Création

Montréal/Nouvelles Musiques 2025 : Les images de la musique

by Rédaction PAN M 360

Aujourd’hui, l’interaction entre la musique et les images (qu’elles soient fixes ou en mouvement) joue un rôle prépondérant dans la composition, l’interprétation et la diffusion. Au même moment, sur scène ou à l’écran, la musique de film et de jeu vidéo ne cesse de gagner en importance. Dans la création musicale d’aujourd’hui, les images servent plus que jamais à inspirer et à catalyser le processus de composition; elles accompagnent l’exécution d’œuvres conçues en réponse ouindépendamment d’elles; et servent à élargir les façonsdont la musique peut être notée et représentée, rendant la musique visible et lisible de multiples façons. Si les compositeurs du passé se sont parfois inspirés des arts visuels pour leurs compositions, ces images ont eu tendance à être considérées comme des éléments extra-musicaux, surtout lorsque l’idée d’une musique dite «absolue» ou «pure» était dominante. Aujourd’hui, cependant, la musique cohabite avec d’autres approches dans lesquelles les compositeurs et musiciens explorent joyeusement les points d’intersection possibles entre le visible et l’audible.
Cette série de conférences et concerts de quatre jours aborde des questions contemporaines sur la riche relation entre la musique et les images: du narratif à l’abstrait, de l’évocation à la suggestion, de la synergie à la symbiose. Comment la musique génère-t-elle des images mentales chez les auditeurs? Quels rôles jouent les images dans le processus de composition des œuvres purement musicales? Comment les techniques et technologies multimédias façonnent-elles l’interaction entre la musique et les images dans divers contextes, des salles de concert traditionnelles au cinéma, en passant par les expériences interactives et immersives? De quelle manière les éléments visuels (tels que les notations, les représentations graphiques et les images) peuvent-ils êtrelus comme des partitions par les interprètes? Quelles sont les possibilités et potentialités de ces interactions pour la pratique musicale contemporaine?
Chaque jour, nous entendrons des présentations de compositeurs, de chercheurs, de musicologues et d’artistes visuels, se terminant par un concert d’artistes locaux et internationaux intégré au festival et qui explorent plus en détail le thème de chaque journée.

Journée 1 — Les images intérieures
Vendredi, 21 février 2025: 10h00 — 17h00

La musique ne serait pas ce qu’elle est sans sa capacité à évoquer chez l’auditeur une diversité d’images, allant du souvenir à l’apparition suggestive intérieure. Que ce soitdes mouvements et sentiments abstraits ou des représentations précises de paysages, de lieux, de personnages ou des états d’âme, ces images intérieures nous habitent et s’imbriquent dans nos schèmes de perception et de composition. Ces images peuvent être voulues par le compositeur, dont l’œuvre vise à évoquer une expérience similaire chez l’auditeur, ou résulter de l’imagination de l’auditeur qui se laisse porter par la musique et toute la gamme d’affects qu’elle peut générer. De la même manière, les compositeurs peuvent créer des œuvres musicales en s’inspirant d’images — peintures, photographies, souvenirs, visualisations abstraites — que les auditeurs n’ont pas besoin de connaître pour comprendre et apprécier la composition finale. Le premier jour de la conférence, nous discuterons avec des compositeurs, des musicologues et des philosophes de ces diverses relations entre la musique audible et les images invisibles qu’elle évoque. Nous inspirant à la fois de Gérard Blanchard et de Gaston Bachelard, nous considérons la musique comme un art de la mémoire, qui produit des «images actives» et des «images à rêver».
Discours principal: Katharina Klement
Concert associé: La Grande Nuit 2025
Co-production SMCQ et GRMS (Groupe de recherche-création sur la médiatisation du son), en collaboration avec matralab-Concordia et Hexagram

Journée 2 — Les images en tant que matériau
Samedi, 22 février 2025: 10h00 — 17h00

Le deuxième jour, nous examinerons les cas qui combinent explicitement la musique et les images, qu’il s’agisse de musique composée pour accompagner des images ou l’inverse, lorsque des vidéos, des animations, des installations, des projections sont utilisées dans le cadre de la performance. Au cinéma et dans les jeux-vidéo, la musique peut transformer l’expérience audiovisuelle, en ré-interprétant les images à l’écran. La composante visuelle peut également être créée pour accompagner une oeuvre musicale existante, illustrant et renforçant l’expérience musicale par le biais d’une interprétation visuelle. Dans certains cas, les élémentsvisuels et musicaux sont produits simultanément, en collaboration entre plusieurs artistes ou par une personne talentueuse maîtrisant les deux arts. Dans ce cas, la musique et les images sont plus proches que jamais et nous offrent une expérience unique qui dépasse la somme de ses parties. La frontière entre les deux s’estompant, les images peuvent presque être considérées comme des matériaux musicaux à part entière.
Discours principal: Jean-Baptiste Barrière
Concert associé: Nicole Lizée et le 7e art
Co-production SMCQ et GRMS (Groupe de recherche-création sur la médiatisation du son), en collaboration avec matralab-Concordia et Hexagram

