chant lyrique / classique occidental

OSL | Un Noël enchanteur

par Alexandre Villemaire

L’ambiance était à la fête pour la représentation du concert de Noël de l’Orchestre symphonique de Laval dont la direction avait été confiée pour l’occasion au jeune chef trentenaire Thomas Le Duc-Moreau.

Même s’il n’y a pas de neige à l’extérieur, le programme de la soirée nous entraînait tout de même sur des sentiers enneigés, avec une première partie, plus classique, dédiée aux deux suites de L’Arlésienne de Georges Bizet et une seconde partie dédiée au monde musical familier des célébrations de décembre.

L’Arlésienne n’est pas une œuvre qu’on associe nécessairement dans son ensemble au temps de Noël. La Suite no 1 a été composée pour servir de musique de scène à une pièce de théâtre d’Alphonse Daudet. La pièce en elle-même fut jugée comme étant un échec, mais la musique de Bizet suffisamment intéressante pour passer à l’histoire. De la première suite, nous connaissons tous la fameuse Marche des rois dont la mélodie enrobe l’essentielle du « Prélude » qui ouvre l’œuvre. Dans une attaque déterminée, les cordes ont entonné la mélodie à l’unisson dans une sonorité métallique. Les multiples variations dans ce mouvement de dynamique ont été amenées avec assurance par Le Duc-Moreau, notamment dans le passage marqué animé, auquel il a insufflé une grande vigueur. Dans le passage suivant, le solo du basson mené par Michel Bettez manquait cependant d’éclat, probablement dû à une prise de tempo un peu trop allante pour l’indication andantino. Le reste de la suite a été marqué par un « Menuet » au rythme sautillant et à l’orchestration lumineuse, un délicat « Adagietto » et une finale en « Carillon ». Malgré le caractère obstiné que commande la nature de mouvement qui imite une série de cloches, la balance entre les vents et les cordes était déséquilibrée. La Suite no 2, moins jouée, a eu son lot de beaux moments, notamment le « Menuet » qui tresse un duo entre la harpe et les vents auquel le grand orchestre vient apporter un élément de contraste ainsi que la « Farandole » qui réintroduit le thème de la Marche des rois pour se conclure dans une fanfare éclatante.

Au retour de l’entracte, nous avons eu droit à la portion que nous pourrions qualifier de populaire du concert avec un défilé d’œuvres orchestrales et vocales de Noël. Après une interprétation par l’OSL de la « Sicilienne » tirée de Pélléas et Mélisande de Fauré, le baryton Olivier Bergeron a chanté le classique Petit papa Noël d’Henri Martinet dans un très bel arrangement idiomatique d’Éric Lagacé. L’orchestre a par la suite enchainé avec A Christmas Festival de Leroy Anderson, un des classiques par excellence du répertoire orchestral du temps des fêtes.  Le défi dans ce pot-pourri de plusieurs airs et cantiques de Noël connus réside dans les différentes transitions et les changements de caractères et de dynamique propres à chaque pièce. Thomas Le Duc-Moreau a dirigé cette pièce avec précision et élégance, passant à travers chacun des airs comme Joy to the WorldDeck the HallsGod Rest Ye Merry GentlemenVive le vent et bien d’autres avec aisance.

Un des moments forts de la soirée a été l’interprétation du Minuit, chrétiens par la soprano Magali Simard-Galdès. Elle possède un timbre clair, perçant, envoûtant et puissant qui sied parfaitement au caractère solennel de ce chant d’Adolphe Adam. Les deux jeunes chanteurs de la soirée se sont alors retrouvés pour interpréter The Twelve Days of Christmas dans un arrangement de Simon Leclerc. Orchestralement diversifié, l’enrobage musical dirigé de manière délicate par le chef, a laissé place aux chanteurs qui racontaient avec plaisir ces paroles saugrenues.

Simard-Galdès était tout à fait pétillante à la fois dans ses interventions et entre celles-ci. Notons cependant que le dosage entre la masse sonore de l’effectif orchestral et les chanteurs que vers la fin de la pièce, rendait compte de l’acoustique sèche et peu amicale de la salle André-Mathieu envers les chanteurs, dont nous perdions le texte dans les fortissimos de l’orchestre. Le concert s’est conclu avec exubérance par l’interprétation de Réjouissances de Gilles Bellemare, une fantaisie orchestrale truffée d’airs de Noël et d’airs québécois familiers.

