chant lyrique / classique occidental

Festival d’art vocal de Montréal 2024 | L’Audition : une soirée de découvertes

par Alexandre Villemaire

Le Festival d’art vocal de Montréal est entré dans le dernier droit de sa vingtième édition avec la présentation le vendredi 2 août du concert L’Audition à la Salle Claude-Champagne. Après un gala plein de promesses, des classes de maître public, une série de concerts à Verdun et à Saint-Denis-sur-Richelieu ainsi qu’une participation de quatre solistes à la représentation de la Symphonie no9 de Beethoven avec l’Orchestre de la Francophonie, le moment était venu de présenter au public montréalais, l’ensemble des jeunes artistes qui effectuent un stage à l’Institut canadien d’art vocal (ICAV).

Dans une soirée vocale accompagnée par l’Orchestre de la Francophonie, les 23 jeunes stagiaires de l’ICAV ont défilé pour présenter des airs d’opéra qui étaient captés sur vidéo pour être envoyés à des directeurs de maisons d’opéras. Cette soirée a confirmé nos impressions relevées lors du concert gala qui nous avait donné un bon aperçu des aptitudes et des personnalités vocales des différents chanteurs et chanteuses : de belles voix capables, mais dont certaines pâtissent d’un manque de projection. Le premier participant à ouvrir le bal, le baryton sud-coréen Keunwon Park, malgré un timbre chaleureux et une belle assurance, s’est empêtré dans un « Largo al factotum » du Barbier de Séville, inégale où on perd de son intelligibilité dans le grave qui peine à percer par-dessus l’orchestre. Dans ce même registre, le ténor Brian Alvarado, qui avait fait montre d’une voix puissante et assurée lors du gala, a donné une performance en demi-teinte de l’air « Sois immobile » tiré de Guillaume Tell de Rossini, marqué par une visible fatigue, malgré une belle douceur dans la ligne vocale. 

Également du lot des voix qui ont offert de belles prestations, mais dont certains aspects méritent encore de l’attention, la mezzo-soprano Hannah Cole et le baryton Matt Mueller doivent travailler leur diction française, car mis à part ce détail, leur présence scénique était tout à fait juste et captivante. Parmi les voix à retenir, et surveiller, notons le baryton Geoffrey Shellenberg, le ténor Mischael Eusebio, qui a offert un air du chevalier Des Grieux sensible. Mentionnons aussi la soprano américaine Abigail Sinclair – convaincante Reine de la Nuit –, les Canadiennes Zoe McCormick et Mary Jane Egan, qui ont chacune présenté deux interprétations senties et maîtrisées de « Donde Lieta » tirées de La Bohème ainsi que la Chinoise Yang Liu et l’Espagnole Natalia Pérez Rodriguez qui ont interprété l’air de Turandot « Signore Ascolta » avec un lyrisme distingué. Dirigé de manière habile par Julien Proulx pour la plupart des morceaux au programme, l’orchestre a également été dirigé par trois chefs stagiaires, une nouveauté dans le programme de l’ICAV. Des trois, Daniel Black et Simon Charette ont démontré les meilleures aptitudes au niveau de la sensibilité et de l’esprit des pièces qui leur était imposé. Madeleine Krick a cependant eu de la difficulté avec la synchronicité entre l’orchestre et le soliste, notamment dans l’air « Quanto è Bella » avec le ténor islandais Pétur Úlfarsson. Elle s’est rattrapée sur le même air par la suite avec l’Américain Diego Valdez. Ses actions et ses gestes sont cohérents avec les intentions qu’elle souhaite donner à l’orchestre, mais elle devra peaufiner sa communication avec les solistes et mieux anticiper leurs actions.

Malgré les quelques accrocs mentionnés, et ceux bien personnels que les chanteurs et chanteuses se feront à eux-mêmes, aucun des artistes qui ont foulé la scène n’a à rougir de leur prestation. Ils ont relevé l’exercice la tête haute et repartiront de cet exercice, quelle qu’en soit l’issue, avec de nouveaux outils, des réflexions pour nourrir leur parcours et leur construction en tant qu’artiste. Et cela, c’est exactement ce à quoi l’on s’attend de la formation qui leur a été prodiguée.

