classique

OSM | Les mythiques Planètes de Holst

par Rédaction PAN M 360

L’OSM vous convie à un voyage musical dans le cosmos avec Les planètes de Holst. Depuis les tuttis fracassants de Mars jusqu’aux sonorités mystérieuses de Neptune, Holst varie les couleurs orchestrales et crée des «  peintures d’atmosphères  ». En première à Montréal, l’Orchestre interprètera Blurr is the Colour of My True Love’s Eyes de la compositrice canadienne Nicole Lizée, un concerto pour percussions évoluant en une suite de spirales qui s’entremêlent au fil de l’œuvre.

The OSM invites you on an intergalactic musical voyage with Holst’s The Planets. From the thunderous tuttis of Mars to the enigmatic soundscape of Neptune, Holst contrasts orchestral colours to create a “series of mood pictures.” The Orchestra will perform the Montreal premiere of Blurr is the Colour of my True Love’s Eyes by Canadian composer Nicole Lizée, a percussion concerto which evolves in a series of spirals that intertwine over the course of the work.

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baroque / classique / jazz

Trompette et orgue à la Maison Symphonique

par Rédaction PAN M 360

L’organiste Raúl Prieto Ramírez est reconnu pour sa virtuosité spectaculaire et son habileté à susciter l’enthousiasme du public. La jeune trompettiste Lucienne Renaudin Vary, dotée d’une inépuisable énergie, a conquis les scènes internationales grâce à sa personnalité charismatique et à son jeu lumineux. Réunis le temps d’un concert, ces deux musiciens passionnés interpréteront un répertoire très éclectique allant de la musique baroque au jazz, avec quelques incursions dans le répertoire romantique.

Organist Raúl Prieto Ramírez is known for his spectacular virtuosity and ability to rouse audiences. The unstoppable verve of young trumpeter Lucienne Renaudin Vary has conquered stages throughout the world with her charismatic, radiant performances. These two passionate musicians team up for a highly eclectic assortment of works ranging from Baroque to jazz, with a few forays into the Romantic repertoire.

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Lizée, Holst, OSM : comète, planètes, vaisseau

par Frédéric Cardin

Ce fut une soirée très haute en couleurs à la Maison symphonique ce mercredi 27 septembre. Au programme : Blurr is the Color of my True Love’s Eyes, le concerto pour percussion et orchestre de la Québécoise Nicole Lizée (donné pour la première fois au Québec), ainsi que les fameuses Planètes de Gustav Holst. Au podium, Gemma New, une jeune cheffe d’origine néo-zélandaise qui est actuellement à la tête du Philharmonique de Hamilton. Cette dernière a démontré de très belles qualités avec une direction précise et nerveuse et un investissement personnel qui allait au-delà de ses petits pas de danse. Son physique délicat vibrait au diapason de sa solide maîtrise du discours et des nuances, bien suivies par les musiciens.

Le Concerto de Lizée, dont on vous invite à prendre meilleure connaissance en lisant l’entrevue que j’ai réalisée avec la compositrice il y a quelques jours à peine, est un magnifique chaos organisé. Une œuvre pétante de textures nervurées et de couleurs provenant autant de l’impressionnant assemblage du soliste (marimba, cloches tubulaires, xylophone, batterie, synthétiseur, guitare! et pleins de gugusses ovniesques) que de l’orchestre lui-même. La matrice de base est une suite de motifs orchestraux constamment changeants, mais perpétuellement répétés, à la façon de l’école étasunienne minimaliste (Glass, Reich), par-dessus lesquels, ou entre lesquels, le soliste s’échine à cogner et frapper et colorer l’espace sonore de toutes les manières imaginables (il frappe sur une guitare et, ailleurs, sur le violoncelle de Brian Manker, première chaise de l’orchestre!). Il y a peut-être un travail d’équilibre à peaufiner (dans le rendu? Dans l’écriture?), car on perdait occasionnellement certaines interventions du soliste dans la masse orchestrale. 