Journée 3 — Les images lisibles
Dimanche, 23 février 2025: 10h00 — 17h00

Le devenir-son de l’image n’est nulle part plus clair que dans le cas de la notation musicale. L’une des plus anciennes formes d’interaction audiovisuelle, les partitions musicales sont, littéralement, des images à lire en tant que musique. En effet, en dehors d’une période de stabilisation relativement brève aux XVIIIe et XIXe siècles, la partition a été et continue d’être un lieu d’expérimentation et de découverte des nombreuses façons dont les images résonnent à nouveau. De la notation graphique aux partitions numériques, les membres du projet Digital Score (DigiScore) et d’autres s’engageront dans des conversations en tête-à-tête, s’interrogeant sur la manière dont les technologies contemporaines transforment la création musicale, où la partition n’est pas seulement la représentation d’une idée musicale mais un élément dynamique et actif de sa génération en temps réel.
Suivi du Lancement Circuit vol. 34 no. 3 Musiques et temps critiques
Concert associé: DigiScores
Co-production SMCQ et GRMS (Groupe de recherche-création sur la médiatisation du son), en collaboration avec matralab-Concordia et Hexagram

The interaction between music and images (fixed as well as moving) plays a prominent role in composition, performance, and diffusion, alongside the growing importance of film and video-game music. In current musical creation, images serve to inspire and catalyze the compositional process; images accompany the performance of works that are conceived either independently or in conjunction with these; and serve to expand the ways music can be notated and represented, making music visible and legible in multifarious ways. If composers from the past sometimes took inspiration from the visual arts for their compositions, these images tended to be considered as extra-musical supplements — especially when the idea of so-called “absolute” or “pure” music was dominant. Today, however, music coexists with other approaches where composers and musicians joyfully explore the points of intersection between the visible and the audible.
The four-day conference and concert series addresses contemporary questions about the rich relation between music and images, from the narrative to the abstract, from evocation to suggestion, through synergy and symbiosis. How does music evoke or generate mental images in listeners? What roles do images play in the compositional process for purely musical works? How are multimedia techniques and technologies shaping the interaction between music and images in diverse settings, from traditional concert halls to the cinema, to interactive and immersive experiences? In what ways are visual elements such as notations, graphic representations, and images read as scores by performers? What are the possibilities and potentials of these interactions for contemporary musical practice?
Each day, we will hear presentations by composers, researchers, musicologists, and visual artists, concluding with a concert by local and international artists that further explores the topic of each day.

Day 1 — Interior Images
Friday, February 21, 2025: 10:00 am — 5:00 pm

Music would not be what it is without its capacity to evoke in the listener a diversity of images, from remembrance to suggestive mental presentations. Whether abstract movements and feelings or precise depictions of landscapes, places, characters, and moods, these interior images inhabit our minds, imbricating themselves with our perceptual and compositional schemas. These images may be intended by the composer, whose work aims to evoke a similar experience in the listener, or might be the result of the listener’s own imagination being moved by the music and all the range of affects it can generate. In the same way, composers might create musical works using images — paintings, photographs, memories, abstract visualizations — as inspiration, which listeners need not know about to understand and appreciate the final composition. On the first day of the conference, we converse with composers and musicologists about these various interactions between audible music and the invisible images that it evokes. Taking inspiration from Gérard Blanchard and Gaston Bachelard, we consider music as an art of memory that produces “active images” and “images to dream about.”
Keynote: Katharina Klement
Related concert: La Grande Nuit 2025
Co-produced by SMCQ and GRMS (Groupe de recherche-création sur la médiatisation du son), incollaboration with matralab-Concordia and Hexagram.

Day 2 — Images as Materials
Saturday, February 22, 2025: 10:00 am — 5:00 pm

On the second day, we consider cases that explicitly combine music with images, whether music composed to accompany images or the converse, when videos, animations, installations, projections are employed as part of the performance. In cinema and videogames, music can transform the audiovisual experience, re-interpreting the images on screen. Alternatively, the visual component is created to accompany an existing musical work, illustrating and enhancing the musical experience through a visual interpretation. In some cases, the visual and musical elements are produced simultaneously, in collaboration between various artists or by a talented individual skilled in both arts. In these cases, music and images are closer than ever, and provide us with a unique experience that exceeds the sum of its parts. As the boundary between the two is blurred, images can almost be considered as musical materials in their own right.
Keynote: Jean-Baptiste Barrière
Related concert: Nicole Lizée et le 7e art

Day 3 — Readable Images
Sunday, February 23, 2025: 10:00 am — 5:00 pm

The becoming-sound of the image is nowhere clearer than in the case of musical notation. One of the oldest forms of audiovisual interaction, musical scores are, quite literally, images to be read as music. Indeed, outside a relatively brief period of stabilization in the 18th and 19th centuries, the score was and continues to be a place of experimentation and discovery of the many ways in which images re-sound.
From graphic notation to digital scores, members of the Digital Score project (DigiScore) and others will engage in one-on-one conversations, asking how contemporary technologies are transforming musical creation, where the score is not just the representation of a musical idea but a dynamic, active component of its generation in real time.
Followed by the launch of Circuit vol. 34 no. 3 Musiques et temps critiques
Associated concert: DigiScores

