punk rock

Yoo Doo Right au Ministère

par Rédaction PAN M 360

Le trio de rock expérimental Yoo Doo Right (Montréal, CA) marie notes de guitare mélodiques et bruyantes, trames de synthétiseurs trafiqués, lignes de basse étoffées et déchaînements percussifs calculés, créant un puissant mur de son. Dans son approche expérimentale, le groupe réunit habilement des éléments du shoegaze, du post-rock et du psychédélisme, et érige un son qui s’apparente à celui d’un « accident de la route au ralenti ».

Experimental rock trio Yoo Doo Right (Montreal, CA) combines melodic and noisy guitar notes, doctored synthesizer patterns, fleshed-out bass lines and calculated percussive outbursts to create a powerful wall of sound. In their experimental approach, the band skillfully combines elements of shoegaze, post-rock, and psychedelia, and builds a sound that is akin to a « slow-motion traffic accident.


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néo-soul / R&B

Magi Merlin au Studio TD

par Rédaction PAN M 360

 Après avoir conquis un public marginal avec ses microalbums DrugMusic, On My Way to the Listening Party et les singles qui ont suivi,l’énigmatique Magi Merlin (prononcé MADGE-eye) prend son envol avecGone Girl, son projet le plus audacieux à ce jour.

Réalisé par Funkywhat, le beatmaker, bassiste et collaborateur de longue date de Merlin, Gone Girl tire ses influences de la house desannées 90, du drum and bass, de Motown et d’un hip-hop aux accent sacidulés.

La voix de l’artiste rappelle l’atmosphère brumeuse d’un afterhours dont les vitres auraient été fracassées par les vibrations d’une ligne de basse. Se décrivant elle-même comme une « nihiliste espiègle », elle fusionne des scats jazzy, du rap et des breakbeat pour aborder des sujets tels que l’angoisse générationnelle, les fausses amitiés et le racisme.

GRATUIT!

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indie pop / psychédélique

Of Montreal à La Tulipe

par Rédaction PAN M 360

Originaires d’Athens, en Géorgie, of Montreal s’est taillé une place à part en s’imposant comme un groupe qui fait vibrer ses fans grâce à des prestations scéniques captivantes, qui ravit les critiques grâce à ses innovations constantes et qui met continuellement en valeur son évolution musicale en puisant dans un ensemble d’influences différentes pour chaque album.

Le principal auteur-compositeur Kevin Barnes déverse ses émotions – chagrin d’amour, frustration, exaltation, fantaisie – dans des paroles qui passent de personnages adoptés à des alter ego inventés, puis à des vues imprenables directement dans leur psyché.

Hailing from Athens, GA., of Montreal have carved their own niche – establishing themselves as a band that thrills fans with compelling live performances, delights critics with their constant innovations, and continually showcases their musical evolution by drawing from a different set of influences for each album.

Primary songwriter Kevin Barnes pours emotion – heartbreak, frustration, elation, whimsy – into lyrics that shift from adopted personas to invented alter egos to unobstructed views directly into their psyche.

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classique

Alla Zagaykevych à l’Espace Bleu du Wilder

par Rédaction PAN M 360

Dans ce deuxième concert-portrait d’Alla Zagaykevych, l’artiste ukrainienne en résidence au Vivier, nous invite à entendre trois œuvres de son répertoire et une création. Elles seront interprétées par Quasar (saxophones), Pamela Reimer (piano), Lyne Allard (violon), Hubert Brizard (violon), Marie-Annick Béliveau (soprano – Chants Libres), Corinne René (percussions – PSM).

Alla Zagaykevych, diplômée de l’Académie de musique Tchaïkovski de Kyiv et de l’Ircam à Paris, a créé de nombreuses bandes sonores, en plus de se distinguer par ses installations multimédias. Ce concert s’inscrit dans le cadre d’une résidence de création au Vivier et se veut un témoignage de résilience de l’artiste, qui a dû quitter son pays en guerre. « Patientent devant moi les jours de la frayeur – Les jours implacables. »

In this second concert-portrait of Alla Zagaykevych, the Ukrainian artist in residence at Le Vivier, invites us to hear three works from her repertoire and one creation. They will be performed by Quasar (saxophones), Pamela Reimer (piano), Lyne Allard (violin), Hubert Brizard (violin), Marie-Annick Béliveau (soprano – Chants Libres), Corinne René (percussions – PSM).

