This long-awaited gathering of the OSM, its new Music Director Rafael Payare and the Lanaudière public showcases the multicoloured lyricism of the young Prokofiev and the soulful wanderings of Mahler—his Fifth Symphony, with its famous Adagietto. The inaugural concert marking the 45th Festival de Lanaudière!
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THIS CONTENT IS PROVIDED BY FESTIVAL DE LANAUDIÈRE AND ADAPTED BY PAN M 360
C’est l’occasion, si longtemps attendue, de retrouvailles entre l’OSM, son nouveau directeur musical, Rafael Payare, et le public lanaudois. C’est l’occasion, tout aussi remarquable, du retour au Festival de l’incomparable violoniste Hilary Hahn. Entre le lyrisme irisé du jeune Prokofiev et les méandres de l’âme mahlérienne – la Cinquième Symphonie et son célébrissime Adagietto – c’est le coup d’envoi du 45e Festival de Lanaudière.
PROGRAMME
Sergueï Prokofiev (1891-1953)
Concerto pour violon no 1 en ré majeur, op. 19
I. Andantino
II. Scherzo : vivacissimo
III. Moderato
ENTRACTE
Gustav Mahler (1860-1911)
Symphonie no 5 en do dièse mineur
PARTIE I
I. Trauermarch. In gemessenem Schritt. Streng. Wie ein Kondukt
(Marche funèbre. D’un pas mesuré, sévère. Comme une
procession funéraire.)
II. Stürmisch bewegt. Mit größter Vehemenz
(Orageusement agité. Avec une grande véhémence.)
PARTIE II
III. Scherzo. Kräftig, nicht zu schnell (Puissant, mais pas trop vite.)
PARTIE III
IV. Adagietto. Sehr langsam (Très lent)
V. Rondo-Finale. Allegro — Allegro giocoso. Frisch (Frais)
ORCHESTRE SYMPHONIQUE DE MONTRÉAL
Hilary Hahn, violon
Rafael Payare, direction
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CE CONTENU PROVIENT DU FESTIVAL DE LANAUDIÈRE ET EST ADAPTÉ PAR PAN M 360
La série Symphonique Pop est de retour à l’Amphithéâtre Fernand-Lindsay de Joliette. Vous pourrez entendre 6 grandes voix du Québec dont Marc Hervieux, Kim Richardson, Geneviève Leclerc, Rick Hughes, Christian Marc Gendron et Sakay Ottawa, accompagnés de l’Orchestre La Sinfonia de Lanaudière, dirigé par Maestro Stéphane Laforest.
Plus de 30 musiciens seront sur scène pour interpréter les grands succès de Leclerc, Vigneault, Ferland, Charlebois, Dubois, Dufresne, Reno, Dion, Beau Dommage, Offenbach, Lapointe, Les Cowboys Fringants, Michaud et plusieurs autres.
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Ce contenu provient de la Place des Arts et est adapté par PAN M 360.
Pour le dernier programme du Festival de Lanaudière, Yannick Nézet-Séguin et l’Orchestre métropolitain passe de la fin du 19e siècle, la première tranche du 20e et l’actuel 21e.
Voici les créateurs:
Le compositeur tchèque Anton Dvořák vécut un moment de sa carrière à New York, soit à la fin du 19e siècle. L’Amérique moderne était en pleine effervescence, la musique n’y faisant pas exception. Terreau fertile pour la composition de sa symphonie la plus célèbre.
Naissait à cette époque Bohuslav Martinů, aussi d’origine tchèque et transplanté en permanence aux États-Unis pendant la Deuxième Guerre mondiale. Moderniste dans la mouvance Debussy, Ravel, Roussel (etc.) il était aussi fasciné (notamment) par la Renaissance et ses fameuses fresques italiennes. Et c’est pourquoi L’OM et YNS ont retenu Les Fresques de Piero della Francesca, H. 352.