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Experimental / Contemporary / hommage / immersion

Montréal/Nouvelles Musiques 2025 : Delta(s)

by Rédaction PAN M 360

Une expérience immersive alliant musique instrumentale, électronique et vidéo est au cœur de cette soirée. Découvrez une équipe de choc, constituée du Duo AIRS (Louis-Philippe Bonin, saxophones et David Therrien Brongo, percussions) et du compositeur Alexandre David dans la nouvelle salle multimédia (Music Multimedia Room, MMR) de l’Université de McGill.
Les deux complices du Duo AIRS proposent une soirée explosive et innovante, à l’image de l’œuvre éponyme du concert, Delta, d’Alexandre David. Cette soirée multisensorielle vous présentera des projets inusités où les frontières entre genres musicaux et arts visuels s’effacent pour vous faire vivre de nouvelles sensations. Outre la détonante œuvre Delta présentée dans une nouvelle mouture, vous y entendrez aussi des pièces de Alexander Schubert, Andrew Staniland, Rocio Cano Valiño et Nicole Lizée.

This immersive experience melds instrumental music, electronics and video is at the heart of this evening. Discover a power team consisting of Duo AIRS (Louis-Philippe Bonin, saxophones and David Therrien Brongo, percussion) and composer Alexandre David in McGill University’s new Music Multimedia Room (MMR).
The two Duo AIRS accomplices bring us an explosive and innovative evening, echoing the concert’s eponym piece, Delta, from Alexandre David. This multi-sensory evening will present unusual projects where the boundaries between musical genres and the visual arts are blurred, granting new sensations. In addition to a new version of Delta, will also be heard pieces by Alexander Schubert, Andrew Staniland, Rocio Cano Valiño and Nicole Lizée.

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Asie de l’Est / hommage

Montréal/Nouvelles Musiques 2025 : Le son de l’encre

by Rédaction PAN M 360

Venez au Studio-Théâtre des Grands Ballets explorer les liens entre le geste musical et le geste calligraphique et le dessin. Au cours de ce concert mêlant vidéo, calligraphie et peinture en direct, le Trio d’argent (France) interprétera des compositions de François Dery, Claire-Melanie Sinnhuber, Tao Yu, Gualtiero Dazzi et François Daudin Clavaud.
Du trait musical au trait pictural, les musiciens vous invitent à un concert empreint de poésie, où la musique dialogue avec l’art graphique. Grâce à la calligraphie en direct de Shanshan Sun, aux mangas de Jirô Taniguchi et aux vidéos de dessin en direct de l’artiste Kim Jung-gi, les trois flûtistes plongent le public dans l’univers fascinant de «l’art du trait» asiatique. Chaque expression graphique, mise en lumière par le geste musical, révèle une nouvelle facette de cet univers subtil et harmonieux. Ce spectacle multimédia unique est également une opportunité rare de découvrir le riche répertoire dédié au trio de flûtes.

Come to the Studio-Théâtre des Grands Ballets and explore the links between musical gesture, calligraphic gesture and drawing. In a concert combining video, calligraphy and live painting, the Trio d’argent (France) will perform compositions by François Dery, Claire-Melanie Sinnhuber, Tao Yu, Gualtiero Dazzi and François Daudin Clavaud.
From musical line to pictorial line, the concert is imbued with poetry, where music dialogues with graphic art. With live calligraphy by Shanshan Sun, images from a manga by Jirô Taniguchi and live drawing videos by artist Kim Jung-gi, the three flautists immerse us in the fascinating world of Asian “line art”. Each graphic expression, highlighted by the musical gesture, reveals a new facet of a subtle and harmonious universe. This unique multimedia show is also a rare opportunity to discover the rich repertoire dedicated to the flute trio.

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Ambient / immersion

Montréal/Nouvelles Musiques 2025 : Machine for Taking Time — Palais de Mari

by Rédaction PAN M 360

Vivez une expérience audiovisuelle immersive et méditative unique à l’intérieur de la Satosphère de la SAT (Société des arts technologiques), avec les pianistes Isak Goldschneider et Eve Egoyan sur des visuels de Elysha Poirier et de David Rokeby. Musiques de Morton Feldman, Hans Martin et d’Ann Southam.
Interprétée par Eve Egoyan, l’œuvre Simple Lines of Enquiry d’Ann Southam nous emporte dans une lente dérive musicale qui nous fait vivre les possibilités émotionnelles du piano et de ses sonorités éthérées. Faisant écho à cette promenade sonore, la vidéo Machine for Taking Time de David Rokeby nous transporte quant à elle à travers un panorama impossible de Montréal. Tirée de 750 000 images de la ville prises au gré des saisons et des conditions météorologiques, elle nous fait découvrir une ville qui se transforme lentement en superposant ses différentes images de manière imprévisible dans le temps. Une ballade musicale et visuelle merveilleuse, où les couleurs du piano résonnent avec celles de la ville.
En première partie, une création du compositeur québécois Hans Martin ouvrira le programme, suivie de la pièce Palais de Mari de Morton Feldman qui nous ouvre lentement la porte sur l’univers mystérieux inspiré du palais de Mari, à l’époque du roi Zimri-Lim. Cette pièce introspective interprétée par Isak Goldschneider se démarque également par son infinie douceur et sera accompagnée par la riche signature du langage visuel de la vidéaste Elysha Poirier.