Dans l’ensemble, l’Orchestre symphonique de Laval a livré une performance solide, chaleureuse, menée par un chef à la gestique ample, précis dans ses indications et calculé en ce qui a trait aux caractères et dynamiques. Immanquablement, le public est sorti du concert avec un excellent aperçu du temps des fêtes, avec des mélodies plein la tête.

crédit photo : Gabriel Fournier

classique

Orchestre symphonique de Laval: Fêtes – Fauré et célébrations

par Rédaction PAN M 360

L’Orchestre symphonique de Laval vous invite à sa série de Grands concerts, comprenant quatre soirées thématiques captivantes. Rencontrez notre premier violon, Antoine Bareil, en tant que soliste interprétant le Deuxième concerto pour violon de Felix Mendelssohn. Pour les fêtes de fin d’année, plongez-vous dans le Requiem de Gabriel Fauré et dans d’autres airs populaires religieux et folkloriques. Vivez une soirée unique de jazz symphonique en compagnie de Yannick Rieu et Lionel Belmondo. Enfin, laissez-vous emporter par la découverte du violoncelliste Bryan Cheng, qui interprétera une composition de la méconnue Marie Jaëll.

The Orchestre symphonique de Laval invites you to its Grands concerts series, featuring four captivating thematic evenings. Meet our concertmaster, Antoine Bareil, as soloist performing Felix Mendelssohn’s Second Violin Concerto. For the festive season, immerse yourself in Gabriel Fauré’s Requiem and other popular religious and folk tunes. Experience a unique evening of symphonic jazz with Yannick Rieu and Lionel Belmondo. Finally, let yourself be carried away by the discovery of cellist Bryan Cheng, who will perform a composition by the little-known Marie Jaëll.

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Ce contenu provient de l’Orchestre symphonique de Laval et est adapté par PAN M 360.

classique occidental / période romantique

OSL | Rencontre(s) au sommet avec Antoine Bareil et Adam Johnson

par Alexandre Villemaire

La thématique de la rencontre rythmait le premier concert de la saison 2024-2025 de l’Orchestre symphonique de Laval qui s’est donné le 30 octobre.

Le rendez-vous annoncé en tête d’affiche était celui entre Antoine Bareil, violon solo de l’OSL et le magistral Concerto pour violon no 2 en mi mineur de Felix Mendelssohn. Mais, de manière plus large, ce qui s’est dessiné tout au long de la soirée était des rencontres : la rencontre entre la sœur et le frère Mendelssohn, la rencontre entre le chef invité Adam Johnson et l’orchestre, des rencontres au grès de promenades entre différents tableaux musicaux, mais surtout une rencontre entre l’orchestre et son public. Un public fidèle et au rendez-vous qui s’était déplacé en grand nombre pour remplir la quasi-totalité de la Salle André-Mathieu. Un peu plus de 500 personnes, nous a-t-on dit.

Programmer en première partie les deux enfants prodiges de la famille Mendelssohn a donné l’occasion à Adam Johnson – dont les interventions pour présenter chacune des œuvres de la soirée étaient pertinentes – de mettre de l’avant le talent certain de Fanny et de Félix, lié par le sang, mais séparé par les conventions de leur époque. Le concert a commencé avec l’Ouverture en do majeur de Fanny Hensel Mendelssohn. Œuvre rarement interprétée et seule pièce pour orchestre de la compositrice, elle présente une structure conventionnelle et une écriture claire et riche en vitalité divisées en trois parties : une introduction au caractère noble soutenu par une basse de vents au-dessus de laquelle les cordes tissent de délicats motifs ; une deuxième section plus animée où une interaction entre deux thèmes contrastants se dessine entre les bois et les cordes et une finale festive et claironnante. Dans chacun de ces passages, le chef Johnson amène les changements de dynamiques et de textures avec fluidité et précision. Les bois étaient particulièrement solides en complémentarité avec les lignes virtuoses des cordes de la partie rapide.

