et les hommages aux anciens s’allient en douceur et puissance, pour vous amener dans les confins de l’histoire de l’humanité. Deux traditions, deux continents, qui puisent leur inspiration et force aux mêmes sources, les racines de la terre et la Création. Ils nous présentent avec magie et beauté, ces chants revisités et des compositions.
Mi’gmafrica is a musical encounter between Mandingo culture, with Senegalese griot Sadio Sissokho on kora and vocals, and Mi’gmaq culture, with multidisciplinary artist Valérie Ivy Hamelin from the Micmac Nation of Gespeg on drums, flute and vocals. Melodies, songs and tributes to the elders combine gently and powerfully to take you to the farthest reaches of human history. Two traditions, two continents, drawing their inspiration and strength from the same sources: the roots of the earth and Creation. They present us with magic and beauty, these revisited songs and compositions.
Formé en 2021 à Montréal, Dumai Dunai a un son éclectique. Avec les grooves profonds du dub et l’énergie du punk rock, ainsi que les styles de chant slaves des chanteurs Natalia Telentso et Eli Camilo, ce groupe a pour mission de vous faire danser. Ce groupe de sept musiciens originaires d’Ukraine, de Bulgarie, du Canada et des États-Unis travaille sur son premier album, dont la sortie est prévue pour 2024.
Formed in 2021 in Montreal, Dumai Dunai has an eclectic sound. Bringing the deep grooves of dub and the energy of punk rock to the Slavic singing styles of lead singers Natalia Telentso and Eli Camilo, this band’s mission is to make you dance. The seven-piece band with members originating from Ukraine, Bulgaria, Canada and the USA is working on their debut album set to be released in 2024.
Bruno Capinan est un auteur-compositeur-interprète canadien qui fusionne l’afro-futurisme, les rythmes inspirés de la bossa-nova et une performance extravagante en tant qu’acte de résistance queer. Originaire de Bahia, au Brésil, Capinan a présenté sa personnalité féroce sur scène à des publics au Japon, en Afrique, en Europe, en Amérique du Sud et aux États-Unis. Reconnu internationalement en 2016, avec des critiques dans les journaux britannique The Guardian et français Libération, et trois nominations pour la prestigieuse APCA (Association des critiques d’art de São Paulo) pour ses albums « Tara Rara » (2022), « Leão Alado Sem Juba » (2020) et « Real » (2019), Capinan est un artiste de premier plan.
Bruno Capinan is a Canadian singer-songwriter who fuses Afro-futurism, bossa-nova inspired rhythms, and an extravagant performance as an act of queer resistance. Originally from Bahia, Brazil, Capinan has brought their fierce stage persona to audiences in Japan, Africa, Europe, South America and the United States. Gaining international recognition in 2016, with reviews in british newspaper The Guardian and France’s Libération, and three nominations for the prestigious APCA (São Paulo Association of Art Critics) for his albums “Tara Rara” (2022), “Leão Alado Sem Juba” (2020) and “Real” (2019).
Rafael Payare donnera le coup d’envoi de la 90e saison de l’OSM avec deux œuvres exceptionnelles. Animé d’une incomparable puissance rythmique, Lesacre du printemps de Stravinsky déploie une farouche énergie à laquelle on ne peut échapper. Une vitalité et une joie presque explosive se manifestent également dans la Messe glagolitique de Janáček. Le Grand Orgue Pierre-Béique de la Maison symphonique, dont on fêtera le 10e anniversaire durant la saison 2023-2024, occupera une place de choix dans cette pièce d’une audacieuse originalité.
Rafael Payare kicks off the OSM’s 90th season with two amazing works. Stravinsky’s The Rite of Spring is driven by an incomparable rhythmic force and fierceness. A comparable quality of explosive joy and vitality is also present in Janáček’sGlagolitic Mass, a boldly original piece featuring the Maison symphonique’s Grand Orgue Pierre-Béique as the OSM celebrates the organ’s 10th anniversary during the 2023-2024 season.
Ce contenu provient de la Place des Arts et est adapté par PAN M 360.