Enjoy a unique immersive and meditative audiovisual experience in the Satosphere of the SAT (Society for Arts and Technology), featuring pianists Isak Goldschneider and Eve Egoyan, with visuals by Elysha Poirier and David Rokeby. Music by Hans Martin, Morton Feldman and Ann Southam.
Performed by Eve Egoyan, Ann Southam’s Simple Lines of Enquiry takes us on a slow musical drift as we experience the emotional possibilities of the piano and its ethereal sonorities. Echoing this sonic promenade, David Rokeby’s video Machine for Taking Time leads us through an impossible Montréal panorama. Drawn from 750,000 images of the city taken over the course of the seasons and various weather conditions, the city gradually transforms unpredictably over time. A marvellous musical and visual ballad, where the colours of the piano resonate with those of the city.
Also opening the programme, a creation by Quebec composer Hans Martin followed by Morton Feldman’s Palais of Mari, that slowly opens the door to a mysterious universe inspired by the palace of Mari, in the time of King Zimri-Lim. This introspective work, performed by Isak Goldschneider, also stands out for its infinite gentleness. It will be accompanied by video artist Elysha Poirier’s rich visual language.

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espagnol / Indigenous peoples

Montréal/Nouvelles Musiques 2025 : Mig’maq / Basques – D’une terre à l’autre

by Rédaction PAN M 360

Le Centre des musiciens du monde nous propose une rencontre inusitée entre la culture musicale du Pays basque et celle de la nation autochtone Mig’maq. Fruit d’une résidence de création rassemblant les artistes de ces deux mondes (Darlène Gijuminag, Claudine Arhancet et Michel Etxekopar), ce rapprochement défie les frontières et rassemble des cultures sœurs par la terre.
Révélant à la fois leurs traditions millénaires et la modernité qui émane de leurs récentes collaborations, ce concert sera rythmé par la rencontre de la musique traditionnelle mig’maq et basque, en écho aux traces et aux images effacées de leurs premiers contacts. Les artistes explorent ainsi des territoires réels et imaginaires, rappelant que les deux communautés se sont croisées il y a de cela plusieurs siècles. Des images d’archives des deux peuples complémenteront cette rencontre entre les deux cultures.

Centre des musiciens du monde presents an unusual encounter between the musical culture of the Basque Country and the Mig’maq indigenous nation. This result of a creative residency gathers artists from both worlds (Darlène Gijuminag, Claudine Arhancet and Michel Etxekopar), defying borders and related by the land.
Revealing age-old traditions and the modernity that emanates from recent collaborations, this concert will be punctuated by the meeting of traditional Mig’maq and Basque music, echoing the traces and faded images of first encounters. The artists explore real and imaginary territories, reminding us that the two communities crossed paths centuries ago. Archival images of the two culture will offer us a visual support to the encounter.

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cinéma / hommage / orchestre

Montréal/Nouvelles Musiques 2025 : Ligeti, Kubrick et la musique de film

by Rédaction PAN M 360

De l’hypnotique «2001, l’Odyssée de l’espace» à l’audacieux «Eyes Wide Shut», en passant par l’inquiétant «The Shining», les films de Stanley Kubrick font une place de choix à la musique, en particulier à celle du grand compositeur hongrois György Ligeti. Plusieurs œuvres du compositeur sont d’ailleurs présentes dans la cinématographie du réalisateur.
L’organiste Jean-Willy Kuntz, l’Orchestre symphonique de McGill et l’Ensemble à cordes de la SMCQ sous la direction de Alexis Hauser, interprèteront des pièces emblématiques de ces trois films iconiques. Également au programme, une création orchestrale du jeune compositeur Liam Ross Gibson, une voix émergente et singulière dans le paysage musical canadien (commandée par la SMCQ). Alexey Shafirov présentera quant à lui le second concerto pour piano de Prokofiev. Tandis que la spectaculaire fresque orchestrale de Ainsi parlait Zarathoustra, célèbre poème symphonique de Richard Strauss, fera aussi majestueusement écho au cinéma de Kubrick. Un concert à la Maison symphonique de Montréal qui s’annonce grandiose et mémorable.

