folk-pop

José Gonzàlez au Théâtre Maisonneuve

par Rédaction PAN M 360

Saluée par Rolling Stone comme « quelqu’un dont la musique subtile et soigneusement élaborée récompense les auditeurs qui savent attendre », la brillante carrière de González ne peut être décrite que comme un rêve. Qu’il se produise seul avec sa guitare ou avec un orchestre de 20 musiciens, les spectacles de cet auteur-compositeur-interprète visionnaire ne sont jamais de simples shows, ce sont des événements. Et González a bien l’intention de poursuivre cette tradition alors qu’il prépare sa tournée entièrement en solo pour soutenir la sortie de son quatrième album studio, Local Valley.

Hailed by Rolling Stone as « someone whose subtle, carefully crafted music delivers rewards to listeners who know how to wait, » González’s stellar career can only be described as a dream. Whether appearing alone with his guitar or with a 20-piece orchestra, the visionary singer-songwriter’s performances are never merely shows – they are events. And González has every intention of continuing this tradition as he prepares his fully solo tour in support of the release of his fourth studio album, Local Valley.

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rock

Gordon Lightfoot au Théâtre Maisonneuve

par Rédaction PAN M 360

Son compatriote canadien Robbie Robertson le qualifie de trésor national et des millions d’admirateurs de partout au monde continuent d’être touchés par la remarquable contribution de Gordon Lightfoot à l’histoire de la musique. Ces chansons intemporelles racontent les événements qui façonnent nos vies et ont valu à ce légendaire auteur-compositeur-interprète la réputation d’être l’un des artistes de la scène les plus recherchés à l’échelle planétaire. Les concerts de Gordon Lightfoot sont continuellement remplis de légions d’admirateurs qui désirent vivre à nouveau l’expérience de sa sonorité unique et de sa voix mélancolique imprégnée de soul.

Fellow Canadian, Robbie Robertson calls him a national treasure, while millions of fans the world over continue to be touched by Gordon Lightfoot’s remarkable contributions to music history. These time-defying songs document the events that shape our lives and have gone on to earn this legendary singer/songwriter an international reputation as one of the most anticipated live performers. With his trademark soulful vocals, Gordon Lightfoot’s concerts continually fill to capacity with legions of fans eager to once again experience the unmistakable Lightfoot sound.

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MUTEK présente A/Visions 2

par Rédaction PAN M 360

Au cœur des deux programmes A/Visions se trouvent des créations audiovisuelles de grandes envergures qui fusionnent images, sons et technologies. Série la plus impressionnante du festival, il s’agit d’un choix judicieux pour un public épicurien en quête de nouveauté et d’évasion. Dans la continuité de la veille, la seconde soirée de la série A/Visions propose la découverte en première nord-américaine de 3 performances sensationnelles. Profondément innovantes, ces œuvres audiovisuelles plongent les spectateurs·trices dans des univers stimulants au sein desquels la technologie joue un rôle fondamental.08

Spillover étudie les divisions qui nous séparent de notre environnement naturel et l’interaction entre la nature, la culture, la politique et l’économie. Ensuite, la performance générative Advienne met en perspective différentes temporalités au sein d’un dispositif audiovisuel spatialisé, englobant les spectateur·trice·s. Enfin, s’inspirant de systèmes écologiques virtuels, SYNSPECIES part à la recherche de champs oniriques artificiels peuplés d’objets multidimensionnels fracturés qui s’entrecroisent, s’adoptent, se transforment et luttent pour leur existence.

At the heart of the two A/Visions programmes are large-scale audiovisual creations that merge images, sound and technology. Following on from the previous evening, the second evening of the A/Visions series features the North American premiere of three sensational performances. Deeply innovative, these audiovisual works plunge the spectators into stimulating universes in which technology plays a fundamental role.

Spillover examines the divisions that separate us from our natural surroundings and the interplay between nature, culture, politics and economics. Next, the generative performance Advienne puts into perspective different temporalities within a spatialized audiovisual device, encompassing the audience. Finally, inspired by virtual ecological systems, SYNSPECIES explore unnatural and dreamlike fields inhabited by fractured, multidimensional objects that cross-pollinate, merge, mutate and fight for their existence.

