Gemma Gillies, saxophone.
Class of Marie-Chantel Leclair
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This content comes from the Schulich School of Music and is adapted by PAN M 360.
Gemma Gillies, saxophone.
Class of Marie-Chantel Leclair
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Maud Lewden, voice
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This content comes from the Faculté de musique de l’Université de Montréal and is adapted by PAN M 360.
Matthew Lane, choirmaster
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The Université de Montréal Big Band plays arrangements from Jean-Nicolas Trottier’s class.
Le Big Band de L’Université de Montréal joue les arrangements de la classe de Jean-Nicolas Trottier.
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This content comes from the Faculté de musique de l’Université de Montréal and is adapted by PAN M 360.
First part, Jazz Trio
Paule Magnan (guitar)
Gabriel Gélinas (bass)
Guillaume Sliger (drums)
Second Part : Big Band : Joao Lenhari
Third Part, Combo supervised by Myriam El-Agha :
Myriam El-Agha, voice
Léonie Dubé, piano
Alex Gariépy, piano
Etienne Martin, bass
Arthur Wawrzyniak, drums
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This content comes from the Faculté de musique de l’Université de Montréal and is adapted by PAN M 360.
To close its 35th season, the NEM invites you to celebrate in style with four specially commissioned works.
Complicity, pleasure and intensity are the order of the day.
Pour clore sa 35e saison, le NEM vous invite à célébrer en grand avec quatre œuvres commandées pour cette occasion.
Complicité, plaisir et intensité se donnent rendez-vous.
TO BUY YOUR TICKET, CLICK HERE!
This content comes from the Nouvel Ensemble Moderne and is adapted by PAN M 360
Compositeur, improvisateur et guitariste, Sylvain Pohu est membre fondateur de l’ensemble de jazz contemporain [iks] et son directeur artistique depuis septembre 2007. Il est aussi membre de la Ligue d’improvisation musicale de Montréal, du duo detypeinconnu et du groupe Wonder34. Dans un autre registre, il réalise des installations sonores, des œuvres de musique mixte et des vidéomusiques interactives. Sa musique est principalement disponible chez Ora.
En parallèle à ces activités et dans le cadre d’un doctorat à l’Université de Montréal, il mène des recherches sur le rôle de l’improvisation dans le processus compositionnel et sur le traitement en temps réel, dans le but d’explorer les possibilités expressives de la musique électroacoustique improvisée.
Composer, improviser and guitarist, Sylvain Pohu is a founding member of the contemporary jazz ensemble [iks] and its artistic director since September 2007. He is also a member of the Ligue d’improvisation musicale de Montréal, the duo detypeinconnu and the group Wonder34. He also creates sound installations, mixed-music works and interactive videomusic. His music is mainly available at Ora.
In parallel with these activities, and as part of a doctorate at the Université de Montréal, he is conducting research on the role of improvisation in the compositional process and on real-time processing, with the aim of exploring the expressive possibilities of improvised electroacoustic music.
POUR ACHETER VOTRE BILLET, C’EST ICI!
Ce contenu provient de la Sala Rossa et est adapté par PAN M 360
Easy Money picks up where Old Man Luedecke’s award winning, and most successful release to date, Domestic Eccentric (2015), leaves off: four years farther down the road, dreaming about his ship coming in, still a parent but now grappling with the newness of middle age, dad jokes, love for an abiding partner, the death of a parent, along with some calypso-feeling local Nova Scotia history thrown in for good measure.
Composition and recording were both begun at the Banff Centre’s songwriter-in-residence program. It was there that Luedecke met the album’s producer Howard Bilerman of Montreal’s famed Hotel2Tango studio where the album was eventually recorded. The two hit it off when Luedecke composed “Easy Money” on the tracking floor on the first day of the program. Desperate for something worthy to use in his recording time, Luedecke channeled a traditional Christmas number he knew from a Harry Belafonte record and sang largely improvised verses into a winning tune that is sure to be a modern classic: Oh yes I need it, Oh yes I want it, I dream about easy, I dream about Easy money.” Don’t we all.
The further nine new original compositions and two covers run a modern storytelling line from the fifties folk and calypso boom into the everyday of tangible middle life. Guest appearances by long-time collaborator and Grammy award-winning Tim O’Brien, Afie Jurvanen of Bahamas, and Fats Kaplin (Jack White, John Prine) add piquant accents to the impeccable playing of Luedecke and a crack Montreal studio band of Mike O’Brien, Joshua Toal and Jamie Thompson.