From the hypnotic “2001: a Space Odyssey” to the bold “Eyes Wide Shut” and the eerie “The Shining,” Stanley Kubrick’s films give a prominent place to the music of the great Hungarian composer György Ligeti. Several works by the composer are in fact present throughout the director’s cinematography.
Organist Jean-Willy Kuntz, the McGill Symphony Orchestra and the SMCQ String Ensemble under the direction of Alexis Hauser, will perform emblematic pieces of these three iconic films.
Also on the programme: an orchestral premiere from young composer Liam Ross Gibson, a singular emerging voice on the Canadian musical landscape (commissioned by the SMCQ). Alexey Shafirov will present Prokofiev’s Second Piano Concerto, while the spectacular orchestral fresco Thus Spoke Zarathustra, Richard Strauss’s famous symphonic poem, will also majestically echoes Kubrick’s cinema. A concert at the Maison symphonique de Montréal that promises to be grandiose and memorable.

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Création / Experimental / Contemporary / immersion

Présentation publique des Labos immersifs à la SAT

by Rédaction PAN M 360

Venez découvrir les créations des Labos Immersifs !
La SAT accueillera la première édition montréalaise des Labos Immersifs, présentée avec l’Assemblée Artistique des Diversités Numériques (AADN). Ce laboratoire de co-création immersive, qui se déroulera du 17 au 21 mars 2025, réunira des artistes de diverses disciplines artistiques qui travailleront en équipe pour donner vie à des prototypes d’œuvres fulldome.
Pour clôturer les Labos Immersifs, ne manquez pas la présentation des œuvres développées par notre cohorte d’artistes au cours de cette semaine !
Au programme : des œuvres fulldome innovantes qui fusionnent les arts visuels, la création sonore et l’interactivité, réalisées par des artistes venu·e·s de la France, du Canada, de Taïwan et du Pays de Galles, sélectionné·e·s par la SAT, l’AADN, le Taiwan Contemporary Culture Lab, CULTVR Lab et Chapel Sound.
Rencontrez les talents des Labos Immersifs et venez voir le résultat de cette résidence créative !

Discover the creations of the Labos Immersifs!
The SAT will host the first Montreal edition of the Labos Immersifs, presented with the Artistic Assembly of Digital Diversities (AADN). This immersive co-creation laboratory, which will take place from March 17 to 21, 2025, will bring together artists from various disciplines to work in teams and produce prototypes of fulldome works.
To close out the Labos Immersifs, join us for a presentation of the works created by our cohort of artists over the course of this week! On the program: innovative fulldome works that fuse visual arts, sound creation and interactivity, created by artists from France, Canada, Taiwan and Wales, selected by the SAT, AADN, the Taiwan Contemporary Culture Lab, CULTVR Lab and Chapel Sound.
Meet the talents of the Labos Immersifs and come see the results of this creative residency!

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Ce contenu provient de la Société des arts technologiques et est adapté par PAN M 360

Electro

Igloofest: Adriatique, Marten Lou et Yulia Niko

by Rédaction PAN M 360

Que contient un nom ? Pour Adrian Shala et Adrian Schweizer, cela représente une décennie – et bien plus – de créativité commune. Après s’être rencontrés à Zurich en 2008, Adrian & Adrian sont devenus inséparables, non seulement en tant qu’amis, mais aussi en tant qu’artistes. Ils ont tracé leur carrière en tant que l’un des duos DJ/producteurs les plus constants et distinctifs de la scène house et techno : Adriatique. La clé d’un partenariat durable est, bien sûr, de se compléter, et les deux Adrians le font admirablement. Musicalement, leurs goûts variés se combinent en un son unique, et leur préférence respective pour le travail en studio et la performance fait que les deux aspects sont également bien couverts. Les sets DJ d’Adriatique, tout comme leurs productions, sont longs, méditatifs, et bâtissent progressivement une ambiance, défiant toujours l’auditeur avec des subtilités qui viennent enrichir un groove hypnotique. Cependant, il y a bien plus chez ce duo que juste une machine musicale électronique bien huilée. Ils vivent ensemble, conçoivent des projets ensemble, et soutiennent l’art sous toutes ses formes ensemble. 2016 a vu la réalisation d’un vœu de longue date : la création du propre label d’Adriatique et d’une plateforme pour les arts. Appelé Siamese, leur label publie leur propre musique ainsi que des productions d’autres artistes, tant que cela adhère au credo des Adrians : que la musique doit être une forme de méditation. Allant bien au-delà du standard d’un label, Siamese soutient également les artistes visuels et performeurs, organisant des soirées en club qui mettent ces collaborateurs en lumière tout autant que les stars musicales. En plus de sortir leur musique via Siamese, Adriatique est signé sur les labels de renom Diynamic et Afterlife. Le premier, le label et la série d’événements de Solomun, est depuis longtemps un chez-soi pour Adriatique, tandis qu’Afterlife est une aventure plus récente. Le label de Tale Of Us a sorti leur single “”Ray”” au début de 2018, marquant le début du projet “”Nude””. L’album de debut d’Adriatique est leur déclaration artistique la plus personnelle à ce jour, une collection de chansons, de sentiments et de souvenirs qui se distinguent dans le catalogue d’Afterlife. Le titre “”Nude”” fait référence à un autre aspect d’Adriatique qui se dévoile sur l’album. Le duo prouve qu’il est tout aussi talentueux pour créer des chansons mélodiques et belles que pour produire des beats club puissants. Puisant dans leur propre expérience de deux étrangers devenus partenaires à plein temps, Adrian et Adrian savent que c’est le pont entre les différences qui nourrit la créativité. C’est pourquoi, dans le futur, ils prévoient d’étendre leur réseau de collaborateurs ainsi que la portée créative des activités d’Adriatique et de Siamese. Cela fait déjà une décennie qu’ils sont dans le métier, mais la véritable mission d’Adriatique ne fait que commencer.