En début de concert, Yannick Nézet-Séguin et l’Orchestre Métropolitain créent une œuvre commandée à la compositrice anichinabée Barbara Assiginaak. Autre signe de cette grande renaissance culturelle des Premières Nations.
PROGRAMME
Barbara Assiginaak
Eko-Bmijwang (Aussi longtemps que la rivière coule) – création mondiale, commande de l’Orchestre Métropolitain
Bohuslav Martinů
Les Fresques de Piero della Francesca, H. 352
Antonín Dvořák
Symphonie no 9 en mi mineur, op. 95 « Du Nouveau Monde »
Le Québécois Marc-André Hamelin interprète ce vendredi les trois concertos pour piano et orchestre de Beethoven. Ce tour de force est mené de concert avec Yannick Nézet-Séguin et l’Orchestre Métropolitain. Quiconque n’a pas encore fait l’expérience d’un concert donné par le supravirtuose établi au Massachusetts, selon plusieurs experts le plus aguerri techniquement de tous les pianistes de concert nés au Québec, voire le plus grand pianiste canadien depuis Glenn Gould. Un des très grands rendez-vous lanaudois de l’été 2021!
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Prix sous le toit, à partir de 59,75$
Prix sur la pelouse, à partir de 26,48$
ARTISTES:
Orchestre Métropolitain
Yannick Nézet-Séguin, direction
Marc-André Hamelin, piano
PROGRAMME
Ludwig van Beethoven
Concerto pour piano et orchestre no 1 en do majeur, op. 15
Concerto pour piano et orchestre no 2 en si bémol majeur, op. 19
Concerto pour piano et orchestre no 3 en do mineur, op. 37
»Prokofiev et Poulenc : deux contemporains, deux artistes happés par le tourbillon de la modernité au siècle dernier, séparés par un rideau de fer qui, à la fin de leur vie, divise l’Europe en deux. Ils se retrouvent ce soir, magnifiés par l’OSM, Jacques Lacombe et la claveciniste Mélisande McNabney ».
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Jacques Lacombe
Directeur artistique de l’Orchestre symphonique de Mulhouse, Jacques Lacombe est également professeur de direction d’orchestre au Conservatoire de musique de Montréal.
Il a collaboré avec des solistes tels que Emanuel Ax, Joshua Bell, Yefim Bronfman, Sarah Chang, Yo-Yo Ma, Branford Marsalis, Gil Shaham, Jean-Yves Thibaudet, André Watts, Diana Damrau, Joyce DiDonato, Renée Fleming, Angela Gheorghiu, Frederica von Stade, Roberto Alagna, José Cura, Juan Diego Flores, Dimitri Hvorostovsky et Bryn Terfel.
Il a travaillé en Europe avec l’Orchestre national de France, l’Orchestre Lamoureux, les orchestres de Malaga, Monte-Carlo, Nancy, Nice, Séville et Toulouse ainsi qu’avec plusieurs orchestres en Océanie et en Asie.
M. Lacombe a également dirigé plusieurs enregistrements sous étiquettes CPO et Analekta.
Mélisande McNabney
Concertiste très active, on a pu l’entendre en soliste dans les séries Clavecin en Concert et la série Jacques Dansereau à la Salle Bourgie. En musique de chambre et en orchestre, elle se joint régulièrement à des ensembles tels Les Violons du Roy, I Musici, l’ensemble Caprice, l’Orchestre du Festival Bach Montréal, Les Idées heureuses et Arion Orchestre Baroque.
»En plus de ses activités d’interprète, Mélisande poursuit également des activités de recherche en interprétation historique qui la mèneront à présenter à deux conférences à l’été 2021 : la conférence HKSNA à St. Paul, MN, aux États-Unis, et la Biennial International Conference on Baroque Music à Birmingham, au Royaume-Uni.
