électro / synth-pop / trip-hop

PAN M 360 au FIJM 2024 | Retour sur scène réussi pour KROY

par Jacob Langlois-Pelletier

Pour une première fois en six ans au FIJM jeudi, Camille Poliquin, la moitié du duo électro-pop Milk & Bone, montait sur scène sous son alias solo, KROY. Lors de son passage sur la Place des Festivals, la musicienne, auteure-compositrice et chanteuse aura fait vibrer les amateurs présents au rythme de son excellente trip-pop infusée de synthés et de basse bien pesante.

Debout au milieu du plateau devant différentes boîtes à rythmes, l’artiste québécoise construit morceau par morceau la trame sonore de sa première composition. Sur scène, KROY est accompagnée d’un claviériste, d’un batteur puis de différentes projections visuelles qui défilent derrière elle.

Pour la plupart des chansons, le titre apparait sur les grands écrans; c’est d’ailleurs de cette manière qu’on découvre que « Milk » joue SATIN SATAN et TWELVE WHEELER TRUCK, deux extraits de son deuxième album à venir en août prochain. Croyez-moi sur parole, les huit années d’attente avant d’obtenir un nouveau long jeu de la part de KROY en auront valu le coup.

Sur ses enregistrements, KROY installe une atmosphère glauque et lugubre. En spectacle, l’ambiance est plus lumineuse et sa voix est moins modifiée, ce qui laisse place à un résultat plus pur et authentique.

Entre les pièces, Camille Poliquin ricane et reprend son souffle, un court repos nécessaire vu l’intensité avec laquelle elle vit les différentes pulsions de chaque titre. KROY s’est particulièrement éclaté lors de l’interprétation de Cold tiré de son opus Scavenger, un hymne dance qui aura fait bouger la foule.

Si cette prestation avait l’intention de nous faire languir quant à la parution de MILITIA dans un peu plus d’un mois, mission accomplie.

Crédit photo: Frédérique Ménard-Aubin

fado

PAN M 360 au FIJM 2024 | Ana Moura, reine du fado

par Michel Labrecque

Sculpturale, entièrement vêtue de rouge, Ana Moura s’est présentée comme la reine du fado portugais qu’elle est, sous les acclamations de la salle, en grande partie lusophone. 

Qu’on aime ou pas le fado, cette musique traditionnelle portugaise qui est l’équivalent du blues, la dame de 44 ans a une voix puissante, profonde, hors normes, qui laisse émaner des sentiments profonds, souvent de la tristesse, qui est le propre du genre.

Avec son trio de musiciens (batterie, basse, guitare portugaise), elle s’est d’abord lancée dans le fado plus traditionnel, avant de nous faire lentement basculer dans son nouvel univers musical, plus teinté de sons africains et électroniques, avec des tonalités et des rythmes qui rendent la musique plus intéressante.

Après trois chansons, Ana Moura nous a adressé la parole, très longuement, en anglais, langue de compromis, puisqu’elle nous a expliqué en français qu’elle ne parle pas bien français. Il y a des gens qui détestent quand un-e artiste parle trop, parce que ça casse le rythme. Mais Ana voulait vraiment nous faire entrer dans son univers et nous le faire comprendre. 

Elle nous a raconté la genèse de son dernier disque Casa Guilhermina, la maison qui porte le prénom de sa grand-mère, qui est d’origine angolaise, tout comme sa mère. Enfant, elle écoutait sans cesse de la Semba angolaise (pas la Samba brésilienne). Elle nous a raconté que cet album est imprégné de ces rythmes et d’autres musiques régionales du Portugal, très importants pour elle. 

Elle a également dédié une chanson qu’elle a écrite pour Prince, oui celui de Minneapolis, qui lui avait déjà affirmé qu’il voulait produire sa musique.

Durant toute la performance, les trois musiciens étaient accompagnés par des synthés, de l’accordéon, du violon et des voix de soutien enregistrées. C’est comme si nous avions eu droit à la version petit budget du spectacle.