Rare Morton Feldman pour inaugurer le nouvel Espace Kendergi
par Frédéric Cardin
Sans tambour ni trompette (c’est le cas de le dire), une nouvelle salle de concert a été inaugurée hier soir à Montréal. Une salle, c’est vite dit. Un espace intime réservé à la musique, mais aussi à des événements privés, des lancements ou des conférences serait une formule plus appropriée. L’Espace Kendergi, en hommage à Maryvonne Kendergi, musicologue, communicatrice et figure centrale de la vie musicale québécoise pendant plus d’un demi siècle, est une salle rectangulaire d’une capacité d’environ 30 personnes assises (excluant les musiciens) ou d’une cinquantaine debout (à vue de nez, qui n’a rien de scientifique, cela dit).
À l’arrivée en ce mardi soir, on sent que c’est tout neuf. L’odeur de peinture flotte furtivement, l’espace en question est blanc immaculé, de belles mouloures décorent les murs autrement nus et le piano, un petit modèle à queue de marque Fandrich & Sons, trône tout au bout.
Si on est là ce soir, c’est pour venir entendre, sur ce piano justement, un monument rarement joué live de la musique contemporaine : les Triadic Memories de Morton Feldman, le ‘’plus gros papillon en captivité au monde’’, selon son créateur. L’artiste, Isak Goldschneider (que je vous présentais récemment lors d’une interview publiée ici) est une autre importante figure de la musique contemporaine montréalaise, autant musicien que compositeur et principalement directeur artistique de l’organisme Innovations en concert (dont c’était le lancement de la saison 2023-2024, ceci expliquant cela vous l’aurez compris).
Côté musique, un moment de communion a été réalisé grâce à cette œuvre massive en durée (environ 90 minutes, non-stop!), mais aussi délicate musicalement qu’un voile de soie transparente. La musique de Feldman est un minimalisme atonal simple et complexe. La simplicité se retrouve dans les formules et motifs rythmiques et mélodiques alors que la complexité se situe dans l’évolution et la transformation de ces cellules à travers un lent, mais irrémédiable processus de répétitions et de superpositions. Avec Feldman, il faut savoir prendre le temps d’écouter. Une trempette auditive de 2-3 minutes est contre-indiquée. Ce n’est qu’à la fin des 90 minutes (dans le cas de cette pièce), que la finalité du tout, qui surpasse aisément la somme des multiples parties, nous apparaîtra accessible et l’on pourra alors comprendre le sens de l’expérience vécue. Morton Feldman, c’est comme un tableau de Rothko, mais si on peut s’imprégner de la spiritualité proposée par le peintre états-unien en un seul regard holistique, il est impossible de prendre la pleine mesure d’une oeuvre de Feldman sans, comme je viens de le dire, prendre le temps. Et même prendre le temps de prendre le temps.
Feldman est un minimaliste, mais d’une tout autre trempe que Glass ou Reich. Contrairement à ses deux compatriotes, Feldman refuse la pulsation marquée. Celle-ci existe, mais elle est insinuée, suggérée. Il refuse également la précipitation extatique et fébrile des deux autres (ainsi que leurs disciples). L’expérience musicale que procure Feldman a probablement plus à voir avec le minimalisme ‘’mystique’’ d’Arvo Pärt, ou de John Tavener. Mais furtivement, car il maintient le lien avec l’atonalisme, au contraire des deux Européens. En fin de compte, Feldman est unique et difficile à imiter. Techniquement, ce serait probablement facile, mais pour obtenir le genre de plongée transcendante que procure sa musique, je pense qu’il faut se lever de bonne heure. Là ou des imitateurs finiraient par être insupportables et paraître interminables, les 90 minutes de Triadic Memories en on parues beaucoup moins. C’est parce que Feldman réussit à faire de cette longue marche auditive (comme les autres de son catalogue), un objet qui enveloppe toute l’écoute d’une aura d’incarnation émotionnelle et spirituelle. Un sens de la totalité qui englobe la musique elle-même, le son, sa résonance dans l’espace physique et la présence humaine en relation avec ce ‘’moment-espace’’ précis. La musique de Morton Feldman est l’une des plus humanistes que l’on puisse entendre en ce 21e siècle.
Isak Goldschneider a paru nerveux avant de s’asseoir devant le piano. On peut le comprendre. Si les exigences techniques n’ont rien du concerto virtuose, l’implication émotionnelle, intellectuelle et spirituelle, dans ce genre de musique, doit être totale, sincère et profondément incarnée. Il semblait comme repu après la dernière note, et pour cause. Il venait de livrer un magistral exercice de communications empreint d’infinies subtilités ou l’intimité réclamée par l’œuvre se doit d’être d’une rare force de pénétration vers les auditeurs. Une musique en équilibre constant sur un fil ténu, faites de délicates ‘’griffures de silence’’, comme le disait Renaud Machart dans Le Monde, mais qui, une fois réussie sa traversée, offre une marque mémorielle indélébile.