Le Concerto pour violon no 2 de Felix Mendelssohn, un des plus connus et importants du répertoire, nous plonge dans un tout autre caractère, entre drame et lyrisme. Antoine Bareil, premier violon de l’orchestre, en était à sa première interprétation de l’œuvre et le moins que l’on puisse dire, c’est qu’il a relevé le défi avec brio. Dès l’énonciation du thème appassionato, du premier mouvement, Bareil donne le ton avec une entrée en matière énergique et incarnée. Dans la cadence, le soliste fait chanter son instrument et met en valeur l’étendue de celui-ci. Il effectue un véritable travail d’orfèvre, sculptant chaque son de manière méticuleuse avec une précision d’attaque et une grande agilité. Le deuxième mouvement, enchaîné attacca, offre un thème lyrique et langoureux dans lequel Johsnon met en valeur le timbre de l’orchestre tout en laissant l’espace nécessaire à Antoine Bareil pour déployer son jeu. La communication était visible et symbiotique entre les deux comparses, malgré certains moments où l’on avait l’impression que le tempo pressait un peu. Se concluant par un troisième mouvement aux traits virtuoses teintés d’un vernis presque humoristique, cette performance a été captivante et a maintenu le public en haleine jusqu’à la dernière note.

La deuxième partie de la soirée présentait les Tableaux d’une exposition de Modest Moussorgski, œuvre composée à l’origine pour le piano, mais fréquemment interprétée par des grands ensembles avec l’orchestration de Maurice Ravel. Typique de la musique à programme, l’œuvre présente une succession de pièces inspirées de différentes peintures où des interludes musicaux (promenades) servent de liant entre les tableaux. Contrairement à des interprétations qui font jouer le thème de la « Promenade » de manière très liée, notamment lorsqu’il est repris par les cordes, Adam Johnson conserve le caractère de marche instauré par les cuivres dans cette section, ce qui accentue le caractère de déambulation entre les différents tableaux. Ceux-ci ont par ailleurs tous été exécutés avec un engagement et une précision dynamique qui faisait ressortir toute la richesse de l’orchestration. Mentionnons pour en nommer quelques, Gnomus, avec son caractère insolite, Il vecchio castello, où le duo entre le saxophone alto (Ludovik Hinse-Lesage) et le basson (Michel Bettez) était d’un grand lyrisme, Bydlo avec ses grondements de contrebasses et de violoncelles qui encadrent le grognement de l’euphonium (Sébastien Côté) et la Grande porte de Kiev qui a conclu l’œuvre dans une marche majestueuse et triomphale. 

En grande forme, l’Orchestre symphonique de Laval a fait forte impression pour cette ouverture de saison. L’énergie, la vigueur et la musicalité qui ont enveloppé la Salle André-Mathieu annoncent de belles choses pour la suite de celle-ci.

crédit photos: Gabriel Fournier

indie rock / Musiques du Monde / pop baroque / psychédélique

Vampire Weekend à la Place Bell | Aguerris et généreux

par Sami Rixhon

Ezra Koenig et sa bande de vampires foulaient le sol québécois pour la première fois depuis cinq ans ce mercredi alors que le groupe présentait au public de la Place Bell son fantastique nouvel album, Only God Was Above Us. Vampire Weekend a parfaitement pioché pendant plus de deux heures dans ses différentes époques pour démontrer l’immense palette musicale qu’il est capable de concevoir.

Quatre jours après avoir reçu la mythique PJ Harvey, le public de la Place Bell a été gâté de nouveau par de talentueux artistes alternatifs américains, j’ai nommé le trio new-yorkais Vampire Weekend.

Le set commence aux alentours de 20h20 d’une manière assez classique avec Campus, Boston (Ladies of Cambridge) et One (Blake’s Got a New Face), toutes tirées de leurs années 2007/2008. Le trio se trouve devant un rideau sur lequel on peut lire le nom du groupe sobrement écrit blanc sur noir, jusqu’à ce que… eh bien jusqu’à ce que le rideau tombe sur l’apothéose du morceau Ice Cream Piano et dévoile quatre autres musiciens, un décor rappelant le réacteur d’un avion à l’arrière de la scène et une autre série de projecteurs. On se doutait un peu au fond de nous que la performance n’allait pas être aussi conventionnelle pendant l’entièreté du spectacle. Un tel effet en concert, c’est toujours un grand oui.

Vampire Weekend présente des succès de ses quatre premiers albums (Vampire Weekend, Contra, l’excellent Modern Vampires of the City et Father of the Bride), mais s’attarde naturellement à sa dernière offrande, Only God Was Above Us, sortie il y a un peu plus de cinq mois. Au total, neuf des 10 chansons de l’opus seront interprétées. Parlons de l’album, d’ailleurs : après un virage un peu plus pop « classique » avec Father of the Bride en 2019, les Vampires s’offraient cette année un retour aux sources à base d’indie rock, de pop baroque, de shoegaze, de rythmes latin et caraïbéens… name it. Un bijou qui s’écoute d’une traite, et mon album de l’année, personnellement.