Malgré les jaillissements éclatés de timbres et de sonorités diverses provenant de celle-ci, la trame générale du Concerto est pulsatile, voire groovy tout du long (quelque 30 minutes). On hoche plaisamment de la tête comme si on était dans un char qui crache sa bass rebondie. Heureusement, celle de Lizée est infiniment plus subtile, même si résolument ressentie. Parlons du soliste : Colin Currie. C’est lui-même qui créa l’œuvre l’an dernier et qui la reprenait ici. Le plaisir du spectacle réside autant dans les sonorités qu’il crée avec sa vaste instrumentation, que dans les courses parfois effrénées qu’il doit réaliser entre les parties du set-up (placées de part en part de la cheffe)! Respect.

Voilà certainement un jalon important, je pense, dans le répertoire encore occasionnel de grands concertos pour percussion. Nicole Lizée et son Blurr is the Color of my True Love’s Eyes feront date. J’ai adoré, et le public a longuement applaudi les artistes montés sur scène.

La foule était constituée d’un grand nombre de jeunes, chose plaisante à voir. Ces derniers étaient manifestement issus de groupes ou de programmes musicaux d’écoles secondaires car ils étaient attentifs et franchement impressionnés.

En deuxième partie, nous avons eu droit à de très vivantes Planètes de Holst. Gemma New a repris sur les chapeaux de roue avec la même énergie en lançant Mars, le porteur de guerre. Peut-être un peu trop précipité, car les premières secondes ont semblé vouloir dévier vers la perte de contrôle. Heureusement tout s’est replacé très vite. La jeune cheffe a convaincu l’orchestre de briller avec moult écarts de dynamique et nuances de couleurs et de textures. J’ai très peu de choses à dire qui pourraient apporter des bémols substantiels à cette performance excitante. 

J’étais avec fiston, et nous avons eu du gros gros fun. C’est comme ça qu’on aime nos soirées symphoniques!
Le concert sera repris intégralement dimanche à 14h30. Amenez votre ado, surtout s’il ou elle aime la musique de film!

classique

De Venise à Paris : la Seine en fête de Vivaldi

par Rédaction PAN M 360

En levée de rideau de la 40e saison des Violons du Roy, Jonathan Cohen est fier de présenter une œuvre ravissante et radieuse d’un Vivaldi au sommet de son art. Véritable opéra miniature, La Sena festeggiante suscite un indéniable engouement en Europe depuis quelques années. Grande fête allégorique célébrant Louis XV, l’œuvre regorge de trouvailles, invite le style français et donne le premier rôle à une basse virtuose!

As the curtain rises on Les Violons du Roy’s 40th season, Jonathan Cohen is proud to present a ravishing and radiant work by a seasoned Vivaldi at the height of his career. A veritable miniature opera, La Sena festeggiante has been attracting a lot of attention in Europe in recent years. A grand allegorical celebration of Louis XV’s time, this French-style work is full of surprises, with a virtuoso bass playing the leading role!

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classique

Rafael Payare et la Symphonie Titan de Mahler

par Rédaction PAN M 360

L’OSM accueille le pianiste Alexander Malofeev qui interprètera le Troisième Concerto pour piano de Prokofiev. Cette œuvre d’une prodigieuse vivacité fera briller de mille feux le jeune artiste. Poursuivant le cycle Mahler, l’Orchestre présentera la Première Symphonie du compositeur, l’une de ses œuvres les plus originales rehaussée par d’inventifs effets orchestraux. Quant à Lera Auerbach, elle exprime sa fascination pour la mythologie dans Icarus, une partition stimulant l’imagination.

The OSM welcomes pianist Alexander Malofeev, who will perform Prokofiev’s Third Piano Concerto, an astonishingly vigorous work which will allow this young artist to shine. The OSM continues its Mahler cycle with a performance of this composer’s highly original First Symphony, imbued with many inventive orchestral effects. Composer Lera Auerbach expresses her fascination for mythology in Icarus, a work to stimulate the imagination.

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OSM | Consécration (tardive) du prodige russe Alexander Malofeev

par Alain Brunet

Au début de l’invasion russe en Ukraine, soit en mars 2022, le jeune Moscovite Alexander Malofeev avait été retiré d’un programme de l’OSM. Le conflit trop récent avait alors conduit plusieurs sociétés de concert à jouer de prudence en « protégeant » les musiciens russes de débordements activistes et de tensions locales entre les communautés ukrainennes et russes. Ce fut le cas de l’OSM. 