Le point culminant de cette édition sera la présentation de l’opérette La Chauve-Souris de Johann Strauss, à laquelle se greffera The Four-Note Opera de Tom Johnson, mis en scène respectivement par Lorraine Pintal et Joshua Major. Le rendez-vous est donné au Salon Richmond les 10 et 11 août dans un événement qui s’annonce pétillant, enchanté et plein d’humour où ces jeunes voix et ces jeunes artistes lyriques seront mis de nouveau en valeur.

chant lyrique

Festival d’art vocal de Montréal 2024: Classe de maître avec Étienne Dupuis

par Rédaction PAN M 360

GRATUIT – Réservations obligatoires
Les contributions volontaires sont fortement encouragées.
Montant suggéré: 25$

Assistez à une classe de maître en chant lyrique avec le baryton de renommée internationale Étienne Dupuis, aussi codirecteur artistique d’ICAV, et découvrez son approche de l’interprétation et de la technique. Une expérience enrichissante pour les étudiants en musique, les professionnels aguerris et tous les amateurs de musique classique.

La Salle Serge-Garant et la Salle Claude-Champagne sont les deux principales salles de concert de la Faculté de musique de l’Université de Montréal : 220, avenue Vincent d’Indy, Outremont.

FREE – Reservations required
Voluntary contributions are strongly encouraged.
Suggested price: $25

Attend a master class in lyrical singing with internationally renowned baritone Étienne Dupuis, also ICAV’s co-artistic director, and discover his approach to interpretation and technique. An enriching experience for music students, seasoned professionals and all classical music fans.

Salle Serge-Garant and Salle Claude-Champagne are the two main concert halls of the Université de Montréal’s Faculty of Music: 220, avenue Vincent d’Indy, Outremont.

POUR ACHETER VOTRE BILLET, C’EST ICI!

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opéra

Festival d’art vocal de Montréal 2024: L’audition avec l’Orchestre de la Francophonie

par Rédaction PAN M 360

Soyez témoins de l’envers du décor en assistant à une audition d’opéra avec l’Orchestre de la Francophonie, sous la direction de Julien Proulx. Une expérience unique en son genre où de jeunes musiciens talentueux se produisent devant un jury international susceptible de les engager. Cette audition sans équivalent dans le monde offre une opportunité exceptionnelle de perfectionnement et de reconnaissance aux participants de l’Institut canadien d’art vocal.

La Salle Serge-Garant et la Salle Claude-Champagne sont les deux principales salles de concert de la Faculté de musique de l’Université de Montréal : 220, avenue Vincent d’Indy, Outremont.

Get a behind-the-scenes look at an opera audition with the Orchestre de la Francophonie, conducted by Julien Proulx. A unique experience where talented young musicians perform in front of an international jury with the potential to hire them. This unique audition offers an exceptional opportunity for development and recognition to participants in the Canadian Vocal Arts Institute.

Salle Serge-Garant and Salle Claude-Champagne are the two main concert halls of the Université de Montréal’s Faculty of Music: 220, avenue Vincent d’Indy, Outremont.

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classique moderne / classique occidental / opéra

Festival Classica | Der Kaiser von Atlantis : malgré sa modestie, une production importante

par Frédéric Cardin

Un moment que j’attendais depuis longtemps a eu lieu hier à la salle Claude-Champagne de l’Université de Montréal : la représentation de l’opéra Der Kaiser von Atlantis, de Viktor Ullman par le Nouvel Opéra Métropolitain (NOM) et le Festival Classica. Enfin, presque ce que j’attendais car il s’agissait d’une version concert, étoffée, cela dit, grâce à des projections vidéo. Der Kaiser est un grand chef-d’œuvre en petit format (une heure, même pas), un opéra fondamental du 20e siècle qui a failli disparaître sous l’incurie des Nazis, mais à survécu des décennies sous un vieux matelas. Suivez le lien ci-bas pour connaître une partie de l’histoire.