Diplômée du Conservatoire d’Amsterdam, où elle a étudié le clavecin, le continuo et le piano-forte dans les classes de Bob van Asperen et Richard Egarr, Mélisande a obtenu en mai 2017 son doctorat à l’Université McGill sous la direction de Hank Knox et Tom Beghin, grâce au soutien du Programme de bourses d’études supérieures du Canada Joseph-Armand-Bombardier ».
OEUVRES:
Sergueï Prokofiev
Symphonie no 1 en ré majeur, « Classique »
Francis Poulenc
Concert champêtre, FP 49
Joseph Haydn
Symphonie en ré majeur, Hob.1:104, « Symphonie de Londres »
Surtout connu pour l’opéra Carmen, le compositeur français Georges Bizet l’est beaucoup pour ses musiques sans voix humaine, notamment son langage symphonique. Entre cette Première Symphonie de Bizet et la suite extirpée du Pelléas et Mélisande de Fauré, Bryan Cheng est le soliste du Deuxième Concerto de Saint-Saëns. Le jeune virtuose canadien fut le premier violoncelliste à remporter le Grand Prix du Concours OSM (2019), tout premier lauréat canadien du prestigieux Concours international de violoncelle Paulo. Voilà tout un programme français, de la période romantique à l’aube de la modernité.
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PROGRAMME:
Orchestre symphonique de Montréal
Jacques Lacombe, direction
Bryan Cheng, violoncelle
Gabriel Fauré
Pelléas et Mélisande, op. 80 (suite)
Camille Saint-Saëns
Concerto pour violoncelle no 2 en ré mineur, op. 119
Georges Bizet
Symphonie en do majeur
Mozart et Chopin sont au programme du pianiste Charles Richard-Hamelin, qui se produit à la cathédrale de Joliette , la ville où il a grandi et dont il est assurément le virtuose le plus célèbre. Comme on le sait, Hamelin excelle dans les interprétations du compositeur romantique Frédéric Chopin, les Préludes, op.28, dans le cas qui nous occupe. Il compte aussi remonter à la période classique et plonger dans l’univers mozartien avec la Fantaisie no 4 en do mineur, K.475, et la Sonate pour piano no 14 en do mineur, K.457.
La Québécoise Karina Gauvin, actuellement la plus réputée de nos sopranos sur la planète classique, retrouve le Festival de Lanaudière, cette fois aux côtés des Violons du Roy sous la direction de Nicolas Ellis, pour un deuxième programme consécutif. Karina Gauvin y interprétera des œuvres de Joseph Hayden, Christoph Willibald Gluck et Wolfgang Amadeus Mozart.
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Pour lire l’interview de Nicolas Ellis par Frédéric Cardin, c’est ICI
PROGRAMME
Les Violons du Roy
Nicolas Ellis, direction
Karina Gauvin, soprano
Joseph Haydn
Symphonie no 39 en sol mineur, Hob.I:39
Christoph Willibald Gluck
Armide, drame héroïque en cinq actes – extraits
« Enfin, il est en ma puissance…Ah ! quelle cruauté de lui ravir le jour ! Venez, secondez mes désirs » (Acte II)
« Ah ! si la liberté me doit être ravie » (Acte III)
Wolfgang Amadeus Mozart
Symphonie no 25 en sol mineur, K. 183
La clemenza di Tito, opera seria en deux actes, K. 621 – extraits
« Deh, se piacer mi vuol » (Acte I)
« Ecco il punto, o Vitellia…Non piu di fiori » (Acte II)
Vivaldi à Venise, Boccherini à Madrid, Durante à Naples… Voilà les grands axes culturels européens qui ont façonné la culture argentine, dont fut tributaire Piazzolla à Buenos Aires, en plus de se plonger dans les musiques modernes, classiques et jazz et d’ainsi apporter une grande profondeur compositionnelle au tango argentin. Voilà l’itinéraire que proposent les Violons du Roy, cette fois sous la direction du jeune maestro Nicolas Ellis. Par la même occasion, le superbe violoniste montréalais Kerson Leon compte éblouir les mélomanes au Festival de Lanaudière, soit pour une première fois… et certainement pas la dernière.