The album begins with three upbeat incantations of what is surely the beginnings of a mid-life crisis (Dad Jokes? Wakeup Call, come on!) then moves to 2 songs musing about death; both inspired in part and in different ways, by the passing of Luedecke’s father, the passing of Leonard Cohen and current politics and the death of truth. There are two island-themed numbers that imagine a laid-back life in the local un-tropical paradise of the Canadian Maritimes. Then comes a country song with killer fiddling and harmony singing by Tim O’Brien, a dance number of frightful worry and then a cover of Nana Mouskouri’s French language cover of Bob Dylan’s topical apocalyptic plaint, “Hard Rain’s Gonna Fall”. This is followed by a traditional sea shanty about a mermaid and a shipwreck. The album closer, “‘I Skipped a Stone”, is the most beautiful song about hoping your wife will pick up the phone. The song is made all the sweeter by the special appearance of Bahamas’ playing and singing, to close out Luedecke’s sixth full length studio album.
Easy Money reprend là où l’album primé et le plus réussi d’Old Man Luedecke à ce jour, Domestic Eccentric (2015), s’arrête : quatre ans plus loin, rêvant de son bateau qui arrive, toujours parent mais désormais aux prises avec la nouveauté de l’âge mûr, les blagues de papa, l’amour pour un partenaire fidèle, la mort d’un parent, ainsi qu’un peu d’histoire locale calypso-feeling de la Nouvelle-Écosse jetée pour faire bonne mesure.
La composition et l’enregistrement ont commencé dans le cadre du programme d’auteur-compositeur en résidence du Banff Centre. C’est là que Luedecke a rencontré le producteur de l’album, Howard Bilerman, du célèbre studio Hotel2Tango de Montréal, où l’album a été enregistré. Les deux hommes s’entendent bien et Luedecke compose “Easy Money” sur la piste d’enregistrement dès le premier jour du programme. Désespéré à l’idée de trouver quelque chose de valable à utiliser pendant son temps d’enregistrement, Luedecke a canalisé un numéro de Noël traditionnel qu’il connaissait d’un disque d’Harry Belafonte et a chanté des couplets largement improvisés pour en faire une chanson gagnante qui sera certainement un classique moderne : Oh oui, j’en ai besoin, Oh oui, je le veux, Je rêve d’argent facile, Je rêve d’argent facile”. N’est-ce pas le cas de tout le monde ?
Les neuf nouvelles compositions originales et les deux reprises s’inscrivent dans la lignée d’une histoire moderne qui va du boom du folk et du calypso des années cinquante au quotidien de la vie moyenne et tangible. Les apparitions de Tim O’Brien, collaborateur de longue date et lauréat d’un Grammy, d’Afie Jurvanen (Bahamas) et de Fats Kaplin (Jack White, John Prine) ajoutent des accents piquants au jeu impeccable de Luedecke et d’un excellent groupe de studio montréalais composé de Mike O’Brien, Joshua Toal et Jamie Thompson.
L’album commence par trois incantations optimistes sur ce qui est certainement le début d’une crise de la quarantaine (Dad Jokes ? Wakeup Call, come on !), puis passe à deux chansons sur la mort, toutes deux inspirées en partie et de différentes manières par le décès du père de Luedecke, le décès de Leonard Cohen, la politique actuelle et la mort de la vérité. Il y a deux chansons sur le thème des îles qui imaginent une vie décontractée dans le paradis local non tropical des Maritimes canadiennes. Vient ensuite une chanson country avec un violon et un chant harmonieux de Tim O’Brien, un numéro de danse d’une inquiétude effrayante, puis une reprise de Nana Mouskouri en français de la complainte apocalyptique de Bob Dylan, “Hard Rain’s Gonna Fall”. Vient ensuite une chanson traditionnelle sur une sirène et un naufrage. La dernière chanson de l’album, “‘I Skipped a Stone”, est la plus belle des chansons sur l’espoir que votre femme décroche le téléphone. La chanson est rendue encore plus douce par l’apparition spéciale de Bahamas, qui joue et chante, pour clore le sixième album studio de Luedecke.
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Welcome to all fans of music and emerging talent! We’re delighted to invite you to a concert by first- and second-year pop singing students, accompanied by instrumental ensembles. The event will take place at La Sala Rossa on Tuesday, April 23, 2023 at 8pm.
Join us for an evening where passion for music meets the boundless creativity of artistic youth. Come and celebrate the wealth of student talent in a top-notch concert that promises to be an unforgettable experience. The stage and artists are set, and we look forward to sharing this musical adventure with you all on April 23 at 8pm at La Sala Rossa!
Bienvenue à tous les amateurs de musique et de talents émergents ! Nous sommes ravis de vous inviter au concert des étudiantes et étudiants de première et deuxième année en chant pop, accompagnés par des ensembles instrumentaux. L’événement se déroulera à La Sala Rossa le mardi 23 avril 2023 à 20h.
Rejoignez-nous pour une soirée où la passion pour la musique rencontre la créativité débordante de la jeunesse artistique. Venez célébrer la richesse des talents étudiants dans un concert de haut niveau qui promet d’être une expérience inoubliable. La scène et les artistes sont prêts, nous avons hâte de partager cette aventure musicale avec vous tous le 23 avril à 20h à La Sala Rossa !