Cyril Meroni & Olivier Vasseur  — Advienne

Elias Merino & Tadej Droljc — Synspecies

Pierce Warnecke & Matthew Biederman  — Spillover

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électronique

MUTEK présente A/Visions 1

par Rédaction PAN M 360

Au cœur des deux programmes A/Visions se trouvent des créations audiovisuelles de grandes envergures qui fusionnent images, sons et technologies. Série la plus impressionnante du festival, il s’agit d’un choix judicieux pour un public épicurien en quête de nouveauté et d’évasion. Avec ses 3 performances présentées pour la première fois en Amérique du nord, A/Visions 1 explore l’audiovisuel comme langage. Entre introspection et intégration des spectateurs·trices dans le processus créatif, cette soirée stimule aussi bien les profils créatifs que les esprits critiques.

At the heart of the two A/Visions programmes are large-scale audiovisual creations that merge images, sound and technology. The most impressive series of the festival, it is a wise choice for an epicurean audience in search of novelty and escape. With its three performances presented for the first time in North America, A/Visions 1 explores the audiovisual as language. Between introspection and the integration of spectators in the creative process, this evening stimulates both creative profiles and critical minds.

Ali Phi

D’origine iranienne, Ali Phi est un artiste visuel, militant artistique, musicien et technologue créatif dont l’œuvre illustre la relation entre points, lignes, plans, lumière et noirceur.

Ali Phi is an iranian-born media artist, art activist, musician, and creative technologist whose work depicts the relation between point, line, plane, light, and darkness.

Kutin & Patrik Lechner 

Peter Kutin travaille avec le son à travers les genres. Ses œuvres ont été exposées, commandées, jouées, projetées ou discutées à diverses occasions et dans divers lieux notables à travers le monde. Patrik Lechner est un artiste qui crée des contenus audio/vidéo expérimentaux à partir du milieu des années 2000. Développant des logiciels personnalisés à ces fins, le contenu original d’œuvres sonores abstraites et de graphiques 3D en temps réel est né de l’exploration de la technologie sans perdre de vue l’expression artistique.

Peter Kutin works with sound across genres. His pieces have been exhibited, commissioned, performed, screened or discussed at various notable occasions and venues across the globe. Patrik Lechner is an artist creating experimental audio/video content since the mid 2000s. Developing custom software for these purposes, original content in abstract sound works and real-time 3D graphics arose through the exploration of technology without losing focus on artistic expression.

SCHNITT & Gianluca Sibaldi 

Création née de la rencontre entre SCHNITT (Amelie Duchow et Marco Monfardini) et Gianluca SibaldiSCANAUDIENCE est une performance live inédite où le public, numérisé en temps réel par un dispositif propriétaire, en devient le protagoniste principal et détermine directement le rendu audiovisuel ; une nouvelle dimension sonore et visuelle spécifique à MUTEK sera ainsi générée, sous la direction des artistes.

A creative project spawned from the collaboration between SCHNITT (Amelie Duchow and Marco Monfardini) and Gianluca SibaldiSCANAUDIENCE is a site-specific live performance where the audience, scanned in real time with a proprietary device, becomes the main protagonist and directly influences the audiovisual output; MUTEK-specific sound and visual dimensions are thus generated under the artists’ direction.

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Une Virée dans l’air du temps

par Frédéric Cardin

Ce sont deux concerts sous le signe de la diversité auxquels votre serviteur est allé assisté samedi dernier lors de la Virée classique de l’OSM. Pas la diversité musicale, en termes harmoniques et stylistiques, car ça allait du Romantisme au modernisme / impressionnisme, même pas un siècle de l’histoire de la musique. Plutôt la diversité des compositeurs et compositrices et des interprètes, ce qui a rempli de bonheur les mélomanes curieux.