What’s in a name? For Adrian Shala and Adrian Schweizer, it represents a decade – and more – of shared creativity. After meeting in Zurich in 2008, Adrian & Adrian have become inseparable, not only as friends, but also as artists. They have charted their careers as one of the most consistent and distinctive DJ/producer duos on the house and techno scene: Adriatique. The key to a lasting partnership is, of course, to complement each other, and the two Adrians do this admirably. Musically, their varied tastes combine into a unique sound, and their respective preferences for studio work and performance mean that both aspects are equally well covered. Adriatique’s DJ sets, like their productions, are long, meditative and gradually build a mood, always challenging the listener with subtleties that enrich a hypnotic groove. However, there’s much more to this duo than just a well-oiled electronic music machine. They live together, conceive projects together, and support art in all its forms together. 2016 saw the realization of a long-held wish: the creation of Adriatique’s own label and platform for the arts. Called Siamese, their label publishes their own music as well as productions by other artists, as long as it adheres to the Adrians’ credo: that music should be a form of meditation. Going far beyond the standard of a label, Siamese also supports visual artists and performers, organizing club nights that put these collaborators in the spotlight as much as the musical stars. In addition to releasing their music via Siamese, Adriatique is signed to renowned labels Diynamic and Afterlife. The former, Solomun’s label and event series, has long been a home for Adriatique, while Afterlife is a more recent venture. The Tale Of Us label released their single “”Ray“” in early 2018, marking the start of the “”Nude“” project. Adriatique’s debut album is their most personal artistic statement to date, a collection of songs, feelings and memories that stand out in Afterlife’s catalog. The title “”Nude“” refers to another aspect of Adriatique that is revealed on the album. The duo prove that they are just as talented at creating melodic, beautiful songs as they are at producing powerful club beats. Drawing on their own experience as two strangers turned full-time partners, Adrian and Adrian know that it’s the bridge between differences that fuels creativity. That’s why, in the future, they plan to expand their network of collaborators as well as the creative scope of Adriatique and Siamese’s activities. They’ve already been in the business for a decade, but Adriatique’s real mission is just beginning.

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Ce contenu provient de Igloofest et est adapté par PAN M 360

Electro

Igloofest: Bon Entendeur, Boston Bun et Regularfantasy

by Rédaction PAN M 360

Bon Entendeur virtuose la rencontre des sons, des voix et des époques. A chacun de ses albums, le duo imagine un set de musique écrit comme une balade. Aux prémices, Bon Entendeur se fait connaître grâce à ses mixtapes réalisées sur fond de voix de personnalités. Leur premier album, Aller-Retour, sorti en 2019, a l’idée originale de mettre à l’honneur la vague francophone des seventies sur des sons contemporains. Joli succès : quatre ans plus tard, le disque est certifié platine et son titre phare, Le temps est bon, single de diamant. Leur deuxième album, Minuit, disque d’or en quelques mois, voit le jour en 2021. Il file l’allégorie de l’heure de la bascule et cette envie furieuse de déconfiner le jour jusqu’au bout de la nuit. S’en suivent deux tournées exceptionnelles : l’une à la française passant par les prestigieuses salles de l’Olympia et du Zénith. Une autre à l’internationale : le Transatlantic Tour exporte leur french touch à guichet fermé sur les pas de leurs aînés. Automne 2023. Bon Entendeur navigue au regard des rives latines. Leur troisième album, Rivages, distille l’été dans l’hiver et insuffle un vent de nouveautés. Le soleil est encore haut, l’après-midi décline. Des amis sur le pont d’un bateau embrassent l’horizon, les pieds sablés, la peau dorée de sel. Rivages raconte un voyage sur la mer, en escales de la French Riviera à la Bossa Nova. Bon Entendeur rassemble dans cet album, le cœur chéri de leurs souvenirs et met la Méditerranée à l’honneur, berceau de leur amitié. Rivages puise dans les odeurs de garrigue et de maquis la lumière longue du soleil et mêle dans ses titres, des parfums de pins et d’immortelles. La bande son grimpe tout doux en décibels, au rythme d’une instru lancinante de guitares. Sicilia s’écoute en introduction insulaire. La traversée s’annonce festive, le set mûri de soleil. Rivages chante la géographie des escales. A l’italienne, on aime l’élégance de Rome. Une balade à écouter le corps dansant, les yeux fermés. On l’imagine bien au cinéma, ce couple amoureux déambuler dans les rues de Rome, sur des notes humblement inspirées de Vladimir Cosma. Basta Cazzate souffle ses accords électro. A l’origine une BO de Christophe, ici signée Bon Entendeur, repensée en fond de chorale d’enfants. La traversée prend le large jusqu’aux sonorités d’Afrique du nord. Les corps se mouvent sur le savoureux titre seventies, Disco en Égypte. Puis on vogue en langue espagnole et on groove et on savoure Petit Bonbon, interprété par Rigoberta Bandini. Angelo monte le son avant de mettre le cap sur les côtes françaises. Le duo revisite en signature des classiques de la francophonie. Fio Maravilha écrite dans les années 60 en hommage au joueur de foot éponyme, traduite puis reprise par Nicoletta, se réinvente au gré des flots. Baby c’est vous électrise le refrain envoûtant de Sylvie Vartan « Comment donner l’amour ». La traversée a été belle, le vent se lève sur Orages, l’ancre peut être jetée, Rivages a atteint son Clair de Lune. Bon Entendeur compose un album, plus que jamais, fidèle à ce qu’ils aiment : la danse de la nuit, l’énergie du soleil de leurs origines méditerranéennes, la pluralité des musiques du monde. Rivages s’inscrit en signature de leur esthétique, vintage, disco et électronique. Un album voulu plus personnel qu’ils ont hâte de promener au large de leur tournée, en escale étoilée, l’Olympia, les 4 et 5 avril 2024.

