hip-hop / rap keb

Shreez au Club Soda

par Alain Brunet

Le rappeur lavallois Shreez a récemment lancé On Frap II sous étiquette 7ième Ciel, soit la suite du premier de ses trois albums studio lancé en 2020. Il s’amène au Club Soda le vendredi 2 mai, 20h, avec ses meilleurs potes et invités spéciaux. Lisez la critique de Jacob Langlois-Pelletier et visionnez l’interview vidéo d’Alain Brunet.

Laval rapper Shreez recently released On Frap II on the 7ième Ciel label, the follow-up to the first of his three studio albums released in 2020. He comes to Club Soda on Friday, May 2, 8 p.m., with his best buddies and special guests. Read Jacob Langlois-Pelletier’s review and watch Alain Brunet’s video interview.

BILLETS ET INFOS ICI

avant-garde / musique contemporaine

Le Vivier | Corie Rose Soumah et invités: beaucoup d’aptitudes, moins de surprises

par Frédéric Cardin

Je tiens à vous dire tout de suite que j’ai passé une belle soirée malgré les bémols que je m’apprête à apposer sur la partition de cette analyse. La soirée, nommée Aptitudes matérielles, c’était celle d’une rencontre entre les scènes créatives contemporaines de New York et de Montréal, présentée à l’Espace Bleu du Wilder, dans le Quartier des Spectacles à Montréal, et ceci sous le chapeau du Vivier, indispensable catalyseur musical de la scène montréalaise. 

L’ensemble Hypercube, de New York, une quatuor hors norme formé d’un piano, d’un saxophone, d’une guitare électrique et de percussions, croisait les effluves sonores avec trois artistes montréalais, Antonin Bourgault, Antoine Goudreau et Corie Rose Soumah. Seul Bourgault s’est véritablement joint aux New-yorkais avec son saxophone. Pour les autres, c’est uniquement en tant que compositeur.trice que la relation s’est incarnée. 

Je retiens plusieurs choses de cette expérience : l’excellence des interprètes de Hypercube, un groupe soudé serré tant dans l’écoute mutuelle que dans l’impressionnante qualité technique déployée. Je retiens aussi que l’avant-garde musicale à fait du chemin depuis 50, voire 75 ans. On est rendu à un point où on peut apprécier un concert de ce genre, goûter à l’excellence interprétative manifestée et à la beauté plastique des sonorités générées sur scène, sans réellement être surpris par la proposition. C’est en effet le sentiment qui m’a assailli lors du concert : j’ai déjà entendu cela très souvent. Car dans les abstractions narratives suggérées, les nombreuses saillies timbrales, les contrastes texturaux et les jaillissements sonores, rien de vraiment révolutionnaire, voire intrigant, n’est apparu. Beau et plastiquement impeccable, mais pas surprenant ni hors des sentiers battus.

Cela dit, tel que mentionné, votre humble serviteur à tout de même passé une agréable soirée, car la musique offerte était intelligente, nourrie aux meilleurs savoirs et conçue dans un esprit évident de communication à la fois esthétique et sensoriel. 

Mentionnons d’abord la très belle spatialisation des portions acousmatiques des partitions, une octophonie (si je ne m’abuse) efficace et qui a réussi à plonger les spectateurs au centre d’agréables élans synthétiques. Musicalement, je résumerai en disant que Soumah et Goudreau sont les meilleurs pour tirer profit des possibilités coloristiques de l’ensemble Hypercube, en les intégrant dans des constructions dramatiques efficaces, discursivement éclatées mais compréhensibles. Corie Rose Soumah est l’une des voix les plus intéressantes de la relève en musique savante, et sa page Soundcloud devrait être une priorité d’écoute, si la chose contemporaine vous intéresse vraiment. 