Malgré quelques réserves, il est difficile de douter de l’authenticité de la chanteuse portugaise, qui cherche, avec d’autres compatriotes, à diversifier la musique lusophone actuelle. Et à la partager sur la planète.

Mes deux voisines de siège portugaises avaient des yeux lumineux et bougeaient sans arrêt. À la fin du concert, les acclamations fusaient.

Tout était dit.

crédit photo: @rousseaufoto pour le FIJM

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pop

PAN M 360 au FIJM 2024 | Norah Jones, femme de rêves

par Claude André

Déjà auréolée d’une certaine légende, la star internationale aux 20 millions d’albums vendus est venue déployer les multiples facettes de son univers « adulte contemporain » dans une salle Wilfrid-Pelletier remplie à craquer. Envoutement.

Dès l’entrée de la salle, le journaliste peu perméable jusque-là au phénomène Norah Jones remarque le kiosque à « merch » : 45 $ le gaminet (t-shirt)! Dans l’assistance, des têtes grises qui arborent ici une effigie de Bob Dylan, là un vieux t-shirt souvenir de Pat Metheny, tandis que plus loin, une dame portant des talons aiguilles, une jupe de cuir et des tatouages tribaux se prend en photo devant une affiche de l’artiste.

Au final, tout le monde y aura trouvé son compte. La progéniture de Ravi Shankar – oui, celui qui a appris le sitar à George Harrison –, et de Sue Jones – une fana de jazz, country et de soul –, se meut d’un style à l’autre dans une fluide cohérence.

Accompagnée de la guitariste Sasha Dobson et de la claviériste Sami Stevens, la star installée devant un piano blanc entame en ouverture « What Am I to You? », un classique tiré de l’album Feels Like Home (2004).

Ce qui frappe d’emblée, c’est bien sûr sa voix ronde et feutrée, mais aussi la richesse de ses harmonies vocales qui flirteront, à l’occasion, avec une spiritualité atmosphérique transcendante.

Les grands titres de la chanteuse défileront comme autant de perles dans un écrin : « This Life », « Sunrise » ou « Come Away With Me », dont la beauté de l’éclairage violet nous transportera hors du temps dans une boite de jazz crépusculaire.

Entourée également de l’excellent Brian Blade à la batterie (nomination au Grammy Award du meilleur album de jazz instrumental de 2021) et de l’inspiré Josh Lattanzi à la basse, Norah Jones, qui s’accompagne aussi au piano électrique, laisse la part belle à ses complices musicaux. Et, il faut le dire, bien qu’on puisse parfois avoir l’impression d’une certaine mièvrerie, notamment du point de vue textuel, et qu’elle demeure avare d’interventions, quelques mots en français ici et là, Norah Jones, cette première de classe, nous aura fait vivre des moments de grâce musicale et elle aura aussi prouvé qu’elle demeure une pianiste accomplie. Et une guitariste inspirée, notamment en interprétant « Say Goodbye ». Tout cela en dépit de la froideur légendaire de cette salle. D’ailleurs, la vitalité des applaudissements à la fin du spectacle tranchait littéralement avec la trop tiède discipline de l’ensemble.

Martha brise la glace

C’est une Martha Wainwright heureuse de terminer dans sa ville la tournée inhérente à son dernier album Love Will Be Reborn (2021), en compagnie de son amie Norah Jones, qu’elle connait depuis 25 ans, qui s’est présentée en première partie. « Nous habitions dans la même maison quand elle a fait son premier disque », souffla-t-elle au début de sa prestation qui dura 45 minutes. Bon choix que d’inviter en ouverture la gypsie chic au folk mâtiné de whisky.

Parmi les moments forts de cette participation brute et énergique, notons une reprise brelienne de « L’accordéoniste » de Piaf. Acclamation nourrie. Une reprise au piano de « Dinner at Eight », d’une chanson de son frère, qu’elle n’a plus besoin de nommer, « qu’elle aurait aimé avoir écrite » (signalons qu’elle sait utiliser le participe passé, contrairement à pléthore de ses collègues francophones…). Sans oublier « Falaise de Malaise », sa « seule chanson qu’elle a composée au piano et la seule écrite en français ».

