Un concert qui vous fera découvrir l’interprétation monumentale et envoûtante du grand pianiste des emblématiques Variations Goldberg de J.S. Bach, András Schiff. Écrites à l’origine pour clavecin, elles ont été publiées pour la première fois en 1741 et portent le nom de Johann Gottlieb Goldberg, qui pourrait avoir été le premier interprète de l’œuvre.
Experience this great pianist’s monumental and mesmerizing interpretation of J.S. Bach’s iconic Goldberg Variations, András Schiff. Originally written for harpsichord, they were first published in 1741 and are named after Johann Gottlieb Goldberg, who may have been the first performer of the work.
Tutti! Tous sur scène avec l’Orchestre Métropolitain
par Rédaction PAN M 360
Le Tutti est un événement unique, inspiré de PlayIn, un concept adapté par l’Orchestre de Philadelphie. Pour l’occasion, l’Orchestre Métropolitain invite les musicien.ne.s amateur.trice.s de tous âges à se joindre à ses propres musicien.ne.s le temps d’une répétition. Il s’agit d’une chance unique de partager la scène de la Maison symphonique avec des musiciens professionnels, passionnés et chevronnés!
Lors de ce Tutti organisé dans le cadre des Journées de la culture 2022, les vents seront à l’honneur! Le tuba solo de l’OM et chef d’orchestre Alain Cazes, qui possède une vaste expérience en direction d’orchestre à vents, dirigera l’ensemble formé de 45 musicien.ne.s amateurs et 15 musicien.ne.s de l’OM. Le public est invité à assister gratuitement à la répétition de cet orchestre éphémère d’une durée de 60 minutes à la Maison symphonique de Montréal. Les mélomanes pourront également découvrir le talent de l’un.e des chef.fe.s de l’Académie de direction d’orchestre de l’OM.
Tutti is a unique event inspired by the Philadelphia Orchestra’s PlayIn initiative. Amateur instrumentalists of all ages are invited to join the Orchestre Métropolitain’s musicians for a rehearsal. It’s a unique opportunity for them to share the stage at the Maison symphonique with professional, passionate and seasoned musicians!
This season’s first Tutti, organized for the Journées de la culture 2022, is a celebration of wind instruments! Alain Cazes, the OM’s first tuba and conductor with a wealth of experience leading wind ensembles, will direct the group of 45 amateur and 15 OM musicians. This one-time event will be open to the public. The rehearsal will last for 60 minutes and take place at the Maison symphonique de Montréal. Music lovers will also be able to discover new talent from the OM’s Orchestral Conducting Academy.
The Orchestre Métropolitain has invited amateur musicians of all ages to share the stage with some of its very own musicians for a large wind orchestra rehearsal conducted by Alain Cazes, in collaboration with conductors from our Orchestral Conducting Academy. Join us on October 1 from 2 to 3 p.m. at the Maison symphonique by filling out the registration form below! This activity is part of the Journées de la culture.
Ce contenu provient de la Place des Arts et est adapté par PAN M 360.
Lemieux et Jaroussky en parfaite complicité à la maison symphonique
par Rédaction PAN M 360
Les Violons du Roy et Jonathan Cohen ouvrent la saison de façon spectaculaire en compagnie de deux artistes parmi les plus étincelants de la scène lyrique mondiale, les célèbres Marie-Nicole Lemieux et Philippe Jaroussky, des complices qui s’en donneront à cœur joie pour le plus grand plaisir de tous.
Les Violons du Roy and Jonathan Cohen open the season in spectacular fashion with two of the world’s most dazzling opera singers, the renowned Marie-Nicole Lemieux and Philippe Jaroussky, who will give their all for the pleasure of all.
Le songe d’une nuit d’été de Rafael Payare à la Maison Symphonique
par Rédaction PAN M 360
Forêt magique, brume crépusculaire et créatures fantastiques seront au programme d’un concert insolite où l’OSM présentera Le songe d’une nuit d’été de Mendelssohn, dans une adaptation scénique alternant musique et extraits de la pièce de Shakespeare dont l’œuvre s’inspire. Ce concert, dirigé par Rafael Payare et mettant à contribution le Chœur de l’OSM, sera complété par un chef-d’œuvre de l’impressionnisme français : les féeriques Nocturnes de Debussy.
A magical forest, twilight mist and mythical creatures are summoned for this unusual concert where the OSM presents Mendelssohn’s A Midsummer Night’s Dream in a staged adaptation alternating music and excerpts from Shakespeare’s play. Completing this concert conducted by Rafael Payare and featuring the OSM Chorus is a masterpiece of French Impressionism: Debussy’s enchanting Nocturnes.
