On a beaucoup parlé, à sa sortie, et à juste titre, de comment la musique de ce disque intégre, et de façon totalement transparente, une foule d’éléments glanés chez divers compositeurs classiques, de Couperin à Satie en passant par Strauss et Schubert, mais beaucoup moins de la simplicité et de la délicatesse des images de Philippe B et de comment celles-ci font mouche, et encore moins de ce ton simple et modeste avec lequel il les chante, sans jamais faire d’épate, alors que c’est peut-être ce qui fait tout son charme.
