classique

Payare et Kozhukin : intensité absolue

par Rédaction PAN M 360

La Moldau! Ou plutôt, en tchèque, « Vltava » – le fleuve le plus puissant d’Europe centrale, inspiration infinie pour Smetana, dont l’air le plus fameux dépeint à merveille sa terre natale. Entre le génie pianistique aux visages multiples de Rachmaninov – son sublime Deuxième Concerto – et l’audacieuse écriture orchestrale de Bartók, c’est toute la somptuosité mystérieuse et les emportements fougueux de ces trois créateurs qu’explorent l’Orchestre symphonique de Montréal, Rafael Payare et le pianiste Denis Kozhukhin, dans ses débuts au Québec.

The Moldau! —In Czech, “Vltava”—depicts the most powerful river of Central Europe, a never-ending source of inspiration for Smetana. Its famous melody wonderfully evokes the composer’s native land. Combined with the multifaceted pianistic genius of Rachmaninoff in his sublime Second Concerto,and the bold orchestral writing of Bartók, the mysterious sumptuousness and fiery passion of three great masters is explored by the Orchestre symphonique de Montréal, Rafael Payare, and pianist Denis Kozhukhin who makes his Quebec debut.

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classique

Concert d’ouverture : l’OSM et Payare dans la neuvième de Beethoven

par Rédaction PAN M 360

De toute l’histoire de la musique, il est peu d’œuvres aussi fortes et iconiques que la Neuvième de Beethoven, avec son puissant message humaniste, la poésie évocatrice de Schiller qui sous-tend son Ode à la joie dont la mélodie, reconnaissable entre toutes, culmine dans une explosion d’une force émotionnelle extraordinaire. Pour la première fois depuis plus de quinze ans, cette symphonie mythique résonne à l’Amphithéâtre, véritable appel à la paix, au partage, à l’amour – avec à la clé un quatuor vocal trié sur le volet, Rafael Payare et l’OSM pour inaugurer l’édition 2023 du Festival de Lanaudière!

In the history of music, there are few works that remain as powerful and iconic as Beethoven’s Ninth. Its Ode to Joy, with its compelling humanistic message inspired by the evocative poetry of Schiller, is a universally familiar melody that never fails to elicit an extraordinarily emotional and celebratory response. For the first time in over fifteen years, this legendary symphonic call to peace, fellowship and love will resound throughout the Amphitheatre, with an elite vocal quartet, Rafael Payare and the OSM kicking off the Festival de Lanaudière’s 2023 edition!

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Chanson francophone / classique

La fête nationale symphonique à l’Amphithéâtre Fernand-Lindsay

par Rédaction PAN M 360

Venez célébrer la Fête nationale du Québec et son patrimoine culturel avec un spectacle grandiose mis sur pied par les Productions Stéphane Laforest inc. à l’Amphithéâtre Fernand-Linsday de Joliette!

La Fête nationale symphonique rassemblera sur scène l’orchestre La Sinfonia de Lanaudière et ses 30 musiciens dirigés par le Maestro Stéphane Laforest, en plus de Marc HervieuxMartin Fontaine et le quatuor Tocadéo qui interpréteront de grandes chansons québécoises en version symphonique. Vous pourrez entendre des classiques appartenant à Charlebois, Ferland, Vigneault, Dubois, Lavoie, Reno, et plusieurs autres!

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Lanaudière en clôture : songe d’une pluie d’été

par Alain Brunet

La canicule des derniers jours s’étant conclue un peu trop tôt dimanche après-midi, des pluies torrentielles ont précédé l’ultime concert du Festival de Lanaudière et, malheureusement, démobilisé la vaste majorité des festivaliers ayant prévu se poser sur la pelouse. Dommage, car l’ondée s’est interrompue peu avant l’exécution des œuvres. Force est de conclure que ce programme fut à la hauteur de toutes les attentes d’une grande clôture festivalière.

Les places assises sous le toit de l’amphithéâtre Fernand-Lindsay étaient néanmoins toutes occupées. La première tranche du 19e siècle, soit la transition de la période classique à la romantique, était donc au programme de l’Orchestre Métropolitain sous la direction de notre Yannick Nézet-Séguin, superstar parmi les maestros de l’univers connu.

On passa d’abord une dizaine de minutes avec l’Ouverture en do majeur de Fanny Mendelssohn (1805-1947), moins connue que son frère Felix pour des raisons purement sexistes et patriarcales. Imaginez-vous femme compositrice il y a deux siècles! Il fallait une opiniâtreté hors du commun pour imposer son propre langage orchestral et briller parmi une communauté de compositeurs quasi exclusivement masculins. On ne s’étonnera pas que les partitions de son Ouverture en do majeur se trouvent encore dans les boules à mites, et c’est tout à l’honneur de l’OM d’en honorer la pertinence, ce qui fut fait après l’orage lanaudois.