Koenig est un excellent frontman, pas le plus expressif dans ses mouvements ou son attitude, mais il fait exactement ce qu’on lui demande dans le cas de Vampire Weekend : exceller dans tous les styles. D’abord sentimental sur Unbearably White, mais aussi réfléchi sur Mary Boone ou encore puissant sur Capricorn. Pour proposer toute la richesse musicale des morceaux sur scène, les musiciens se déplacent d’instrument en instrument, dont Ezra Koenig qui se paiera un solo de saxophone sur la déjanté New Dorp. New York. Des multi-instrumentistes comme on en voit de moins en moins aujourd’hui. À mon humble avis, Vampire Weekend est certainement l’un des groupes les plus talentueux et novateurs de la scène alternative depuis 2008, année de leurs débuts discographiques.

Entre deux morceaux, le meneur de Vampire Weekend s’adresse à une fan du groupe de 9 ans dans le parterre en apprenant que c’est son premier concert, lui remerciant d’être venue. Il profite également de l’occasion pour saluer les gens de Laval, mais surtout ceux de Montréal, sachant que la Place Bell n’est pas particulièrement remplie d’habitants de la Rive Nord (sachant aussi qu’ils ne se trouvent pas à Montréal en ce moment, simplement). Ce sont des petites attentions, des petits détails comme ça qui confirment que le groupe ne passe pas complètement sur le pilote automatique pendant une tournée.

Après deux heures de concert, Vampire Weekend clôt la partie régulière de son spectacle sur Hope. Les membres quittent un à un la scène, jusqu’à ce que le bassiste du groupe, Chris Baio, joue les dernières notes, seul face au public.

En rappel, Vampire Weekend propose un exercice pour le moins original et périlleux : prendre n’importe quelle requête de chansons qui n’ont pas été écrites par Vampire Weekend. Ça passe de Don’t Look Back in Anger à Chop Suey!, sans oublier So Long Marianne, Man! I Feel Like a Woman! ou encore I’m Still Standing. Les interprétations sont chaque fois hasardeuses, Koenig avouant une chanson sur deux que la moitié du groupe n’en connaît pas les accords. Une clôture amusante et pleine de bonne volonté.

À la prochaine, chers Vampires.

LISTE DES CHANSONS AU PROGRAMME

1. Campus
2. Boston (Ladies of Cambridge)
3. One (Blake’s Got a New Face)
4. Ice Cream Piano
5. Classical
6. Connect
7. White Sky
8. Step
9. This Life
10. Sympathy
11. New Dorp. New York (reprise de SBTRKT)
12. The Surfer
13. Unbearably White
14. Oxford Comma
15. Capricorn
16. Gen-X Cops
17. Diane Young
18. Cousins
19. A-Punk
20. Prep-School Gangsters
21. Mary Boone
22. Obvious Bicycle
23. Harmony Hall
24. Hope

RAPPEL

1. Tempted (reprise de Squeeze)
2. Don’t Look Back in Anger (reprise d’Oasis)
3. So Long Marianne (reprise de Leonard Cohen)
4. Here Comes Your Man (reprise des Pixies)
5. Chop Suey! (reprise de System of a Down)
6. How You Remind Me (reprise de Nickelback)
7. Dangerous Night (reprise de The Night Is a Knife)
8. The Boys Are Back in Town (reprise de Thin Lizzy)
9. Man! I Feel Like a Woman! (reprise de Shania Twain)
10. You’re Still the One (reprise de Shania Twain)
11. I’m Still Standing (reprise d’Elton John)
12. This Must Be the Place (Naive Melody) (reprise de Talking Heads)
13. Walcott

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classique

Carte blanche à Marie-Josée Arpin à l’Église Saint-Pie-X

par Rédaction PAN M 360

Marie-Josée est violon-solo associé à l’Orchestre symphonique de Laval depuis 1999. Diplômée du Conservatoire de musique de Montréal dans la classe de Raymond Dessaints, elle poursuit des études à la Longy School of Music de Cambridge au Massachusetts. De retour au pays, elle devient rapidement une pigiste très en demande dans différents orchestres de la région montréalaise et obtient en 2015 le poste de violon-solo à l’Orchestre de Trois-Rivières. Marie-Josée a été second violon du Quatuor Claudel-Canimex de 1989 à 2009 et continue activement à faire de la musique de chambre avec ses collègues de l’Orchestre. Pour clôturer la série des Chambristes de la saison, Marie-Josée nous propose un large répertoire d’œuvres de compositeurs allant de Handel à John Lennon en passant par Mozart et Scott Joplin.

