« J’essaie de faire un mélange tradi-moderne pour que notre musique soit écoutée et dansée ». L’intention de Dicko Fils, légitimée par sa voix couvrant plusieurs octaves, n’est rien de moins que de promouvoir les traditions Peulh et Dioula partout dans le monde en les rendant accessibles à tous les publics. Ce maître du ngoni, fait Chevalier de l’Ordre du mérite par le ministère burkinabè de la culture, a roulé sa bosse au Mali et en Côte d’ivoire, touchant au Reggae et aux rythmes Wassoulou et s’inspirant des plus grands comme Salif Keita, Oumou Sangaré et Ali Farka Touré, avant de revenir au pays et de prendre position pour la démocratisation de sa culture musicale, y adjoignant notamment des rythmes populaires tels que le coupé-décalé. Une approche qui lui a valu une ribambelle de prix en Afrique de l’Ouest.
« I try to create a traditional-modern mix so that our music can be listened to and danced to. Dicko Fils’ intention, legitimized by his voice spanning several octaves, is nothing less than to promote Peulh and Dioula traditions throughout the world, making them accessible to all audiences. This master of the ngoni, awarded the title of Chevalier de l’Ordre du mérite by the Burkina Faso Ministry of Culture, worked in Mali and Côte d’Ivoire, experimenting with reggae and Wassoulou rhythms and drawing inspiration from such greats as Salif Keita, Oumou Sangaré and Ali Farka Touré, before returning home and taking a stand for the democratization of his musical culture, adding popular rhythms such as coupé-décalé. This approach has won him a string of awards in West Africa.
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Ce contenu provient du Club Balattou et est adapté par PAN M 360.