Alla Zagaykevych, a graduate of the Tchaikovsky Academy of Music in Kyiv and of Ircam in Paris, has created numerous soundtracks, in addition to distinguishing herself through her multimedia installations. This concert is part of a creative residency at Le Vivier and is a testament to the resilience of the artist, who had to leave his country at war. « The days of fear wait before me – the relentless days.


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rap / soul/R&B

Lancement d’EP : YUYU au Ministère

par Rédaction PAN M 360

YUYU et ses musiciens vous invitent cordialement à venir danser et chanter le 8 février prochain afin de célébrer la sortie de son dernier EP: Dauphin. Une soirée électrisante à saveur prononcé de rap québécois et aux arôme de néosoul, de reggae et de Rnb.

YUYU and his musicians cordially invite you to come dance and sing on February 8th to celebrate the release of his latest EP: Dauphin. An electrifying evening with a pronounced Quebec rap flavor and the aroma of neosoul, reggae and Rnb.


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musique de chambre

Duo Nova – Rencontres folkloriques

par Rédaction PAN M 360

Passant du lyrisme de Sibelius à l’agitation des Madrigals de Martinu, incorporant les influences folkloriques mexicaines du compositeur Manuel Ponce et hongroises de Béla Bartók, vous serez transportés par ce programme chaleureux. Le duo vous convie à un concert lors duquel vous découvrirez une variété d’œuvres méconnues pour cette formation de musique de chambre également peu exploitée. 

Le Duo Nova est une formation de musique de chambre faisant leur début sur scène en 2021. Formé de la violoniste Camille Poirier-Lachance et de l’altiste Marilou Lepage, ce duo porte la mission de faire découvrir du répertoire contemporain, des œuvres écrites par des compositrices, la musique du 19e et 20e siècles, ainsi que des œuvres de compositeurs moins joués. Leur expérience individuelle en tant que chambriste leur permettent d’interpréter les œuvres classiques avec justesse et les pièces contemporaines avec des intentions qui leur sont propres. Croyant fortement à la démocratisation de la musique classique par l’éducation, les musiciennes du Duo Nova souhaitent amener le public à faire des découvertes musicales inusitées et originales et ainsi contribuer à leur façon à l’avancement du milieu artistique québécois.

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blues

Djely Tapa et Dawn Tyler Watson à La Tulipe

par Rédaction PAN M 360

Réunies sur scène pour la première fois, Djely Tapa et Dawn Tyler Watson nous convient à un voyage musical fabuleux dans l’univers du Blues, puisant dans la tradition africaine pour l’une et dans le blues traditionnel américain pour l’autre. Ces femmes-artistes, accomplies et talentueuses, mettront en commun leur voix puissante, leur créativité, leurs connaissances musicales et leur présence scénique qui ne laisse personne indifférent. 

Toutes deux lauréates d’un Prix Juno en 2020 – Meilleur album Blues pour l’époustouflante Dawn Tyler Watson et Meilleur album Musique du Monde pour la captivante Djely Tapa. 

Cette soirée sera le résultat d’une cocréation exclusive entre deux passionnantes interprètes qui, accompagnées de leurs musiciens respectifs, performeront en symbiose lors de cette rencontre des origines du blues!

Together on stage for the first time, Djely Tapa and Dawn Tyler Watson invite us on a fabulous musical journey into the world of blues. Strongly rooted in African tradition, on the one hand, and traditional American blues on the other, these two accomplished and talented female artists will combine their powerful voices, creativity, musical knowledge and spellbinding stage presence for one spectacular evening. Both artists are winners of a 2020 Juno Award — Best Blues Album for the incredible Dawn Tyler Watson and Best Global Music Album for the captivating Djely Tapa. The evening show is a co-creation between two passionate vocalists who, along with their respective accompanying musicians, will come together to honour the origins of the blues.

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classique

Musique pour Soprano, violoncelle et piano à la Chapelle Historique du Bon-Pasteur

par Rédaction PAN M 360

Vanessa Croome- Soprano

La curiosité de la soprano canadienne Vanessa Croome pour les répertoires anciens et nouveaux, associée à une présence dynamique sur scène, l’a propulsée dans le monde de l’opéra et de la musique classique. Décrite comme « un incroyable talent vocal… qui nous a émus aux larmes » (Ludwig Van Montreal), Vanessa se fait rapidement un nom dans le monde de la musique classique.