REGARDEZ L’ENTREVUE RÉALISÉE AVEC LE CHEF MATHIAS MAUTE À PROPOS DE DER KAISER VON ATLANTIS 

Der Kaiser raconte une histoire simple : l’Empereur Overall (quel nom approprié) fait la guerre à tous ses voisins. Il se targue d’avoir la Mort à ses côtés, ‘’sous sa bannière’’, et qu’avec elle, aucun ennemi ne peut survivre. La Mort, qui en a assez d’être instrumentalisée de la sorte, décide de faire la grève. Plus personne ne pouvant mourir, la guerre devient inutile, et plus personne n’a peur du vilain dictateur impérial. À tel point que même des soldats tombent amoureux à travers les lignes ennemies. Overall se désespère, lorsque la Mort lui apparaît et lui propose un marché : elle reprendra son service à condition que sa première victime soit l’Empereur lui-même. Dans un geste final de rédemption, celui-ci accepte, pour le bien de tous. La référence directe à Hitler et au fascisme est évidente (la rédemption en moins), et fait figure de symbole puissant, hyper concentré, et de réquisitoire contre l’absurdité de la mégalomanie. Ullmann est mort à Auschwitz en 1944. Il n’aura jamais pu constater que son sujet n’a jamais eu la force de caractère du personnage fictif. 

La partition de Ullmann est merveilleuse. Un chef-d’œuvre absolu de modernisme éclectique, typique d’un certain style des années 1920, 30 et 40, qui osait mélanger allègrement la musique atonale, le Romantisme tardif, le jazz, les musiques populaires, la consonance et la dissonance. Bref, ce à quoi nous sommes aujourd’hui habitués, un siècle d’avance. 

L’orchestre de chambre d’une quinzaine de musiciens comprend un harmonium, un banjo, une guitare et les cordes, bois et cuivres classiques. C’est une musique pétillante de motifs et de bribes de mélodies qui se juxtaposent et s’enchaînent rapidement, sans jamais donner l’impression de s’amalgamer dans une soupe informe. Au contraire, des lignes ultra-limpides, dessinées au scalpel, anticipant parfois celles de Chostakovitch. Ullmann nous garde constamment en alerte. Un modernisme souvent cynique, qui grince et joue serré dans les coins, mais bourré d’humour et d’une contagieuse vitalité. 

Le côté vocal est divisé entre scansions et chant. Il faut noter la très belle prestation de Frédéric Caton (la Mort), une basse ronronnante, très collée au personnage. Également, Florence Bourget dans le rôle du Tambour, magnifique projection et timbre agréable. Éric Laporte en Arlequin (qui symbolise la Vie) est adéquat mais un peu mince dans les aigus. Pierre-Yves Pruvot joue l’Empereur Overall et son vibrato grandiloquent a la chance de profiter d’un personnage qui s’en accommode. Je ne suis pas certain que j’aurais aimé dans un autre contexte. Le Haut-Parleur, la radio nationale en sommes, est mené ‘’impérialement’’ par Tomislav Lavoie, mais dans un Allemand qui manque de clarté. Emmanuel Hasler et Sophie Naubert sont très corrects dans leurs petits rôles de soldats. 

Il s’agissait d’une version concert, mais ‘’augmentée’’, disais-je, grâce à des projections vidéo, combinant de très belles illustrations partiellement animées de Maxime Bigras et un montage de films d’archives réalisé par Matthieu Thoër, de Lumifest en cavale. Sans cette dimension visuelle, l’expérience aurait pu paraître aride. Ne reste plus qu’à espérer maintenant une réelle production scénique, dans un avenir pas trop lointain.

Je ne suis pas de l’avis d’un collègue qui regrette l’absence de costumes dans une version concert. À quoi peut bien servir de ‘’grayer’’ des chanteurs en Halloween quand ils sont condamnés à rester fixes? Ça serait ridicule. Enfin…

Le concert s’est terminé avec la présentation de la Symphonie pour orchestre de chambre no 1 « Remember to Forget », du Montréalais Jaap Nico Hamburger. Un complément adéquat, le thème sous-jacent de cette symphonie étant celle d’un train qui se dirige vers la mort (1er mouvement) et d’un autre qui se dirige vers la libération, ou la vie (2e mouvement).

