classique

Festival Classica: le Nouvel Opéra Métropolitain présente L’Homme qui rit

par Rédaction PAN M 360

Plongez dans l’univers sombre et poétique du roman de Victor Hugo à travers cet opéra du Nouvel Opéra Métropolitain. Métaphorique et poétique, L’Homme qui rit nous invite au cœur des aventures de son héros Gwynplaine, se trouvant défiguré et portant en lui la marque indélébile de la souffrance et de l’injustice. Cette œuvre magistrale dont toute la poésie évocatrice est soigneusement mise en valeur par une musique contemporaine des plus accessibles, porte à réfléchir sur les valeurs fondamentales donnant un sens à notre existence. Un spectacle à la fois poignant et fascinant qui vous transportera dans un tourbillon d’émotions et de réflexions – où se côtoient beauté et laideur, amour et trahison, passé et destin.

Immerse yourself in the dark, poetic world of Victor Hugo’s novel with this opera by Nouvel Opéra Métropolitain. Metaphorical and poetic, L’Homme qui rit invites us into the heart of the adventures of its hero Gwynplaine, who finds himself disfigured and bearing the indelible mark of suffering and injustice. This masterful work, whose evocative poetry is carefully enhanced by contemporary, accessible music, prompts us to reflect on the fundamental values that give meaning to our existence. A poignant and fascinating show that will transport you into a whirlwind of emotions and reflections – where beauty and ugliness, love and betrayal, past and destiny meet.

L’Homme qui rit

Adapté du roman de Victor Hugo

(Version concert augmentée pour chœur, solistes et orchestre)

Musique : Airat Ichmouratov

Livret : Bertrand Laverdure

Prosodiste : Marc Boucher

Direction : Airat Ichmouratov

Orchestre du Festival Classica

Chœur : Ensemble ArtChoral

Décors : Lumifest en cavale, Dominique Arcand

Illustrations : Maxime Bigras

Pianiste répétiteur : Michel-Alexandre Broekaert

Régie de plateau : Isabeau Proulx Lemire

Distribution

GWYNPLAINE (homme vingt-cinq ans) : Hugo Laporte (baryton)

GWYNPLAINE (enfant) : Janelle Lucyk (soprano)

BARKILPHEDRO (homme cinquantaine) : Jean-François Lapointe (baryton)

URSUS (homme cinquantaine) : Marc Boucher (baryton) 

DEA (jeune femme seize ans) : Magali Simard-Galdès (soprano) 

DUCHESSE JOSIANE (femme mi-vingtaine) : Florence Bourget (contralto)

FIBI (femme début vingtaine) : Sophie Naubert (soprano) 

LORD DAVID (homme dans la quarantaine) : Antonio Figueroa (ténor)

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Ce contenu provient du Festival Classica et est adapté par PAN M 360.

musique contemporaine

Nouvel Ensemble Moderne – Concert du printemps

par Rédaction PAN M 360

Sous la direction de Lorraine Vaillancourt, ce Concert du printemps propulse le Nouvel Ensemble Moderne (NEM) vers des répertoires aux contours prononcés et lumineux de l’Europe de l’Est. Point culminant de la Saison 2022-2023 dédiée aux victimes de la guerre en Ukraine, ce concert présente les œuvres de cinq compositeur.trice.s à découvrir !

L’événement signe également la dernière rencontre de l’année avec la compositrice ukrainienne en résidence au Vivier Alla Zagaykevych, avec la création d’une œuvre écrite pour le NEM.

POUR LIRE L’INTERVIEW DE LORRAINE VAILLANCOURT SUR CE PROGRAMME, C’EST ICI

PROGRAMME

Nina Šenk (1982, Slovénie) 
Shadows of Stillness (2020), pour 9 instruments

Vito Žuraj (1979, Slovénie)
Fired-Up (2013), pour 14 instruments

Alla Zagaykevych (1966, Ukraine)
And only the reed glistens in the sun..(2022),
pour15 instruments, création
Commande du Vivier

– Entracte –

Martin Smolka (1959, Tchéquie)
Solitudo (2003), pour 12 instruments

Tolga Yayalar (1973, Turquie)
Requiem pour une terre perdue (2009), pour 13 instruments