Canadian soprano Vanessa Croome’s curiosity for repertoire both new and old paired with a dynamic stage-presence has launched her into the world of opera and classical music. Described as “an incredible vocal talent…moved us to tears” (Ludwig Van Montreal), Vanessa is quickly building a name for herself in the world of classical music.

Sahara von Hattenberger, violoncelle

Sahara von Hattenberger est une violoncelliste professionnelle de Vancouver, au Canada. Diplômée de l’École de musique Schulich de l’Université McGill, elle a fait ses études primaires avec Matt Haimovitz, Brian Manker, Ariel Barnes et Elizabeth Dolin, et a reçu des cours supplémentaires de Colin Carr, Johannes Moser, Phillipe Muller et Truls Mork.

Sahara von Hattenberger is a professional cellist from Vancouver, Canada. As a graduate of the Schulich School of Music at McGill University, , she completed her primary studies with Matt Haimovitz, Brian Manker, Ariel Barnes, and Elizabeth Dolin with additional tutelage from Colin Carr, Johannes Moser, Phillipe Muller, and Truls Mork.

Kyoko Hashimoto, piano

Kyoko Hashimoto est née à Tokyo et a commencé à étudier le piano à l’âge de trois ans. Après avoir obtenu son diplôme de l’école de musique Toho-Gakuen de Tokyo, elle a étudié à l’International Menuhin Music Academy, à l’université d’Indiana et à la Juilliard School. Elle a reçu des bourses complètes de la Menuhin Academy et de la Juilliard School. Parmi ses professeurs figurent György Sebök, Menahem Pressler, György Janzer, William Masselos, György Sandor, Felix Galimir, György Kurtág et Ferenc Rados.

Kyoko Hashimoto was born in Tokyo and began to study the piano at the age of three. After graduating from the Toho-Gakuen School of Music in Tokyo, she studied at the International Menuhin Music Academy, Indiana University and the Juilliard School. She received full scholarships from the Menuhin Academy and the Juilliard School. Among her teachers were György Sebök, Menahem Pressler, György Janzer, William Masselos, György Sandor, Felix Galimir, György Kurtág and Ferenc Rados.

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afro-cubain / latino

Julian Gutierrez’s Project à la Salle Émile-Legault

par Rédaction PAN M 360

Le projet de Julian Gutierrez réunit d’excellents musiciens dans un spectacle de « Nueva Trova », style de chanson cubaine en intégrant des éléments de la modernité.

La musique de Julian Gutierrez conserve les instruments caractéristiques de la musique afro-cubaine en plus d’incorporer des concepts propres au jazz.  La sonorité est à la croisée de la modernité et de la tradition, épicée avec un soupçon de ce qu’on appelle le ‘’Gran Caribe’’.

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L’opéra La Flambeau de David Bontemps : un conte haïtien de portée universelle

par Frédéric Cardin

Mardi 7 février 2023, soir de première mondiale à la salle Pierre-Mercure du Centre Pierre-Péladeau à Montréal. Selon toute vraisemblance, c’est le 4e opéra de toute l’histoire haïtienne qui est mis en scène : La Flambeau de David Bontemps, sur un livret tiré de la pièce éponyme de Faubert Bolivar. Il est logique de constater que la métropole soit désormais un catalyseur de création savante d’origine haïtienne, étant donné la grande place que prend la diaspora de ce pays au Québec. Il faisait plaisir de voir que, un, la salle était comble, deux, la moyenne d’âge était substantiellement plus basse que dans un concert classique traditionnel et, trois, les Québécois à la peau foncée constituait une partie importante de l’assistance, je dirais même probablement la majorité. Bonne et belle soirée donc pour l’opéra local!

La musique

Si, à en juger par les commentaires glanés dans le public, la plupart des personnes présentes étaient profanes en matière lyrique, cela n’a en rien paru dans le degré et la qualité d’attention manifestés pendant les quelque 1 h 45 minutes que durait l’œuvre. Il faut dire que la musique de David Bontemps, jeune musicien aussi à l’aise dans le jazz que dans la musique savante contemporaine ou les traditions folkloriques et populaires de son pays, avait de quoi séduire. Consonante et souvent mélodique, celle-ci a offert au moins deux passages que l’on pourrait qualifier de véritables arias. Je ne serais pas surpris de les entendre un jour dans une émission de musique classique grand public.