Tour de chant nickel pour celle qui lève souvent la jambe gauche comme pour provoquer les mauvais esprits pendant sa prestation qui aurait pu plaire à une certaine Janis, dont on pouvait parfois percevoir l’influence.

Hélas, pas de rappel comme c’est souvent le cas en première partie.

En quittant les lieux, on se dit que si les Beatles étaient les bons garçons et les Stones les mauvais garnements, nous pouvons dire qu’à Wilfrid-Pelletier hier, c’est Martha qui était dans l’équipe des seconds et Norah dans celle des premiers.

crédit photo: Pierre Montminy

Électro / Hip Hop / hip-hop / latino

PAN M 360 au FIJM 2024 | Baby Volcano en pleine éruption

par Michel Labrecque



Le Guatemala est une terre volcanique. C’est peut-être pour cela que Lorena Stadelmann, une
Suissesse née d’une mère guatémaltèque et d’un père jurassien, a choisi ce nom d’artiste. Chose certaine, il y a quelque chose de brûlant, d’explosif, dans la performance de Baby Volcano, sur la scène Rio Tinto du FIJM, mardi soir le 2 juillet.

Nous ne sommes pas ici dans le jazz. Lorena Stadelmann est entourée de deux beatmakers et fait du hip-hop. Mais on entend aussi des influences latines, électro et, parfois, de la chanson ou des mélodies douces. C’est ce qui fait sa particularité. Baby Volcano a choisi aussi de chanter majoritairement en espagnol, en insérant parfois du français. Elle emprunte parfois l’accent argentin-prononçant les double l comme des j. C’est qu’elle a vécu trois ans à Buenos-Aires, de 2015 à 2018. Une ville oèu la culture occupe une place très importante. 

Baby Volcano est plus qu’une chanteuse ou autrice : c’est une performeuse, danseuse, qui se donne à fond sur scène. Elle est venue chanter au milieu de la foule, lors d’une chanson. Tempérament de feu, de lave ! 

Son premier EP s’intitule Sindrome Premenstrual, (2021). Chaque pièce est dédiée à un organe du corps. 

Le parcours de cette jeune femme s’inscrit dans une mouvance : la Chica, franco-vénézuélienne, Ëda Diaz, franco-colombienne, cette artiste suisso-guathémaltèque décide de privilégier l’espagnol. Comme Noé Lira, Maritza et Boogat chez nous.

Porque no? Pourquoi pas? Baby Volcano sera aussi au Festival d’été de Québec et au Festivoix de Trois-Rivières.

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électronique / hip-hop / jazz / R&B

PAN M 360 au FIJM 2024 | Theo Croker nourrit le corps et l’esprit

par Michel Labrecque

Le trompettiste Theo Croker fait partie de la nouvelle génération du jazz américain qui s’inspire à la fois des traditions et des plus récents codes musicaux comme le hip-hop, l’électro et le R&B.

Il est devenu rapidement évident que nous allions bouger : la batterie, mariée à des beats électro, ne nous laissait aucun choix. La trompette, assortie de multiples gadgets de réverbération et d’effets spéciaux nous donnait l’envie de « flyer », si vous me pardonnez l’anglicisme. 

Mais attention : cette musique groovée demeure du jazz. Le pianiste et claviériste improvise de façon déchaînée, le contrebassiste y va de rythmes savants, et le batteur, malgré la puissance de son son, est capable de versatilité. Pour sa part, Theo Croker, après un premier trente minutes surtout composé de motifs et de thèmes musicaux, s’est mis plus sérieusement au solo dans la seconde partie. Le jeune homme de 38 ans n’est pas dénué de talent, à l’instar de son grand-père, le légendaire Doc Cheatham. 

On entendait aussi beaucoup d’échantillonnages vocaux, puisque sur ses albums, on retrouve de multiples collaborations avec des chanteuses et chanteurs et des rappeuses et rappeurs, qui n’étaient pas présents sur scène. 

Bref, Theo Croker a nourri nos esprits et a stimulé notre corps. Un public de tous âges semblait content, mais il était particulièrement intéressant de voir de nombreux jeunes danser sur du jazz.