S’il était plutôt simple de barrer la route aux musiciens ouvertement pro-Poutine (Valery Gergiev, Anna Netrebko, Denis Matsuev, etc.), ça l’était moins pour les autres artistes russes ne pouvant s’exprimer ouvertement sur le conflit pour des raisons évidentes de possibles représailles à leur endroit ou à leurs proches comme c’est souvent le cas dans les régimes autoritaires. Ainsi, la diffusion culturelle occidentale ne savait pas sur quel pied danser dans ce contexte et les excès de prudence ont fait des victimes avant que le tir soir rajusté. Le pianiste Alexander Malofeev avait fait les frais de cette guerre naissante qui s’enlise aujourd’hui. À l’OSM, on a fait visiblement la part des choses car les musiciens russes font partie des programmes, dont celui de vendredi et samedi à la Maison symphonique.

La musique a eu tôt fait de l’emporter sur les humeurs guerrières, il fallait être carrément bouché pour refuser l’éblouissement de ce pianiste prodigieux, qui aura 22 ans en octobre. Il a encore l’air d’un gamin, il a un physique relativement frêle, mais ce physique est capable de grandes choses. L’articulation de la main droite est absolument impeccable, la main gauche est plus que sûre (on le constatera au rappel côté Scriabine), l’expressivité du musicien étale toutes les nuances de l’émotion humaine, de la passion à l’introspection. Les fans de haute virtuosité en ont eu pour leur argent à travers les mouvements de cette œuvre magistrale (andante-allegro, andantino con variazoni, allegro ma non troppo), surtout le premier et le troisième où la vélocité de l’exécution pianistique cadrait parfaitement avec le style intense de Rafael Payare. Qui plus est, les mélomanes ont pu également savourer les nuances de son phrasé dans les séquences plus paisibles du Concerto no 3. 

En somme, on a pu assister à une version extraordinaire de l’œuvre et une réelle consécration d’Alexandre Malofeev à Montréal, avec cette conviction profonde que la musique est cette langue universelle à laquelle adhèrent tous les humains de bonne volonté. 

En début de programme, on a eu droit à un poème symphonique d’une autre artiste russe :  Lera Auerbach est une surdouée cumulant les fonctions exigeantes de compositrice, cheffe d’orchestre, pianiste, poétesse et artiste visuelle. Icarus, son œuvre au programme, avait été créée en juillet 2011 par l’Orchestre symphonique du festival de Verbier (en Suisse) sous la direction d’un certain Charles Dutoit. Inspirée du mythe d’Icare, cette œuvre substantielle a le pouvoir de plaire aux mélomanes plus conservateurs car elle maintient plusieurs balises de la musique consonante tout en explorant des zones rythmiques, harmoniques et timbrales nettement plus audacieuse. Rien à voir avec  le post-romantisme, encore moins avec le néo-classicisme, donc; on a plutôt affaire à un continuum contemporain très inspiré, avec le souci de paver la voie du mélomane de la musique symphonique moderne vers la musique orchestrale d’aujourd’hui, sans cette nostalgie ronflante qui étouffe trop souvent les perceptions soi disant expertes.


En deuxième partie de programme, Rafael Payare et l’OSM ont exécuté la Symphonie no 1 en ré majeur, dite Titan. rappelons que le processus de création de l’œuvre fut jadis relativement laborieux, soit de 1884 à 1906, année de sa version définitive en quatre mouvements. Au début de sa carrière de symphoniste, Gustav Mahler était tributaire de la période romantique qui l’avait précédé et sa facture orchestrale naissait dans un effort normal de synthèse de ses connaissances profondes. L’identité mahlérienne n’y était pas encore parfaitement affirmée d’entrée de jeu, les citations stylistiques (canons, valses, musique traditionnelle juive, entre autres) ne se fondaient pas toujours dans un tout parfaitement fluide, quoique tous les bourgeons de la façon Mahler étaient visibles. Cela dit, cette « synthèse » demeurait et demeure au-dessus de la moyenne symphonique de l’époque de sa conception, inutile d’ajouter que son exécution sera toujours pertinente. Celle de l’OSM? Jeudi soir, elle était fort défendable mais on ne peut conclure à une exécution aussi achevée et aussi mémorable que celle de la Symphonie no 5 en do dièse mineur de Mahler, en mars dernier.

classique

L’ensemble Les 9 présente Nocturne

par Rédaction PAN M 360

Au clair de lune, là où les ombres dansent et les rêves s’envolent, plongez dans une soirée envoûtante avec le concert Nocturne, de l’ensemble Les 9. Le son élégant de huit violoncelles et d’une contrebasse vous entraînera dans un voyage tissé de magie éthérée.