La soliste invitée pour la deuxième œuvre au programme est une amie de YNS et de l’OM, soit la grande pianiste française Hélène Grimaud. On se souvient de mémorables moments brahmsiens passés à la Maison symphonique en juin 2014, deux ans après que la relation artistique fut amorcée entre elle et le maestro québécois avec le Philharmonique de Vienne. Nous voilà dix ans plus tard, Hélène Grimaud était dimanche invitée pour une première fois au festival de Lanaudière, afin d’y interpréter le Concerto pour piano en la mineur, op. 56 de Robert Schumann.  

La musicienne a établi le dialogue avec l’orchestre avec tous les attributs nécessaires aux excellentes interprétations : juste assez de liberté au service d’une partition parfaitement intégrée. On l’a constaté d’abord dans l’Allegro affettuoso, rigoureux et impressionnant pour son exactitude. Puis vint l’Intermezzo : Andante grazioso, séquence des plus suaves. On a vu alors Hélène Grimaud transcender sa concentration extrême et se laisser emporter par le flux symphonique pour ensuite offrir un dernier mouvement digne des plus beaux orages dominicaux, l’Allegro vivace, qui fut à la hauteur des attentes. 

La dernière œuvre au programme, une des plus connues de Felix Mendelssohn, fut composée entre 1829 et 1942. Un voyage en Écosse, où se trouvent les ruines du palais de Marie Stuart, en fut le déclencheur.

L’austérité et la gravité du premier mouvement, un Andante con moto évoquerait d’ailleurs les Highlands, le climat brumeux et froid de l’Écosse. Puis, le thème principal du second mouvement est repris par une clarinette évoquant la cornemuse. La facture générale de l’orchestre s’avère alors plus sereine, plus légère qu’au premier mouvement. L’Adagio qui suit se veut à la fois lyrique et martial comme le souligne le musicologue Robert Markov, c’est-à-dire l’imbrication d’un passage imposant et grandiose à une longue et placide envolée mélodique. La symphonie se conclut par un quatrième mouvement des plus énergiques, un Allegro vivacissimo de circonstance. 

Chose certaine, l’exécution de l’OM n’avait rien à envier à celle de la Chamber Orchestra of Europe, enregistrée chez Deutsche Grammophon sous la direction de YNS. Avec ces superbes mouvements enchaînés sans interruptions (et applaudissements inutiles), l’orchestre montréalais a visiblement comblé son chef, son public, ses profanes et ses connaisseurs.

La boucle du Festival de Lanaudière était bouclée en cet après-midi des plus écossais, comme l’a souligné d’entrée de jeu Renaud Loranger, son directeur artistique. Songe d’une pluie d’été, émergeant de l’ondée… pour employer une tournure shakespearo-mendelssohnienne.

CRÉDIT PHOTO : ANNIE BIGRAS

PROGRAMME

ARTISTES

Orchestre Métropolitain
Musiciens

Hélène Grimaud, piano
Yannick Nézet-Séguin, direction

OEUVRES

Fanny Mendelssohn

Ouverture en do majeur

Robert Schumann

Concerto pour piano en la mineur, op. 54

Felix Mendelssohn

Symphonie no 3 en la mineur, op. 56 « Écossaise »

classique occidental

Le Festival de Lanaudière présente Yannick Nézet-Séguin et Hélène Grimaud

par Rédaction PAN M 360

Mendelssohn et Schumann, deux astres suivant des trajectoires parallèles, chacun à sa manière le pont entre Beethoven et l’apothéose du romantisme allemand, entre la forme classique sublimée et la démesure de Wagner. Peinture de paysages et réminiscences nostalgiques chez le premier, brio instrumental chez le second – c’est une rencontre passionnante entre Yannick Nézet-Séguin, l’Orchestre Métropolitain et la sublime pianiste Hélène Grimaud, dans ses débuts au Festival.

Mendelssohn and Schumann: two brilliant stars whose careers ran parallel, each in his own way a bridge between Beethoven and the apotheosis of German Romanticism, between proportioned Classical form and the sweeping art of Wagner. With Schumann, we have scene painting and nostalgic reminiscences and with Mendelssohn, instrumental bravura—witness this exciting encounter between Yannick Nézet-Séguin, the Orchestre Métropolitain and the sublime pianist Hélène Grimaud, who makes her Festival debut.