Page Soundcloud de Corie Rose Soumah

La saxophoniste de Hypercube, la Canadienne Erin Rogers, a offert Mirror to Fire, une pièce dérivée d’une chanson de Nine Inch Nails (The Lovers, de l’album Add Violence). Devenu une sorte d’étude sur les possibilités musicales d’une séparation des piliers harmoniques et rythmiques d’une œuvre ‘’populaire’’, Mirror to Fire est la partition la plus aisée en termes de cheminement discursif qui a pu être entendue dans le concert. Soulignons que toutes les oeuvres au programme étaient des créations (mondiales pour chacune, sauf pour une des pièces de Soumah, une création canadienne).

De l’avant-garde classique, qui puise autant chez Stockhausen que dans le free jazz des années 1970, sans étonnement particulier mais d’une indéniablement séduisante facture artistique.

chanson keb franco / électro-pop / Indie

Klô Pelgag au MTelus

par Rédaction PAN M 360

Abracadabra comme une quête d’absolu, un désir de croire encore à quelque chose. Une formule qu’on aimerait voir tout régler. Un mot qu’on se répète en fixant la fenêtre. À force de le répéter, finira-t-il par ouvrir une porte à l’intérieur de soi?

Abracadabra, like a quest for the absolute, a desire to still believe in something. A formula we wish could solve everything. A word we repeat while staring out the window. If we keep repeating it, will it eventually open a door within ourselves?

LES BILLETS POUR CE SPECTACLE SONT ÉPUISÉS!

Ce contenu provient du MTelus et est adapté par PAN M 360

classique / musique de film

OSM : La magie de Harry Potter

par Rédaction PAN M 360

Depuis la sortie du film Harry Potter à l’école des sorciers, il y a 25 ans, l’engouement pour la célèbre série fantastique et ses personnages de Poudlard n’a cessé de croître. Redécouvrez les mélodies légendaires de ces films emblématiques, composées par John Williams. Que vous soyez Serpentard, Gryffondor, Poufsouffle ou Serdaigle, revêtez les couleurs de votre maison et venez vivre cette aventure en famille!

Since the release of the film Harry Potter and the Sorcerer’s Stone 25 years ago, the beloved fantasy series and its Hogwarts characters have continued to captivate audiences. Relive the unforgettable melodies from these iconic films, composed by John Williams. Whether you belong to Slytherin, Gryffindor, Hufflepuff, or Ravenclaw, don your house colours and bring the entire family for this magical adventure!

POUR ACHETER VOTRE BILLET, C’EST ICI!

Ce contenu provient de l’Orchestre symphonique de Montréal et est adapté par PAN M 360

art-rock / garage-rock / gospel / gothique / post-punk / rock / rock expérimental

Nick Cave & the Bad Seeds à la Place Bell, cours magistral de chaos contrôlé

par Stephan Boissonneault

À un âge où la plupart des leaders du rock s’évanouissent dans l’obscurité ou se retrouvent dans des tournées d’adieu maladroites commanditées par des compagnies d’assurance, Nick Cave est devenu encore plus mythique – en partie prédicateur, en partie lézard de salon, en partie fantôme. La semaine dernière, à la Place Bell, lui et les Bad Seeds ont donné un cours magistral de chaos contrôlé, prouvant qu’alors que le monde autour d’eux devient de plus en plus bon marché et stupide, leur marque particulière de menace reste obstinée et magnifiquement intacte.

La setlist est un exercice de funambulisme entre les anciens dieux et les nouveaux. Ils n’ont pas perdu de temps, et Cave, ressemblant à un mafioso, a plongé directement dans « Frogs  » – une ouverture théâtrale synthétisée qui a immédiatement séparé les touristes des vrais croyants. Alors que Cave chantonnait Kill Me, Kill Me, in the Sunday Raiiiiinnn, j’ai été immédiatement séduit.

À partir de là, Nick Cave a arpenté la scène comme un homme qui invoque les fléaux d’un simple claquement de doigts, entraînant la foule dans Wild God et Song Of The Lake. Ces nouvelles chansons de Wild God semblaient déjà être des classiques entre les mains de Cave, cousues sans couture dans le vieux tissu trempé de sang. D’une certaine manière, Wild God n’est pas une crise de la quarantaine, mais un artiste qui contrôle parfaitement sa machine à cauchemars.