Rafael Payare dirige la Symphonie « Résurrection » de Mahler
par Rédaction PAN M 360
Rafael Payare inaugurera cette nouvelle saison de l’OSM avec la monumentale Symphonie no 2, « Résurrection », de Gustav Mahler. Cette œuvre au caractère métaphysique et existentiel, long périple symphonique traversé par de nombreuses courbes dramatiques, se conclura en compagnie du Chœur de l’OSM dans une proclamation de la vie éternelle. L’Orchestre présentera en ouverture la création mondiale d’une œuvre de l’Autrichien Thomas Larcher, l’un des compositeurs les plus innovants à l’heure actuelle.
Rafael Payare inaugurates the OSM’s new season with Gustav Mahler’s Symphony no. 2, “Resurrection.” A metaphysically and existentially texted work, this symphonic odyssey extends over several dramatic arcs to conclude, with the OSM Chorus, in a proclamation of Eternal Life. To open the concert, the Orchestra presents the world premiere of a work by Austrian composer Thomas Larcher, one of today’s most innovative creators.
Les 9 de Montréal, ensemble composé de 8 violoncelles et d’une contrebasse, sont de retour à la Maison symphonique pour une interprétation passionnante de leur récent album Consonance. Vous pourrez y découvrir le son euphonique du violoncelle à travers des adaptations uniques du Boléro de Ravel, de l’Adagio pour cordes de Barber, et bien d’autres!
Le concert accueillera également la soprano sino-canadienne Lirong Dong, qui interprétera, avec Les 9 de Montréal, une version exclusive d’une pièce de sa dernière collaboration avec Vincent Bélanger : Tout est dit.
Les 9 de Montréal, an ensemble of 8 cellos and a double bass, is back at Maison symphonique for a thrilling performance of their recent album Consonance. Discover the euphonious sound of the cello through unique adaptations of Ravel’s Bolero, Barber’s Adagio for Strings, and many more!
The concert will also feature a guest appearance of Chinese-Canadian soprano Lirong Dong, who together with Les 9 will perform a new version of a piece from her latest collaboration with Vincent Bélanger: Tout est dit.
Angèle Dubeau & La Pietà présentent ELLE : concert 25e anniversaire
par Rédaction PAN M 360
Comment souligner les 25 ans de l’ensemble La Pietà d’Angèle Dubeau? La réponse lui est venue naturellement par la musique. Un album entièrement pensé, conçu, joué et composé par des femmes. ELLE, au singulier, parce que chaque femme est unique.
Aux musiques d’Olafur Arnalds, Armand Amar, Ludovico Einaudi, Alex Baranowski, Philip Glass, Max Richter, s’ajouteront des œuvres de ce dernier opus, une incursion dans le monde musical des femmes parmi lesquelles Rachel Portman, Elena Kats-Chernin et Rebecca Dale.
How to celebrate the 25th anniversary of the ensemble La Pietà by Angèle Dubeau? The answer came naturally to her through the music. An album completely thought out, conceived, played and composed by women. ELLE, in the singular, because each woman is unique.
Added to the music of Olafur Arnalds, Armand Amar, Ludovico Einaudi, Alex Baranowski, Philip Glass, and Max Richter will be works from her latest opus, an incursion into the musical world of women, including Rachel Portman, Elena Kats-Chernin and Rebecca Dale.
Ce contenu provient de la Place des Arts et est adapté par PAN M 360.
Une Virée dans l’air du temps
par Frédéric Cardin
Ce sont deux concerts sous le signe de la diversité auxquels votre serviteur est allé assisté samedi dernier lors de la Virée classique de l’OSM. Pas la diversité musicale, en termes harmoniques et stylistiques, car ça allait du Romantisme au modernisme / impressionnisme, même pas un siècle de l’histoire de la musique. Plutôt la diversité des compositeurs et compositrices et des interprètes, ce qui a rempli de bonheur les mélomanes curieux.