Marie-Josée has been associate concertmaster of the Orchestre symphonique de Laval since 1999. A graduate of the Conservatoire de musique de Montréal in Raymond Dessaints’ class, she went on to study at the Longy School of Music in Cambridge, Massachusetts. Upon her return to Canada, she quickly became an in-demand freelancer with various orchestras in the Montreal region, and in 2015 was awarded the position of violin soloist with the Orchestre de Trois-Rivières. Marie-Josée was second violin with the Quatuor Claudel-Canimex from 1989 to 2009, and continues to perform chamber music with her Orchestra colleagues. To close the season’s Chamber Players series, Marie-Josée offers a wide repertoire of works by composers ranging from Handel and John Lennon to Mozart and Scott Joplin.


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classique

L’Orchestre symphonique de Laval à la Salle André-Mathieu

par Rédaction PAN M 360

Dans des œuvres de compositeurs et de compositrices des Amériques, d’hier et d’aujourd’hui, venez entendre la célèbre Rhapsody in Blue de Gershwin interprétée par la jazzwoman québécoise Lorraine Desmarais, ainsi que la populaire Symphonie du Nouveau Monde de Dvořák dirigée par l’étonnante et dynamique cheffe d’orchestre Naomi Woo.

In works by composers from the Americas, past and present, come and hear Gershwin’s famous Rhapsody in Blue performed by Quebec jazzwoman Lorraine Desmarais, as well as Dvořák’s popular New World Symphony conducted by

dynamic conductor Naomi Woo.


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classique

Carte blanche à Helga Dathe à l’Église Sainte-Dorothée

par Rédaction PAN M 360

Carte blanche à notre second violon Helga Dathe et son ensemble StringKatz. Ce quatuor, formé de deux violonistes, une violoncelliste et une pianiste, a choisi un répertoire allant du romantique à de belles chansons populaires.

Carte blanche for our second violinist Helga Dathe and her StringKatz ensemble. This quartet, made up of two violinists, a cellist and a pianist, has chosen a repertoire ranging from romantic to popular songs.


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classique

Carte blanche à Jean-Philippe Tanguay à l’Église Saint-Martin

par Rédaction PAN M 360

Seconde flûte et piccolo à l’Orchestre symphonique de Laval depuis sa fondation, Jean-Philippe poursuit aussi une carrière de chambriste et de pédagogue. Diplômé du Conservatoire de musique de Montréal dans la classe de Jean-Paul Major, il poursuit sa formation dans des académies et en privé auprès d’éminents flûtistes dont Timothy Hutchins, flûte-solo de l’Orchestre symphonique de Montréal. Suite à ses études, il devient un pigiste actif sur la scène musicale de la grande région métropolitaine autant comme musicien d’orchestre que comme chambriste. Pour ce deuxième concert de la série Chambristes cette saison, Jean-Philippe nous offre un programme d’une grande variété, composé d’œuvres très représentatives du grand répertoire pour quintette à vents que lui-même appelle ses « mignardises ».

Second flute and piccolo with the Orchestre symphonique de Laval since its founding, Jean-Philippe also pursues a career as a chamber musician and teacher. A graduate of the Conservatoire de musique de Montréal in Jean-Paul Major’s class, he continued his training in academies and privately with eminent flutists, including Timothy Hutchins, principal flute of the Orchestre symphonique de Montréal. Following his studies, he became an active freelancer on the music scene in the greater metropolitan area, both as an orchestral musician and as a chamber musician. For this second concert in the Chamber Players series this season, Jean-Philippe offers us a program of great variety, made up of works highly representative of the great repertoire for wind quintet, which he himself calls his « mignardises ».