Ensuite, ce fut From Her to Eternity, probablement le morceau le plus proche de The Birthday Party en concert, et l’horreur gothique et marécageuse de Tupelo. Chaque cri, chaque menace chuchotée était parfaitement calibré, sans jamais donner l’impression d’être mécanique. Cave et Warren Ellis (qui a fait du violon son esclave) étaient déjà trempés de sueur après trois chansons. Pourtant, Cave a donné aux fans ce qu’ils voulaient, en leur serrant constamment la main au milieu de la chanson ou en se faisant porter par eux.

Une mention spéciale doit être accordée aux Bad Seeds eux-mêmes – un groupe si soudé qu’il pourrait probablement pratiquer une chirurgie du cerveau sonore les yeux bandés si on le lui demandait. Les chœurs gospel qui accompagnent Cave sont spectaculaires, et Warren Ellis, toujours aussi hirsute et déséquilibré, jouait de tous les instruments qui n’étaient pas boulonnés, parfois deux à la fois. Larry Mullins a martelé la batterie avec la détermination sinistre habituellement réservée aux bourreaux médiévaux. Avec les Bad Seeds, le chaos semble avoir été répété et la perfection semble avoir été un accident. Nous avons bien sûr eu Red Right Hand, qui est bien plus sinistre en live que sur l’enregistrement, mais mon coup de cœur doit être The Mercy Seat, de Tender Prey. Cette chanson est absolument obsédante en live et possède une énergie dérangée qui restera à jamais l’un de mes meilleurs moments en concert.

Le rappel a été une véritable guerre émotionnelle : Papa Won’t Leave You, Henry s’est transformé en The Weeping Song avant de glisser vers le silence dévastateur de Skeleton Tree. C’était amusant ? Bien sûr, dans une sorte de cortège funèbre. Était-ce brillant ? Évidemment. Nick Cave & The Bad Seeds ne font plus de « shows » – ils organisent des cérémonies, et si vous avez la chance d’y assister, vous repartez un peu moins entier qu’à votre arrivée.

Crédit photos : Patrick Beaudry, evenko

classique occidental / période classique

OSM | Une matinée en légèreté

par Alexis Desrosiers-Michaud

Moins de douze heures après avoir donné une version concert de l’opéra Cosi fan tutte de Mozart dans le cadre du festival du même nom, l’Orchestre Symphonique de Montréal (OSM) et Rafael Payare présentaient deux des dernières du compositeur, soient le Concerto pour piano no 27 avec Kevin Chen et la Symphonie no 41 dite « Jupiter ». 

Dès le premier mouvement du Concerto, on sent que tout sera en finesse, avant même l’entrée du soliste. À ce moment, notre impression se confirme; les doigts flottent presque sur le clavier. S’installe alors un réel dialogue entre Chen et l’orchestre, avec qui il établit constamment un contact visuel. Le second mouvement est un vrai délice de douceur qui nous emmène ailleurs, dans un monde plaintif et reposant, quasi méditatif. Cet extrait, rempli d’émotion où les notes tenues ne meurent jamais, aurait certainement fait l’objet d’une relecture sur une application numérique.

La symphonie « Jupiter » qui suit entre dans la même veine que le Concerto, c’est-à-dire que tout est vivant, chantant, rythmé, mais avec légèreté. D’autant plus qu’« un des thèmes du premier mouvement est un air de basse écrit pour un opéra d’Anfossi  ». Il y a quelque chose de lyrique dans ce premier mouvement. 

Le troisième mouvement aurait pu être plus dansant, comme le veut la tradition du menuet. Marqué Menuetto : Allegretto, il tendait plutôt vers la deuxième partie de son surtitre, avec un peu plus de galanterie qu’à l’accoutumée. 