En effet, les surprises étaient pour le moins emballantes, à commencer par le concert de trios joués samedi matin avec passion et conviction par Jean-Sébastien Roy (violon), Cameron Crozman (violoncelle) et Philip Chiu (piano). Le programme, audacieux, était consacré à de véritables chefs-d’oeuvre méconnus de deux compositrices états-uniennes, soit Amy Beach et Rebecca Clarke. Le Beach, en la mineur op. 150, pourtant une pièce de maturité écrite en 1938 à la veille de la Seconde guerre mondiale, est tout en légèreté, accueillant et souriant. Un brin espiègle, même, il exprime une relative sérénité à travers une utilisation symbiotique de textures romantiques et impressionnistes. Un chef-d’œuvre, certes, mais de nature sympathiquement naïve. Le véritable plat nutritif de cette agréable rencontre, où le public de quelques dizaines de paires d’oreilles était installé sur la scène du Théâtre Maisonneuve dans une sorte de cocon acoustique et à deux pas des musiciens, était le Trio de Rebecca Clarke, britannique de naissance naturalisée états-unienne. Oh, la grande œuvre de musique de chambre que voilà! Un premier mouvement tempétueux nous indique qu’un drame d’une sombre gravité s’y déroule. Le deuxième mouvement est un Adagio digne du meilleur Debussy ou Ravel, avec une mélodie poignante, d’une forte charge émotionnelle, discrètement esquissée à travers des commentaires à contre-courant projetés comme sur un voile diaphane qui ondoie subtilement. L’image suscitée prend alors des couleurs moirées teintées d’ombrages délicats. Le troisième mouvement conclut l’aventure avec un Vivace empreint d’urgence et de fougue, magnifiées par une écriture vibrante et souvent pleine de surprises. On ne pouvait espérer bien mieux des trois interprètes, tellement leur immense talent était parfaitement aligné en direction d’une expression de qualité maximale pour ces perles insoupçonnées du répertoire. Loin de l’anecdotique, ce programme fut certainement une révélation pour les chanceux et chanceuses qui ont pu y assister.

Ensemble Obiora

Deuxième rencontre à mon agenda, le concert du nouvel ensemble Obiora, sous la direction de Rafael Payare lui-même. Une Maison symphonique beaucoup plus multicolorée que d’habitude donnait à entendre à la fois (en partie) un répertoire rarement joué, mais aussi un orchestre ‘’de la diversité’’ créé en pleine pandémie et amorçant ainsi une vie que l’on souhaitera longue et prospère. Obiora, formé de musiciens professionnels issus de racines afro-descendantes, latinos et moyen-orientales (pour la plupart) a été créé justement pour montrer que la musique classique professionnelle est également jouée par des non-caucasiens (et non-asiatiques, bien que quelques-uns se retrouvent tout de même dans le groupe), ce qui est une excellente chose. Une ou deux imprécisions tonales nonobstants, l’orchestre a manifesté une cohésion d’ensemble plus que satisfaisante, un investissement émotif convaincant dans les œuvres au programme et au final, une légitimité certaine à faire partie du paysage musical montréalais. Il s’agit du tout premier orchestre du genre au Canada. On peut en être fier. Le programme du concert débutait avec Lyric for Strings, de l’Afroaméricain George Walker, une pièce fort jolie que plusieurs apprécieront pour sa proximité de style et de caractère avec l’Adagio pour cordes de Barber. Suivait la petite merveille qu’est la Fantaisie pour saxophone de Villa-Lobos, un savoureux entrelac d’impressionnisme et de modernisme extra-européen. L’impressionnant saxophoniste Steven Banks, dont je vous parlais dans une autre critique, a encore fait des miracles grâce à une technique époustouflante, une musicalité poétique et une sonorité instrumentale moelleuse et séduisante. Le clou du spectacle était assuré par une version pour orchestre à cordes du Quatuor ‘’américain’’ de Dvorak. Le chef Payare a induit une bonne dose de subtilités et de nuances, généralement bien exécutée par Obiora. Les thèmes respiraient adéquatement, insufflant ainsi une agréable aisance narrative à la musique, et les dynamiques se mouvaient avec grâce. S’il ne s’agissait des quelques incartades de justesse, peut-être dues à la nervosité, la résultante aurait été entièrement parfaite.

Steven Banks avec Rafael Payare et l’Ensemble Obiora – crédit : Antoine Saito

L’ensemble Obiora (à propos duquel mon collègue Alain Brunet a réalisé une entrevue) est une promesse d’avenir emballante. Un rafraîchissement nécessaire de l’énergie vitale et surtout du répertoire habituel de la musique classique (mais dont les piliers fondamentaux ne seront pas abandonnés, comme l’a démontré le concert) sera apporté par ce très jeune groupe qui ne demande qu’à nous surprendre et nous étonner encore. 