Le public a chaleureusement manifesté son approbation. C’était mérité.
L’acoustique de la salle est très bonne, mais elle doit conjuguer avec la rue montréalaise, ici Crescent, le nouveau nid du Centre de musique canadienne (CMC) au Québec. On a été habitué à cette dynamique urbaine, grâce à la salle Bourgie (située à quelques pas!), dans laquelle il n’est pas impossible d’entendre occasionnellement une sirène de police ou un le vacarme d’un camion-benne pendant une sonate de Schubert ou un récital de mélodies françaises. La différence avec cet Espace Kendergi, constatée lors de ce concert, c’est qu’il existe à proximité des clubs/discothèques. Ainsi, pendant les quelque trente premières minutes du concert, une vague tapisserie de ‘’pompe à beats’’, provenant d’on ne savait quel voisin, se laissait deviner dans les très nombreux interstices musicaux chers à Feldman. La sirène occasionnelle, on l’attend, mais le broum-broum continu d’un Dancefloor, ça peut devenir irritant. Ce fut le cas pour moi. Heureusement, ça s’est arrêté un moment donné. Mais on était un mardi soir! Ce que ce sera un jeudi, vendredi ou samedi, on ne peut que présumer.
Il faudra peut-être considérer la programmation en vertu de cet élément. Un récital d’airs de Mozart, ça pourra cacher le bruit de fond. Mais du moment où les silences, ou quasi-silences, de pièces bien plus délicates seront plus présents, il y aura un risque. On verra bien ce qui en résultera, car Claire Marchand, Directrice générale et artistique du CMC, a annoncé qu’une programmation en bonne et due forme sera dévoilée plus tard.
Ne boudons pas notre plaisir, cela dit, de voir arriver un nouveau joueur dans le réseau d’espaces de diffusion de la musique de chambre, qui plus est contemporaine et canadienne (Feldman est états-unien, mais quelques nobles exceptions de ce genre sont bien tolérables)! Juste pour cela, je crois qu’on pourra faire fi des quelques bémols joués par l’urbanité environnante.
Et surtout, on devine que Maryvonne aurait été heureuse et honorée d’y être associée.
Chantant avec une cadence spatiale sur des productions généralement atmosphériques, Lil Tracy – connu auparavant sous le nom de Yung Bruh – a été séparément et simultanément classé comme un cloud rapper et un emo rapper. Actif avec une série de sorties underground depuis le début des années 2010, il a élargi son public de manière significative avec des collaborations avec Lil Peep telles que « White Wine » (2016) et le single Hot 100 crossover « Awful Things » (2017). Depuis la mort de son associé Peep, Tracy a continué à construire sa grande discographie solo avec des sorties courtes comme Sinner (2018) et Anarchy (2019).
Sing-rapping with a spaced-out cadence over generally atmospheric productions, Lil Tracy — known previously as Yung Bruh — has been separately and simultaneously classified as a cloud rapper and an emo rapper. Active with a slew of underground releases since the early 2010s, he expanded his audience significantly with Lil Peep collaborations such as « White Wine » (2016) and the Hot 100 crossover single « Awful Things » (2017). Since the death of close associate Peep, Tracy has continued to build his large solo discography with short-form releases such as Sinner (2018) and Anarchy (2019).
Speedy Ortiz a fait ses débuts en 2011 en tant que projet solo de la guitariste, compositrice et chanteuse Sadie Dupuis, mais ce projet a rapidement pris de l’ampleur pour devenir un groupe à part entière apprécié dans le monde entier. Le groupe a honoré les scènes des festivals de Bonnaroo à Primavera, a soutenu des artistes héroïques de Foo Fighters à Liz Phair, et a emmené des groupes tels que Mitski et Soccer Mommy sur certaines de leurs premières tournées. En 2016, le groupe a déménagé du Massachusetts à Philadelphie, et le lineup a changé peu de temps après pour inclure le guitariste Andy Molholt (Laser Background, Eric Slick), le bassiste Audrey Zee Whitesides (Mal Blum, Little Waist) et le batteur Joey Doubek (Pinkwash, Downtown Boys). Rabbit Rabbit est le premier album de Speedy à inclure les membres de longue date de la tournée comme contributeurs à part entière, et Dupuis et ses coéquipiers s’enflamment avec imprévisibilité, leur jeu intrépide poussant les chansons dans de nouvelles directions exaltantes.