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If someone closes a door, it’s because they’ve opened a frame, as the saying goes: without dwelling on the subject at length, let’s just say that blesse was born out of the end of Zen Bamboo, and that Léo Leblanc, Xavier Touikan and Charles-Antoine Olivier’s (aka CAO) chemical response to said end was a burst of creativity: as soon as they were ensconced in a Lanaudière cottage jamming, gathering ideas discarded over the years for further substantiation, opening up to the vast panoply of DIY post-prod – catalyst of acquired experience, gas pedal of developed expression, emancipated emancipation et al.
And now that that’s out of the way, like them, we’re focusing on what’s new: they started listening to music like never before – drawing inspiration from Porches, My Bloody Valentine, Indochine and the hyperpop and bedroom pop movements – with the aim of creating idiosyncratic, plural, abrasive and, above all, catchy pop; they started talking about song structures with stars in their eyes; they realized that what mattered most to them was having a signature sound on record rather than on stage.
With these precepts in mind, they set to work full time, developing a work ethic that is both rigorous and nimble, via a relationship of total trust where missteps are (almost) non-existent and evolution is forward-looking.
It took 9 months before they found the composite sound they were looking for – but once they had, the rest flowed almost autonomously, nourished by incessant cyclical collaboration. So the band becomes the band it wants to be with each piece, lead vocals alternate, everything renews itself. The result is “Paroles et musique par blesse”-type credits. They often start with guitar + vocal compositions that are written at the same time as they are recorded, augmented by synthetic arrangements that have been reworked 1,000 times, which in turn enhance the meaning of the lyrics. They start out, rarely returning to the point of departure – always discovering, with no end in sight. The only constraint is not to be constantly maximalist – that’s the hard part.
It’s a start, then – a start that wants to keep the energy of the start for a long time. It hurts, and it starts now.
Si quelqu’un ferme une porte c’est qu’il a ouvert un châssis, dit l’adage : sans nous étendre longuement sur le sujet, asseyons tout de suite que blesse est issu de la fin de Zen Bamboo, et que la réponse chimique de Léo Leblanc, Xavier Touikan et Charles-Antoine Olivier (alias CAO) à ladite fin a été un élan créatif : sitôt encabanés dans un chalet lanaudois à jammer, réunissant des idées écartées au fil des ans pour les étayer davantage, s’ouvrant au vaste pan de la post-prod DIY – catalyseur d’expérience acquise, accélérateur d’expression développée, affranchissement émancipé et al.
Et là, maintenant que ça s’est dit, à leur instar on se concentre sur le neuf : ils se sont mis à écouter de la musique comme jamais – s’inspirant notamment de Porches, My Bloody Valentine et Indochine et des mouvances hyperpop et bedroom pop – en ayant en mire de créer une pop idiosyncrasique, plurielle, abrasive et surtout catchy; se sont mis à jaser de structures de pièces avec des étoiles dans les yeux; ont réalisé que ce qui leur importait d’abord, c’était d’avoir une signature sonore sur enregistrement plutôt que sur scène.
C’est gréés de ces préceptes qu’ils se sont mis à plancher pas mal à temps plein, développant une éthique de travail à la fois rigoureuse et leste via une relation de confiance totale où les faux-pas n’existent (presque) pas et où l’évolution se fait par en avant.
Ça aura pris 9 mois avant qu’ils trouvent le son composite recherché – mais, une fois saisi, le reste a coulé de façon quasi autonome, nourri par une incessante collaboration cyclique. Le groupe devient donc le groupe qu’il veut être à chaque pièce, les voix principales s’alternent, tout se renouvelle. En résultent des crédits de type « Paroles et musique par blesse ». Ça part souvent de compositions guitare + voix qui sont écrites en même temps qu’enregistrées, augmentées d’arrangements synthétiques revirés de bord 1000 fois qui vont venir à leur tour bonifier le sens des paroles. Ça part, pour rarement revenir au point de départ – pour découvrir toujours, sans finalité annoncée. La seule contrainte, c’est de ne pas être constamment maximaliste – ça, c’est le bout pas facile.
C’est un départ, donc – un départ qui veut conserver l’énergie du départ longtemps. C’est blesse, et ça commence maintenant.
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Pouya, de son vrai nom Kevin Pouya, né le 20 décembre 1994 à Miami, en Floride, est un rappeur américain.
Pouya, real name Kevin Pouya, born December 20, 1994 in Miami, Florida, is an American rapper.
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Ce contenu provient du Théâtre Le National et est adapté par PAN M 360
Ty Segall, born June 8, 1987 in Laguna Beach, is an American singer, guitarist and drummer. A multi-instrumentalist, he has made guitar and drums his instruments of choice, but records the vast majority of his albums alone.
Ty Segall, né le 8 juin 1987 à Laguna Beach, est un chanteur, guitariste et batteur américain. Multi-instrumentiste, il a fait de la guitare et la batterie ses instruments de prédilection, mais enregistre la grande majorité de ses albums seul.
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This content comes from the Club Soda and is adapted by PAN M 360