De l’évocatrice Sonate au Clair de lune de Beethoven à la tendre grâce du Clair de lune de Debussy, chaque pièce peint un portrait des secrets noctambules. Un concert qui vous fera voir la beauté de la nuit avec une musique qui vous transportera au cœur même de ses mystères.

Under a moonlit sky, where shadows dance and dreams take flight, immerse yourself in an enchanting evening of nocturnal melodies. Les 9’s Nocturne, featuring the elegant sound of eight cellos and one double bass, takes us on a journey that is woven around the ethereal beauty of nighttime.

From Beethoven’s Moonlight Sonata to Debussy’s Clair de lune, each piece paints a portrait of the secrets of the night. Dive into the dark with Les 9, and let the music carry you to the very heart of its mysteries.

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classique

ARIELLA & Le Concerto pour piano no. 2 de Rachmaninov

par Rédaction PAN M 360

Vous pourrez profiter d’une soirée pleine de drame et d’émotion avec ce double programme, équilibrant tradition et renouveau. Pour débuter, le pianiste Jean-Philippe Sylvestre et l’Ensemble Classico-Moderne livreront une interprétation spectaculaire du 2e concerto pour piano de Rachmaninov.

La soirée se poursuit avec des extraits d’ARIELLA de Jaap Nico Hamburger, un opéra puissant inspiré des romans d’Ariella Kornmehl et un livret de Thomas Beijer. Cette histoire touchante suit une famille traditionnelle, dont le monde est bouleversé à la mort de sa matriarche. Au fil de l’histoire, nous sommes témoins de la réalité déchirante de l’amour et de sa perte.  Ariella, la fille, doit surmonter son chagrin. Grâce à sa détermination inébranlable, elle découvre le courage de trouver sa propre voie vers la maturité.

Enjoy a night filled with drama and emotion with this dual program, balancing tradition and renewal. First, pianist Jean-Philippe Sylvestre and the Ensemble Classico-Moderne deliver a spectacular rendition of one of the most popular piano concerto ever written, Rachmaninoff’s 2nd.

The night continues with excerpts from Jaap Nico Hamburger’s ARIELLA, a powerful opera inspired by the novels of Ariella Kornmehl and a libretto by Thomas Beijer. This touching story follows a traditional family, whose world is forever changed upon the death of the family matriarch. As the story unfolds, we witness the heartbreaking reality of love and loss. The daughter, Ariella, is forced to overcome grief. Through her unwavering determination to find purpose, she discovers the courage to embrace her own maturity.

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classique

L’OSM présente le dictateur de Charlie Chaplin

par Rédaction PAN M 360

Le dictateur, premier film parlant de Charlie Chaplin, fut en nomination pour cinq Oscars, dont celui de la meilleure musique. Présenté pour la première fois en Amérique du Nord dans une version remastérisée, ce film mi-satirique, mi-humoristique, livre un message d’espoir et de tolérance à travers l’histoire rocambolesque d’un humble barbier juif, sosie du dictateur inspiré par Hitler. La trame sonore originale de Chaplin et Meredith Willson a été restaurée par Timothy Brock.

Charlie Chaplin’s first talkie, The Great Dictator was nominated for five Oscars, including one for Best Original Score. In the first North American screening of its remastered version, this half-satirical, half-comedic film delivers a message of hope and tolerance through the incredible story of a humble Jewish barber and a look-alike dictator based on Hitler. The original soundtrack by Chaplin and Meredith Willson was restored by the guest conductor for the occasion, Timothy Brock.