Bontemps sait également bien utiliser le chromatisme et même très occasionnellement la polytonalité pour faire avancer le drame en cours et surtout illustrer les tensions intérieures des personnages. Si ces passages ont probablement dû être plus ardus pour les néophytes de la chose contemporaine, l’ensemble demeure éminemment compréhensible en termes dramaturgique et émotionnel, même pour des personnes peu habituées à ce genre de frottements harmoniques. Rien ici qui n’aurait pas été entendu au cinéma. 

La principale habileté du compositeur est dans son sens du rythme. plus de la moitié de l’opéra se passe dans un accompagnement orchestral pulsatif, un peu dans l’esprit de la musique de film ou du minimalisme étatsunien, mais construit dans des harmonies complètes et pas uniquement arpégées. Le résultat est qu’une histoire centrée sur de longs dialogues paraît en fin de compte beaucoup plus ‘’active’’ qu’on ne se l’imaginait. Ça fonctionne très bien et particulièrement (attention : divulgâcheur) dans la scène du viol. 

Les voix

L’écriture pour les voix est idiomatique, accolant des motifs récurrents (façon leitmotifs) et des univers sonores reconnaissables aux différents personnages. Monsieur, un intellectuel pétri d’idéaux républicains mais en vérité surtout imbu de lui-même, reçoit une partition faite de quelques ritournelles en apparence simplistes, se gonflant parfois d’une posture prétentieuse et même martiale (on devine le potentiel tyrannique du personnage). Madame, sa femme, semble vivre dans son propre univers en parlant aux morts de sa famille. Sa musique est également la moins séduisante, la plus tendue et tourmentée. Certains de ses passages sont peut-être ceux qui auraient bénéficié d’un resserrement dans la durée. Mademoiselle, la jeune servante qui fera les frais de l’odieuse attention de Monsieur, est celle qui reçoit les plus belles plages de tout l’opéra. Deux beaux airs lui permettent de rayonner sur tout le reste. Le premier est certainement inspiré d’une mélodie populaire traditionnelle tandis que le deuxième, à la toute fin de l’opéra, est un morceau lyrique d’une grande élégance mélodique. On s’en rappellera et on a hâte de le réentendre. L’Homme, le personnage fantastique qui arrive à la fin pour juger et condamner Monsieur, est empreint d’un accompagnement sonore imposant, sombre et tragique, comme on devait s’y attendre.

En ce qui concerne les voix, c’est la soprano Suzanne Taffot (Mademoiselle) qui remporte la palme de la vedette de la soirée. Son aisance vocale et mélodique, sa diction claire, sa voix tout simplement irrésistible, la plus belle de la distribution, a conquis le public présent. Je donnerai la deuxième place à la mezzo Catherine Daniel (Madame), parfois presque alto tellement Bontemps a fait appel à son registre grave. Un vibrato assez large et sa diction française inégale en limpidité a probablement dû rebuter une partie du public. Si la basse étasunienne Brandon Coleman avait toute la prestance et la gravité vocale pour bien établir le personnage de l’Homme, sa diction française plus que floue enlevait malheureusement de sa force dramatique potentielle. Le ténor canadien Paul Williamson se tire un peu mieux d’affaire côté langue, mais il manque souvent de puissance et n’arrive pas toujours à imposer sa présence face à l’orchestre (pourtant limité aux cordes et à un maracas!). Son timbre aigu, presque nasillard, n’était pas toujours agréable non plus. La Flambeau mérite une reprise avec deux hommes à la hauteur de ces rôles.

L’orchestre et la mise en scène

Alain Trudel dirigeait l’Orchestre classique de Montréal. Le chef a très bien découpé les lignes de la partition et bien rendu les rythmes incisifs nécessaires à la propulsion de l’action. David Bontemps a été choyé. La mise en scène, relativement dépouillée, s’appuyait sur un décor minimaliste mais adéquat : un lit, servant également de divan, comme point central, un lutrin servant de tribune à Monsieur, un meuble pour la machine à café et des livres). Des projections évocatrices sur le panneau arrière complétaient la scénographie économe mais efficace..