Pour ma part, j’ai découvert un musicien que je ne connaissais pas accompagné d’un trio de musiciens formidables, dont, malheureusement, je ne peux pas vous donner les noms. Plus intéressant que Robert Glasper, à mon humble avis. 

C’était un autre concert gratuit passionnant. Par contre, on touche ici à une limite : devoir arrêter la performance après soixante minutes alors que le party est levé, c’est frustrant.

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afrobeat / dancehall / downtempo / hip-hop / reggae

Festival International Nuits d’Afrique : L’Entourloop / Queen Omega & The Royal Souls

par Olivier Picard

Pays : Trinidad et France

Ce spectacle fait partie de la série Les Grands Évènements présentée par ICI Musique.

Description :

« L’Entourloop et Queen Omega & The Royal Souls se succèderont d’abord sur scène pour un programme double qui se terminera en apothéose ! »

« L’Entourloop

Ce n’est pas tant le mystère qui plane sur leur identité que leur univers vintage déjanté tout droit sorti du cinéma français populaire et irrévérencieux des années 70 et leur son jubilatoire, amalgame de Reggae, Dancehall, Dub, Ragga, Downtempo et Hip-hop, qui font que, depuis 2013, ils cumulent des centaines de millions d’écoutes sur les internet et remplissent les plus grandes salles. Les seniors désinvoltes de l’Entourloop s’offrent un petit tour de ce côté-ci de l’Atlantique avant de se payer l’Olympia de Paris, à l’automne, histoire de présenter leur 3e album, La clarté dans la confusion (2022). « Méchamment efficace » (Nova, 2023). »

« Queen Omega & The Royal Souls

« Véritable icône du Reggae-Dancehall » (RFI, 2023), Queen Omega tire son énergie et son humanité du mouvement Rastafari. Celle qui lutte contre toutes les formes d’oppression, prônant notamment la libération des femmes et l’indépendance des peuples, a fait un grand retour en 2023 avec l’album Freedom Legacy. Son indiscutable présence scénique et sa voix d’une richesse inouïe lui confèrent une forte aura autant que ses riddims aux multiples influences, à la fois New roots, New soul, Afrobeat et Dancehall. »

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Afrique / musique traditionnelle ouest-africaine

Festival International Nuits d’Afrique : Alpha Yaya Diallo

par Rédaction PAN M 360

Pays : Guinée

Ce spectacle fait partie de la série Les Incontournables présentée par ICI Musique.

Description :

« Comme le Bafing, rivière dont son groupe porte le nom, la musique d’Alpha Yaya Diallo, récipiendaire de plusieurs prix Juno, coule des hauteurs du Fouta-Djalon, en Guinée, se gorge des rythmes du Mali, pour se jeter dans l’immensité des rythmes du monde, depuis le Sénégal. La fluidité de ses lignes de guitare, tantôt électrique, tantôt acoustique, mise en valeur par l’écho des tambours, du balafon, de la kora, du ngoni, de la basse et de la batterie, donne naissance à un son ouest-africain nomade et généreux. Attendu depuis 13 ans, son 8e opus, Doye Doye (2023), plus engagé, confirme une approche sans frontière de ses racines. »

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cumbia / currulao / latino

Festival International Nuits d’Afrique : Los Gaiteros de Ovejas

par Rédaction PAN M 360

Pays : Colombie

Ce spectacle fait partie de la série Les Incontournables présentée par ICI Musique.

Description :

« Au cœur du département de Sucre, ma terre, se trouve le village d’Ovejas, dont le folklore reflète l’énergie et la joie. Par-delà les collines, on écoute les musiciens jouer la gaita qui m’est si chère et qui fait l’orgueil de son peuple ». Une fois prononcée cette déclaration émouvante et solennelle par Henry Ortiz, le meneur de la troupe, les percussions et la flûte traditionnelle s’activent. La fête peut commencer ! Los Gaiteros de Ovejas est une institution. Tels des passeurs, l’ensemble, qui a notamment partagé la scène avec Arcade Fire, perpétue depuis plus de 30 ans, de génération en génération, mais aussi sur la scène internationale, cet héritage musical unique né du métissage de la culture percussive africaine et des traditions mélodiques précolombiennes, combinant les traditionnelles Cumbia, Porro et Currulao. »

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Afrique / afro-électro / électronique / haïtien

Festival International Nuits d’Afrique : Mr Touré! invite Don Barbarino et Bellavie

par Rédaction PAN M 360

Pays : Guinée, Haïti, Togo, Nigéria, France, Québec

Ce spectacle fait partie de la série « Nuits d’Afrique sound system » et est présenté par CISM.

