L’envoûtant premier album complet d’Helen Ballentine, Quiet the Room, est le son d’une fenêtre qui s’ouvre, d’une barrière qui se dissout. Sur ces quatorze morceaux, le monde extérieur s’infiltre et le monde intérieur s’échappe. Le résultat est une œuvre étonnante et tranquillement émouvante qui reflète les voyages que nous entreprenons dans les domaines physiques et spirituels de nous-mêmes afin de nous montrer au monde. Pendant l’écriture de l’album au cours de l’été 2021, Ballentine s’est inspirée de la maison de son enfance à Mount Vernon, dans l’État de New York. Ce qu’elle a voulu capturer sur Quiet the Room, ce n’est pas l’innocence de l’enfance, comme elle est si souvent dépeinte, mais son intense complexité. Le passé et le présent fusionnent à la manière d’Escher dans cet espace onirique parsemé d’éléments de fantaisie, de magie et de mystère. Musicalement, cela se traduit par un son qui semble à la fois lourd et éphémère, comme un laps de temps où le cuivre se corrode.
Helen Ballentine’s spellbinding first full-length album Quiet the Room is the sound of a window opening, a barrier dissolving. Across these fourteen tracks, the outside world seeps in and the inside world crawls out. The result is a stunning and quietly moving work that reflects the journeys we take through the physical and spiritual realms of ourselves in order to show up for the world. While writing the album in the summer of 2021, Ballentine drew inspiration from her childhood home in Mount Vernon, NY. What she set out to capture on Quiet the Room was not the innocence of childhood, as it is so often portrayed, but the intense complexity of it. Past and present merge Escher-like in this dreamlike space laced with elements of fantasy, magic, and mystery. Musically, this translates into a sound that feels somehow weighty and ephemeral all at once, like a time lapse of copper corroding.
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