Malgré quelques chipotages, La Flambeau est assurément une œuvre réussie, que l’on souhaite revoir et réentendre le plus tôt possible. L’histoire, bien que campée dans le terroir haïtien, est universelle. L’hypocrisie d’une élite bien pensante ‘’faites ce que je dis, pas ce que je fais’’, la misogynie, le rapport aux ancêtres, les racines culturelles, la justice rétributrice, voilà des thèmes que tous ceux et celles présents, peu importe la couleur de leur peau et leur degré de familiarité avec la chose lyrique, ont compris viscéralement. Pour la communauté québéco-haïtienne présente, il y avait certainement un sentiment de déjà vu (rappelons-nous certains de ses dirigeants passés). Pour les Québécois ‘’de souche’’, le souvenir d’un Québec d’avant Révolution tranquille encore présent à trouvé dans la séquence du chapelet (à la fin de l’opéra, Madame raconte que Monsieur traînait tout le temps un chapelet, symbole contradictoire à la fois de civilisation et du superstition talismanique). Puis, comment douter que l’abus de pouvoir sous forme de viol d’un homme ‘’important’’ vis-à-vis une jeune femme sous-classée soit entièrement d’actualité et transportable dans n’importe quel pays du monde?

Finalement, La Flambeau est aussi une création importante et marquante historiquement pour la musique haïtienne et québécoise. C’est un nouveau trait d’union de noble stature entre deux peuples dont la destinée ici en haute latitude est probablement de n’en former qu’un seul, unique et inspirant.

La Flambeau sera enregistré par ATMA Classique, en vue d’une sortie en 2024.

drum & bass / électronique

MRD, Miley Serious, Tiga et plus encore au Igloofest!

par Rédaction PAN M 360

MRD

Issu de la scène des clubs norvégiens, MRD a élaboré son esthétique musicale à partir d’un mélange éclectique d’influences nationales et internationales.

Sa vaste expérience en tant que producteur pour des genres musicaux très divers – de la pop au hip-hop – et l’utilisation régulière de ses propres talents de chanteur ont donné forme à ses propres formes d’expérimentations de musique électronique, avec des sons mélodiques, nostalgiques et classiques se mêlant sans effort à des touches subtiles de new wave, d’ambient, de hardcore et de techno plus sombre.

Hailing from the Norwegian club scene, MRD has crafted his musical aesthetic from an eclectic mix of influences from both home and abroad.

His extensive experience as a producer for genres across the musical spectrum – from pop to hip-hop music – and the regular use of his own singing skills, have given shape to his own varying forms of electronic music experimentations, with melodic, nostalgic and classic sounds blending effortlessly with subtle touches of new wave, ambient, hardcore and darker-feeling techno. (Reprise Talent Agency)

Miley Serious

Grâce à ses sélections pointues, Miley Serious crée un univers qui lui est propre, enchaînant des sets implacables qui mêlent bass, breaks, drum’n’bass, memphis et autres, la plaçant comme l’une des résidentes du tristement célèbre Killekill Berlin et du Rex Club.

Through her sharp selections, Miley Serious creates a universe of her own, chaining relentless sets that mingle bass, breaks, drum’n’bass, memphis and more, putting her as one of the residents of the infamous Killekill Berlin and Rex Club.

TDJ

Tiga

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Ce contenu provient d’Igloofest et est adapté par PAN M 360.

indie rock / reggae

Bedouin Soundclash au Studio TD

par Rédaction PAN M 360

Bedouin Soundclash est de retour ! Le duo canadien indie rock et reggae, récipiendaire d’un prix Juno et ayant parcouru le monde avec No Doubt, Ben Harper, The Interrupters et Thievery Corporation, entame le prochain chapitre de son hétéroclite carrière avec We Will Meet in a Hurricane, un album empreint d’âme, renouant avec les racines musicales du duo.

Bedouin Soundclash is back! The celebrated Juno-awarded Canadian indie rock and reggae duo, who toured the world with the likes of No Doubt, Ben Harper, The Interrupters, and Thievery Corporation, is embarking on the next chapter of its genre-defying career with We Will Meet in a Hurricane, a soulful album digging in the pair’s musical roots.

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