Le point d’exclamation de cette symphonie est sans contredit le mouvement final. En effet, la dernière page symphonique de Mozart est un bijou d’écriture contrapuntique où pas moins de 5 (!) thèmes se poursuivent sans cesse. C’est un tour de force de composition, mais également un défi pour le chef, qui doit balancer le son pour que l’ensemble ne devienne pas un fouillis, ce que Payare réussit avec brio. Constamment aux aguets, il contrôle tout. Il fait même la longue reprise, à l’instar des versions précédentes de Labadie et Nagano, mais qui n’est pas la mode sur disque. On note la présence adéquate de la timbale, cachée sur la droite, qui ponctue les phrases et fin de section, en plus d’insuffler l’énergie aux différents climax. Un petit mot pour dire que le concert s’est ouvert sur la prestation en solo du pianiste Chen dans la Fantaisie en do mineur K. 475. Ce sombre, mais très beau morceau a plutôt eu l’air d’une pièce de salon. Non pas par l’interprétation, bien au contraire, mais par le léger chahut causé par l’admission en salle des dizaines de retardataires venus en autobus pour cette matinée scolaire. Nul doute que l’écoute de ce même concert en soirée aura été différente. Il y avait cependant quelque chose de beau de voir et entendre à plusieurs reprises les « habitués » de l’OSM questionner et s’intéresser à ses jeunes venus de partout, certains portant un morceau de vêtement à l’effigie de leur programme de musique.

crédit photo : Antoine Saito

ambient / électronique / expérimental / contemporain / musique acousmatique / noise

Série Ultrasons de l’UdeM | Des sons, de l’art et de la relève

par Alexandre Villemaire

Après une première soirée où l’alignement du programme donnait dans la variété des performances, cette seconde soirée des Ultrasons 2024-2025 du 25 avril, consacrée aux œuvres des étudiant.e.s des programmes de musique numérique de l’Université de Montréal proposait un programme essentiellement acousmatique avec des œuvres sur support. 

Pour l’occasion, l’intérieur de la Salle Claude-Champagne s’est métamorphosé en dôme de haut-parleurs et fut plongé dans le noir, pour permettre une posture et une atmosphère d’écoute optimale. D’emblée il nous faut le souligner, une soirée complète de pièce acousmatique, dont la durée oscille toujours généralement autour une dizaine de minutes, n’est pas nécessairement donnée aux oreilles les plus novices et même pour les plus habituées. On peut facilement se sentir submergé par ce flot continu de sons. Les œuvres qui ont cependant été présentées, bien que conçues sur le même support, avaient toute une personnalité sonore distincte, une griffe bien personnelle. 

C’est la pièce acousmatique de Mikael Meunier-Bisson TG-DM-VAE-01 qui a ouvert la soirée. La pièce prend son titre du processus créatif qui la jalonne, soit un dialogue entre tone generator, drum machine et variational auto-encoder. La matière y est granuleuse, semi-erratique et brute. D’une écologie sonore plus fraîche, Fun2 de Felipe-Emile Francoeur, est, comme son nom l’indique, une exploration stylistique dont les sujets principaux étaient le plaisir et le jeu. On y entendait des sons traités, rappelant la pièce précédente, mais également des éléments plus organiques.

Alexandre Hamel a offert une performance audiovisuelle avec Cagliari MK0, une suite spirituelle d’un projet de lutherie numérique élaboré dans une précédente session. Présent sur scène, le jeune compositeur manipule la matière sonore à l’aide d’un microcontrôleur Daisy Seed. Il n’est pas donné de toujours voir de près la manipulation qui est faite sur la machinerie utilisée. Hamel a démontré une bonne maîtrise de la matière sonore, sans tomber dans les excès ou la perte de contrôle du son, qui aurait saturé nos oreilles.

