Projet électronique onirique de Robert Toher, les collages denses de dub, de Krautrock et de trip-hop de Public Memory explorent la perte, les rêves et la nostalgie partagée. Sur des albums comme Demolition de 2018, Toher n’utilise guère plus que des voix d’un autre monde, un synthétiseur Korg, une guitare et des enregistrements de terrain pour élaborer des morceaux hallucinatoires qui donnent l’impression de pouvoir s’évaporer à tout moment, tout en laissant un impact durable.
The dreamy electronic project of Robert Toher, Public Memory’s dense collages of dub, Krautrock and trip-hop explore loss, dreams and shared nostalgia. On albums such as 2018’s Demolition, Toher uses little more than otherworldly vocals, a Korg synthesizer, guitar and field recordings to craft hallucinatory tracks that sound like they could evaporate at any moment, yet leave a lasting impact.
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Ce contenu provient de Felte Records et du Bar Le Ritz PDB et est adapté par PAN M 360.