En effet, les surprises étaient pour le moins emballantes, à commencer par le concert de trios joués samedi matin avec passion et conviction par Jean-Sébastien Roy (violon), Cameron Crozman (violoncelle) et Philip Chiu (piano). Le programme, audacieux, était consacré à de véritables chefs-d’oeuvre méconnus de deux compositrices états-uniennes, soit Amy Beach et Rebecca Clarke. Le Beach, en la mineur op. 150, pourtant une pièce de maturité écrite en 1938 à la veille de la Seconde guerre mondiale, est tout en légèreté, accueillant et souriant. Un brin espiègle, même, il exprime une relative sérénité à travers une utilisation symbiotique de textures romantiques et impressionnistes. Un chef-d’œuvre, certes, mais de nature sympathiquement naïve. Le véritable plat nutritif de cette agréable rencontre, où le public de quelques dizaines de paires d’oreilles était installé sur la scène du Théâtre Maisonneuve dans une sorte de cocon acoustique et à deux pas des musiciens, était le Trio de Rebecca Clarke, britannique de naissance naturalisée états-unienne. Oh, la grande œuvre de musique de chambre que voilà! Un premier mouvement tempétueux nous indique qu’un drame d’une sombre gravité s’y déroule. Le deuxième mouvement est un Adagio digne du meilleur Debussy ou Ravel, avec une mélodie poignante, d’une forte charge émotionnelle, discrètement esquissée à travers des commentaires à contre-courant projetés comme sur un voile diaphane qui ondoie subtilement. L’image suscitée prend alors des couleurs moirées teintées d’ombrages délicats. Le troisième mouvement conclut l’aventure avec un Vivace empreint d’urgence et de fougue, magnifiées par une écriture vibrante et souvent pleine de surprises. On ne pouvait espérer bien mieux des trois interprètes, tellement leur immense talent était parfaitement aligné en direction d’une expression de qualité maximale pour ces perles insoupçonnées du répertoire. Loin de l’anecdotique, ce programme fut certainement une révélation pour les chanceux et chanceuses qui ont pu y assister.
Deuxième rencontre à mon agenda, le concert du nouvel ensemble Obiora, sous la direction de Rafael Payare lui-même. Une Maison symphonique beaucoup plus multicolorée que d’habitude donnait à entendre à la fois (en partie) un répertoire rarement joué, mais aussi un orchestre ‘’de la diversité’’ créé en pleine pandémie et amorçant ainsi une vie que l’on souhaitera longue et prospère. Obiora, formé de musiciens professionnels issus de racines afro-descendantes, latinos et moyen-orientales (pour la plupart) a été créé justement pour montrer que la musique classique professionnelle est également jouée par des non-caucasiens (et non-asiatiques, bien que quelques-uns se retrouvent tout de même dans le groupe), ce qui est une excellente chose. Une ou deux imprécisions tonales nonobstants, l’orchestre a manifesté une cohésion d’ensemble plus que satisfaisante, un investissement émotif convaincant dans les œuvres au programme et au final, une légitimité certaine à faire partie du paysage musical montréalais. Il s’agit du tout premier orchestre du genre au Canada. On peut en être fier. Le programme du concert débutait avec Lyric forStrings, de l’Afroaméricain George Walker, une pièce fort jolie que plusieurs apprécieront pour sa proximité de style et de caractère avec l’Adagio pour cordes de Barber. Suivait la petite merveille qu’est la Fantaisie pour saxophone de Villa-Lobos, un savoureux entrelac d’impressionnisme et de modernisme extra-européen. L’impressionnant saxophoniste Steven Banks, dont je vous parlais dans une autre critique, a encore fait des miracles grâce à une technique époustouflante, une musicalité poétique et une sonorité instrumentale moelleuse et séduisante. Le clou du spectacle était assuré par une version pour orchestre à cordes du Quatuor ‘’américain’’ de Dvorak. Le chef Payare a induit une bonne dose de subtilités et de nuances, généralement bien exécutée par Obiora. Les thèmes respiraient adéquatement, insufflant ainsi une agréable aisance narrative à la musique, et les dynamiques se mouvaient avec grâce. S’il ne s’agissait des quelques incartades de justesse, peut-être dues à la nervosité, la résultante aurait été entièrement parfaite.
L’ensemble Obiora (à propos duquel mon collègue Alain Brunet a réalisé une entrevue) est une promesse d’avenir emballante. Un rafraîchissement nécessaire de l’énergie vitale et surtout du répertoire habituel de la musique classique (mais dont les piliers fondamentaux ne seront pas abandonnés, comme l’a démontré le concert) sera apporté par ce très jeune groupe qui ne demande qu’à nous surprendre et nous étonner encore.
N’en déplaise à certains gardiens du temple de la pureté classique auto-proclamés (qui sévissent dans certains espaces qui leur sont réservés quotidiennement et qui nous assomment de leurs mentalité archaïque de deuxième zone), l’avenir de la musique classique passera par ce genre d’élargissement de ce que l’on considère être la ‘’bonne musique’’. Un élargissement que les véritables mélomanes curieux et curieuses appellent de leur cœur.