Le lien avec Der Kaiser se faisait sentir avec la musique de Hamburger, qui manifeste des traits de ressemblance avec celle de Ullmann, bien qu’elle soit bâtie sur une architecture discursive beaucoup plus linéaire. Pas de bonds soudains, voire violents, entre des affects, des textures et des rythmes opposés. Plutôt une musique assez consonante, bien qu’occasionnellement parcourue de poussées atonales, campée sur une pulsation soutenue, illustrant ainsi la marche du train. Dépendant si celui-ci se dirige vers la mort ou la vie, l’atmosphère change, bien sûr. Hamburger ferait un très bon compositeur de cinéma. Cette musique possède un indéniable supplément d’âme : les parents de Hamburger ont survécu grâce au débarquement allié de 1944. Après Ullmann, assassiné, l’existence permise de cet homme fait figure de conclusion positive. Un train vers la mort, un autre vers la vie. 

Hamburger a passé beaucoup de temps en début de concert à offrir un concentré 101 de l’histoire de la musique, avec de nombreuses approximations et raccourcis. Curieux, de la part d’un éminent professeur et musicien.

Il faut regretter que la salle Claude-Champagne n’ait été que partiellement remplie. Serait-ce la salle elle-même, le problème? Pas son acoustique, excellente, mais plutôt son emplacement. Un cul-de-sac (littéralement) dépourvu de toute forme de commodités dans un large rayon tout autour (zéro resto, bar, ou activités quelconque). Un quartier dortoir. Quel dommage, elle sonne si bien. 

Il reste qu’un tel trésor opératique encore trop caché doit absolument être monté et montré partout. Il peut servir autant de document anti-totalitarisme puissant que d’introduction à l’opéra et au langage musical modernes. Sa durée très brève, ses archétypes compréhensibles par tous et toutes et les possibilités infinies qu’il offre en termes de mise en scène, sont autant d’éléments qui en font un incontournable absolu de l’art musical. Ce n’est pas avec ça que le Festival Classica remplira ses coffres, mais l’importance culturelle et sociale de ce genre de proposition est notable, et pourra certainement inspirer d’autres passionnés dans le futur. Il faut donc saluer la vision et le courage de l’équipe Classica, malgré les moyens très modestes à leur disposition pour réaliser ce projet (soulignés à grands traits par d’autres médias…). Que les commanditaires qui le soutiennent le sachent : votre investissement ira infiniment plus loin qu’une ristourne monétaire. 

Bravo et merci pour avoir osé.

chant lyrique / classique

Festival Classica: Amoureuses de Mozart

par Rédaction PAN M 360

Concert en trois actes, les voix éclatantes et prometteuses de la jeune scène lyrique québécoise se lèvent pour célébrer l’amour accompagné du plus grand des orchestres baroques de la métropole. Tel un hommage vibrant à l’admiration que Mozart vouait à ses interprètes féminines, ce concert-collage réunit les mélodies les plus sublimes de ses chefs-d’œuvre : La Clémence de Titus, Les Noces de Figaro, et La Flûte Enchantée. Ce concert est une inspirante élégie à l’émotion et à la virtuosité vocale. Tels des tableaux, entre ombre et lumière, capturant la beauté du caractère de ces héroïnes et le tumulte de leurs passions, offrez-vous le privilège d’entendre les plus envoûtantes mélodies du compositeur le plus épris de tous les temps.

A concert in three acts, the bright, promising voices of Quebec’s young opera scene rise to celebrate love, accompanied by the city’s finest baroque orchestra. A vibrant tribute to Mozart’s admiration for his female performers, this concert-collage brings together the most sublime melodies from his masterpieces: The Clemency of Titus, The Marriage of Figaro and The Magic Flute. This concert is an inspiring elegy to emotion and vocal virtuosity. Like tableaux, between light and shadow, capturing the beauty of these heroines’ characters and the tumult of their passions, treat yourself to the privilege of hearing the most spellbinding melodies by the most passionate composer of all time.