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classique

Bruce Liu et Yannick Nézet-Séguin : Rencontre au sommet

par Rédaction PAN M 360

Gagnant du dernier Concours Chopin de Varsovie, le Montréalais Bruce Liu a marqué l’histoire en étant le seul Canadien à remporter cet honneur. Pour son premier concert aux côtés de Yannick Nézet-Séguin, il s’attaque à un répertoire beaucoup plus fougueux : le Concerto pour piano n° 2 de Rachmaninov.

Les premières notes de la saison viendront de l’œuvre de la compositrice Cris Derksen, présentée en première mondiale et qui crée un espace où héritage classique et musique électro côtoient la vision du monde de la nation crie. Sous la direction de Yannick Nézet-Séguin, l’OM poursuit son cycle Sibelius avec la Symphonie n° 2, laquelle puise autant dans la résistance à l’envahisseur que dans le drame de son climat nordique pour offrir une pièce magistrale, où l’atmosphère change en un coup de vent.

Bruce Liu made history at the 18th International Chopin Piano Competition for being the first Canadian to be awarded First Prize. Now he’s returning home to tackle more spirited repertoire: Rachmaninoff’s Piano Concerto No. 2.

The first notes of the season will be from composer Cris Derksen. In its world premiere, Derksen’s piece creates a space where classical and electronic music encounter the Cree Nation worldview. Under the baton of Yannick Nézet-Séguin, the OM will continue its Sibelius symphonic cycle with Symphony No. 2—a masterpiece with tempestuous ambiance, in the spirit of Finnish resistance and dramatic climes.

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classique

Le Sacre du printemps par Rafael Payare

par Rédaction PAN M 360

Rafael Payare donnera le coup d’envoi de la 90e saison de l’OSM avec deux œuvres exceptionnelles. Animé d’une incomparable puissance rythmique, Le sacre du printemps de Stravinsky déploie une farouche énergie à laquelle on ne peut échapper. Une vitalité et une joie presque explosive se manifestent également dans la Messe glagolitique de Janáček. Le Grand Orgue Pierre-Béique de la Maison symphonique, dont on fêtera le 10e anniversaire durant la saison 2023-2024, occupera une place de choix dans cette pièce d’une audacieuse originalité.

Rafael Payare kicks off the OSM’s 90th season with two amazing works. Stravinsky’s The Rite of Spring is driven by an incomparable rhythmic force and fierceness. A comparable quality of explosive joy and vitality is also present in Janáček’sGlagolitic Mass, a boldly original piece featuring the Maison symphonique’s Grand Orgue Pierre-Béique as the OSM celebrates the organ’s 10th anniversary during the 2023-2024 season.

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classique

L’OUM et Daphnis et Chloé de Ravel

par Rédaction PAN M 360

L’Orchestre de l’Université de Montréal ouvre brillamment sa saison avec un concert qui parcourt trois siècles de musique. D’abord le 21e siècle, avec une création de Snežana Nešić, lauréate du Concours de composition de l’OUM 2023, puis le 20e avec des extraits du ballet Daphnis et Chloé de Ravel. Cette œuvre, dans laquelle le compositeur évoque la «  Grèce de ses rêves  », fut créée par les célèbres Ballets russes, avec Nijinski dans le rôle de Daphnis. Les couleurs chatoyantes de l’orchestre et la finesse de l’écriture teintent cette partition d’une poésie délicatement sensuelle. Quant au 19e siècle, il sera illustré par l’un de ses plus fameux représentants, Félix Mendelssohn, qui écrivit un Concerto pour deux pianos débordant de vitalité afin de l’interpréter avec sœur Fanny.

The Orchestre de l’Université de Montréal opens its season on a brilliant note with a concert that traverses three centuries of music. First the 21st century, with a premiere by Snežana Nešić, winner of the 2023 OUM Concerto Competition, then the 20th, with excerpts from Ravel’s ballet Daphnis et Chloé. That work, in which the composer evokes the “Greece of his dreams,” was premiered by the renowned Ballets Russes, with Nijinsky in the role of Daphnis. The shimmering colours of the orchestra and the delicacy of the writing imbue this score with a tantalizingly sensual poetry. As for the 19th century, that will be illustrated by one of its most famous representatives, Felix Mendelssohn, who wrote a vibrant Concerto for Two Pianos in order to perform it with his sister, Fanny.

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