Amélie Beyries a lancé Encounter en ce mois des scorpions. Ce deuxième album complet a été réalisé par Alex McMahon, omniprésent dans l’industrie de la musique au Québec. Ces artistes sont talentueux, sincères, matures… relativement conformistes dans un courant indie de moins en moins tumultueux, de plus en plus prévisible. Les arrangements, l’environnement sonore, l’exécution, tout ça est très pro, tout ça est très correct, finement ciselé. Les textes de Beyries sont généralement écrits sans détour et révèlent pour la plupart des émotions vraies, choses de la vie privée que nous traversons toutes et tous – cassures, ruptures, regrets, fuites, secrets enfouis, difficiles introspections, « bêtes naïves au cœur du paysage »… bas et hauts. Exprimées en anglais, sauf exception, les interprétations de Beyries sont poignantes, senties, le timbre de sa voix est identifiable dès les premières mesures. C’est d’ailleurs dans les nuances de l’interprétation que cette artiste puise ses plus grandes forces. Assurément, ces chansons neuves auront une résonance auprès des fans immédiats de l’autrice, compositrice et chanteuse et pourraient même atteindre la nébuleuse des hipsters si la propagation exponentielle sur les plateformes fait son œuvre.
Tout le contenu 360
Interview classique occidental/classique
Festival de Lanaudière | Franco Fagioli et la voix du bel canto
Par Alexandre Villemaire
Critique de concert Afrique
Nuits d’Afrique | Manamba Kanté, une diva incontestable
Par Sandra Gasana
Critique de concert Afrique/électronique/latino
Nuits d’Afrique | El Gato Negro, un félin pas comme les autres
Par Sandra Gasana
Critique de concert Moyen-Orient / Levant / Maghreb
Nuits d’Afrique 2025 | Un réacteur à fusion gnawa nommé Saïd Mesnaoui
Par Frédéric Cardin
Critique de concert Afrique
Nuits d’Afrique 2025 | Sousou et Maher Cissoko : douceur et complicité
Par Frédéric Cardin
Interview classique occidental/classique
Le féminin est pluriel au Festival d’opéra de Québec
Par Alexandre Villemaire
Critique de concert classique occidental/classique
Festival de Lanaudière | Une soirée chorale réussie pour Akamus
Par Alexis Desrosiers-Michaud
Interview classique/classique occidental
Festival d’art vocal de Montréal | Former la relève en art lyrique, de la voix à la mise en scène
Par Alexandre Villemaire
Critique de concert traditionnel/soul/R&B
Nuits d’Afrique | Soul Bang’s, le roi de l’improvisation
Par Sandra Gasana
Critique de concert Afrique/blues mandingue/soul/R&B
Nuits d’Afrique | Tyrane Mondeny: l’étoile montante est arrivée à destination
Par Sandra Gasana
Interview Hip Hop/jazz/pop
Nuits d’Afrique | El Gato Negro, le son de la pop subtropicale
Par Keithy Antoine
Critique de concert Brésil
Nuits d’Afrique | Mateus Vidal & Axé Experience, « uma festa » dans la flotte
Par Michel Labrecque
Critique de concert Afrique/conte/Hip Hop/percussions
Nuits d’Afrique | Les mamans du Congo x Rrobin : un pari réussi !
Par Sandra Gasana
Critique de concert latino
Nuits d’Afrique | Less Toches: un mélange latino-montréalais à suivre
Par Michel Labrecque
Interview Antilles / Caraïbes
Nuits d’Afrique | Le konpa à l’honneur avec Baz Konpa
Par Keithy Antoine
Interview Moyen-Orient / Levant / Maghreb
Nuits d’Afrique 2025 | Saïd Mesnaoui : la fusion gnawa au coeur d’un artiste solaire
Par Frédéric Cardin
Critique de concert Antilles / Caraïbes/reggae
Nuits d’Afrique | Blaiz a mis le « Fayah » sur la grande scène TD
Par Sandra Gasana
Critique de concert reggae
Nuits d’Afrique | Loin d’une calamité, Mo’Kalamity a été une bénédiction
Par Sandra Gasana
Interview classique occidental/classique/musique sacrée
Festival de Lanaudière | Paulus & Elias : Les oratorios de Mendelssohn interprétés par Akamus
Par Alexandre Villemaire
Interview Afrique
Nuits d’Afrique | Sousou et Maher Cissoko : l’amour, de la kora et par la kora
Par Frédéric Cardin
Critique de concert Afrique