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classique occidental

Le Festival de Lanaudière présente Wagner Épique

par Rédaction PAN M 360

Avec sa grandiose tétralogie L’Anneau du Nibelung – le « Ring » – Wagner allait révolutionner l’opéra, son langage musical comme sa portée théâtrale. Une œuvre de dimensions gigantesques, enracinée dans la mythologie fondatrice des peuples nordiques, héritière de la Grèce antique, néanmoins allégorie moderne sur la société, sur le pouvoir, sur l’amour. Du premier acte de La Valkyrie, deuxième des quatre opéras du cycle, Yannick Nézet-Séguin libère les forces vives, entouré de trois des plus grands chanteurs wagnériens d’aujourd’hui. Une soirée épique, après les retentissantes versions concert de Lohengrin, en 2013, et Parsifal en 2017.

With his grandiose tetralogy, The Ring of the Nibelung—the famous “Ring” cycle—, Wagner revolutionized opera’s musical language and theatrical scope. The cycle stands as an achievement of gigantic proportions rooted in the foundational mythology of the Nordic peoples, heirs to Ancient Greece, yet modern in its allegory of society, power and love. From the first act of Die Walküre, the second of the four operas, Yannick Nézet-Séguin unleashes the living force with the help of three of today’s greatest Wagnerian singers. An epic evening, after the resounding concert versions of Lohengrin in 2013 and Parsifal in 2017.

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classique occidental

Le Festival de Lanaudière présente William Christie et Théotime Langlois de Swarte : une fête baroque

par Rédaction PAN M 360

C’est un événement rarissime : trois jours après le concert des Arts Florissants à l’Amphithéâtre, leur fondateur et directeur musical William Christie se joint à leur nouveau violon solo, coqueluche de la scène baroque en Europe, sacré Révélation aux Victoires de la musique classique, pour un récital intime dans l’une de nos plus belles églises. Entre les envoûtantes sonates de Leclair et de son contemporain Senaillé, c’est à une prodigieuse fête baroque que nous convient le maître et son disciple.

Here is a truly rare event: three days following the concert by Les Arts Florissants at the Amphitheatre, their founder and musical director William Christie joins their new concertmaster, cherished by the European Baroque milieu, crowned Révélation at France’s Victoires de la musique classique, for an intimate recital in one of our most beautiful churches. The master and his disciple invite us to experience the spellbinding sonatas of Leclair and his contemporary Senaillé, and to take part in a prodigious Baroque feast.

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classique occidental

William Christie et les Grands motets de Charpentier

par Rédaction PAN M 360

De tous les compositeurs du Grand Siècle auxquels se consacrent inlassablement depuis plus de 40 ans William Christie et les Arts Florissants, Marc-Antoine Charpentier est peut-être le plus emblématique. Ce concert se veut le pendant sacré de la « fête profane » du samedi précédent, à l’Amphithéâtre : une immersion dans la musique religieuse du grand maître du baroque français, moment de grâce entre ferveur et recueillement. Entre autres merveilles, le public pourra redécouvrir la majesté du Magnificat H. 77, la bouleversante sérénité des Litanies à la Vierge, ou encore la virtuosité d’écriture des Nuptiae sacrae – ce dialogue nuptial évoquant la relation du Christ à son église.

Of all the composers of the grand siècle to whom William Christie and Les Arts Florissants have tirelessly devoted themselves for over 40 years, Marc-Antoine Charpentier is perhaps the most emblematic. This concert is the sacred counterpart to the secular “feast” of the previous Saturday at the Amphithéâtre: an immersion in the religious music of a great master of the French Baroque, a moment of grace between fervour and contemplation. Among other gems, the public will have the opportunity to rediscover the majesty of the Magnificat, H. 77, the awe-inspiring serenity of the Litanies à la Vierge, and the virtuoso writing of the Nuptiae sacrae—a nuptial dialogue evoking the relationship of Christ to His Church.

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classique occidental / opéra

Le Festival de Lanaudière présente Rossinimania!

par Rédaction PAN M 360

Michael Spyres a conquis le public lanaudois, lors de ses débuts chez nous en 2019 : beauté du timbre, sophistication du style, technique souveraine – et un cœur gros comme la Terre… S’il existe peu de chanteurs, aujourd’hui sur la planète, qui peuvent prétendre rivaliser avec le ténor américain, son compatriote Lawrence Brownlee est l’un de ceux-là. Rivalités de stars à l’horizon ? Que non ! Plutôt des feux d’artifices vocaux tel qu’on en entend rarement dans une vie, hommage amoureux à Rossini de la part d’un trio de surdoués que complète la fabuleuse mezzo québécoise Rihab Chaieb.

