Singer, songwriter, activist and fierce defender of the LGBTI+ community worldwide, Bia Ferreira defines her music as MMP: Música de Mulher Preta (Black Woman Music). She broke into the public consciousness in 2017 with the track, Cota Não é Esmola, about the importance of the quota system for black people’s access to university. In addition to 13 million views on YouTube and several million plays on Spotify, the song became required reading for the entrance exam to the University of Brasília. She was nominated for the 2018 Women in Music Awards, and on her 2019 album, Igreja Lesbiteriana: Um Chamado, (Lesbitarian Church: A Calling), the messages are hitched to a carriage of funky rhythms, reggae and soulful ballad grooves. This year, she performed on Portugal’s biggest stages, including a memorable concert at LMM Sines.
Chanteuse, auteure-compositrice, activiste et farouche défenseuse de la communauté LGBTI+ à travers le monde, Bia Ferreira définit sa musique comme MMP : Música de Mulher Preta (Black Woman Music). Elle a percé dans la conscience publique en 2017 avec le titre, Cota Não é Esmola, sur l’importance du système de quotas pour l’accès de la population noire à l’université. Outre les 13 millions de vues sur YouTube et plusieurs millions de lectures sur Spotify, la chanson est devenue une lecture obligatoire pour l’examen d’entrée à l’université de Brasília. Elle a été nommée pour les Women in Music Awards 2018, et sur son album 2019, Igreja Lesbiteriana : Um Chamado, (Lesbitarian Church : A Calling), les messages sont attelés à un carrosse de rythmes funky, de reggae et de grooves de ballades soul. Cette année, elle s’est produite sur les plus grandes scènes du Portugal, notamment lors d’un concert mémorable au LMM Sines.
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This content comes from Black History Month and is adapted by PAN M 360