Description :

« Il n’est pas tombé loin de l’arbre. Mr Touré! alias Sagewondah est le fils du fondateur de Keur Samba, l’autre bar afro-tropical montréalais, qui a contribué à mettre de l’avant les musiques du monde dans les années 80. Mais on s’égare… Figure incontournable de la scène électro, le DG-DJ de l’Ausgang Plaza partage le stage avec ses acolytes Don Barbarino, vieux renard des tables tournantes de la métropole et d’ailleurs, ardent promoteur de la culture haïtienne, et la sensation Bellavie, nouvelle égérie des dancefloor montréalais, lors d’une soirée célébrant la diversité et les rythmes synthétiques. »

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Afrique / amazigh / Chaabi / raï / tarab

Festival International Nuits d’Afrique : Youba Adjrad

par Rédaction PAN M 360

Pays : Algérie – Québec

Ce spectacle fait partie de la série Voix du Monde présentée par TV5.

Description :

« Le spectacle s’entend et se regarde comme une invitation à parcourir la palette des états de l’âme humaine : l’amour, la joie, la tristesse, le désir, la passion ». C’est de cette manière que l’Institut du monde arabe définit le Tarab, cette émotion que stimulent notamment certaines musiques. Youba Adjrad entre dans la catégorie de ces artistes sensibles qui touchent le cœur. Cet auteur, compositeur et interprète de Raï, Chaabi et musiques amazighs, influencé par le Flamenco, star du télécrochet Arab Idol au charisme indéniable, est, dit-on, l’une des plus belles voix arabes au monde.  »

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Afrique / afro-rap / afropop / Hip Hop

Festival International Nuits d’Afrique : Def Mama Def

par Rédaction PAN M 360

Pays : Sénégal

Ce spectacle fait partie de la série Global Beats présentée par CJMD Lévis 96.9.

Description :

« Def Mama Def. Ou Defmaa maadef. En wolof, cela signifie « karma », « donnant-donnant ». Aucune place à l’interprétation. On devine tout de suite à qui on a affaire : des lionnes qui ne lâchent rien et ouvrent la voie ! Def Mama Def, ce sont leurs deux prénoms, « l’énergie combinée de Defa, la chanteuse, et de sa complice Mamy Victory, la rappeuse, qui remplissent l’espace à la fois physiquement et vocalement. » (RFI Musique, 2023). Couvrant presque les tambours qu’elles frappent avec vigueur, les voix fortes de ce duo phare du Hip-hop sénégalais portent une parole puissante, qui défend des valeurs sociales et dénonce la condition des femmes. »

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Afrique

Festival International Nuits d’Afrique : AfirkA invite Soirée Raï avec Zaki Dziri DZ514

par Rédaction PAN M 360

Pays : Algérie.

Ce spectacle fait partie de la série Les Étoiles Nuits d’Afrique présentée par la Fabrique culturelle de Télé-Québec.

Description :

« Pivot du projet d’AfirkA, le partage généreux avec le public du doux souvenir d’insouciantes et chaleureuses soirées remplies de joie et de rires ; de fêtes rassembleuses, libératrices et décomplexées, cadencées par les musiques populaires d’Algérie, défiées par les longs youyous enthousiastes. Authentiques et énergiques, s’appuyant sur une instrumentation composée de la darbouka, de la mandole, de la guitare et du violon, leurs reprises passionnées de succès aux intonations raï, chaoui et kabyle rappellent à quel point les rythmes de leur pays sont cosmopolites par essence. »

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