Michael Spyres simply conquered his Lanaudière public at his debut here in 2019 with the beauty of his tone, the sophistication of his style, his sovereign technique—and a heart as big as the world… If there are few singers today who can claim to rival this American tenor, his compatriot Lawrence Brownlee is one of them. Would there be a battle of the stars on our horizon? Not at all! Rather, vocal fireworks such as one rarely hears in one’s lifetime, a loving tribute to Rossini by a trio of gifted singers that also includes the fabulous Quebec mezzo, Rihab Chaieb.

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classique occidental

Rafael Payare dirige Daphnis et Chloé

par Rédaction PAN M 360

Entendre la musique de Daphnis et Chloé, c’est se laisser transporter vers un monde de couleurs chatoyantes et d’exotisme suave, vers les mystères d’une Grèce de légende dont seul Ravel possédait la clé. C’est aussi un voyage dans le temps, vers le Paris du début du 20e siècle, celui des Ballets Russes et leur irrésistible effervescence. Le génial pianiste Jean-Yves Thibaudet débute à Lanaudière à l’occasion de ce troisième concert de Rafael Payare et de l’OSM, offrant sa vision du colossal « Prométhée » de Scriabine, flamboyante interprétation du mythe antique. En début de programme, nous assisterons à la création québécoise d’Elysium de Samy Moussa, commandée par le Philharmonique de Vienne et le Festival.

To hear the music of Daphnis and Chloé is to be transported to a world of shimmering colours and suave exoticism, to the mysteries of a legendary Greece to which only Ravel held the key. It is also a journey through time, to the Paris of the beginning of the 20th century, that of the Ballets Russes and their irresistible effervescence. The brilliant pianist Jean-Yves Thibaudet makes his Lanaudière debut in the Festival’s third concert with Rafael Payare and the OSM, offering his vision of Scriabin’s colossal “Prometheus,” a flamboyant interpretation of an ancient myth. First on the program: we will attend the Quebec premiere of Elysium by Samy Moussa, a work co-commissionned by the Vienna Philharmonic and the Festival.

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classique occidental

Le Festival de Lanaudière présente Chants d’Oiseaux, miroirs de l’âme

par Rédaction PAN M 360

De par son naturalisme radical, le monumental Catalogue d’oiseaux d’Olivier Messiaen fait figure d’exception dans la littérature pour piano seul. Il est le grand hymne à la nature d’un créateur qui ne se lassa jamais de s’émerveiller devant la beauté stupéfiante des paysages ou la magie des chants d’oiseaux. Proche du compositeur et interprète par excellence de sa musique, Pierre-Laurent Aimard nous propose une incursion rare dans ce monde sonore, un parcours en quatre temps dans la « volière » imaginée par Messiaen, répliquant l’heure du jour à laquelle chante chacun des oiseaux.

A work of radical naturalism, Olivier Messiaen’s monumental Catalogue d’oiseaux stands apart in the solo piano literature, a great hymn to nature by a creator who never tired of marvelling at the astonishing beauty of landscapes or the magic of birdsong. A close friend of the composer and a performer par excellence of his music, Pierre-Laurent Aimard takes us on an extraordinary voyage through Messiaen’s sound world. It will be a journey in four stages through the avian trajectory imagined by Messiaen, replicating the time of day at which each of the birds sings.

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classique occidental

Le Festival de Lanaudière présente Akamus – La Sixième de Beethoven et l’hymne à la nature

par Rédaction PAN M 360

La réputation de l’Akademie für Alte Musik Berlin, prince parmi les orchestres d’Europe, n’est plus à faire : auréolée de multiples prix pour une discographie parmi les plus vastes de notre époque, la célèbre phalange allemande nous offre un panorama en forme de kaléidoscope de l’univers de Beethoven – en exclusivité nord-américaine – au travers de ses symphonies, dont l’éternelle Cinquième, en passant par la musique de certains des contemporains et précurseurs du maître de Bonn. Trois concerts fascinants de découvertes, jetant un éclairage renouvelé sur l’un des plus grands génies musicaux de tous les temps.

The Akademie für Alte Musik Berlin, a prince among Europe’s orchestras, is a veritable institution that has garnered multiple awards for one of the most extensive discographies of our time. For this exclusive North American engagement, the famous German phalanx offers us a kaleidoscopic and panoramic survey of Beethoven’s universe through his symphonies, including the eternal Fifth, as well as through the music of some of the Bonn master’s contemporaries and precursors. Three fascinating concerts of discovery that will shed new light on one of the greatest musical geniuses of all time.

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