Le 7 février 2024, Neill Kirby McMillan Jr. quittait le building (en fait un bateau de croisière à San Juan, Puerto Rico).
Il est mieux connu sous le nom de son alter ego Mojo Nixon : guitariste, chanteur, acteur, grande yeule, humoriste, animateur de radio, capitaine d’équipe de luge olympique, libertarien de gauche, partyman et punk dans l’âme.
Mojo est parti, Mojo est partout.
Considéré comme l’un des premiers à avoir fait du punk acoustique, Mojo Nixon est l’exemple parfait quand on dit que quelqu’un est plus grand que nature.
C’est pendant un voyage à vélo psychédélique qu’il a l’illumination qui le baptise Mojo Nixon et qu’il trouve sa voie dans le rock’n’roll roots, le blues, le country et le punk.
Avec une drive unique, il va faire son propre chemin au travers les années 80 et 90, marquant indélébilement tous ceux qui ont eu la chance de le croiser sur la route, devant la scène ou à la radio. Venez faire un tour au cimetière.
Les chansons dans le corbillard.
Ain’t got nobody (Whiskey Rebellion, 2009)
I ain’t gonna piss in no jar (Rat Music for Rat People III, 1988)
Ain’t got no boss (Frenzy, 1986)
Jesus at McDonalds ( Mojo & Skid, 1985)
Burn Down the malls (Get out of my way, 1986)
Elvis is everywhere (Bo-Day-Shus!!!, 1987)
Debbie Gibson is Pregnant with my two headed Love child (Root Hog or die, 1989)
Don Henley must die (Otis, 1990)
Will the fetus be aborted? (avec Jello Biafra) (Prairie Home Invasion, 1994)
Buck up and stop whinin’ (Whereabouts Unknown, 1995)
Redneck Rampage (Sock Ray Blue, 1999)
Prisoner of the tiki bar (Whiskey Rebellion, 2009)
Beer ain’t drinkin ( Mojo Manifesto, 2020)
Bande annonce du documentaire
https://www.imdb.com/title/tt11916334
Photo de Scott Ambrose Reilly