N’en déplaise à certains gardiens du temple de la pureté classique auto-proclamés (qui sévissent dans certains espaces qui leur sont réservés quotidiennement et qui nous assomment de leurs mentalité archaïque de deuxième zone), l’avenir de la musique classique passera par ce genre d’élargissement de ce que l’on considère être la ‘’bonne musique’’. Un élargissement que les véritables mélomanes curieux et curieuses appellent de leur cœur.

classique occidental

L’Orchestre Symphonique présente l’Ensemble de la Virée dirigée par Rafael Payare

par Rédaction PAN M 360

Ensemble éphémère constitué de musiciens de l’OSM, de solistes invités et de lauréats du Concours OSM, l’Ensemble de la Virée donne l’occasion de voir sur scène les principaux acteurs de la vitalité du festival. Sous la direction de Rafael Payare, ce concert chaleureux clôturera la Virée classique avec un sursaut d’énergie grâce aux œuvres de Miklós Rózsa, George Gershwin, Pacho Flores et de musique traditionnelle québécoise. 

A special ensemble formed for the occasion by OSM musicians, guest soloists and OSM Competition winners, the Classical Spree Ensemble unites the main festival contributors on the same stage. Under the direction of Rafael Payare, this warm-hearted concert concludes the Classical Spree with a burst of energy with works by Miklós Rózsa, George Gershwin, Pacho Flores and with Quebec folk music. 

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classique occidental

L’Orchestre Symphonique présente Violon et piano : Dvorak, Still et Piazzola

par Rédaction PAN M 360

Le violoniste Hao Zhou – 1er prix au Concours musical international de Montréal 2019 – et le pianiste Philip Chiu vous convient à un concert dans lequel notre voisin du Sud sera présenté sous bien des facettes! C’est alors qu’il est directeur du Conservatoire de New York que Dvořák compose sa Sonatine, op. 100, notamment inspirée par un récent voyage en Pennsylvanie et dans laquelle il reprend des couleurs de sa Symphonie « Du Nouveau Monde ». Copland et Kroll s’inspirent quant à eux des danses folkloriques américaines alors que Still nous propose une Suite ancrée dans les racines afro-américaines de Harlem.

Violinist Hao Zhou – 1st Prize winner of the 2019 Montreal International Musical Competition – and pianist Philip Chiu invite you to a concert in which our neighbour to the South shines in many of its artistic facets! During his time as Director of the New York Conservatory, Dvořák composed the Sonatina, op. 100, inspired notably by his recent trip to Pennsylvania and bearing some of the same colours as his famous Symphony “From the New World.” Copland and Kroll were both inspired by American folk dances, while Still’s Suite is steeped in the African American heritage of Harlem.

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classique occidental

L’Orchestre Symphonique présente Bryan Cheng et Andrew Wan : Ravel en Amérique

par Rédaction PAN M 360

Le lauréat du Concours OSM 2019 Bryan Cheng et le violon solode l’OSM Andrew Wan s’unissent dans un programme inusité qui prendra la forme d’un dialogue entre violon et violoncelle, avec comme pièce de résistance, la Sonate de Ravel. Celle-ci fut écrite en 1921 en hommage à Claude Debussy et fait preuve d’un lyrisme et d’une virtuosité notables. Mais avant, le public pourra découvrir la musique de Rebecca Clarke, ainsi que des œuvres pour violoncelle seul de Mark O’connor et Mark Summer, ce dernier exploitant l’instrument d’une façon tout à fait originale.

2019 OSM Competition winner Bryan Cheng and OSM Concertmaster Andrew Wan team up for an unusual program: a dialogue between the violin and the cello, complete with the pièce de résistance, Ravel’s Sonata, written in 1921 in homage to Claude Debussy and exuding an abundance of lyricism and virtuosity. Leading up to it, audiences will be regaled with their discovery of music by Rebecca Clarke and by works for solo cello by Mark O’Connor and Mark Summer, the latter exploiting the instrument’s potential in an entirely original way!

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classique occidental

Jeanine De Bique au pays des poètes

par Rédaction PAN M 360

Jeanine de Bique s’est taillée une place sur la scène internationale grâce à la richesse de sa voix, sa palette de couleurs et sa grande polyvalence, comme en témoigne son programme constitué d’œuvres classiques et de chansons folkloriques des Caraïbes. Dans ce récital intimiste, la soprano trinidadienne incarnera plusieurs personnages féminins légendaires, comme c’est le cas dans Ophelia-Lieder de Richard Strauss – d’après Hamlet de Shakespeare –, ou encore Gretchen devant la Mater Dolorosa – une magnifique œuvre de jeunesse d’Hugo Wolf.