Lors de l’entracte, le foyer de la salle Claude-Champagne a été le théâtre d’une performance de Z Neto Vinheiras avec sa pièce “here now all over again”.  Le dispositif autour duquel s’était amassée une bonne partie du public comprenait 2 guitares électriques, 2 amplificateurs, une station de no-input et quelques pédales d’effet. Il en résultait une œuvre au rythme ondulatoire et à la pulsation constante dont l’intensité contrôlée par Z Neto Vinheiras variait en intensité, passant d’un grondement sourd à de légères distorsions. 

La deuxième partie nous a donné à voir deux œuvres de vidéomusique. Citons Pieces de Kassandra Picazo, œuvre où la voix humaine est mise à l’honneur dans une superposition d’échantillonnage et Moi. Je. Elle. Est, court métrage expérimental de Gabriela Hébert où la musique venait accompagner de manière plus figurative les différents gestes de la comédienne Amélie Clément dans un environnement sonore plein de tensions.

Vivian Li, que le collègue Alain Brunet a interviewée l’année passée dans le cadre du festival Akousma, a présenté une des pièces les plus complètes au niveau du matériel textural. Baignant dans un son éthéré et cristallin en trame de fond, Sonic Memories, est un baume sensoriel, tout à fait en phase avec l’approche thérapeutique à la musique de la compositrice. Entre Deux Tempêtes de Clément Castaing, « explore les strates mouvantes de la mémoire, de l’introspection et du rêve » en utilisant comme matériau de base des enregistrements de terrains hivernaux et des mémos vocaux de l’enfance du compositeur. Il en ressort une pièce à l’esthétique décalée où les voix sont transformées, échantillonnées pour se fondre dans la nouvelle masse sonore.

Finalement, Brouillard I, pièce acousmatique d’Antonin Gougeon-Moisan mélange savant interventions d’instruments acoustiques enregistrés (piano, saxophone et clarinette basse) avec une esthétique alliant ambiant, noise et électronique dans un flot musical continu. Le traitement est savamment dosé, laissant à chaque texture un temps de développement. Il en ressort une œuvre à la fois onirique, mais aussi, par moment, explosive. Cette pièce d’ailleurs se retrouvera sur un album éponyme à paraître.

Devant une assistance d’au moins une centaine de personnes, les étudiantes ont livré des performances franches et sensibles et ont surtout démontré la maîtrise de la matière sonore qu’il possède et la variété de techniques qu’ils peuvent compter dans leur arsenal pour exprimer leur art. À aucun moment nous ne nous sommes sentis en présence de travaux juvéniles. Au contraire, chacun présentait une histoire, un but, une démarche et une esthétique qu’il nous était possible de discerner. S’il y a bien une chose que les professeurs Myriam Boucher, Dominic Thibault et Nicolas Bernier peuvent se dire, c’est qu’il y a de la relève dans le milieu. Et elle est belle et bonne.

crédit photo : Nina Gibelin Souchon

Publicité panam
art sonore / immersion

Substrat – Série sonore : IRL • Bénédicte • Michael Gary Dean & Freddy Speer

par Rédaction PAN M 360

Une expérience d’écoute exclusive et spatialisée, entre musique et art sonore, en partenariat avec le Conseil des arts et des lettres du Québec et le Conseil des arts de Montréal.
Substrat offre une expérience d’immersion sonore complète dans la Satosphère. Avec l’utilisation du son spatialisé des 93 haut-parleurs du dôme et en plongeant les spectateurs dans l’obscurité avec un minimum de distraction visuelle, l’expérience est totale.
À travers des performances musicales éclectiques, Substrat invite à découvrir la démarche créative et les univers inspirants d’artistes de la scène émergente.
Pour cette nouvelle édition, Substrat présente les œuvres de IRL, Bénédicte et Michael Gary Dean & Freddy Speer.