18h – Pré-concert


VOIR LA MUSIQUE


Rencontre avec Mario Côté, artiste et réalisateur de vidéos expérimentales et documentaires

Concert présenté en co-diffusion avec Le Vivier

CONTENU TIRÉ DU SITE DU NEM ET ADAPTÉ PAR PAN M 360

INFOS ET BILLETS ICI

classique

Semaine du Neuf : Hommage à Claude Vivier à la salle Claude-Champagne

par Rédaction PAN M 360

C’est sous la direction de Lorraine Vaillancourt que le Nouvel Ensemble Moderne et la soprano Katrien Baerts ouvriront la Semaine du Neuf consacrée au compositeur québécois Claude Vivier. Ce dernier tiendra une place importante dans le programme avec trois de ses œuvres jouées. Ce concert sera complété par une œuvre de Marko Nikodijevic en hommage à Claude Vivier.

Under the direction of Lorraine Vaillancourt, the Nouvel Ensemble Moderne and soprano Katrien Baerts will open the Semaine du Neuf devoted to Quebec composer Claude Vivier. Vivier will play an important role in the program with three of his works. This concert will be completed by a work by Marko Nikodijevic in homage to Claude Vivier.


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Ce contenu provient de Le Vivier et est adapté par PAN M 360.

classique / musique contemporaine

L’Ensemble de musique contemporaine de l’Université de Montréal avec le Nouvel Ensemble Moderne

par Rédaction PAN M 360

Dirigés par Jean-Michaël Lavoie et Lorraine Vaillancourt, l’Ensemble de musique contemporaine de l’Université de Montréal (EMC) et le NEM proposent un grand concert gratuit, avec des œuvres de Keiko Devaux, Iannis Xenakis, Alithéa Ripoll et Fausto Romitelli.

L’Ensemble de musique contemporaine de l’Université de Montréal est une plateforme de création et de recherche artistique. Le collectif étudiant qui forme cet ensemble reçoit le mandat de réfléchir aux différents moyens de faire de la création aujourd’hui. 

Établi depuis 1989, le Nouvel Ensemble Moderne (NEM) est un orchestre de chambre de 15 musiciennes et musiciens, en résidence à la Faculté de musique de l’Université de Montréal. Lorraine Vaillancourt en est la fondatrice et la directrice musicale. 

ENTRÉE LIBRE!

Ce contenu provient du Nouvel Ensemble Moderne et de l’Université de Montréal et est adapté par PAN M 360.

opéra

Offenbach bouffe opéra ? Opéra-bouffe !

par Alain Brunet

La Faculté de musique de l’Université de Montréal présente La vie parisienne de Jacques Offenbach, production de l’Atelier d’opéra et de l’Orchestre de l’Université de Montréal. Rappelons que cet opéra-bouffe d’Offenbach fut créé en 1866 au Théâtre du Palais-Royal à Paris. À cette époque où l’opéra était considéré comme le spectacle total, ultime divertissement, La vie parisienne fut un réel triomphe: 265 représentations à Paris, d’octobre 1866 à juillet 1867, année de l’exposition universelle. Un siècle et demi plus tard ? L’oeuvre est jouée de nouveau, actualisée, et constitue évidemment une matière incontournable pour les facultés de musique.

« On doit à Jacques Offenbach l’établissement de l’opérette en tant que genre lyrique international dont l’évolution, en passant par les Johann Strauss fils, Franz Lehár et Arthur Sullivan, conduira à la comédie musicale du 20e siècle. La vie parisienne, sur un livret délicieux de ses complices de toujours, Meilhac et Halévy, est un opéra bouffe désopilant, divertissant et délicat tout à la fois. La satire sociale s’y déploie avec beaucoup d’esprit et de finesse, au contraire de la grosse comédie du type « claque dans le dos », explique le directeur musical de cette production UdeM, Jean-François Rivest.

ARTISTES
Atelier d’opéra de l’Université de Montréal
Orchestre de l’Université de Montréal
Jean-François Rivest, direction musicale
Robin Wheeler, direction de l’Atelier d’opéra
Alain Gauthier, mise en scène

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