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classique

Récital de piano option accompagnement à la Salle Claude-Champagne

par Félix Rousseau-Giguère

Interprétation : Mattia Senesi

Élève de Francis Perron 
Ariane Cossette, soprano 

Programme

Erich Wolfgang Korngold 
Drei Lieder op. 22

I. Was du mir bist
II. Mit dir zu schweigen
III. Welt ist stille eingeschlafen 

Francis Poulenc 
Fiançailles pour rire 

I. La dame d’Andrè
II. Dans l’herbe
III. Il vole 
IV. Mon cadavre est doux comme un gant 
V. Violon 
VI. Fleurs

Pause 

Wolfgang Amadeus Mozart 
Non Mi dir, from Don Giovanni

Richard Strauss 
4 Lieder op. 27 

I. Ruhe, meine Seele
II. Cäcilie
III. Heimliche Aufforderung 
IV. Morgen 

Gaetano Donizetti 
Don Pasquale 

Quel guardo il cavaliere 

ENTRÉE LIBRE!

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classique

Récital de flûte traversière de fin de doctorat à la Salle Claude-Champagne

par Rédaction PAN M 360

Interprétation : Catherine Chabot

Élève de Denis Bluteau 

Gaspard Tanguay-Labrosse, piano 
Kevin Gironnay, électroacoustique  

Ensemble Atipika : 
Pablo Bonacina, guitares 
Pablo Seib, contrebasse 
Sebastián Verdugo, piano

Programme

Guillaume Connesson 
Le rire de Saraï 

I. La plainte d’Agar
II. Bénédiction de l’Alliance

Franz Schubert 
Sonate en la mineur D. 821, « Arperggione » 

I. Allegro moderato
II. Adagio
III. Allegretto 

Kaija Saariaho 
Laconisme de l’aile

Pause 

Astor Piazzolla (arr. Cindy Harcha et Atipika
Histoire du tango

I. Bordel 1900
II. Café 1930
III. Night-club 1960 
IV. Concert d’aujourd’hui

Amichai Ben Shalev 
Mirar, Abrazar, Caminar 

I. Mirar
II. Abrazar
III. Caminar 

Astor Piazzolla (arr. Atipika
Decarissimo

ENTRÉE LIBRE!

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classique

Récital de flûte traversière de fin de doctorat à la Salle Claude-Champagne

par Rédaction PAN M 360

Interprétation : Marie Dubois

Élève de Denis Bluteau 
Olivier Hébert-Bouchard, piano 
Gwenaëlle Ratouit, clarinette 

Programme

James O’Callaghan 
Doubt is a way of Knowing 10:00 

Guillaume Connesson 
Pour sortir au jour – Concerto pour flûte 25:00 

II. Danse processionnelle
III. Entrée dans la Douat 
IV. Danse de la justification
V. La balance des Dieux
VI. Danse dans les champs de Lalou

Pause 

Carl Reinecke 
Ondine, sonate pour flûte et piano 20:30 

I. Allegro
II. Intermezzo, allegro vivace
III. Andante tranquillo 
IV. Finale

Guillaume Connesson 
Techno Parade 5:00 

ENTRÉE LIBRE!

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classique / période romantique

CMIM – Piano 2024 : Cours de maître avec Hélène Mercier à la Salle Claude-Champagne

par Rédaction PAN M 360

Hélène Mercier, membre éminente du jury international de Piano 2024 partagera son expertise avec les étudiants montréalais de la Faculté de musique de l’Université de Montréal.

Le public est invité à assister gratuitement à ces rencontres riches en échanges de connaissances et à la transmission d’une passion commune: la musique.

Hélène Mercier, member of the International Jury of Piano 2024 will share its expertise with students from the Faculty of Music of the Université de Montréal.

The public is invited to attend, free of charge, this knowledge-sharing event and the transmission of a common passion: music.

