En y introduisant d’audacieuses innovations, Beethoven engage son ultime Concerto pour piano dans la voie du romantisme. Quant à la relation qui s’instaure entre le soliste et l’orchestre, elle reflète la position du compositeur dans la société du XIXe siècle, un artiste indépendant s’opposant parfois au monde qui l’entoure. L’énergie et la puissance présentes chez Beethoven animent également la Symphonie no5 de Sibelius, une œuvre lumineuse, au ton souvent conquérant.
Through its bold innovations, Beethoven’s last piano concerto opened a new path to musical Romanticism. The relationship he instilled between soloist and orchestra mirrors his social status in the 19th century: that of an independent artist sometimes at odds with the world around him. The drive and intensity of Beethoven’s Emperor Concerto also enliven Sibelius’ Symphony no. 5, a radiant work that is often triumphant in character.
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Ce contenu provient de l’Orchestre symphonique de Montréal et est adapté par PAN M 360