An exclusive, spatialized listening experience, between music and sound art, in partnership with the Conseil des arts et des lettres du Québec and the Conseil des arts de Montréal.
Substrat offers a unique sound immersion experience in the Satosphere. With spatialized sound from the dome’s 93 loudspeakers and partial darkness to accentuate the sensations, the experience is total.
Through eclectic musical performances, Substrat invites visitors to discover the creative approach and inspiring universes of artists from the emerging scene.
For this new edition, Substrat presents the work of IRL, Bénédicte et Michael Gary Dean & Freddy Speer.

POUR ACHETER VOTRE BILLET, C’EST ICI!

Ce contenu provient de la Société des arts technologiques et est adapté par PAN M 360

métal progressif / metalcore

Thornhill au Théâtre Fairmount

par Rédaction PAN M 360

Le groupe australien Thornhill, basé à Melbourne, crée une musique qui puise dans les sonorités du metalcore moderne, montrant ce que l’on peut faire de la musique rock et heavy rock lorsqu’il n’y a pas de frontières. Tandis que leur premier album, The Dark Pool, a touché les fans avec son mélange de riffs écrasants et de metalcore atmosphérique, leur deuxième album, Heroine, a vu Thornhill mettre en avant ses compétences dans les mondes de l’alternative et du rock, faisant référence à des influences sonores telles que The Smashing Pumpkins, Red Hot Chili Peppers, Silverchair et Deftones.

Melbourne, Australia based band, Thornhill, make music that harkens to flavors of modern metalcore, showcasing what can be made of heavy rock and rock music when there are no borders. Where their debut album, ‘The Dark Pool’ touched fans with its mix of crushing riffage and atmospheric metalcore, their sophomore album ‘Heroine’ found Thornhill flexing their skills in the alternative and rock worlds, referencing the sonic tapestry from the likes of The Smashing Pumpkins and Red Hot Chili Peppers, to Silverchair and Deftones.

POUR ACHETER VOTRE BILLET, C’EST ICI!

Ce contenu provient d’Audiotree et est adapté par PAN M 360

heavy metal / métal progressif / metalcore

Machine Head & In Flames au MTelus

par Rédaction PAN M 360

Machine Head

Quatuor de heavy metal de la côte ouest des États-Unis, Machine Head a marqué le mouvement New Wave of American Heavy Metal au milieu des années 90 avec ses riffs percutants et ses grooves puissants. Le style agressif et varié du groupe, mêlant thrash, groove et nu-metal, a donné naissance à des albums contemporains majeurs comme Burn My Eyes (1994), The Burning Red (1999), Through the Ashes of Empires (2003) et The Blackening (2007). Mené par le chanteur, guitariste et seul membre permanent Robb Flynn, Machine Head a sorti son dixième album studio Of Kingdom and Crown en 2022.

A hugely influential West Coast heavy metal quartet, Machine Head’s neck-snapping riffs and earth-shaking grooves helped shape the New Wave of American Heavy Metal movement of the early mid-’90s. The band’s aggressive and wide-ranging style, which combines elements of thrash, groove, and nu-metal, has yielded seminal contemporary metal efforts like Burn My Eyes (1994), The Burning Red (1999), Through the Ashes of Empires (2003), and The Blackening (2007). Led by vocalist, guitarist, and sole constant member Robb Flynn, Machine Head released their tenth studio long-player Of Kingdom and Crown in 2022.

In Flames

Groupe suédois prolifique et influent, In Flames a contribué à établir la scène du death metal mélodique moderne et du metalcore au début des années 2000. Avec des solos de guitare néo-classiques et des arrangements innovants, le groupe est passé du death metal underground à un rôle de pionnier aux côtés de groupes comme Dark Tranquillity et At the Gates. Apparu au milieu des années 90, In Flames a connu son essor en 2002 avec la sortie de son sixième album, Reroute to Remain, aux sonorités plus proches du metal alternatif. Des albums suivants comme A Sense of Purpose (2008), Siren Charms (2014), I, The Mask (2019) et Foregone (2023) ont continué d’affiner cette formule, attirant autant la critique que le succès commercial, et valant au groupe plusieurs Grammy Awards suédois.