Peiyu He
Classe d’Henry Thomas Kramer
Ludwig van Beethoven : Sonate no 4 en mi bémol majeur, op. 7

Félix Marquis
Classe de Jean Saulnier
Alexandre Scriabine : Sonate n5 en da dièse majeur, op. 53

Fiona Wu
Classe de Jimmy Brière
Ludwig van Beethoven : Sonate no 31 en la bémol majeur, op. 110

Charissa Vandikas et Ming-Jing Wong
Classe de Jean Saulnier
Sergeï Rachmaninov : Suite no 2 pour deux pianos, op. 17 (extraits)

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classique

Festival Classica: Hommage à Théodore Dubois

par Rédaction PAN M 360

Sinfonia de Montréal vous invite à découvrir Théodore Dubois à l’occasion du 100e anniversaire de sa disparition. Compositeur, organiste et pédagogue français, il a marqué le paysage musical du 19e siècle par des points de vue et positions musicales particuliers. Tandis que le poème symphonique Adonis nous plonge dans les émotions de ce mythe grec tragique, la Fantaisie pour Harpe et Orchestre, interprétée par Juliette Duguay, nous offre un caractère enjoué et fantastique. Quant à la Symphonie Française, elle s’élève comme une odyssée patriotique à travers les paysages sonores variés de la France.

Sinfonia de Montréal invites you to discover Théodore Dubois on the 100th anniversary of his death. A French composer, organist and pedagogue, he left his mark on the 19th-century musical landscape with his own particular points of view and musical positions. While the symphonic poem Adonis plunges us into the emotions of this tragic Greek myth, the Fantaisie pour Harpe et Orchestre, performed by Juliette Duguay, offers us a playful and fantastic character. As for the Symphonie Française, it rises like a patriotic odyssey through the varied soundscapes of France.


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classique

Festival Classica: Der Kaiser von Atlantis

par Rédaction PAN M 360

Der Kaiser von Atlantis s’affirme comme un opéra de chambre expressionniste captivant, mêlant habilement l’ironie et la poésie pour critiquer les ténèbres du totalitarisme. Au sein d’un monde ravagé par la folie tyrannique de l’empereur d’Atlantis, ce drame allégorique d’une puissance indéniable propose une réflexion poignante sur la nature de l’autorité, de la vie et de la mort, le tout soutenu par une musique et une dramaturgie d’une intensité exceptionnelle. Avec sept chanteurs et quinze musiciens, cette œuvre majeure du XXe siècle transcende l’unique statut d’opéra; c’est un voyage musical et philosophique, une expérience d’une beauté saisissante à ne pas manquer.

Der Kaiser von Atlantis is a captivating expressionist chamber opera, skilfully blending irony and poetry to criticize the darkness of totalitarianism. Set in a world ravaged by the tyrannical madness of the Emperor of Atlantis, this allegorical drama of undeniable power offers a poignant reflection on the nature of authority, life and death, all underpinned by music and drama of exceptional intensity. With seven singers and fifteen musicians, this major work of the twentieth century transcends the unique status of opera; it is a musical and philosophical journey, an experience of striking beauty not to be missed.


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classique

Festival Classica: La Grande messe des morts de Gossec

par Rédaction PAN M 360

Œuvre visionnaire préfigurant de plus de 30 ans le célèbre Requiem de Mozart, la Grande messe des morts de Gossec assura à son auteur une célébrité à la grandeur de l’Europe en redéfinissant ce que devrait être les messes musicales de commémoration des défunts. À la fois messe et oratorio, alliant puissance, recueillement et théâtralité, cette œuvre sera présentée pour une rare fois en Amérique du Nord par Arion Orchestre Baroque, le Studio de musique ancienne de Montréal et 5 solistes exceptionnels placés sous la direction de Mathieu Lussier, passionné par cette musique méconnue!

A visionary work prefiguring Mozart’s famous Requiem by more than 30 years, Gossec’s Grande messe des morts brought its composer European-wide fame by redefining what musical masses commemorating the dead should be. Both a mass and an oratorio, combining power, contemplation and theatricality, this work will be presented for the first time in North America by Arion Orchestre Baroque, the Studio de musique ancienne de Montréal and 5 exceptional soloists under the direction of Mathieu Lussier, who is passionate about this little-known music!


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