Pour quiconque a vu le groupe de Santa Cruz en concert, il n’y a pas d’erreur possible. Drain n’est pas seulement un bon moment pendant que Sammy préside le chaos des corps qui se mettent en scène et de la ligne de front qui s’empare des micros ; c’est une fête, et tout le monde est invité. (Les shorts de dauphins et les planches à voile sont facultatifs mais encouragés.) “L’ambiance est enthousiaste, trépidante”, déclare le chanteur. “Cinq personnes chantent et font de la plongée, puis des jeunes se déchaînent derrière. C’est une ambiance géniale et je pense que les gens s’en rendent compte”.
Voilà, en quelques mots, ce qu’est DRAIN. Sur Living Proof, le quatuor injecte une sérieuse dose de réalisme – sans parler d’accroche – dans le penchant du hardcore pour la dureté et la brutalité. Le hurlement désespéré et hargneux de Ciaramitaro se fraye un chemin à travers les riffs thrash tandis que les rythmes rebondissent à tout va. Si vous imaginez les vagues de l’océan Pacifique qui montent et descendent le long de la ville côtière, parfois violemment, vous n’êtes pas loin du compte.
For anyone that’s seen the Santa Cruz hardcore firebrands live, there’s no mistaking that fact. Drain isn’t just a good time as Sammy presides over the chaos of stagediving bodies and mic-grabbing frontline; it’s a party—and everyone is invited. (Dolphin shorts and boogie boards are optional but encouraged.) “The vibe of it is, enthusiastic, hectic,” says the vocalist. “Five people deep singing and stagediving, then kids going berserk behind that. It’s a great vibe and I think people pick up on that.”
That, in a nutshell is DRAIN. The quartet inject a serious dose of relatability—not to mention catchiness—into hardcore’s penchant for toughness and brutality on Living Proof. Ciaramitaro’s desperate, snotty howl rides roughshod over thrash-leaning riffage as rhythms bounce in a big way. If you’re picturing the Pacific Ocean waves that rise and fall along the coastal town, occasionally violently so, you’re not far off.
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Ce contenu provient de Epitaph Records et est adapté par PAN M 360.