Ce concert sera le premier de Bruce Liu avec l’OSM depuis sa consécration au Concours Chopin en 2021. Le jeune pianiste montréalais et ancien lauréat du Concours OSM interprètera la virtuose Rhapsodie sur un thème de Paganini de Rachmaninov, créée lorsque le compositeur était en exil aux États-Unis. En complément, Rafael Payare dirigera l’ouverture énergique Scorpius de R. Murray Schafer, ainsi que la trépidante Bachianas brasileiras no 7 de Villa-Lobos.
This will be Bruce Liu’s first concert with the Orchestra since his 2021 triumph in the Chopin Competition. This young Montreal pianist and past winner of the OSM Competition will perform Rachmaninoff’s bravura piece Rhapsody on a Theme of Paganini, first performed when the composer lived in the United States. Rafael Payare will also conduct the energetic overture Scorpius by R. Murray Schafer, as well as the vibrant Bachianas brasileiras no. 7 by Villa-Lobos.
L’Orchestre Symphonique présente l’ensemble Obiora et le saxophoniste Steven Banks
par Rédaction PAN M 360
À l’occasion de cette Virée classique, l’OSM invite le jeune Ensemble Obiora, constitué de musiciennes et musiciens dits issus de la diversité, pour un concert haletant sur le thème des Amériques. L’ensemble présentera une adaptation du somptueux Quatuor « Américain » de Dvořák ainsi que la Fantaisie pour saxophone du compositeur brésilien Villa-Lobos, avec l’épatant saxophoniste états-unien Steven Banks. Ces œuvres seront précédées par Lyric for Strings de George Walker.
For this Classical Spree, the OSM invites the recently formed Ensemble Obiora, composed of musicians from diverse cultural backgrounds, for a fabulous concert on the theme of the Americas. The ensemble will perform Dvořák’s magnificent “American” Quartet, as well as the Fantasia for Saxophone by Brazilian composer Villa-Lobos, featuring celebrated American saxophonist Stephen Banks. This program will be preceded by George Walker’s Lyric for Strings.
L’Orchestre Symphonique présente Rhapsodie américaine : du folklore à la légende
par Rédaction PAN M 360
Les trois compositeurs de ce programme ont trouvé dans le folklore un terreau fertile pour la création d’œuvres emblématiques de leur culture. Jacques Hétu revisite les contes populaires québécois dans Légendes, tandis que Gershwin cristallise les sonorités du jazz dans Rhapsody in Blue, une œuvre qui mettra en lumière le pianiste argentin Sergio Tiempo. Enfin, c’est inspiré par la tradition mexicaine que Márquez compose sa Danzón no 2, un chef-d’œuvre aux mélodies nostalgiques et aux rythmes de montuno devenu un incontournable de la musique mexicaine.
The three composers on this program have found folklore to be rich soil for developing works that are emblematic of their cultures. Jacques Hétu revisits Quebec folk tales in Légendes, while Gershwin crystallized the sounds of jazz in Rhapsody in Blue, a work that will feature Argentinian pianist Sergio Tiempo. Finally, Márquez drew inspiration from the Mexican tradition to compose his Danzón no. 2, a masterpiece of wistful melodies and montuno rhythms, a vital force of Mexican music.
L’Orchestre Symphonique présente ciné-concert à l’orgue avec Chaplin et Keaton
par Rédaction PAN M 360
L’OSM présente deux monuments du cinéma muet : Charlie Chaplin et Buster Keaton. Retrouvez leur humour indémodable dans Charlot fait du ciné (1916) et Malec forgeron (1922), deux comédies burlesques où le protagoniste enchaîne les bévues autant que les bons coups. Lors de cette soirée sans pareille, les projections seront accompagnées en direct par trois improvisateurs chevronnés : le clarinettiste André Moisan, le percussionniste Michel Berthiaume et l’organiste Jean-Willy Kunz. Qui sait l’allure que prendra ce ciné-concert!
The OSM presents two monumental figures of the silent film: Charlie Chaplin and Buster Keaton. Enjoy their timeless humour in Behind the Screen (1916) and The Blacksmith (1922), both slapstick comedies in which the protagonists display a series of blunders and right moves. For this highly unique evening, screenings will be enhanced with live accompaniment by three seasoned improvisers: clarinetist André Moisan, percussionist Michel Berthiaume and organist Jean-Willy Kunz. There’s no telling what this cinematic concert has in store for us!
Ce contenu provient de l’OSM et est adapté par PAN M 360.
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