Jeanine de Bique is renowned internationally for the richness of her voice, extensive palette of vocal colours and amazing versatility, all reflected in this program consisting of both classical works and Caribbean folk songs. In this intimate recital, the Trinidadian soprano will embody several female figures of legend, performing among other works Strauss’s Ophelia-Lieder – after Shakespeare’s Hamlet – and Gretchen Before the Mater Dolorosa – a magnificent early work by Hugo Wolf.

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classique occidental

L’Orchestre Symphonique présente Littératures autochtones en musique

par Rédaction PAN M 360

À travers leurs écrits, les autrices et auteurs de ce concert nous ouvrent une fenêtre sur leur perception du monde, intimement liée à la nature. Il sera question d’amour, de rapport entre l’être et le territoire, de fertilité et de sensualité. Les textes de Marie-Andrée Gill (innue), Leanne Simpson (anishnaabe), Virginia Bordeleau (crie et métisse), Jean Sioui (wendat) et Katarina Vermette (métisse) côtoieront la musique de Vaughan Williams, Piazzolla, Ravel, ainsi que du compositeur canadien d’origine crie Andrew Balfour.

Through their written works, the authors featured in this concert offer a window onto their perceptions of the world, which are intimately bound up with nature. They discuss love, the relationship between living beings and the land, fertility, and sensuality. Texts by Marie-Andrée Gill (Innu), Leanne Simpson (Anishinaabe), Virginia Bordeleau (Cree and Métis), Jean Sioui (Wendat) and Katarina Vermette (Métis) will converge with music by Vaughan Williams, Piazzolla, Ravel, and by the Canadian composer of Cree ancestry Andrew Balfour.

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classique occidental

L’Orchestre Symphonique présente Trios d’Amy Beach et Rebecca Clarke

par Rédaction PAN M 360

La pianiste et compositrice américaine Amy Beach a écrit son Trio avec piano en 1938, au crépuscule d’une longue carrière prolifique, commencée dès l’âge de quatre ans. L’œuvre témoigne de ses différentes influences, allant du romantisme au modernisme français, en passant par le folklore. Quant au Trio de l’altiste et compositrice Rebecca Clarke, il date de 1921, dans les derniers milles de la tonalité, et fait preuve d’une grande vitalité mêlée au drame de la guerre qui venait de prendre fin. Les deux œuvres, écrites en Nouvelle-Angleterre, explorent avec brio les possibilités des trois instruments solistes.

American pianist and composer Amy Beach wrote her Piano Trio in 1938, in the twilight years of a long and prolific career that began at the age of four. The work shows her various influences, from Romanticism to French modernism, and incorporating folklore. Violist and composer Rebecca Clarke’s Piano Trio is dated 1921, coinciding with the last moments of tonality and exhibiting great vitality mixed with the drama of wartime that had just come to an end.These two works, both written in New England, brilliantly explore the possibilities of their three solo instruments.

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klezmer

L’Orchestre Symphonique présente Kumt Arayn! Musique klemzer et littérature yiddish

par Rédaction PAN M 360

La culture yiddish fait incontestablement partie de l’ADN de la ville de Montréal, terre d’accueil pour des milliers de Juifs dès la fin du XIXe siècle. Sa littérature et sa poésie nous parlent d’un Montréal tour à tour ouvrier, communautaire, inclusif et moderne, gardé par un mont Royal immuable. La lecture de textes en français et en yiddish écrits par des auteurs et autrices comme Jacob-Isaac Segal, Rachel Korn, Ida Maze, Melech Ravitch, Chava Rosenfarb, Léa Roback et Michel Tremblay sera accompagnée de musique klezmer, ce style tantôt introspectif, tantôt endiablé, mais toujours saisissant.

En collaboration avec le Centre Segal des arts de la scène ainsi que l’écrivaine et spécialiste de littérature yiddish Chantal Ringuet.

Yiddish culture is undeniably part of Montreal’s DNA, the city being the adopted home of thousands of Jews, beginning in the late 19th century. Its literature and poetry relate a Montreal that is variously working class, community-based, inclusive, and modern, guarded by the immovable Mount Royal. Readings of texts in French and in Yiddish by authors including Jacob-Isaac Segal, Miriam Waddington, Israel Medrech and Abraham Shulman will be accompanied by klezmer, a style that is alternately wistful and boisterous, though always captivating.

In collaboration with the Segal Centre for Performing Arts as well as the author and Yiddish literature specialist Chantal Ringuet.

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