Bon Entendeur virtuosizes the meeting of sounds, voices and eras. With each of their albums, the duo imagines a set of music written like a ballad. In the early days, Bon Entendeur made a name for themselves with mixtapes featuring the voices of celebrities. Their first album, Aller-Retour, released in 2019, has the original idea of honoring the Francophone wave of the seventies with contemporary sounds. It was a great success: four years later, the album was certified platinum, and its lead single, Le temps est bon, went on to become a diamond single. Their second album, Minuit, went gold in just a few months, and was released in 2021. It is an allegory of the hour of change and the furious desire to deconfiner the day until the end of the night. This was followed by two exceptional tours: one in France, at the prestigious Olympia and Zenith venues. The other was international: the Transatlantic Tour exported their French touch to sold-out audiences, following in the footsteps of their elders. Autumn 2023. Bon Entendeur sails to the shores of Latin America. Their third album, Rivages, distils summer into winter and breathes a wind of newness. The sun is still high, the afternoon waning. Friends on the deck of a boat embrace the horizon, their feet sanded, their skin golden with salt. Rivages tells the story of a voyage by sea, from the French Riviera to Bossa Nova. In this album, Bon Entendeur gathers the cherished heart of their memories, and gives pride of place to the Mediterranean, the cradle of their friendship. Rivages draws on the scents of garrigue and maquis, the long light of the sun, and blends the fragrances of pine and immortelle in its tracks. The soundtrack climbs gently in decibels, to the rhythm of a haunting guitar instrumentation. Sicilia is the perfect island introduction. The crossing promises to be festive, the set ripe with sunshine. Rivages sings of the geography of ports of call. Italian-style, we love the elegance of Rome. A stroll to listen to, body dancing, eyes closed. We can just imagine this loving couple strolling through the streets of Rome in a film, to the humbly inspired notes of Vladimir Cosma. Basta Cazzate blows its electro chords. Originally a soundtrack by Christophe, here by Bon Entendeur, reworked for a children’s choir background. The journey takes in the sounds of North Africa. Bodies move to the tasty seventies track, Disco en Égypte. Then it’s on to Spanish-language grooves and Petit Bonbon, sung by Rigoberta Bandini. Angelo turns up the volume before heading for the French coast. The duo revisit French classics in their signature style. Fio Maravilha, written in the 60s as a tribute to the soccer player of the same name, translated and then covered by Nicoletta, is reinvented as the waves flow. Baby c’est vous electrifies with Sylvie Vartan’s bewitching refrain “Comment donner l’amour”. The crossing was beautiful, the wind rises on Orages, the anchor can be dropped, Rivages has reached its Clair de Lune. More than ever, Bon Entendeur have composed an album faithful to what they love: the dance of the night, the energy of the sun of their Mediterranean origins, the plurality of world music. Rivages is the signature of their vintage, disco and electronic aesthetic. It’s a more personal album, and one they can’t wait to take on their tour, with a star-studded stopover at the Olympia on April 4 and 5, 2024.

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danse / Electronic

Igloofest: Skepta, artiste mystère, Syreeta et plus!

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Vétéran de la scène grime du Royaume-Uni, Skepta est l’une des figures du hip-hop britannique les plus reconnues à l’international. MC, producteur et propriétaire de son propre label, il a joué un rôle clé dans le passage du grime de l’underground aux charts pop au cours des années 2000, en partie grâce au succès de son collectif Boy Better Know, ainsi qu’à sa résurgence au milieu des années 2010. Avec la sortie de son quatrième album, Konnichiwa, en 2016, Skepta a réalisé sa percée commerciale et critique, remportant le Mercury Prize de cette année-là et obtenant la certification or. L’album Ignorance Is Bliss, sorti en 2019, a également bien réussi dans les charts britanniques, et Insomnia, sorti en 2020, en collaboration avec Chip et Young Adz, a atteint la troisième place. Il a élargi son champ d’action et son public grâce à des collaborations avec des artistes tels que J Balvin, Kid Cudi, Playboi Carti et de nombreux autres. En 2023, Skepta et son compatriote de Boy Better Know, Jammer, ont formé le label house Más Tiempo et ont commencé à sortir des morceaux de danse, y compris plusieurs collaborations ainsi que le titre de Skepta “Can’t Play Myself”, qui sample Amy Winehouse.