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Chanson francophone

Caroline Savoie à la Maison des Arts de Laval

par Rédaction PAN M 360

Habitée par un désir d’émancipation, Caroline Savoie lancera à l’automne prochain son troisième album, réalisé par Joe Grass. C’est à Grande-Digue, au coeur de l’Acadie qui a vu grandir Caroline Savoie, que ses nouvelles chansons sont nées pendant le temps d’arrêt imposé par les tourments pandémiques. La côte Acadienne est son propre microcosme, un environnement qui a sa propre histoire, qui fonctionne à son propre rythme et c’est dans ce paysage à la fois généreux et austère, dans ce climat aussi calme que tourmenté qu’elle a réalisé qu’elle n’a pas besoin de gros feux d’artifice pour se sentir vivante. Plus personnelles que jamais, ses nouvelles chansons sont l’incarnation même de son désir d’indépendance et de se montrer telle qu’elle est simplement. Forte d’une décennie meublée de plus de 500 spectacles à travers la francophonie canadienne et l’Europe, Caroline Savoie et ses trois musiciens, Marco Gosselin, Donald O’Brien et Alexi Rioux, retrouvent la scène pour présenter les chansons de « Bruits blancs ».

Driven by a desire for emancipation, Caroline Savoie will launch her third album, produced by Joe Grass, this autumn. It was in Grande-Digue, in the heart of Acadia where Caroline Savoie grew up, that her new songs were born during the downtime imposed by the pandemic turmoil. The Acadian coast is its own microcosm, an environment with its own history, which operates at its own pace, and it’s in this landscape both generous and austere, in this climate as calm as it is tormented, that she realized that she doesn’t need big fireworks to feel alive. More personal than ever, her new songs are the very embodiment of her desire for independence and to show herself simply as she is. After a decade of over 500 shows across French-speaking Canada and Europe, Caroline Savoie and her three musicians, Marco Gosselin, Donald O’Brien and Alexi Rioux, return to the stage to present the songs of « Bruits blancs ».


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classique

L’Orchestre symphonique de Laval présente Histoires dessinées à la Salle André-Mathieu

par Rédaction PAN M 360

Concert pour toute la famille où les talents de l’illustrateur Richard Vallerand seront mis à contribution pour mettre en images, en temps réel, Les oiseaux de Respighi et la célèbre histoire de Pierre et le loup de Prokofiev racontée par Talia Hallmona.

A concert for the whole family, featuring the talents of illustrator Richard Vallerand, who brings Respighi’s The Birds and Prokofiev’s famous story of Peter and the Wolf, narrated by Talia Hallmona, to life in real time.


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classique

L’OSL présente Pulcinella à la Salle André-Mathieu

par Rédaction PAN M 360


Venez découvrir un répertoire inspiré d’œuvres baroques revisitées par des compositeurs du 20ème siècle dont le ballet Pulcinella de Stravinski donné exceptionnellement à l’OSL dans son intégralité avec orchestre, chanteurs et danseurs, le tout sous la direction de l’excellent chef lavallois Andrei Feher.

Come and discover a repertoire inspired by Baroque works revisited by 20th-century composers, including Stravinsky’s ballet Pulcinella, performed exceptionally at the OSL in its entirety with orchestra, singers and dancers, all under the direction of the excellent Laval conductor Andrei Feher.


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pop

Ingrid St-Pierre à la Salle André-Mathieu

par Rédaction PAN M 360

C’est dans un nouvel élan qu’Ingrid St-Pierre a donné naissance à l’album Reines, dans lequel elle apprivoise ses propres codes : libres, déliés, délicats et ensoleillés. Une nouvelle facette de sa poésie se révèle et s’assume. Plus affirmée, ancrée, frontale et directe, la lumineuse auteure-compositrice-interprète raconte la beauté qui scintille comme un gâteau d’anniversaire.

Intime et authentique, son nouveau spectacle confère un sentiment de proximité inédit. Presque en dialogue avec ceux qui l’écoutent, Ingrid St-Pierre déploie une poésie qui impressionne de plus en plus au fil des ans, alors que ses textes habitent un nombre grandissant de personnes. Elle partage une histoire que l’on peut s’approprier et offre un moment de douceur où l’on peut s’arrêter.

Ingrid St-Pierre has given birth to the album Reines, in which she tames her own codes: free, loose, delicate and sunny. A new facet of her poetry is revealed and asserted. More assertive, anchored, frontal and direct, the luminous singer-songwriter recounts the beauty that sparkles like a birthday cake.

Intimate and authentic, her new show confers an unprecedented sense of closeness. Almost in dialogue with those who listen to her, Ingrid St-Pierre unfurls a poetry that impresses more and more over the years, as her texts inhabit a growing number of people. She shares a story that we can make our own, and offers a moment of sweetness where we can stop.


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