An influential and prolific Swedish heavy metal outfit, In Flames helped establish the modern melodic death metal scene and ensuing metalcore scenes of the early 2000s. With neo-classical guitar solos and innovative song arrangements, the group progressed from underground death metal to metal music innovators alongside contemporaries like Dark Tranquillity and At the Gates. Emerging in the mid-’90s, the band hit their stride in 2002 with the release of their more alternative metal-leaning sixth studio effort, Reroute to Remain. Subsequent offerings such as A Sense of Purpose (2008), Siren Charms (2014), I, The Mask (2019), and Foregone (2023) continued to finetune the formula, drawing both commercial and critical acclaim, and earning the band multiple Swedish Grammy Awards.

POUR ACHETER VOTRE BILLET, C’EST ICI!

Ce contenu provient d’AllMusic et est adapté par PAN M 360

hommage / indie rock / rock alternatif

The Brokes au Théâtre Fairmount

par Rédaction PAN M 360

The Brokes est un hommage fidèle aux Strokes, joué note pour note, formé en 2022 par cinq figures incontournables de la scène musicale torontoise. Après ce qui devait être un concert unique pour Halloween, la demande pour d’autres spectacles s’est imposée d’elle-même et n’a cessé de croître. Avec un vaste répertoire couvrant tous les albums majeurs, The Brokes traversent avec précision, assurance et une énergie débordante les classiques intemporels et les morceaux cultes prisés des fans.
Chaque concert de The Brokes est une fête, une célébration non seulement du groupe de rock’n’roll le plus emblématique du XXIe siècle, mais aussi d’une époque. The Brokes sont la meilleure alternative aux véritables Strokes : chaque inflexion vocale, chaque choix vestimentaire et chaque son de guitare signature sont restitués avec une fidélité impressionnante par ce quintette torontois, capturant l’essence même du groupe new-yorkais.
Trop fauché pour voir les Strokes ? Essayez la meilleure alternative. Essayez… The Brokes.

The Brokes are a note-for-note tribute to the Strokes formed in 2022 by five mainstays of the Toronto music world. After what was to be a one-off Halloween show, demand for more was made clear and has only grown. With a deep repertoire of songs off of every major release, The Brokes weave through the timeless classics and fan favourite deep cuts of The Strokes catalogue with precision, poise, and unbridled energy.
Every Brokes show is a party and celebration of not just the most iconic rock ‘n’ roll band of the 21st century, but of an era. The Brokes are the next best thing to the real thing; with every crack of the voice, wardrobe choice and signature guitar tone, this Toronto-based fivesome brings you the subtleties and essence of NYC’s finest.
Too broke to Stroke? Try the next best thing to the real thing. Try… The Brokes.

POUR ACHETER VOTRE BILLET, C’EST ICI!

Ce contenu provient de Spotify et est adapté par PAN M 360

électronique / synthwave

Magic Sword au Théâtre Fairmount

par Rédaction PAN M 360

Magic Sword est un trio de fantasy synthwave dont les membres, aux identités inconnues, portent des capes noires et des masques néon. Produisant une musique électronique rétro-futuriste avec des rythmes dansants aux arpèges intenses et des solos envoûtants de guitare et de clavier, le groupe raconte à travers ses enregistrements, comme Endless (2020), la saga du Gardien de l’Épée Magique dans sa quête contre les forces maléfiques du Sombre.

Magic Sword is a fantasy synthwave trio whose members, true identities unknown, don black cloaks and neon masks. Producing retro-futuristic electronic music with arpeggio-heavy dance beats and wailing guitar and keyboard solos, the band’s recordings, such as 2020’s Endless, detail the saga of the Keeper of the Magic Sword on his quest against the evil forces of the Dark One.

POUR ACHETER VOTRE BILLET, C’EST ICI!

Ce contenu provient d‘AllMusic et est adapté par PAN M 360

Inscrivez-vous à l'infolettre