A veteran of the UK grime scene, Skepta is one of the most internationally recognized figures in British hip-hop. MC, producer and owner of his own label, he played a key role in grime’s transition from the underground to the pop charts during the 2000s, thanks in part to the success of his collective Boy Better Know, as well as its resurgence in the mid-2010s. With the release of his fourth album, Konnichiwa, in 2016, Skepta achieved his commercial and critical breakthrough, winning that year’s Mercury Prize and achieving gold certification. The 2019 album Ignorance Is Bliss also did well in the UK charts, and Insomnia, released in 2020 in collaboration with Chip and Young Adz, reached number three. He expanded his reach and audience through collaborations with artists such as J Balvin, Kid Cudi, Playboi Carti and many others. In 2023, Skepta and his Boy Better Know compatriot Jammer formed the house label Más Tiempo and began releasing dance tracks, including several collaborations as well as Skepta’s track “Can’t Play Myself”, which samples Amy Winehouse.

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Electronic

Igloofest: Zeds Dead, Tape B, Distinct Move & plus!

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Formé en 2009 à Toronto par les producteurs et DJs Dylan “DC” Mamid et Zachary “Hooks” Rapp-Rovan, Zeds Dead est l’un des groupes indépendants les plus accomplis de la musique électronique de la dernière décennie, cumulant des centaines de millions d’écoutes en streaming, des dizaines de hits classés dans le Top 20 du Billboard et plusieurs nominations aux prix JUNO. Zeds Dead a créé un son sans limite à travers sa vaste discographie, comprenant de nombreux singles à succès, des remixes et des EP. En 2016, Zeds Dead a sorti son premier album, Northern Lights, qui inclut des collaborations avec Diplo, Twin Shadow, Pusha T, Rivers Cuomo de Weezer, entre autres. Classé dans le Top 10 du Billboard dans les catégories Top Dance/Electronic Albums et Heatseekers Albums, l’album a également été nommé pour l’Enregistrement de l’année en danse aux JUNO Awards de 2017. En 2016, Zeds Dead a lancé son label influent, Deadbeats Records, aujourd’hui l’un des labels indépendants de premier plan dans la musique électronique, avec plus de 150 sorties d’artistes émergents comme DNMO, PEEKABOO, Subtronics, 1788-L et d’autres. Deadbeats a sorti plusieurs compilations, notamment Deadbeats Compilation (Vol. 1), Deadbeats Compilation (Vol. 2), We Are Deadbeats (Vol. 3) et We Are Deadbeats (Vol. 4), qui proposent des morceaux originaux de leur large répertoire d’artistes, dont REZZ, Megalodon, et Zeds Dead eux-mêmes. Zeds Dead et Deadbeats se sont récemment lancés dans les événements en direct avec la tournée Deadbeats Tour et l’événement annuel DeadRocks, un spectacle en tête d’affiche au Red Rocks Amphitheatre de Denver, qui affiche complet chaque année depuis son lancement en 2014.

Formed in 2009 in Toronto by producers and DJs Dylan “DC” Mamid and Zachary “Hooks” Rapp-Rovan, Zeds Dead is one of the most accomplished independent electronic music acts of the past decade, racking up hundreds of millions of streaming streams, dozens of Billboard Top 20 hits and multiple JUNO Award nominations. Zeds Dead has created a boundless sound through his extensive discography, including numerous hit singles, remixes and EPs. In 2016, Zeds Dead released his debut album, Northern Lights, which includes collaborations with Diplo, Twin Shadow, Pusha T, Rivers Cuomo of Weezer, among others. Ranked in Billboard’s Top 10 in the Top Dance/Electronic Albums and Heatseekers Albums categories, the album was also nominated for Dance Recording of the Year at the 2017 JUNO Awards. In 2016, Zeds Dead launched his influential label, Deadbeats Records, now one of the leading independent labels in electronic music, with over 150 releases from emerging artists such as DNMO, PEEKABOO, Subtronics, 1788-L and others. Deadbeats has released several compilations, including Deadbeats Compilation (Vol. 1), Deadbeats Compilation (Vol. 2), We Are Deadbeats (Vol. 3) and We Are Deadbeats (Vol. 4), featuring original tracks from their wide repertoire of artists, including REZZ, Megalodon, and Zeds Dead themselves. Zeds Dead and Deadbeats have recently branched out into live events with the Deadbeats Tour and the annual DeadRocks event, a headlining show at Denver’s Red Rocks Amphitheatre, which has sold out every year since its launch in 2014.

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