Speedy Ortiz debuted as guitarist, songwriter & singer Sadie Dupuis’ home-recording outlet in 2011, but the solo project quickly blew up into a full-fledged band beloved around the world. The group graced festival stages from Bonnaroo to Primavera, supported heroic artists from Foo Fighters to Liz Phair, and brought acts including Mitski and Soccer Mommy on some of their earliest tours. In 2016, the band relocated from Massachusetts to Philadelphia, with the lineup changing shortly thereafter to include sonically inventive guitarist Andy Molholt (Laser Background, Eric Slick), drivingly melodic bassist Audrey Zee Whitesides (Mal Blum, Little Waist), and heavy-hitting drummer Joey Doubek (Pinkwash, Downtown Boys). Rabbit Rabbit is the first Speedy album to feature the longtime touring members as full contributors, and Dupuis and her bandmates blaze with unpredictability, their intrepid playing thrusting songs in exhilarating new directions.
Kristian Matsson n’est jamais resté très longtemps au même endroit. Ayant passé la majeure partie de la dernière décennie à tourner dans le monde entier sous le nom de The Tallest Man On Earth, Matsson a captivé le public en utilisant, comme le décrit le New York Times, « chaque centimètre de sa longue corde de guitare pour parcourir la scène : il s’élance, s’accroupit, s’étire, se déhanche, se perche brièvement et s’agite… M. Matsson est un guitariste-slingueur enraciné dans le folk, et ses chansons sont des ballades de troubadour dans l’âme ».
Kristian Matsson has never remained in one place for very long. Having spent much of the last decade touring around the world as The Tallest Man On Earth, Matsson has captivated audiences using, as The New York Times describes, “every inch of his long guitar cord to roam the stage: darting around, crouching, stretching, hip-twitching, perching briefly and jittering away…Mr. Matsson is a guitar-slinger rooted in folk, and his songs are troubadour ballads at heart.”
Whole Lotta Love, Black Dog, Kashmir, Rock & Roll, Dazed & Confused et bien sûr Stairway To Heaven : les chansons de Led Zeppelin prennent une toute autre dimension avec Led Zeppelin Symphonic, qui réunit sur scène quatre musiciens rock et trois chanteurs, en plus d’un orchestre symphonique de plus de 30 musiciens pour interpréter un répertoire plus grand que nature qui séduit les fans du monde entier depuis 50 ans. Le spectacle est sous l’habile direction musicale de Richard Sidwell, l’homme derrière le méga-succès Queen Symphonic.
Présenté par la compagnie londonienne City Lights Entertainment, Led Zeppelin Symphonic sera présenté au Québec en partenariat avec Productions Martin Leclerc en septembre 2023, après avoir joué à guichets fermés entre autres au London Paladium à Londres et à l’Acropole à Athènes. Au total 110 000 billets ont déjà trouvé preneur à travers le monde. Le Québec compte donc parmi les diffuseurs privilégiés visités au cours de cette tournée mondiale.
Led Zeppelin, qui a été aux années 1970 ce que les Beatles ont été aux années 1960, a envoûté toute une génération. Led Zeppelin Symphonic emmène l’expérience encore plus loin!
Libéré des fausses restrictions concernant un hymne particulier sonnant « trop lourd » ou « trop pop », ATREYU est une lueur d’espoir créatif pour tous ceux qui sont ébranlés par l’idée que « le rock est mort ». Les riffs, les crochets, les mélodies et la passion du groupe d’Orange County, en Californie, sont des éléments essentiels de l’émergence d’une sous-culture dynamique dans les théâtres, les clubs, les festivals, les radios et les médias sociaux. L’intrépidité artistique qui anime des albums phares comme The Curse et Lead Sails Paper Anchor est encore plus forte.
Avec Memphis May Fire
Unbound by false restrictions about any particular anthem sounding « too heavy » or « too pop, » ATREYU is a creative beacon of hope for anyone shaken by the suggestion that « rock is dead. » The Orange County, California band’s riffs, hooks, melodies, and passion are essential parts of the emergence of a vibrant subculture across theaters, clubs, festivals, radio, and social media. The artistic fearlessness powering landmark albums like The Curse and Lead Sails Paper Anchor is even stronger.
Ce contenu provient de Spinefarm Records et est adapté par PAN M 360.
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