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Pour lire l’interview de Nicolas Ellis par Frédéric Cardin, c’est ICI.
PROGRAMME
A. VIVALDI Sinfonia de L’Olimpiade, RV 725
(1678-1741) Allegro – Andante – Allegro – Allegro molto
F. DURANTE Concerto pour cordes no 8 en la majeur « La Pazzia »
(1684-1755) 1. Allegro – Affettuoso
2. Affettuoso
3. Allegro
L. BOCCHERINI Quintette à cordes en do majeur, op. 30 no 6, G. 324 (1743-1805) « La musica notturna delle strade di Madrid »
Ave Maria della Parrochia – Ave Maria del quartiere
Minuetto dei ciechi
Rosario: Largo assai
Los Manolos (Chanteurs des rues – Passacaille)
Variazioni sulla Ritirata Notturna di Madrid : tempo di una lenta marcia
A. PIAZZOLLA Fuga y misterio (arr. pour cordes de J. Bragato)
(1921-1992)
A. PIAZZOLLA Las Cuatro Estaciones porteñas (Les Quatre saisons de Buenos Aires) pour violon solo
et orchestre à cordes (arr. L. Desyatnikov)
Verano porteño (l’été)
Otoño porteño (l’automne)
Invierno porteño (l’hiver)
Primavera porteña (le printemps)
»Le langage chorégraphique de Skeels reflète sa curiosité et son amour sans cesse croissants pour l’art de la danse, et son approche cinématographique »
Les Grands Ballets sont de retour en Lanaudière, la chorégraphie d’Andrew Skeels s’arrime à une œuvre sacrée de Johannes Brahms: Ein deutsches Requiem, nach Worten der heiligen Schrift für Soli, Chor und Orchester (Orgel ad lib.) , amorcée en 1857 et finalisée en 1868 par le grand compositeur allemand, certes l’un des plus brillants de l’époque romantique.
« Son Requiem veut consoler les affligés, amener la réconciliation, exprimer la confiance en l’avenir et l’attente de la vie bienheureuse dans l’au-delà. C’est l’une des compositions les plus personnelles et les plus spirituellement édifiantes jamais écrites. Pourtant, Brahms était encore un jeune homme lorsqu’il l’a composée puisqu’il n’était âgé que de 23 ans. », peut-on lire dans les notes de programme.
Voilà un prétexte céleste pour que s’expriment les danseuses et danseurs des Grands Ballets.
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PROGRAMME
Les Grands Ballets
Ivan Cavallari, Directeur Artistique
Andrew Skeels, chorégraphe
Johannes Brahms
Ein deutsches Requiem, op. 45
L’OSM retrouve son ancien premier chef invité Jacques Lacombe. Le 250e anniversaire de Ludwig van Beethoven a été plus ou moins loupé en 2020, voilà une excellente occasion de se rattraper et de donner le coup d’envoi du Festival de Lanaudière avec les exécutions de l’Ouverture Léonore III et l’incontournable Symphonie no.5, le tout complété par une oeuvre moderne pour 23 instruments à cordes de Richard Strauss, composée en 1945. Rappelons que maestro Jacques Lacombe est professeur de direction d’orchestre au Conservatoire de musique de Montréal. Il fut chef d’orchestre principal de l’Opéra de Bonn en Allemagne de 2016 à 2018, directeur artistique de l’Orchestre symphonique de Trois-Rivières de 2006 à 2018, directeur musical du New Jersey Symphony Orchestra de 2010 à 2016 et premier chef invité de l’Orchestre symphonique de Montréal de 2002 à 2006.
PROGRAMME
Orchestre symphonique de Montréal
Ludwig van Beethoven
Ouverture Leonore III, op. 72a
Richard Strauss
Métamorphoses
Ludwig van Beethoven
Symphonie no 5 en do mineur, op. 67
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